1ère édition du FICPPA: Pour la promotion de la paix par la culture

Pour la promotion et la préservation de la paix au Bénin et en Afrique, il faudra compter avec le  Festival international de la culture de paix entre les peuples d’Afrique (FICPPA). Initiative de jeunes hommes et femmes du Bénin, le FICPPA s’invite dans le combat des valeurs favorables à la paix…

Pour la promotion et la préservation de la paix au Bénin et en Afrique, il faudra compter avec le  Festival international de la culture de paix entre les peuples d’Afrique (FICPPA). Initiative de jeunes hommes et femmes du Bénin, le FICPPA s’invite dans le combat des valeurs favorables à la paix.

Manassé AGBOSSAGA

Démarré depuis le vendredi 1er décembre à Cotonou, le FICPPA, qui est à sa première édition nourrit le rêve de faire de la culture, un véritable vecteur de paix.

« Nous voulons démontrer que là où la diplomatie a échoué, la culture peut réussir.  Nous voulons utiliser la culture pour régler les problèmes liés à la paix », fait savoir Rick Marius MEDO, Consultant en sécurité, et Commissaire général à l’organisation du FIPPCA.

A la quête de cet objectif,  les festivités  vibrent aux rythmes des animations culturelles, de conférence-débat  sur « La femme et l’enfant face à la précarité et aux menaces de la paix », animée par Me Marie-Elise Gbèdo, …

Pour le reste du programme qui connaîtra un coup d’arrêt le 15 décembre prochain, il est, entre autres, prévu la journée des trophées des oscars, le samedi 9 décembre prochain à l’Infosec. A l’occasion,  des personnalités politiques, et chefs d’Etat seront distingués pour leur contribution à la paix.

Le lendemain, c’est-à-dire le dimanche 10  décembre, ce sera l’Esplanade de l’Assemblée nationale qui abritera la Noël des enfants pionniers de la paix. Ces enfants qui le 16 juin, dans le  cadre de la journée de l’enfant africain ont battu le macadam de Cotonou à Lomé pour transmettre un message de paix au président Faure Gnassingbé.

Mais conscient que la paix est une quête permanente et qu’elle dépend de la contribution de tous, le Commissaire général à l’organisation du FIPPCA lance « nous voulons  associer tout le monde. Nous voulons  avoir l’adhésion nationale et internationale à la cause de la paix que nous prônons aujourd’hui ».

Pourvu que son appel soit entendu !

Couple/Violence contre les hommes: L’étonnante réaction de Marie-Elise Gbèdo

Très attachée au combat du respect des droits des femmes, Marie-Elise Gbèdo a livré une réponse étonnante sur la question des hommes battus par leur épouse. Interpelé par un journaliste sur un cas d’homme tabassé par sa femme et qui s’est vu arracher ses testicules, et par ricochet si  son combat pour l’émancipation de la femme n’aurait pas d’une manière ou d’une autre contribué à ces dérives, la présidente des femmes juristes du Bénin a semblé donner sa bénédiction à l’acte…

Très attachée au combat du respect des droits des femmes, Marie-Elise Gbèdo a livré une réponse étonnante sur la question des hommes battus par leur épouse. Interpelé par un journaliste sur un cas d’homme tabassé par sa femme et qui s’est vu arracher ses testicules, et par ricochet si  son combat pour l’émancipation de la femme n’aurait pas d’une manière ou d’une autre contribué à ces dérives, la présidente des femmes juristes du Bénin a semblé donner sa bénédiction à l’acte.

« L’exemple que vous m’avez donné est tellement mauvais.  Vous ne pouvez pas me donner des exemples comme ça.  On arrache le testicule d’un homme, quel est le problème du combat des femmes. De la même façon que des hommes font des choses dans le lit avec les femmes,  si les femmes peuvent faire, elles vont faire.

Ça n’a rien avoir avec le combat des femmes. Ce n’est pas le combat de Gbèdo qui fait qu’une femme bat un homme et lui arrache le testicule.  Où est mon problème,  si lui-même, il  n’est pas fort ? C’est son problème.

Je connais des couples quand l’homme dit quelque chose, la femme,   elle lui dit, tu te tais  où tu veux qu’on n’y aille. C’est  ce qu’il aime. C’est ce que vous ne savez pas.  Sinon pourquoi il ne part pas. Un homme qui se plaint que sa femme le bat,  et il est assis là, il n’est pas parti pour chercher une autre femme, ce qui est très facile pour l’homme.

Il y a des hommes qui aiment bien qu’on les battent», lance Marie-Elise Gbèdo.

Et comme si elle était consciente qu’elle venait de commettre une bourde, ou qu’elle voulait enfin répondre à la question, Marie-Elise Gbèdo ajoute « On n’arrache pas les testicules de tous les béninois. Est-ce que vous avez appris que dans tous les quartiers, on bat les béninois et on arrache leur  testicule. Mais un cas parmi tant d’autres,  vous voulez en faire un objet de discussion. Donc n’allez plus quelque part pour aller donner cet exemple,  pour dire que c’est le combat qu’on fait,  qui fait que les femmes battent leur mari et arrachent leur testicule. Moi, je vous le refuse.  Donc, je ne réponds pas à cette question », rétorque Marie-Elise Gèdo au journaliste dont le seul tort aura été de poser cette  question à la suite de sa communication intitulée « La femme et l’enfant face à la précarité et aux menaces de la paix » dans le cadre du Festival international de la culture de paix entre les peuples d’Afrique (FICPPA), ce mercredi 6 décembre 2017 au Codiam de Cotonou.

Il est évident que cette réaction de Me Gbèdo réconfortera les hommes qui tabassent leur épouse.

Manassé AGBOSSSAGA

JIPH: Gatien Adjagboni pour le respect des droits des personnes handicapées

A l’instar des autres pays du  monde, le Bénin a célébré le dimanche 3 décembre dernier la Journée internationale des personnes handicapées (JIPH). Occasion, pour le concepteur du ‘‘Servir autrement la communauté’’ de justifier une fois de plus sa philosophie…

A l’instar des autres pays du  monde, le Bénin a célébré le dimanche 3 décembre dernier la Journée internationale des personnes handicapées (JIPH). Occasion, pour le concepteur du ‘‘Servir autrement la communauté’’ de justifier une fois de plus sa philosophie.

Très attaché à la cause des couches les plus défavorisées et désireux  de contribuer à leur intégration et  leur accès à la vie économique, sociale et politique, Gatien Adjagboni, malgré son emploi du temps très chargé,  était aux côtés des personnes handicapées pour célébrer cette journée. A leurs côtés, l’homme a échangé d’égal à égal.

Loin des messages  de compassion, l’auteur du ‘‘Servir autrement la communauté a appelé ses concitoyens à modifier le regard qu’ils portent aux personnes handicapées.

Pour lui, tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droit.

Et là-dessus, Gatien Adjagboni plaide pour le respect des droits fondamentaux des personnes handicapées comme l’éducation ou l’accès au travail.

Une cause noble, pourrait-on dire !

Manassé AGBOSSAGA

Enseignement secondaire: Les Inspecteurs à la retraite se dotent d’une Amicale (Zoom sur le bureau dirigeant)

Les Inspecteurs retraités de l’enseignement secondaire s’unissent. Ils ont, au détour d’une assemblée générale constitutive tenue ce samedi 2 décembre 2017 au Codiam, mis sur pied l’Amicale   des  Inspecteurs de l’enseignement du second degré à la retraite (Aires).

Manassé AGBOSSAGA

Il faudra compter avec l’Amicale   des  Inspecteurs de l’enseignement du second degré à la retraite (Aires) pour la bonne marche du système éducatif béninois. Insatiables quand il s’agit de servir, les Inspecteurs retraités de l’enseignement secondaire disposent depuis ce samedi 2 décembre d’une amicale. Le ‘‘Bébé Aires’’ a vu le jour à l’issue d’une assemblée générale constitutive tenue à Cotonou.

Loin d’un syndicat, l’Aires se veut être un creuset de réflexions pour l’amélioration du système éducatif béninois, rassure  Barthélémy Abidjo, président du comité d’organisation à l’ouverture des travaux.

« Notre but est de faire de cette amicale un espace pour créer des liens d’amitié et de solidarité au sein de ses membres, d’organiser des rencontres périodiques pour des échanges d’expérience au profit de ses membres, d’organiser des voyages de découverte », a aussi fait savoir le président du comité d’organisation.

Des objectifs nobles qui font dire à Robert Gbodjinou, Directeur départemental de l’enseignement secondaire du Littoral  qu’une nouvelle histoire s’écrit avec l’Aires.

Dans le même sens, André Ezin fait savoir que la mise sur pied de l’Aires constitue une preuve de la vitalité et de la volonté des uns et des autres à doter le secteur de l’enseignement des inspecteurs de qualité.

Barthélémy Abidjo et les huit autres membres élus à l’issue des travaux pour conduire les destinées de l’Aires n’ont donc pas droit à l’erreur.

 Bureau de l’Aires

 Président: Barthélémy ABIDJO

Vice-président : Nazaire SABADAGBO

Secrétaire : Issa BALLARABE

Trésorier : Rufin DAGBA

Trésorier adjoint : Pélagie VINOU

1er Organisateur : Victorin DJITRINOU

2è Organisateur : Ida FIOGBE

Conseiller : Mathias AHOUISSOUSSI

Conseiller : Martial AHOUDJINOU

Sanction disciplinaire contre le Sg des Eaux et forêts : Le capitaine Trékpo écope d’une lourde peine

Le secrétaire général du Syndicat national des eaux, forêts et chasse est fixé sur son sort.  Mis aux arrêts de rigueur pendant 60 jours suite à son passage sur l’émission  sur Golfe télévision, le dimanche 03 septembre 2017, où il a dénoncé un  cas de gré à gré,  le capitaine Patrice Trékpo vient d’écoper d’une lourde sanction. En effet, le conseil de discipline mis sur pied par le ministre du Cadre de vie, José Didier Tonato a annoncé ce vendredi 1 décembre 2017, la « Suspension sans salaire pour une période de trois (03) mois  », du secrétaire général du Syndicat national des eaux, forêts et chasse…

Le secrétaire général du Syndicat national des eaux, forêts et chasse est fixé sur son sort.  Mis aux arrêts de rigueur pendant 60 jours suite à son passage sur l’émission  sur Golfe télévision, le dimanche 03 septembre 2017, où il a dénoncé un  cas de gré à gré,  le capitaine Patrice Trékpo vient d’écoper d’une lourde sanction. En effet, le conseil de discipline mis sur pied par le ministre du Cadre de vie, José Didier Tonato a annoncé ce vendredi 1 décembre 2017, la « Suspension sans salaire pour une période de trois (03) mois  », du secrétaire général du Syndicat national des eaux, forêts et chasse.

Si cette sentence risque de prolonger le cauchemar du capitaine Trékpo, elle constitue néanmoins un véritable test pour les centrales et confédérations syndicales.

Manassé AGBOSSAGA

Lutte contre la corruption : Jean-Baptiste Elias tire chapeau à Patrice Talon

La lutte contre la corruption ne stagne pas sous Patrice  Talon. Mieux, elle connait une avancée notoire. Invité de l’émission ‘’90 minutes pour convaincre’’ de radio Bénin, hier dimanche 3 décembre 2017, Jean-Baptiste Elias, président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC) a reconnu les mérites du gouvernement en la matière…

La lutte contre la corruption ne stagne pas sous Patrice  Talon. Mieux, elle connait une avancée notoire. Invité de l’émission ‘’90 minutes pour convaincre’’ de radio Bénin, hier dimanche 3 décembre 2017, Jean-Baptiste Elias, président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC) a reconnu les mérites du gouvernement en la matière.

Manassé AGBOSSAGA

C’est Jean-Baptiste Elias qui le dit. La lutte contre la corruption connait une avancée remarquable à l’ère du régime du Nouveau départ. De passage sur Radio Bénin hier dimanche, le président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC) a, sans détour, reconnu les efforts du gouvernement de Patrice Talon en la matière. « Nous faisons un bilan assez important et assez intéressant. Depuis le 8 décembre 2016 à ce jour, il y a eu beaucoup de choses qu’on a pu mettre en place », se réjouit Jean-Baptiste Elias.

Revenant sur les raisons  de sa satisfaction, le président de l’ANLC  a, dans un premier temps, cité l’adoption en novembre 2016 du Système national d’intégrité par le gouvernement de la Rupture.

A en croire Jean-Baptiste Elias, ce système proposé par Transparency international repose sur 13 piliers pour un meilleur accompagnement des Partenaires techniques et financiers  au budget national.

Ensuite, Jean-Baptiste Elias a salué l’organisation de la Journée nationale de la gouvernance, les 15, 16 et 17 juin à Agoué.  Cette journée  qui  a connue  la participation de  146 délégués avec à la clé une forte présence du gouvernement a permis de réfléchir sur les stratégies à mettre en place pour réduire la corruption à défaut de l’éliminer, précise t-il.

Et là-dessus le président de l’ANLC se réjouit du respect par les membres du gouvernement de l’une des recommandations, notamment celle liée à la déclaration de patrimoine à l’entrée et à la sortie du gouvernement. De 16 ministres à avoir faits leur déclaration de patrimoine au 30 juin 2017,  tous les 21 se sont soumis à cette exigence, confie Jean-Baptiste Elias.

Outre l’adoption  du Système national d’intégrité et l’organisation de la Journée nationale de la gouvernance,  le président de l’ANLC  met  aussi dans la galerie des avancées, les différents audits et les dossiers Libercom, Cnss,…

Si cet aveu donnera  du sourire aux alliés du régime, il ne manquera pas, par contre,  de renforcer le désamour entre les détracteurs du régime et lui. Lui à qui on dit être « dans la sauce rupturienne » depuis son élection à la tête de l’ANLC.

Salon du volontariat et de l’entreprenariat: 100 jeunes bénéficient du savoir-faire de Gatien Adjagboni

Engagé dans le combat de l’entreprenariat, Gatien Adjagboni apporte gracieusement son expertise à 100 jeunes. Dans le cadre du Salon du volontariat et de l’entreprenariat, ouvert le mercredi 22 novembre 2017 par le Recteur de l’Université d’Abomey-Calavi,  le concepteur du ‘‘Servir autrement la communauté’’ parraine 100 jeunes.  Après la cérémonie d’ouverture, ces 100 jeunes sont désormais appelés à transmettre leurs projets.  Très actif, Gatien Adjagboni a  entamé depuis plusieurs mois..

Engagé dans le combat de l’entreprenariat, Gatien Adjagboni apporte gracieusement son expertise à 100 jeunes. Dans le cadre du Salon du volontariat et de l’entreprenariat, ouvert le mercredi 22 novembre 2017 par le Recteur de l’Université d’Abomey-Calavi,  le concepteur du ‘‘Servir autrement la communauté’’ parraine 100 jeunes.  Après la cérémonie d’ouverture, ces 100 jeunes sont désormais appelés à transmettre leurs projets.  Très actif, Gatien Adjagboni a  entamé depuis plusieurs mois  les démarches pour le financement de ces projets.  Car en effet, la mission assignée au parrain est d’assister les 100 jeunes à bien monter leur dossier et ensuite leur accompagner jusqu’à l’obtention du financement effectif en leur montrant le chemin de mécanisme de levés de fonds.

Un exercice que conduit avec passion le concepteur du ‘‘Servir autrement la communauté’’  qui ne manque pas d’inviter la jeunesse   à aller vers l’auto-emploi.

Manassé AGBOSSAGA

Organisation du ‘‘JAVA BOOTCAMP’’ par ‘‘RINTIO Institute’’ : Le soutien du ministère de l’Economie numérique toujours attendu

Le top du ‘‘JAVA BOOTCAMP’’, initié par ‘‘RINTIO Institute’’ sera donné ce samedi 25 novembre 2017.  Un lancement qui, sauf revirement de dernière minute, se fera en l’absence d’un responsable du ministère de l’Economie numérique. Et cela, non pas parce que  les organisateurs du ‘‘JAVA BOOTCAMP’’ ont fait…

Le top du ‘‘JAVA BOOTCAMP’’, initié par ‘‘RINTIO Institute’’ sera donné ce samedi 25 novembre 2017.  Un lancement qui, sauf revirement de dernière minute, se fera en l’absence d’un responsable du ministère de l’Economie numérique. Et cela, non pas parce que  les organisateurs du ‘‘JAVA BOOTCAMP’’ ont fait l’option d’écarter le ministère de l’Economie numérique.

En réalité, les nombreuses démarches des organisateurs pour bénéficier du soutien du ministère en charge des questions numériques sont restées pour l’heure vaines.

Face aux hommes des médias, la responsable à la communication   de ‘‘RINTIO Institute’’ a laissé entendre que les démarches précédemment entamées étaient à deux doigts d’aboutir quand le ministre Rafiatou Monrou a cédé son fauteuil à Aurélie Adam Soulé Zoumarou à la suite du remaniement. Mais depuis silence radio,  déplore Esther Garba.

« C’est vraiment désolant. Le ministère qui est directement concerné par cette activité ne nous soutient pas malgré toutes les démarches. Nous avons réintroduit un  autre dossier, jusque là on n’a pas eu le retour », regrette la responsable à la communication   de ‘‘RINTIO Institute’’.

« Il est vrai,  nous avons réintroduit le dossier, mais compte tenu des délais,   ça n’a pas pu réussir. Vu que le ‘‘BOOTCAMP’’ va se dérouler sur un mois, nous lançons un appel à la ministre afin que le ministère puisse accompagner, ne serait-ce que venir sur le site et  voir ce qui se fera du 25 novembre  au  23 décembre 2017 », renchérit avec diplomatie Jacques Randolph Gnacadja.

Ministre de l’Economie numérique et plus jeune ministre du gouvernement, Aurélie Adam Soulé Zoumarou a le double devoir de répondre favorablement à cet appel.

Manassé AGBOSSAGA

‘‘RINTIO JAVA BOOTCAMP’’ du 25 novembre au 23 décembre: 10 jeunes développeurs à l’école des applications sécurisées

‘‘RINTIO Institute’’ renforce les capacités de 10 jeunes développeurs.  Pendant un mois, et ce à compter du samedi 25 novembre, ces jeunes compris dans la tranche d’âge de 20 à 33 ans prendront part à Agoué au ‘‘RINTIO JAVA BOOTCAMP’’. Et à la faveur d’une conférence de presse animée ce vendredi 23 novembre 2017 à Gbèdjromèdé, Esther Gaba et Jacques Randolph Gnacadja, membres de  ‘‘RINTIO Institute’’ ont présenté les objectifs de l’initiative…

‘‘RINTIO Institute’’ renforce les capacités de 10 jeunes développeurs.  Pendant un mois, et ce à compter du samedi 25 novembre, ces jeunes compris dans la tranche d’âge de 20 à 33 ans prendront part à Agoué au ‘‘RINTIO JAVA BOOTCAMP’’. Et à la faveur d’une conférence de presse animée ce vendredi 23 novembre 2017 à Gbèdjromèdé, Esther Gaba et Jacques Randolph Gnacadja, membres de  ‘‘RINTIO Institute’’ ont présenté les objectifs de l’initiative.

Manassé AGBOSSAGA

Première édition,  le ‘‘RINTIO JAVA BOOTCAMP’’ posera ses valises à Grand-Popo, plus précisément à Agoué. Ceci sur la période du 25 novembre au 23 décembre 2017. En un mois donc, 10 jeunes retenus  sur 70 candidatures au départ, après évaluation de la compétence informatique, du comportement créatif, de la capacité à  travailler en équipe, bref sur la base des critères techniques bénéficieront gratuitement d’un camp de programmation JAVA,  précise d’entrée de jeu Esther Gaba, chargée  de communication de ‘‘RINTIO Institute’’.

Pendant la formation, les participants seront outillés par des experts internationaux sur les notions de web service, traitement de grandes données, d’analyse décisionnelle, de Big data, d’architecture sécurisée, d’authentification hot 2, de texte automatisé, d’intelligence artificiel, de traitement de données de masse, …fait savoir, pour sa part,  Jacques Randolph Gnacadja, IT Manager. Aussi ajoute t-il,  que les dix jeunes seront  appelés à travailler sur un projet réel d’entreprise avec des technologies en développement d’application.

Abordant l’utilité de cette formation pour les participants, Jacques Randolph Gnacadja souligne qu’elle permettra à ces derniers de reprendre valablement au niveau de leur projet et au sein des entreprises dans lesquelles ils exercent.

L’homme renchérit et fait savoir que ce camp de programmation entend révéler à l’opinion  nationale et internationale la capacité des jeunes béninois à développer des applications informatiques à l’échelle de ce qui se fait sous d’autres cieux.

En attendant que l’avenir   confirme ses propos, les conférenciers ont confié qu’en marge du ‘‘JAVA BOOTCAMP’’,  des challenges de développement et de programmation seront organisés, avec à la clé une forte récompense d’1 million de Fcfa.

Les participants au challenge, mais aussi et surtout au ‘‘BOOTCAMP’’ peuvent remercier Social Watch, et particulièrement Moov Bénin, principal partenaire de RINTIO Institute.

Initiatrice du ‘‘JAVA BOOTCAMP’’ : Ce qu’il faut savoir de l’entreprise ‘‘RINTIO Institute’’

‘‘RINTIO Institute’’ : ce nom pourrait paraître  étranger à certains. Mais, les amateurs du numérique vous diront sans doute le contraire. Tant ‘‘RINTIO Institute’’ en sept années d’activités  a réussi à s’imposer parmi les entreprises exerçant dans le domaine du numérique…

‘‘RINTIO Institute’’ : ce nom pourrait paraître  étranger à certains. Mais, les amateurs du numérique vous diront sans doute le contraire. Tant ‘‘RINTIO Institute’’ en sept années d’activités  a réussi à s’imposer parmi les entreprises exerçant dans le domaine du numérique.

En effet, bras technique de E-ALL, ‘‘RINTIO Institute’’ qui se concentre sur la recherche de produit de digitalisation de donnée et l’incubation de projet,  s’illustre à merveille dans son champ d’intervention. Et c’est fort de son savoir-faire que ‘‘RINTIO Institute’’, qui reste avant tout une  entreprise de développement de logiciel ou d’application à l’âge public apporte son expertise aux entreprises  et  aux jeunes porteurs de projet informatique.  Le projet ‘‘RINTIO JAVA BOOTCAMP’’ qui se tiendra du 25 novembre au 23 décembre 2017 à Grand-Popo en dit d’ailleurs long.

Et puisque l’appétit vient en mangeant, ‘‘RINTIO Institute’’, après avoir conquis le marché béninois,  pense  désormais à étendre ses tentacules. Sure de son savoir-faire, l’entreprise de développement   est désormais à l’assaut des marchés des pays de la sous-région (Côte-d’Ivoire, Togo, Nigéria,…). Un objectif à moyen terme  puisque le défi majeur pour l’entreprise reste la conquête de toute l’Afrique.

« Ça, ce n’est que pour le moment. Nous sommes en pleine expansion et nous savons que d’ici horizon 2019, nous allons faire parler de nous au niveau de toute l’Afrique.  C’est notre vision », prévient Jacques Randolph Gnacadja, It Manager.

Avec une équipe jeune et dynamique composée entre autres de Esther Gaba, Jacques Randolph Gnacadja, …, cet objectif n’est pas insurmontable.

Manassé AGBOSSAGA