Il coupait le courant de son village le soir pour retrouver sa dulcinée en cachette, les habitants découvrent le pot aux roses…la suite est encore fantastique

Un garçon prêt à mettre tout un village en noir rien que pour passer d’agréable moment avec son amour, la nuit et à l’abri des regards. On est en Inde.

un homme coupe le courant pour retrouver sa copine la nuit

Un garçon prêt à mettre tout un village en noir rien que pour passer d’agréable moment avec son amour, la nuit et à l’abri des regards. On est en Inde.

Un électricien a volontairement coupé le courant dans le village de Ganeshpur afin de rejoindre sa petite amie en cachette dans l’école du village. Pendant plusieurs semaines, les habitants du village étaient privés d’énergie électrique le soir, durant 2 à 3 heures, et toujours à la tombée de la nuit, raconte RTL. Chose curieuse, les autres villages continuaient d’être éclairés.

Lassés, ils décident de comprendre cette coupure répétée à la même heure qui n’arrive qu’à leur village. Ils découvrent le pot-aux-roses.

 Une coupure au nom de l’amour

Un soir, leur bourreau vient encore couper le courant afin de retrouver sa dulcinée dans le noir. Jusque là, il ne savait pas qu’il était démasqué.

Alors qu’il est au lieu habituel pour couper le courant, les habitants du village de Ganeshpur réussissent à l’apercevoir. Ils ne se précipitent pas de l’interpeller mais préfèrent le suivre.

Les habitants découvrent qu’il s’agissait d’un jeune couple qui tentait de garder leur liaison amoureuse secrète.

Interpellé dans la cour d’école du village,  l’homme a tout avoué. Il reconnait avoir délibérément coupé le courant pour pouvoir rejoindre sa belle en toute discrétion.

Mariage forcé

Dans un premier temps, les habitants ont affiché l’électricien dans les rues du village. Ce n’est pas tout. Le plus intéressant est qu’ils ont forcé l’homme a épousé la jeune femme, indique RTL. Et selon le média, c’est d’ailleurs ce mariage qui a épargné à cet homme des poursuites judicaires.

Voilà une histoire qui peut inspirer les réalisateurs …

Manassé AGBOSSAGA

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