Un responsable de l’USL, ex parti de Sébastien Ajavon publie un livre

Géraldo Gomez sort bientôt un livre. L’ancien Secrétaire général adjoint chargé des questions stratégiques de l’Union sociale libérale (USL), ex-parti de l’opposant Sébastien Ajavon, publie ‘‘DOULEURS ACTUELLES :

Géraldo Gomez publie ‘‘DOULEURS ACTUELLES : Paradoxes et angoisses !’’

Géraldo Gomez sort bientôt un livre. L’ancien Secrétaire général adjoint chargé des questions stratégiques de l’Union sociale libérale (USL), ex-parti de l’opposant Sébastien Ajavon, publie ‘‘DOULEURS ACTUELLES : Paradoxes et angoisses !’’ La sortie de l’ouvrage est prévue en mars 2023.

M.A  

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Géraldo Gomez

PRESENTATION-

Douleurs actuelles est un regard sur les paradoxes actuels de nos sociétés, leurs conséquences sur la société, la famille, et les pistes pour les transcender et en tirer meilleur profit. Une société des moyens de communication développés mais dans laquelle l’individu ne s’est jamais senti aussi seul au sein de la famille mononucléaire, sur le marché du travail, sur le plan des relations humaines, sur le plan religieux … Qu’est -ce qui est en cause ? Quelle est la part des moyens de communication eux-mêmes ? Celle de chaque individu ? Celle de la structuration de nos sociétés ? Une société où, plus que jamais, l’homme est devenu un loup pour l’homme et la femme, alors que le projet social envisageait une égalité des chances, une promotion des droits de l’homme et de la femme.

Le chemin parcouru semble devenir une différenciation, une lutte, une résistance, une défiance, pour aboutir à une séparation voire une ségrégation, une balkanisation de ce qu’il était prévu égaliser. Une société qui transpose cette lutte acharnée au sein de la famille nucléaire comme pour prendre acte d’un échec sur le plan public, échec qu’il faudrait compenser à un niveau estimé mieux maîtrisable, un milieu pourtant fondé sur le sentiment de l’amour avec le risque qu’à l’amour se substitue la compétition. Une société dans laquelle la compétition ne se limite pas aux parents géniteurs mais s’étend aux enfants. Chaque partie de la famille est posée en altérité au lieu de faire un. Il est désormais important de se montrer individuellement capable de s’assumer sans l’apport des autres membres de la famille, soit par un sens aigu de la famille à qui l’on souhaite apporter le maximum, soit par une méfiance absolue vis-à-vis de ladite famille plutôt perçue comme source de difficultés.

Cette multiplicité des altérités s’affermit également dans le système éducatif avec ses bonheurs comme ses misères. Des concepts tels que la différenciation, le parcours individuel, et bien d’autres font apparaître le nouveau genre d’apprentissage qui renforce l’individu dans sa singularité plutôt que faisant d’un corps dont il ne dépend pas seulement en fonction de ce que lui-même y apporte. Dans cette société des douleurs actuelles, on a pris conscience des singularités pour enseigner à tous à en prendre conscience et espérer construire un mieux-vivre ensemble. Mais les résultats semblent démontrer que chaque singularité prend plutôt en grande estime vitale la nécessité de faire se reconnaître à l’autre comme une fin en soi. Ma singularité doit être reconnue et acceptée, admise de tous, à tous les niveaux. Mais à quelle fin ? Ces observations et analyses se confirment en passant en revue des lieux essentiels de notre vie en société (nouveaux lieux ou plus anciens) : les religieux, les acteurs politiques, les acteurs de la société civile, les nouveaux maîtres (coaches et motivateurs). A mes yeux, il est illusoire de rechercher la satisfaction d’un désir ou un bonheur quelconque en dehors d’un cadre où l’on pourra le partager. Le cadre idéal pour ce partage est la famille pour laquelle chaque compagne s’emploie à y installer et maintenir une communication bienveillante, une attitude positive et pour laquelle on revendique une sécurité maximum. Le bonheur ne peut exister que pour soi. Il est conquis en compagnie des siens avec qui on organise le temps et l’espace.

UN EXTRAIT DU LIVRE

« Les couples ont un comportement forgé sur celui qu’ils adoptent et que les plus jeunes générations adoptent également : la recherche de la solution en dehors de soi. C’est ce que j’appelle « la mode Google » qui consiste à rechercher dans une base de données constituée par des per- sonnes inconnues de soi le sens et la solution à une situation particulière. « La mode Google » dont il est question ici ne se limite pas au puissant moteur de recherche sur Internet. Elle s’étend à la société entière considérée comme une puissante base de données, plus puissante que toute autre personne présente au sein d’un foyer. Mais le propre des moteurs de recherche est de renvoyer, selon les requêtes que nous lui transférons, toutes les réponses jugées utiles par ses propres soins et pouvant satisfaire pour la question posée. L’avalanche de réponses dé- ployée par le moteur de recherche impose d’avoir des capacités d’analyse fermes pour les décrypter. »

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