Dons de vivres et distribution de repas pendant le Ramadan : Richard Boni Ouorou soutient la communauté musulmane
Richard Boni Ouorou fait encore parler son cœur pendant le Ramadan. Depuis le 1er mars, date de démarrage de ce mois sacré, il offre des repas gratuits aux fidèles musulmans. Une action philanthropique qui profite, pour l’instant, aux populations de Djougou et du Septentrion.
Le président de la fondation Terrien.nes choisit, à nouveau, le Ramadan pour prouver qu’il reste l’incarnation de la générosité et du partage. En effet, depuis le démarrage de ce mois sacré, Richard Boni Ouorou facilite la rupture du jeûne aux fidèles musulmans.
Depuis le 01er mars, il a fait distribuer des vivres dans plusieurs localités et mosquées situées dans le nord Bénin. De façon spécifique, Djougou bénéficie remarquablement de l’élan de générosité du président Richard Boni Ouorou.

En effet, des repas gratuits sont distribués aux fidèles musulmans qui se présentent à l’heure de la rupture du jeûne. Ainsi, les représentants de Richard Boni Ouorou sont dépêchés dans plusieurs mosquées et dans les villages pour cette œuvre sociale. 250 à 500 repas sont distribués quotidiennement à Djougou à l’heure de la rupture du jeûne.
A Boha, Soubroukou et autres localités de Djougou, la rupture du jeûne n’est donc pas un moment de stress ou d’angoisse. Grâce à Richard Boni Ouorou, c’est désormais un moment de joie et de gaieté. Et selon les prévisions, cette œuvre va durer jusqu’à la fin du Ramadan.
Fort de cela, les populations se confondent en remerciement et prières à l’endroit d’un généreux donateur, qui ne cesse d’être à leurs côtés…
Depuis de longues années, Richard Boni Ouorou fait preuve de solidarité et de partage à l’endroit des fidèles musulmans durant le mois sacré. Entre repas et dons de vivres alimentaires composés de maïs, sacs de riz, bidon d’huile, sucre, l’homme accompagne ses frères de l’Islam pendant le Ramadan.
Et comme le dit le Coran : « Dieu leur donna la récompense d’ici-bas, ainsi que la belle récompense de l’au-delà. Et Dieu aime les bienfaisants. » (Coran : III ;148), cette constance dans les gestes philanthropiques sera forcément récompensée.
Manassé AGBOSSAGA