Encore quelques jours, et la deuxième édition du tournoi de football Maximin Alapini sera conjuguée au passé. Démarrée le 16 août dernier, la compétition qui met aux prises 24 équipes des différents arrondissements de Ouidah livre son verdict ce dimanche 16 septembre sur la pelouse l’Epp Gbéto. Et pour accompagner cette belle fête sportive, qui depuis le lundi est à l’étape des quarts de finale, le promoteur du tournoi a, dans un message visuel, invité le public sportif à effectuer massivement le déplacement. Après avoir remercié le comité d’organisation, les joueurs, les arbitres et autres, qui depuis le démarrage du tournoi mettent tout en œuvre pour procurer du plaisir au public sportif, Maximin Alapini a levé un coin de voile sur les dispositions prises pour donner un cachet particulier à l’évènement. Selon le président de ‘‘l’Ong Appui au bien-être social’’, des artistes dont la renommée ne souffre d’aucune contestation seront de la partie pour donner une saveur spéciale à l’évènement. Maximin Alapini a expliqué que ces derniers égayeront le public avant le coup d’envoi de la finale, et à la mi-temps. A cela, le promoteur du tournoi a rassuré des dispositions sécuritaires prises pour la quiétude des uns et des autres. Le président de ‘‘l’Ong Appui au bien-être social’’ a confié que la Police républicaine et les sapeurs pompiers seront de la partie. « La police républicaine sera mise à contribution pour encadrer les spectateurs », rassure t-il. Face à ces nombreuses dispositions prises, le promoteur reste convaincu que la finale qui se disputera sous l’œil vigilant des autorités religieuses, des têtes couronnées, de hautes personnalités, enregistrera la présence de milliers de spectateurs venus de Ouidah et environs. «Il y aura une affluence terrible. Nous attendons un peu plus de dix milles personnes », prédit le président de ‘‘l’Ong Appui au bien-être social’’. Les populations de Ouidah et environs qui effectuent massivement le déplacement à chaque match depuis le démarrage de la compétition ne parleront pas d’une utopie.
Manassé AGBOSSAGA