Malgré l’impérialisme américain: Nicolas Maduro fait du Venezuela, le leader mondial du droit au logement

Les sanctions américaines contre le peuple Vénézuélien ne perturbent pas le président Nicolas Maduro. Loin de céder à la panique, il se concentre sur les chantiers de développement entamés par ses prédécesseurs notamment Chavez. Le social reste une grande priorité pour le président bolivarien. Il consacre assez de ressources pour la construction de logements sociaux…

L’impérialisme américain attaque le Venezuela avec les mensonges et les sanctions. Mais, Nicolas Maduro reste accroché au socialisme bolivarien et réagit avec inclusion. Pour le grand bonheur de son peuple, il développe à merveille les différents programmes de construction de logement, faisant du Venezuela, le leader mondial en la matière.

Manassé AGBOSSAGA

Les sanctions américaines contre le peuple Vénézuélien ne perturbent pas le président Nicolas Maduro. Loin de céder à la panique, il se concentre sur les chantiers de développement entamés par ses prédécesseurs notamment Chavez. Le social reste une grande priorité pour le président bolivarien. Il consacre assez de ressources pour la construction de logements sociaux.

Preuve, le gouvernement Bolivarien a, malgré le blocus américain, construit  et livré 2.599 678 logements et a récupéré 1 144090.

Ces prouesses sont les conséquences du suivi régulier de la Gran Mision Vivienda venezuela (GMVV) dirigée par le ministre  idemaro villaroe, mais aussi d’un autre projet social la grande Mission Barrio Nuevo Barrio Tricolor.

Mieux, le président bolivarien reconnu et aimé par son peuple n’entend pas s’arrêter en si bon chemin. En effet, le gouvernement de Nicols Maduro compte étendre également la GMVV au pont de La Tiendita, à la frontière avec la Colombie, dans l’Etat de Tachira.  Une zone dans laquelle le 23 février,  l’impérialisme américain et ses soutiens ont tenté d’envahir le Venezuela sous le prétexte de l’envoi d’aide humanitaire ».

Mais n’empêche, Nicolas Maduro entend respecter  l’article 82 de la Magna Carta bolivarienne qui stipule « toute personne a droit à un logement adéquat, sûr, confortable, et hygiénique avec des services de base essentiels qui comprennent un habitat qui humanise les relations familiales, de voisinage et communautaires ».

Pour donc y parvenir, le gouvernement américain a donc apporté des améliorations aux différents projets.  Par exemple, le système industriel a été réorganisé.  La production et la distribution du ciment et de l’acier ont dû être contrôlées pour atteindre leur véritable destination. De l’avis de beaucoup d’observateurs, ce choix s’avère payant, puisque  les vénézuéliens vivent beaucoup mieux aujourd’hui que dans la IV république, car ils participent à la fois à la planification et à la construction du lieu où ils vivent.

Le deuxième forum international intitulé « Venezuela leader mondial du droit au logement » organisé dans le cadre huitième anniversaire de la Gran Mision Vivienda venezuela (GMVV) les 29 avril au 02 mai à l’hôtel Alba à Caracas, a d’ailleurs été l’occasion pour le gouvernement bolivarien de sensibiliser le monde  capitaliste à la GMVV où les droits fondamentaux sont subordonnés aux profits des entreprises. Ces derniers ont sans doute eu l’occasion de comprendre que le socialisme bolivarien, c’est avant tout la participation, l’inclusion, la justice, la paix, …