Côte d’Ivoire : Une femme retrouvée morte sans sa tête

Découverte macabre ce mardi 14 juin 2022 à Diébly, sous-préfecture de Blénniminhouin, en Côte d’Ivoire. Une femme, Y.C, âgée d’une trentaine d’années, a été retrouvée morte sans sa tête dans un marécage du village de Diébly, non loin de sa plantation de cacao.

Découverte macabre ce mardi 14 juin 2022 à Diébly, sous-préfecture de Blénniminhouin, en Côte d’Ivoire. Une femme, Y.C, âgée d’une trentaine d’années, a été retrouvée morte sans sa tête dans un marécage du village de Diébly, non loin de sa plantation de cacao.

Interrogé par l’Agence ivoirienne de presse (AIP), le cousin de la victime, Oula Ange, a indiqué que Y. C «  était allée avec ses enfants dans sa plantation très tôt le matin ». Mais « manquant de sel pour la préparation de leur nourriture quotidienne, elle a intimé l’ordre à ses mômes d’aller s’en procurer au village ».

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Le corps sans vie de la victime (Ph: AIP)

Le cousin explique qu’elle est ensuite restée seule dans la plantation après le départ des enfants

Mais de retour de leur mission, les enfants ne retrouvent pas leur mère et décident de retourner au village pour savoir si leur génitrice y était. Mais,  les enfants ne retrouvent pas leur mère.

Ils expliquent la situation aux habitants du village. « L’inquiétude  gagne tout le village de Diébly, et tous se sont mis à la recherche de Christiane »

Et ce mardi 14 juin, après des battues autour de sa plantation, le corps sans vie et sans tête de la dame été découvert dans un marécage », confie l’AIP.

Manassé AGBOSSAGA.

Le passé n’est pas passé : Des enseignants de l’ENEAM poursuivis pour harcèlement sexuel pour des faits qui remonteraient en 2020

Le passé n’est pas passé. Ce n’est pas ces trois Enseignants de l’Ecole nationale d’économie appliquée et management (ENEAM) qui contrediront Kpakpato Medias.

Le passé n’est pas passé. Ce n’est pas ces trois Enseignants de l’Ecole nationale d’économie appliquée et de management (ENEAM) qui contrediront Kpakpato Medias.

En effet, trois enseignants de l’ENEAM sont poursuivis pour harcèlement sexuel sur leurs étudiantes. Selon Frissons Radio, qui rapporte l’information, les faits remontent à 2020.

Et deux ans plus tard, les Enseignants sont appelés à répondre aux accusations de leurs étudiantes, mais également de l’Institut National pour la Femme (INF) qui s’est constituée partie civile.

En réalité, ils sont neuf enseignants, au départ, à être accusés de harcèlement sexuel par leurs étudiantes. Ils ont été présentés au procureur de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet) le vendredi 03 juin 2022. Après audition, 03 d’entre eux sont poursuivis sans mandat de dépôt pour harcèlement sexuel.

Manassé AGBOSSAGA

Deux personnes interpelées pour publication de fausse information annonçant l’entrée des djihadistes au Bénin

Il y a quelques jours une rumeur annonçait l’entrée des Djihadistes au Bénin. L’affaire a vite fait de créer la psychose dans le rang de la population, avant le démenti formel de Police républicaine à travers un communiqué en date du 31 mai signé de l’Inspecteur général Soumaïla Yaya.

Il y a quelques jours une rumeur annonçait l’entrée des Djihadistes au Bénin. L’affaire a vite fait de créer la psychose dans le rang de la population, avant le démenti formel de Police républicaine à travers un communiqué en date du 31 mai signé de l’Inspecteur général Soumaïla Yaya.

Et aux dernières nouvelles, les auteurs de cette rumeur ne sont plus libres de leurs mouvements. Selon les informations rapportées par Frissons Radio, deux personnes ont été arrêtées dans cette affaire.

D’après la même source, l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC) a interpelé  le premier le 31 mai, tandis que le second a été interpellé le 1er juin. L’un des deux mis en cause serait un élu local.

Ils ont été présentés au procureur de la république près le tribunal de Cotonou. Après leur audition, ils ont été placés en détention provisoire en attendant leur jugement le 26 juin au tribunal de Cotonou pour relai de fausse information.

Manassé AGBOSSAGA

Gabon : Un Policier recherché pour viol présumé sur sa belle fille de 14 ans

L’affaire fait grand bruit au Gabon. Un Policier, la trentaine, est en cavale suite à plusieurs parties de jambes en l’air avec sa belle-fille âgée de 14 ans à Tchibanga (Nyanga, sud du Gabon).

L’affaire fait grand bruit au Gabon. Un Policier, la trentaine, est en cavale suite à plusieurs parties de jambes en l’air avec sa belle-fille âgée de 14 ans à Tchibanga (Nyanga, sud du Gabon).

Selon Info241, le mis en cause est en service au commissariat de Tchibanga. Le Policier est soupçonné d’avoir joué à ‘’tchoki-tchoki’’ avec sa belle-fille, une mineure de 14 ans. Et ce, contre l’avis de cette dernière.

D’après le site Gabonais, le Policier vivait en concubinage avec la mère de la victime dans la province de la Nyanga.

Le mis en cause « serait passé à l’acte à plusieurs reprises, et ce, dans la chambre conjugale du couple. À chaque sortie de piste, l’agent de police entrainait de force la gamine dans ladite chambre », explique info241.com.

Dans un premier temps, les frères cadets de la victime ont alerté leur mère sur le fait que son tendre époux ‘’sautait’’ sa belle fille. Chose inimaginable à ses yeux.

Toutefois, elle décide de surveiller de près les faits et gestes de son mari policier. La vérité ne tardera pas à sortir. Selon la même source, le Policier sera pris la main dans le sac.

Pris en flagrant délit, le mari a préféré placer ses espoirs dans la fugue. Face à sa libido qu’il n’a pas pu contrôler, le Policier est aujourd’hui volatilisé dans la nature.

Pendant ce temps, sa femme et fille de la victime a déposé une plainte. Depuis lors, ses collègues policiers sont à ses trousses.

Manassé AGBOSSAGA

Affrontement entre agriculteurs et éleveurs à Tchaourou : 1 mort et plusieurs dégâts matériels

Nouveau cas d’affrontement entre agriculteurs et éleveurs au Bénin. Ce jeudi 02 juin, un conflit entre agriculteurs et éleveurs a été enregistré à Tékparou dans la commune de Tchaourou.

Nouveau cas d’affrontement entre agriculteurs et éleveurs au Bénin. Ce jeudi 02 juin, un conflit entre agriculteurs et éleveurs a été enregistré à Tékparou dans la commune de Tchaourou.

Affrontement mortel entre agriculteurs et éleveurs à Saabé, un hameau du village de Tekparou dans la commune de Tchaourou, ce jeudi. Selon les premières informations rapportées par Deeman Radio, le conflit a fait un mort et plusieurs dégâts matériels ont été enregistrés.

La victime est un jeune agriculteur qui aurait a été battu à mort par des jeunes bouviers, précise la même source.

Les agriculteurs ont, à leur tour, saccagé les habitations des éleveurs qui ont très tôt vidé les lieux.

Contacté par la rédaction de Deeman Radio, Jonathan Awo, Maire de la commune de Tchaourou a toutefois  rassuré que la situation est sous contrôle ajoutant que  des équipes de patrouilles sont installées dans cette ferme pour éviter un nouvel affrontement.

Manassé AGBOSSAGA

 

Bénin- Des Douaniers pris à partie lors d’une intervention à Covè

Quelques jours après l’épisode de Djougou, des ‘‘Disciples de saint Mathieu’’ viennent à nouveau de subir la colère de la population. Ce jeudi 02 juin 2022, des agents de la douane qui s’apprêtaient à saisir des produits pétroliers de contrebande dans la commune de Covè, dans le département du Zou, ont été pris à partie.

Quelques jours après l’épisode de Djougou, des ‘‘Disciples de saint Mathieu’’ viennent à nouveau de subir la colère de la population. Ce jeudi 02 juin 2022, des agents de la douane qui s’apprêtaient à saisir des produits pétroliers de contrebande dans la commune de Covè, dans le département du Zou, ont été pris à partie.

A Covè, des agents de la Douane ont passé un sale quart d’heure lors d’une intervention ce jeudi 2 juin 2022. Alors qu’ils étaient aux trousses des contrebandiers, ces derniers ont fait face à la furie de la population.

Les agents de la douane étaient sur le point de saisir des produits pétroliers de contrebande quand les contrebandiers se sont révoltés avec le soutien de la population.

Conséquence, un véhicule de la douane a essuyé des jets de pierres et  l’un des rétroviseurs de la voiture a été cassé, précise Frissons Radio.

Les douaniers n’ont pas eu d’autre choix que d’effectuer un repli. Toutefois, le calme est revenu dans la localité grâce aux médiations de  deux adjoints au maire et du commissaire.

Une  enquête pourrait être ouverte pour retrouver les meneurs de la fronde.

Manassé AGBOSSAGA

Cotonou : un homme arrêté pour avoir aspergé son ex-femme à l’acide

Violence conjugale. A Cotonou, dans la capitale économique du Bénin, un homme a aspergé son épouse d’acide. Il a été arrêté et déposé en prison ce mercredi 1 er juin 2022.

Violence conjugale. A Cotonou, dans la capitale économique du Bénin, un homme a aspergé son épouse d’acide. Il a été arrêté et déposé en prison ce mercredi 1 er juin 2022.

Il n’a pas trouvé mieux pour exprimer sa colère ou sa jalousie. Un homme a aspergé son ex-femme d’acide.

Selon les informations rapportées par Frissons Radio, le drame s’est produit à Akpakpa.

En février dernier, à Akpakpa, il trouve la femme au portail de sa nouvelle maison et  lui  brûle le corps à l’acide.

La femme, âgée de 39 ans aura la vie sauve après l’intervention des voisins. Avec l’aide de ces derniers, elle a été évacuée au Centre national  hospitalier Hubert Koutoukou Maga (CNHU/HKM). La victime  continue de suivre des soins.

Choqué par cet acte, la population s’empresse de le corriger. L’homme sera également conduit au CNHU/HKM.  Mais, comme Georges Bada, il réussit à s’échapper de son lieu d’hospitalisation. Du moins, pour une période donnée.

Après plusieurs jours et semaines de cachette, il a été interpellé ce mardi à Djèffa, dans la commune de Sèmè-Podji.

Un père de famille qui serait violent

Selon les déclarations de la victime, l’homme serait un homme violent. Lassée par les disputées répétées, elle  avoue avoir quitté le père des 5 enfants au mois de novembre 2021.

L’homme n’aurait pas supporté cette décision. Il aurait pour projet de tuer son ex-épouse par amour et de se suicider ensuite.

Une ambition qu’il réalisera, peut-être, s’il échappait à la prison. Il est poursuivi pour assassinat.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin- Un infirmier arrêté pour viol présumé sur une patiente de 14 ans

Un infirmier qui confond examen médical d’une malade et rapport sexuel. A Abomey-Calavi, précisément à Hêvié, un Infirmier exerçant dans une clinique privée est soupçonné d’avoir abusé sexuellement de sa patiente, seulement âgée de 14 ans.

Un infirmier séjourne à la maison d’arrêt d’Abomey-Calavi. Il est poursuivi pour viol présumé sur une patiente de 14 ans.

Un infirmier qui confond examen médical d’une malade et rapport sexuel. A Abomey-Calavi, précisément à Hêvié, un Infirmier exerçant dans une clinique privée est soupçonné d’avoir abusé sexuellement de sa patiente, seulement âgée de 14 ans.

Selon les premières informations rapportées par Frissons Radio, la victime se rend dans la clinique après un malaise. La nuit, l’Infirmier l’aurait appelé dans son bureau. Mais au lieu de trouver des solutions au mal de sa patiente, il aurait préféré satisfaire sa libido en abusant sexuellement de l’adolescente.

Interpellé, l’Infirmier a été présenté au Procureur de la République près le tribunal d’Abomey-Calavi, ce mercredi 31 mai 2022.

Après audition, il a été placé sous mandat de dépôt en attendant la date de son procès.

Manassé AGBOSSAGA

Pas de terroristes infiltrés sur le territoire béninois ! La Police républicaine rassure

 Dans un communiqué en date du mardi 31 mai signé de l’inspecteur général de police de 2è classe, Soumaïla Yaya dément l’information faisant état de « l’entrée sur le territoire national de terroristes » abondamment diffusée sur la toile.

Faux ! Les terroristes ou djihadistes ne sont pas sur le territoire Béninois. La Police républicaine a mis  fin à  la rumeur qui s’amplifiait sur la toile.

 Dans un communiqué en date du mardi 31 mai signé de l’inspecteur général de police de 2è classe, Soumaïla Yaya dément l’information faisant état de « l’entrée sur le territoire national de terroristes » abondamment diffusée sur la toile.

Le patron de Police républicaine rassure que « ses services veillent à garantir leur sécurité en tout temps sur toute l’étendue du territoire national »,  invitant « la population à ne pas céder à la panique » et «  à vaquer librement à leurs occupations ».

Aussi a-t-il invité la population « à communiquer à ses services toute information relative aux auteurs des fausses informations ».

Manassé AGBOSSAGA

Bénin-Des individus qui simulent leur enlèvement avec de faux ravisseurs : Le ministre de l’Intérieur Alassane Séidou dénonce et met en garde

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique était face aux hommes des médias ce mardi 31 mai à Cotonou. A l’occasion, Alassane Séidou a dénoncé la multiplicité des cas de faux enlèvements avec la complicité de faux ravisseurs.

Le ministre de l’Intérieur et de la sécurité publique était face aux hommes des médias ce mardi 31 mai à Cotonou. A l’occasion, Alassane Séidou a dénoncé la multiplicité des cas de faux enlèvements avec la complicité de faux ravisseurs.

Dans sa déclaration, ce mardi, le ministre de l’Intérieur et de la sécurité a d’abord rappelé que le Bénin enregistre depuis 2019, « une nouvelle forme de criminalité qui consiste à procéder à l’enlèvement de proches, de responsables politico-administratifs ou de personnes fortunées avec exigence de paiement de rançon avant leur libération ».

Mais si une « tendance baissière » de ces cas s’observe, Alassane Séidou a fait remarquer que « l’orchestration des enlèvements par la plupart des prétendues victimes pour tirer un profit financier en partageant la rançon payée par leurs parents avec des ravisseurs factices » gagne du terrain.

Avec fermeté, l’autorité a mis en garde les auteurs et complices de ces actes. « La police républicaine en liaison avec les autorités judiciaires ne ménagera aucun effort pour débusquer les citoyens indélicats qui s’adonnent à de telles pratiques » a assuré le ministre de l’Intérieur, invitant « les populations à une franche collaboration avec les forces de sécurité publique ».

Alassane Séidou a notamment  invité les populations à   dénoncer « tous comportements suspects en ce domaine afin que leurs auteurs subissent la rigueur de la loi ».

Les populations sont donc interpellées

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Manassé AGBOSSAGA