En Côte d’Ivoire, les élèves et les collégiennes s’adonnent énormément au jeu de ‘‘tchoki-tchoki’’. Ce n’est pas une affirmation gratuite d’un ‘‘kpakpato’’, mais plutôt le résultat de leur écartement trop facile, relevé par les autorités du pays.
En effet, d’après des chiffres publiés par le ministère de l’Education nationale et repris par la Radio télévision ivoirienne (RTI) sur son compte twiter, les élèves et collégiennes ont été très actives sur le plan sexuel pour au cours de cette année scolaire.
[Société]🇨🇮5 833 cas de grossesses en cours de scolarité dans le primaire et le secondaire général ont été enregistrés au cours de l’année scolaire 2021-2022. (Ministère de l’Education nationale) #RTIinfo pic.twitter.com/0qtiLwpM8k
— RTI Info (@RTI_info) March 31, 2022
« 5 833 cas de grossesses en cours de scolarité dans le primaire et le secondaire général ont été enregistrés au cours de l’année scolaire 2021-2022. (Ministère de l’Education nationale) », a repris RTIinfo sur son compte twitter.
Des chiffres hallucinant qui montrent que les priorités des apprenants sont ailleurs et qui interpellent tous.
Manassé AGBOSSAGA