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Quand l'anodin devient une information

L’intégralité du discours mémorable de Richard Boni Ouorou au congrès constitutif du parti Libéral Bénin 

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Samedi dernier, le parti Libéral a été officiellement porté sur les fonts baptismaux à la faveur d’un congrès qui s’est tenu à Abomey-calavi. A l’occasion, son leader, Richard Boni Ouorou a décliné la vision de cette nouvelle formation politique, évoqué ses ambitions pour la jeunesse, dit ses vérités à la classe politique, … Kpakpato Medias vous propose l’intégralité d’un discours qui restera gravé dans les anales politiques du Bénin. 

Membres fondateurs,

Militantes et militants,

Mesdames et Messieurs,

Chers ami(e)s,

Vous l’aurez sans doute deviné, d’être ici devant vous me comble de joie et ajoute beaucoup de fierté à la satisfaction que j’ai de pouvoir proposer concrètement aux Béninois une nouvelle option politique. Le Libéral voit officiellement le jour. Il naît avec la ferme ambition d’apporter une nouvelle alternative politique aux Béninois une alternative tournée vers la bonne gouvernance, l’État de droit, et le développement global de notre pays.

 Bravo !

Avant d’aller plus loin, permettez-moi de partager avec vous un extrait qui m’a toujours inspiré, que ce soit en tant qu’analyste politique ou à titre de cheville ouvrière du beau et fort mouvement populaire ayant permis d’unir nos efforts et de préparer la création de notre parti.

Je vous lis donc cet extrait que d’aucuns reconnaîtront : 

– « NOUS, peuple béninois, réaffirmons notre opposition fondamentale à tout régime politique fondé sur l’arbitraire, la dictature, l’injustice, la corruption […], le pouvoir personnel ;

– exprimons notre ferme volonté de défendre et de sauvegarder notre dignité […] ;

– affirmons solennellement notre détermination […] de créer un État de droit et de démocratie pluraliste, dans lequel les droits fondamentaux de l’Homme, les libertés publiques, la dignité de la personne humaine et la justice sont garantis, protégés et promus […] ;

– réaffirmons notre attachement aux principes de la démocratie et des Droits de l’Homme […] ;

– [Et] affirmons notre volonté de coopérer dans la paix et l’amitié avec tous les peuples qui partagent nos idéaux de liberté, de justice, de solidarité humaine […] ». Fin de citation

Ces mots ne sont pas de simples déclarations. Ils constituent un engagement solennel du peuple béninois, un engagement que notre parti entend honorer avec constance et conviction. Je ne sais pas si vous ressentez la même chose, chers amis, mais pour ma part, ces énoncés m’inspirent et m’énergisent profondément. Ils resonnent en moi comme un rappel salutaire, comme autant de formules non pas magiques, mais bien politiquement et moralement inexpugnables. Ils me renforcent, me recentrent, me rappellent pourquoi nous sommes ici aujourd’hui. Ces balises et idéaux inscrits en préambule de la Constitution du Bénin sont ceux d’une société tournée vers la modernité, la concorde et le progrès. Ils témoignent d’une nation qui a pris un virage décisif il y a trente-cinq ans et qui croit toujours au fond d’elle-même, malgré les difficultés qui perdurent, qu’elle ne s’est pas trompée de chemin.

Non les Béninois ne se sont pas trompés au lendemain de la Conférence nationale. Ils ont approuvé le cadre de gouvernance le plus porteur : la démocratie. À l’heure où un peu partout dans le monde les choses s’enveniment et se détériorent sous l’impact de discours qui minent les institutions démocratiques, il ne faut pas renier la démocratie, mes chers ami(e)s. Au contraire, il faut la valoriser, la solidifier. Elle doit être notre phare.

Les Béninois ne se sont pas trompés, mais notre démocratie a été faussée au fil du temps. Elle s’est usée sur la surface rugueuse des mandats présidentiels successifs. Elle s’est éloignée de ses idéaux fondateurs, illusionnée dans les rets d’un exercice du pouvoir faussement efficace, faussement légitime, faussement juste. Les Béninois se sont retrouvés avec une démocratie de façade, abusés par la démagogie, livrés aux vendeurs de prospérité rapide, aux as de la politique clientéliste ou aux solutions profitables qu’à une minorité politique.

Or, rien n’est figé pour de bon. Les Béninois peuvent revenir à ce qui les définit et les détermine sociologiquement. Je dirais même ontologiquement. Ils doivent pour cela écouter à nouveau ce qui vit toujours en eux, à savoir ce sentiment que la solidarité, le partage, la liberté, la justice et la dignité valent plus que tout. Ils doivent se ressouder avec leur Constitution. Ils doivent vivre dans une démocratie véritable… 

Et NOUS, Libéraux, allons les y aider. C’est ce que NOUS, Libéraux, allons leur proposer. 

Dans nos discours, nos activités et notre future campagne, nous allons les inciter à considérer la valeur inestimable de la démocratie véritable et de ses implications. Pas de contorsions argumentatives ni de discours forcés au menu, vous le savez, car notre programme libéral est au diapason avec les grands idéaux de la Constitution béninoise. En ce sens, nos principes, notre idéologie et notre approche équilibrée sont plus que des réponses aux questions d’un peuple béninois déçu et anxieux ; ils sont une amplification de ce sentiment démocratique qui l’habite viscéralement.

Mes chers ami(e)s, en politique, la facilité ne paie qu’à très court terme. S’il est commode d’exploiter une formule, un slogan, c’est en exploitant une nuance qu’on dépasse les contradictions, les oppositions. Et ne perdons jamais de vue les balises libérales et les idéaux démocratiques. Il en va de notre confiance en nous comme individus, comme parti, comme nation ; il en va de notre estime de nous-mêmes et de notre confiance en l’avenir. Les idéaux démocratiques, je le redis, sont des socles solides, historiquement éprouvés, économiquement efficaces et bénéfiques dans toutes les sociétés qui les ont préservés, suivis et opérationnalisés fidèlement.

Aujourd’hui, vous et moi, nous Libéraux, sommes en train d’officialiser ce qui sera l’incarnation de ces idéaux. Par l’intermédiaire de notre formation politique, Le LIBÉRAL, aboutissement d’un mouvement d’éducation, je dirai même d’élévation politique, nous offrons la possibilité aux Béninois de s’affirmer pour ce qu’ils sont dans l’âme. Par notre orientation idéologique, nous offrons aux Béninois de toutes conditions, de toutes appartenances, de toutes régions, de toutes confessionnalités, hommes et femmes, jeunes et personnes âgées… la possibilité d’être partie prenante du développement de notre République. Notre parti leur offre la possibilité de vivre et de s’épanouir dans une démocratie véritable au sein de laquelle tous et toutes auront une chance effective d’accomplir des actes constructifs tant pour eux-mêmes que pour leur collectivité. Et d’être ainsi en mesure d’exploiter leur potentiel dans le respect et dans la solidarité.

L’ordolibéralisme est l’option que nous leur offrons. Si notre approche équilibrée, progressiste et pluraliste les convainc, et ce sera le cas, tous les Béninois en sortiront gagnants. Car ils auront choisi une voie qui ne fait pas seulement promouvoir leur liberté, mais qui leur donne aussi les moyens, les capacités et les conditions propices à la mise à profit de cette liberté.

La République du Bénin est fondamentalement du bon côté de l’Histoire. En méditant les axiomes de notre Constitution, je me suis senti optimiste. En relisant les grands principes fondateurs de notre parti, je me suis senti très confiant. Et maintenant, devant vous, laissez-moi vous dire que je déborde d’enthousiasme et d’espérance ! Vous voir réunis ici, prêts à passer à l’action et à défendre l’inclusion et le pluralisme, prêts à promouvoir la justice sociale et l’éducation, l’efficacité et la transparence, prêts à soutenir l’innovation, la créativité, la croissance et l’environnement : WOW ! Quelle envergure et quel aplomb ! Avec vous, le Bénin est entre de bonnes mains…. 

 Mes chers ami(e)s, aujourd’hui est un moment important, un jalon dans l’histoire politique de notre pays. Désormais le Bénin peut compter sur une formation politique qui répond à cet appel, à cet impératif qui émane de notre Constitution : l’appel à s’élever moralement, à tendre vers l’équilibre et la tolérance, à transcender les mauvaises habitudes, les contraintes et les affrontements. Bref, un appel à la solidarité et à l’émancipation collective. 

Nous avons donc, en tant que porte-voix de la démocratie véritable et du développement global du Bénin de grandes responsabilités.

La responsabilité d’abord de bien expliquer les choses et les erreurs du passé. Vous savez, le déclin démocratique du Bénin ne date pas d’hier. Durant la décennie « glorieuse » du FCBE par exemple, de 2006 à 2016, la séparation des pouvoirs posait déjà problème. A cette époque, la lutte contre la corruption dans l’appareil gouvernemental et institutionnel était déjà problématique. Aujourd’hui, des figures de proue d’un certains camps politiques reprochent, légitimement, aux dirigeants actuels les travers qu’eux-mêmes n’ont pu corriger alors au pouvoir.

Cela dit les dernières années n’ont ne sont pas exempt de critiques, comme nous l’avions toujours formulé. L’accent a été mis sur l’économie, le cap sur le marché, l’emphase sur les infrastructures, ce qui n’est pas mal en soi, mais tend à l’être lorsque tout cela devient obsession et compulsion. C’est-à-dire quand tout cela se fait au détriment des libertés d’expression et de presse, de la solidarité des régions éloignées et des paysans, au détriment de la justice sociale…

Une problématique systémique s’est incrustée au Bénin. Au fil des années, le manque de transparence dans les instances étatiques, le manque de contrôle de l’action gouvernementale, le manque de responsabilité ministérielle, le manque de contre-pouvoirs efficients et le manque de volonté à instituer de grandes commissions d’enquête parlementaires ont gangrené la démocratie béninoise et miné la confiance des gens en leur gouvernement, en leur Président.

Il nous faut dès lors, nous, Libéraux, dire haut et fort que nous n’acceptons pas une telle démission démocratique collective. D’où cette autre responsabilité que nous avons dorénavant : celle de faire saisir au plus grand nombre de citoyens possibles que les choses peuvent réellement changer au Bénin. Que nous représentons la meilleure option pour le développement global du pays. Que la voie du centrisme et du réformisme, de l’équilibre et de la solidarité, du libéralisme et du collectivisme est un gage de prospérité et d’épanouissement pour tous les Béninois et Béninoises.

Oui, c’est un moment historique aujourd’hui mes ami(e)s. Pour avoir vu votre engagement, votre rigueur et votre vigueur aller en crescendo depuis la création du mouvement Libéral, je suis plus que jamais convaincu que ÇA Y EST, ON Y ARRIVE ! 

Grâce à vous, chers Libéraux, notamment vous jeunes dont je salue la ferveur, tout se met en place pour que les Béninois aient la possibilité de cocher la case de l’espoir. Un espoir sensé, un espoir lucide et éclairé. Grâce à vous, grâce à notre option politique, les béninois pourront comprendre ce qui ne doit plus être fait dans notre pays, ce qui doit être fait au Benin, pourquoi et comment. Les Béninois pourront être à nouveau confiants, entreprenants. Ils rejetteront toutes formes de radicalisme malsain, saisissant que reconnaître les acquis et poursuivre certains élans n’est pas rétrograde, et jugeant néfaste l’idée de vouloir tout détruire, tout réécrire. Comme vous, les Béninois deviendront libéraux.

Cela dit, notre approche équilibrée, réformiste et inclusive, si elle mise sur le respect, sur la solidarité et sur une continuité ciblée, animé par l’esprit de la continuité de l’État, n’en exclut pas pour autant l’audace. Il nous faut aussi être audacieux, curieux, innovateurs. Permettez-moi de m’adresser ici plus spécifiquement aux plus jeunes d’entre nous.

Vous aurez à vivre plus longtemps que les autres avec les conséquences de décisions prises de nos jours. Si demain vous appartient, vous avez maintenant des choix à faire ; votre orientation actuelle et vos actions sont déterminantes. C’est à vous de voir si vous voulez faire en sorte de subir l’avenir, si je puis dire, ou au contraire de vous y épanouir. Bref, il y a des correctifs à apporter dès maintenant pour que votre futur soit meilleur.

Chers ami(e)s, jeunes Libéraux, vous comprenez l’enjeu. Vous connaissez l’importance de rallier la jeunesse béninoise et de l’inciter à être audacieuse. Être audacieux, cela veut dire que la jeunesse béninoise doit d’abord :

– refuser l’accroissement des inégalités sociales dans notre pays ; 

– refuser le clivage socioéconomique entre le Nord et le Sud ; 

– refuser la précarisation des emplois ; 

– refuser les décisions administratives arbitraires ; 

– refuser le détournement et le siphonnement des ressources publiques ; 

– refuser les saccages de la nature ; 

– refuser l’exploitation des travailleurs agricoles ; 

– refuser le manque d’accès à l’éducation scolaire et à l’enseignement supérieur ;

– refuser le bâillonnement de notre société, 

– Refuser les discriminations de tout genre… 

– Refuser, en somme, tout ce qui nous indigne.

Grâce à vous, chers Libéraux, grâce à votre bonne compréhension de la philosophie libérale et grâce à votre engagement, chaque jeune femme et chaque jeune homme de notre pays pourra désormais compter sur un allié officiel, sur un parti politique qui leur fait une large place. Un parti qui a l’audace de suivre des principes authentiquement démocratiques, pluralistes et progressistes. Dans cette optique et éventuellement sous notre gouverne, beaucoup d’efforts et de ressources seront mis pour que le plus de jeunes possibles disposent de conditions leur permettant d’exploiter leurs talents, de réaliser leurs objectifs.

Car il nous faut pour le développement réel et global du Bénin, une jeunesse :

– libre de dire ce qu’elle pense et suggère ;

– libre de chercher à s’enrichir matériellement et cognitivement ;

– libre de créer en art comme en science ;

– libre de protéger l’environnement ;

– libre de développer des solutions écologiques ;

– libre de saisir des opportunités d’affaires ;

– libre de lutter contre la corruption ;

– libre de critiquer les dirigeants politiques…

Tout ceci dans le strict des textes et lois qui régissent notre société

À cet égard, en tant que chef de parti aujourd’hui, aspirant aux plus hautes fonctions de l’État, je m’engage ici devant vous à ne jamais défendre des positions arbitraires et à ne jamais chercher à vassaliser les jeunes, comme cela s’est vu dans le passé. 

Notre parti, Le Libéral, et moi en tête, ne joueront pas à ce jeu de manipulation de la jeunesse. Je vous fais le serment solennel ici aujourd’hui, que je n’agirai jamais par opportunisme. Ne plaire que lorsque cela est politiquement profitable de le faire pour vous ; n’évoquer le sort de victimes de répression policière que lorsqu’on y trouve un avantage ponctuel ne fera pas partie de mon fonctionnement. Je crois en mon pays, en sa relève et au bon jugement de celle-ci. Je n’instrumentaliserai jamais ni ne monnayerai jamais mon sens de la solidarité. 

L’Histoire n’est jamais linéaire. Quand on devient un politique ou simplement politisé, il y a des moments où il faut être critique, ferme et résolu ; il y a des moments où il faut être imaginatif, ouvert et conciliant. Il y a un temps pour les grands recadrages, il y a un temps pour les réformes, les nuances et les justes milieux. D’où l’importance dans une société qui se veut moderne qu’il puisse y avoir des débats, une libre circulation des idées et un vivre ensemble qui repose sur des principes fondamentaux. Il importe donc d’avoir un gouvernement qui permet de tels ajustements, un gouvernement profondément libéral pour notre pays….

Dans la vie de tous les jours, cela dit, à la ville comme à la campagne, il est tout aussi important que l’histoire des gens ordinaires progresse également. Ces gens méconnus, souvent oubliés par les élites et les médias, qui n’en sont pas moins des citoyens du Bénin, mais qui contribuent ou ont contribué par leurs efforts et leur travail à l’avancement de ce pays, méritent tout notre RESPECT et toute notre CONSIDERATION. 

Ces citoyens que j’ai rencontrés sur le terrain lors de mes tournées régionales méritent d’avoir voix au chapitre. Nous pouvons les informer, les guider, les conseiller, mais nous devons aussi les écouter… et les RESPECTER. Le développement équitable du Bénin passe aussi par eux. La croissance et le progrès du Bénin, pas juste en termes de données macro-économiques, mais bien en termes d’épanouissement humain, passent par la revitalisation des régions, des communes, des villages. Cela implique que l’État, en collaboration avec des partenaires privés au besoin, a la responsabilité de donner une chance à tous les villageois et paysans de s’éduquer et de se soigner convenablement. L’État a également la responsabilité de leurs donner la chance d’accéder aux technologies pertinentes et à des services de qualité afin qu’ils puissent façonner leur destin et vivre dans la dignité. Si nous parvenons à prendre le pouvoir, je serai le premier à m’acquitter de cette responsabilité et à honorer cet engagement.

Mes amies, le moment est grand et la tâche qui nous attend l’est tout autant. De mon discours, je voudrais que vous reteniez surtout ceci : nous sommes du BON CÔTÉ. Et nous sommes capables de jouer un rôle décisif dans la renaissance démocratique du Bénin. Vous avez cette capacité parce que vous avez lucidement choisi une idéologie et une option politique modernes, progressistes et équilibrées.

Soucieux du bien-être des personnes, des travailleurs, des femmes, des jeunes…, soucieux de la responsabilisation des communes et des entreprises, de la protection de l’environnement et des droits fondamentaux, de la liberté de presse, de l’implantation des technologies de pointe, soucieux de la scolarisation universelle, de la diversification industrielle, du soutien aux coopératives locales et au développement régional… Voilà ce qui nous fera accéder collectivement à un autre niveau du bien-être individuel et collectif, TOUS ENSEMBLE, libres et libéraux. 

Sur ce, ayez du cœur et du respect, ayez de l’audace et du front, mais sans jamais tourner le dos à notre Constitution et à notre pays. Notre nation nous appelle et nous ne manquerons pas au rendez-vous de l’histoire. 

Vive le LIBERAL

Vive le Bénin

Je vous remercie,

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