(Le Gouvernement béninois et les bonnes volontés sollicités)
Le doute plane sur l’avenir du surdoué Béninois. Malgré ses bons résultats académiques et l’aide des bonnes volontés, Peace Delaly Nicoué ne sait pas encore s’il pourra démarrer l’année scolaire 2024-2025.
En effet, après avoir obtenu son Master 2 : Contrôle de gestion, audit et finance à l’ENEAM, à seulement 18 ans, il a encore deux ans d’études supérieures à faire. Peace Delaly Nicoué doit notamment s’inscrire au CIFEC, un institut situé à Cotonou et en partenariat avec des structures françaises.
Seulement voilà, le coût de la formation s’élève à un million cinq cent mille (1500000), l’an. Un montant à payer en deux tranches , soit 750.000 Fcfa pour chaque semestre.
La rentrée est prévue pour le 16 septembre 2024 au CIFEC. Et à moins de dix jours du démarrage des cours, et à l’heure où nous mettons cet article en ligne, ses parents se trouvent dans l’incapacité d’honorer cet engagement.
Ce qui affecte Peace Delaly Nicoué. Entre insomnie et perte d’appétit, il sombre dans la tristesse. Et même s’il garde la foi d’un dénouement heureux, il se demande si par faute de moyens financiers, il devra mettre un croix à son rêve de devenir Expert-Comptable, afin de mettre ses compétences au service du Bénin.
Le BEPC à 09 ans, le BAC à 11 ans, polyglotte avec une aisance à manier le français, l’espagnol et l’anglais, Peace Delaly Nicoué ne mérite pas ça. Et là-dessus, le Gouvernement du président Patrice Talon, qui prône l’excellence, est interpellé.
Pour permettre à Peace Nicoué d’aller au bout de son rêve, merci de contacter son père, Parfait Nicoué à ce numéro : +229 90 46 70 81
Manassé AGBOSSAGA