Communication et liberté de presse sous le Nouveau départ: Les indignations de Narcisse Tomèty

L’ancien directeur de l’Ecole de la Nouvelle conscience fustige la communication gouvernementale. Du moins,  telle qu’elle se passe actuellement. A travers un post sur sa page facebook, Simon Narcisse Tomèty a exprimé son indignation au sujet de la communication publique à l’ère du régime de la ‘‘Rupture’’…

L’ancien directeur de l’Ecole de la Nouvelle conscience fustige la communication gouvernementale. Du moins,  telle qu’elle se passe actuellement. A travers un post sur sa page facebook, Simon Narcisse Tomèty a exprimé son indignation au sujet de la communication publique à l’ère du régime de la ‘‘Rupture’’.

« On ne confie pas la communication publique à des diffuseurs d’arrogance, des vendeurs de poudre de perlimpinpin ou à des apprentis sorciers », a déploré l’Institutionnaliste.

Puis dans un autre post de remettre en cause la liberté de presse à l’ère du Nouveau départ. « Quelle est cette gouvernance publique qui enrôle les organes de presse par des rentes de corruption et à qui on rédige des textes à publier ? Où est la liberté », s’interroge Simon Narcisse Tomèty.

Et comme s’il avait la réponse à ses questions, l’avocat-défenseur de la Nouvelle conscience lors de la présidentielle de 2016 interpelle le professionnalisme des hommes des médias.

« La presse béninoise est moins que vidomegon. Ce n’est plus cette presse chaleureuse et audacieuse avec qui nous étions au front jusqu’à un passé récent », regrette l’homme, visiblement très nostalgique du bon vieux temps.

Wilfried Léandre Houngbédji, directeur de la communication du gouvernement, Edouard Loko, Directeur de la communication du président de la République, l’Union des professionnels des médias, le patronat de la presse et autres professionnels des médias apprécieront !

Manassé AGBOSSAGA

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