Richard Boni Ouorou : comment son épouse a fait de lui un « homme débout » (Sa colère quand on lui dit que c’est avec l’argent de Boko, il fait farot farot)
Dans un entretien accordé à une télévision en ligne de la place, Richard Boni Ouorou a révélé comment son épouse a contribué à sa réussite.
« Derrière chaque grand homme se cadhe une femme « . Richard Boni Ouorou vient de confirmer cet adage populaire.
Dans un entretien accordé à BL TV, le richiscisme homme d’affaires béninois a révélé la contribution de sa femme dans son asscesion économique et fiancière.
En réalité c’est répondant à la rumeur selon laquelle, c’est Olivier Boko qui le financerait que Richard Boni Ouorou a révélé comment sa femme a réussi à faire lui un « homme débout ».
« (…) à deux, nous nous sommes battus. À moins de 40 ans, nous avons créé les garderies, essuyer des fesses de bébé de deux mois…Avec mon épouse, on se levait à 5 heures du matin, pour qu’on vienne déposer des enfants d’un mois à garder, qui faisaient la diarrhée, qui criaient. Nous avons fait tout ça pour être là où nous sommes aujourd »hui », » a-t-il raconté avec émotion.
Dans son récit, Richard Boni Ouorou a confié que sur conseil de son épouse, il est retourné à l’université malgré son âge avancé.
« Ma femme m’a renvoyé à l’univrersité alors que j’avais déjà 35 ans. Elle m’a dit que si tu veux peser dans certains cercles de décisions, il faut que tu retournes à l’université et après, nous allons voir ce que nous pouvons faire. Je suis retourné à l’université après 36 ans, obtenir certains diplômes qui m’ont permis aujourd’hui d’appartenir à certains cercles de décisions », a- t-il fait savoir.
Le président de la fondation Terrien.nes ne cache pas sa colère quand le journaliste cherche à savoir si ce n’est pas avec l’argent de Olivier Boko qu’il fait farot farot.
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« Quand ‘on me dit après avoir fait tout ça , à moins 40 ans, aller étudier avec des enfants de 10 ans, avec des enfants de 19 ans, que je prenne sur moi moi, toute cette humilité, qu’on vienne me dire ça, pour moi, c’est un peu insultant. Qu’après s’être battu autant qu’on vienne dire que quelqu’un qui m’a déjà pris en adversité, en intimité, qu’il me fiance, c’est une insulte pour moi et mon épouse, une grande insulte pour mon épouse », a-t-il martelé.
Voilà qui a le mérite de situer chacun.
Manassé AGBOSSAGA