Loin de la polémique, Richard Boni Ouorou fait une proposition face à la cherté de la vie au Bénin. Affecté par les souffrances des populations, le Politologue s’est empressé de lancer un appel à la solidarité nationale.
Face à la crise qui frappe le Bénin, Richard Boni Ouorou plaide pour une participation commune. Il invite chaque citoyen à jouer sa partition.
« …, je ne suis pas dans la critique inutile et dans cette crise chacun doit faire sa part pour apporter satisfaction aux populations les plus démunies qui seront durement touchées… Il revient à chaque citoyen de prendre des dispositions pour faire face et éviter que la crise se transforme en autre chose» a-t-il recommandé, loin de l’imposition d’uniforme aux fonctionnaires, proposition d’un député de la Nation.
Fidèle à l’adage qui dit « la Charité bien ordonnée, commence par soi-même », Richard Boni Ouorou se dit prêt à donner l’exemple.
« J’accepte d’entrer dans le capital des startups les plus prometteurs aux fin de créer de l’emploi et des revenus », promet l’Homme d’affaires et grand philanthrope.
Richard Boni Ouorou : « Personne n’a intérêt que le pays bascule »
Pour Richard Boni Ouorou, la crise qui s’observe dans le pays est à craindre. Le Politologue reste convaincu que les « Etats malgré la force apparente des dirigeants, demeurent très exposés avec des assises fragiles quant aux effets des crises ».
Sans vouloir être alarmiste, Richard Boni Ouorou prévient que cette crise peut, dans ces conditions et si rien n’est fait, ouvrir à la voie à une « révolution » ou à un « coup d’Etat ».
Mais pour lui, « personne n’a intérêt que le pays bascule, qu’une révolution sous forme de lutte des classe emporte notre tranquillité », car dit-il, les révolutions et les coups d’états, ne conduisent pas au « bonheur des populations ».
Manassé AGBOSSAGA