Quand c’est mauvais, Richard Boni Ouorou le dit. Quand, c’est bien, il le dit aussi. Preuve, ses félicitations au Gouvernement de la Rupture en matière d’asphaltage.
Absent du territoire national, le Politologue a reconnu les mérites du président Talon sur le plan des infrastructures communautaires.
Très critique contre le régime de la Rupture, Richard Boni Ouorou avoue que certains quartiers de Cotonou, notamment Gbégamey ont changé de visage.
« Je dois avouer, que je me suis moi-même perdu tellement ça a changé et en bien, je me dois de l’avouer. La route qui quitte le CEG Gbégamey est beaucoup plus propre », a-t-il indiqué à ses ‘‘Terriens’’ à la suite d’un échange téléphonique avec son fils à Cotonou.
.Pour l’homme d’affaires, « il y a des avancées qu’on ne peut pas nier ». « … nous ne devons pas ignorer qu’il y a par endroits des avancées physiques surtout sur le plan des infrastructures communautaires », reconnaît ‘‘le plus Canadien des Béninois’’.
Toutefois, Richard Boni Ouorou déplore « l’ensauvagement des politiques sociales », plaidant au passage pour plus de politiques sociales au profit des plus démunis, l’inclusion financière pour les jeunes et les filles et un climat propice à l’auto-entreprenariat afin de sortir les jeunes de la pauvreté et la délinquance.
Manassé AGBOSSAGA