Le 25 novembre dernier, le monde entier célébrait la journée internationale des violences faites aux femmes. Mais, il faudra à l’avenir penser à lutter contre les violences faites aux hommes. Le drame survenu, en début de semaine, au Nigéria en dit long.
En effet, un jeune homme de 30 ans a été violé à mort par ses six épouses dans la province d’Ogbadibo, dans le sud du pays.
D’après Nigeria Daily Post, qui rapporte le drame, Uroko Onoja, homme d’affaires a été contraint à plusieurs relations sexuelles avec ses six femmes, avant d’être victime d’un arrêt respiratoire. Elles l’ont menacé avec un couteau.
Le mardi dernier, alors qu’il rentre de Ochanja, une petite localité de la communauté de Ugbugbu, dans le sud du Nigéria. Uroko Onoja va directement dans la chambre de sa plus jeune épouse.
Seulement voilà, il ignorait qu’en son absence, il y avait eu un complot sexuel contre sa personne. Selon Nigeria Daily Post, les six épouses avaient pris la ferme décision d´obliger leur époux á avoir des rapports sexuels avec chacune d´elles. Et ce, par ordre décroissant.
Lorsqu’elles constataient la présence de leur mari chez la plus jeune épouse, les 5 autres envahissent immédiatement sa chambre, avec des couteaux et gourdins. Que pouvait alors faire l’homme ? Si ce n’est d’obéir à ces dernières.
C’est ainsi qu’il commença son périple sexuel avec la plus jeune épouse, avant d’enchaîner avec les autres. Maire sur la cinquième, le corps de Uroko Onoja lâcha. Il ne respirait plus.
La cinquième a constaté que son homme ne respirait plus. Elle a informé les autres qui dans un premier temps ont cru qu’il s’agissait d’une blaque.
« Brusquement mon mari a cessé de respirer et les autres femmes ont fui pour éclater de rire dehors. Mais c´est quand elles ont vu que je ne parvenais pas á le réanimer, qu´elles ont fui dans la forêt avoisinante », confie la cinquième épouse.
La dépouille de Uroko Onoja a été déposée à la morgue.
La police locale a réussi à mettre la main sur deux de ses six femmes, avec l´aide des jeunes du village, très éplorés, précise la même source.
Manassé AGBOSSAGA
C’est quel histoire sa
Les femmes devraient répondre leurs crimes