Quand l'anodin devient une information

A 6h28, genou à terre, et en pleurs : Daagbo supplie les Daagbovis à faire ces 03 actions, sinon …

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L’heure est grave chez les Daagbovis. Et Parfaite de Banamè l’a fait savoir à ses fidèles dans un audio qui annonce la fin de l’église, si rien est fait.

‘‘Une dieue’’ en pleurs et en mode supplication. Dans un audio qui circule abondamment sur la toile, Parfaite de Banamè, dieue autoproclamée supplie, avec une voix tremblante et apeurée, ses Daagbovis et autres responsables pour vite réagir afin d’empêcher leur disparition.

Estimant que l’heure est grave, elle confie s‘être éveillée à 6h28 et s’est mise à genou pour prévenir les uns et les autres, du danger qui menace. En effet selon ses confidences, le père et le fils ont décidé de retourner à leurs lieux face à la désobéissance répétée des Daagbovis.

Daagbo prédit à cet effet des jours difficiles. Elle annonce que les Daagbovis seront livrés à eux-mêmes et ce sera la fin de la bataille. Elle ajoute que les fidèles ne pourront plus entendre sa voix et que les conséquences seront terribles.

Parfaite de Banamè confie qu’elle ne pourra plus compter sur le soutien du fils et du père pour défendre leurs causes.

Des recommandations urgentes de Parfaite

Mais tout n’est pas encore perdu d’avance. Il y a un petit espoir pour éviter que le pire ne se produise, a-t-elle assuré en pleurs.

Selon elle, il faut rapidement poser des pas pour tenter d’obtenir le pardon du fils et du père.

La dieue autoproclamée a alors invité les uns et les autres à commander trois messes. La première messe s’élève à 2700 pour demander pardon et supplier le fils et le père. A cela, elle a cité une messe d’action de grâce et une autre. Ces deux autres messes sont également payantes, a précisé Daagbo.

Parfaite de Banamè a soutenu que ces messes sont urgentes face à la gravité de la situation.

Outre les messes et cultes, elle a invité les uns et les autres à tout brûler pour ne pas laisser le diable entrer.

Daagbo a demandé aux Daagbovis de respecter ses consignes pour ne pas qu’ils deviennent objet de moqueries.

« Je ne vais pas vous infliger une telle honte. Je vous  supplie, faites ce que je vous ordonne », a-t-elle martelé.

M.A

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