Burkina-Faso : Une femme mariée confond ‘‘JIF’’ et escapade, elle rentre après minuit le 08 mars… son mari la jette dehors

A ne pas confondre ! Le 08 mars, c’est une journée internationale de la femme (JIF), pas une  journée  internationale des escapades.

Au Burkina-Faso, dans la ville de Bobo-Dioulasso,  une femme mariée vient de l’apprendre à ses dépens.

Comme le révèle ouestinfo, une femme au foyer est rentrée après minuit, prétextant de la célébration de l’édition 2021 de la journée internationale de la femme.

Le 8 mars dernier, cette  femme qui vit  avec son époux depuis maintenant 6 ans, a fait l’option de sortir avec des amies à elle.

Galant, l’homme n’a pas protesté et a donné son accord à une seule condition. Il lui a demandé de ne pas rentrer tard.

C’est ainsi que la femme,  mère d’un enfant de 4 ans, quitta la maison à 16 h. Mais, comme ‘‘Eve’’, dans les Saintes Ecritures,  elle a fait le contraire.

Comme si elle était la ‘‘chef’’, elle est rentrée tardivement. Pour quelle raison ?

Kpakpato Medias n’était pas là pour vous le dire. Encore que ce n’est pas ça,  le plus important.

Ce qui est important, c’est que selon ouest info, son époux a essayé en vain de la joindre.

Elle était où ? Houmhuummmm !!! Elle faisait quoi ? Houuuhummmm !!! Avec qui ? Houuuuhuuummmm !!!

Mais, c’est finalement après minuit, que la bonne dame, « présidente du 08 mars »   se serait pointée devant la porte, frappant pour demander à son époux de lui ouvrir.

Mais, c’était mal connaître son mari. En grand connaisseur, il lui a demandé gentiment de dire d’où elle vient avant de rentrer.

« L’homme arrive devant le portail, ouvre, et demande à cette dernière de retourner d’où elle venait »,  raconte ouest info.

 Elle répond que son téléphone était dans son sac, raison pour laquelle elle n’a pas décroché ses appels.

L’homme ferme alors le portail et retourne se coucher.

« Après une heure d’attente inespérée devant le portail, elle décide d’aller passer la nuit chez sa mère qui habite le même quartier.

Le lendemain, c’est-à-dire, hier 9 mars, elle envoie des émissaires pour supplier son époux », ajoute ouestinfo.

L’homme reste campé sur sa position et pose comme condition de dire la vérité sur l’endroit  où elle était et ce qu’elle y faisait.

Pendant ce temps, elle séjourne chez sa mère.

Manassé AGBOSSAGA

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