Le journaliste Alain Foka annonce son départ de Rfi

Encore quelques jours, et le très célèbre Alain Foka va faire ses adieux à Rfi. Le journaliste a, sur ses canaux officiels, annoncé son départ du média français à la fin du mois d’octobre

Encore quelques jours, et le très célèbre Alain Foka va faire ses adieux à Rfi. Le journaliste a, sur ses canaux officiels, annoncé son départ du média français à la fin du mois d’octobre. Intégralité de son message.

« Après une trentaine d’années de bons et loyaux services où j’ai essayé sur les antennes de RFI de vous donner à la fois une lecture africaine de l’actualité internationale avec Médias d’Afrique (en quotidienne pendant 16 ans) et Le Débat africain (en hebdomadaire pendant 12 ans), ainsi qu’une meilleure visibilité des champions africains avec Afrique + (en Hebdomadaire pendant 5 ans), et une version africaine de l’histoire contemporaine de notre continent à travers Archives d’Afrique (en hebdomadaire pendant 31 ans);

j’ai décidé et choisi de quitter la RFI à la fin de ce mois d’octobre 2023.

Cela a été une expérience enrichissante, et je vous remercie pour votre large soutien puisque pendant toutes ces années ces rendez-vous ont toujours été parmi les plus suivis de l’antenne de RFI. Je remercie également mes collaborateurs qui ont été particulièrement dévoués à la cause : Delphine MICHAUD, Olivier RAOUL, Foch NGUYEN, Lucie BOUTELOUP, Albert MORIN, Nicolas BENITAS, Aby DIOUF, Sarah SAKHO, Marie Hélène ROLLIN, et j’en oublie…

Je voudrais également remercier des soutiens et amis de la maison : Damien HOULES, Ludovic DUNOD, Juan GOMEZ, Yasmine CHOUAKI, Eric AMIEN, Corinne MANDJOU, Claire HEDON, Vladimir CAGNOLARI, Jessica TAIEB, Anne Marie CAPOMACCIO, Alain DE POUZILHAC, et bien sûr mon frère, complice, et ami de toutes les batailles depuis une trentaine d’années : Claudy SIAR.

Une pensée pieuse pour Amobé MEVEGUE, Jean Karim FALL, et Henri PERHILLOU.

Soyez rassurés, ceci n’est qu’un au revoir, je dirais même un nouveau départ, puisque je continuerai de vous proposer le narratif africain sur ma plateforme digitale où vous êtes déjà plusieurs millions à me suivre et où je vous espère encore plus nombreux.

Archives d’Afrique se poursuit également plus que jamais en vidéo sur ces plateformes digitales Alain FOKA Officiel (AFO) avec dans le même temps des reportages, des documentaires, des entretiens, des chroniques, et bien d’autres contenus africains.

L’histoire de la chasse doit cesser d’être racontée du seul point de vue du chasseur. Ceci est donc un nouveau départ pour une plus grande vulgarisation de la pensée, du projet, de la vision africaine dans un monde en profonde mutation. Une grande surprise dans les mois prochains. Une renaissance….

Je ne vous en dis pas plus pour l’instant.

Captation : Sébastien Faye – Thomas Olland
Montage et animations : Sébastien Faye – Thomas Olland

Mes réseaux sociaux officiels
https://linktr.ee/alainfoka »

Pour son entrée royale dans la coordination nationale du parti LD : Gabin Djèbou  félicite Guy Mitokpè

Le dimanche 15 octobre 2023 aura été une journée décisive pour les acteurs de l’opposition en jeu dans l’arène politique béninoise. Une journée déterminante pour ‘’la reconquête de la souveraineté du peuple béninois’’. C’est d’ailleurs sous ce thème que s’est arc-bouté le congrès du plus redoutable parti de l’opposition, Les Démocrates. Au bout de 48 heures, le sort est jeté et le nouvel état-major de prise de décisions politiques est dévoilé à son publique qui s’impatiente derrière le rideau._

Le dimanche 15 octobre 2023 aura été une journée décisive pour les acteurs de l’opposition en jeu dans l’arène politique béninoise. Une journée déterminante pour ‘’la reconquête de la souveraineté du peuple béninois’’. C’est d’ailleurs sous ce thème que s’est arc-bouté le congrès du plus redoutable parti de l’opposition, Les Démocrates. Au bout de 48 heures, le sort est jeté et le nouvel état-major de prise de décisions politiques est dévoilé à son publique qui s’impatiente derrière le rideau._

Un jeu de chaise entre les vieux briscards mais aussi de nouveaux entrants au rang desquels figure l’honorable Guy Mitokpè.

C’est une bonne nouvelle, on ne peut que s’en réjouir, du moins pour les sympathisants et le peuple béninois, l’entrée de Guy Mitokpè au sein de l’instance de décision du parti de l’opposition le plus en vue sur l’échiquier politique béninois.

Et quand on a, sans tenir grand compte des adversaires politiques dans les circonscriptions électorales pas les moindres, mouillé avec détermination et confiance le maillot pour offrir un spectacle plaisant au peuple béninois lors des élections législatives de janvier 2022, on ne peut que mériter ‘’la couronne de justice’’.

A tout point de vue, l’ancien locataire de la marina a le mérite d’avoir fait un choix stratégique en mettant l’homme qu’il faut à la place qu’il mérite. C’est sans doute un choix tactique qui va payer très lourd dans les jours à venir, mais aussi un signal très fort que lance l’insaisissable Boni Yayi au patron de Restaurer l’espoir qui a tôt fait de mépriser les talents de son ex « disciple ».

Une position stratégique à point nommé.

« Quand vous voyez un homme habile dans son ouvrage, il se tient auprès des rois et non auprès des gens obscurs. » C’est la connaissance appliquée de cette loi qui meut et mouvra les pas de l’He Guy Mitokpè dans sa carrière politique. Indéniablement, l’audace de l’homme politique, le courage d’un jeune de contrarier son ancien mentor politique au point même de se séparer d’avec son parti au profit du parti LD lui vaut les prouesses de l’heure.C’est dire donc qu’il ne faut pas avoir peur de se réinventer et d’oser être différent en contrariant parfois des gens pour autant que cela vous permette de saisir les opportunités de l’océan bleu. Malgré ce que l’on peut en penser, c’est la leçon à tirer du choix politique qu’a fait le parlementaire de la 7è législature.

Des prévisions réjouissantes pour 2026

Quand on a l’œil de lynx, on ne peut manquer de lire entre les lignes que le choix tactique porté sur le Dr Guy Mitokpè au poste de Chargé de Communication du parti LD est un casting méritoire. En la matière le Maître Orchestre du grand rassemblement du peuple souverain est à féliciter.

Tant ce jeune maître harangueur de foule brille d’ingéniosité, de sagesse et de perspicacité dans ses actions, dans ses décisions et dans ses discours. Son humilité et son sens de persuasion lui seront d’une utilité infaillible dans la réussite de sa haute mission.

C’est tout le meilleur qu’on peut lui souhaiter durant ce voyage plaisant mais jonché de défis et de suspens dont sont faites les élections générales de 2026 qui s’annoncent avec autant de surprises.

De toute évidence, les mois à venir vont mettre à rude épreuve l’ingéniosité, la créativité et l’ardeur de ce brillant rouage humain avec lequel le président Yayi devra collaborer sans faille pour réussir sa plus grande mission à la tête du parti.

Mitokpè en 2026, la fin de la rupture ?

Il n’est pas trop tôt de le dire quand on a un sens d’orientation claire des défis des élections générales de 2026 et qu’on a besoin d’un contrepoids sérieux à la peau neuve contre la ruse et la rage.

Certains pourraient le prendre comme un pavé dans la marre, mais c’est la volonté du peuple qui l’emportera sous le leadership rassembleur de celui qui désormais tient la manette et porte la casquette de chef de l’opposition, le taureau de Savè, que dis-je, de Tchaourou.

Quoi que ce soit, l’ex parlementaire, le Dr Guy Mitokpè, est sans contredit de l’or en barre dans le camp de l’opposition. Les preuves sautent à l’oeil. Et le Président Yayi, en homme averti de la chose politique, ne se laissera pas à nouveau éconduit en ces moments où le peuple saigne et souffre des erreurs de casting du passé.

Mieux, le positionnement des jeunes talentueux, travailleurs, confiants et résolus pour la victoire écrasante du peuple à travers le parti LD doivent être la priorité unanime des décideurs au sein de l’Etat-major.

Oui, c’est le prix à payer pour une quelconque reconquête de la souveraineté.

Source Externe

Affrontement entre populations de Balanka et policiers : « Les auteurs et instigateurs de ces actes feront face à la rigueur de la loi »

Dans la journée du samedi 14 octobre 2023, un affrontement sanglant est survenu entre les populations riveraines de la localité de Balanka et des agents de la Police républicaine.

COMMUNIQUE

Dans la journée du samedi 14 octobre 2023, un affrontement sanglant est survenu entre les populations riveraines de la localité de Balanka et des agents de la Police républicaine.

En effet, alors que des blocs de granite étaient posés pour restreindre la circulation sur les axes secondaires utilisés pour la sortie frauduleuse des produits vivriers vers les pays frontaliers, certains individus s’y sont violemment opposés.

Pour ramener le calme sur les lieux, un détachement de fonctionnaires de Police a été déployé sur l’axe Aoro-Balanka, dans la commune de Bassila. Au cours de l’exécution de leur mission républicaine, trois d’entre eux ont été grièvement blessés et aussitôt pris en charge par les structures sanitaires. Face à ces violences et voies de fait qu’ils ont subies, ces agents ont fait preuve de professionnalisme et de retenue.

Aussi, la Direction générale de la Police républicaine en appelle-t-elle au sens élevé du civisme et au respect de l’intégrité physique et morale de ses fonctionnaires dans l’exercice de leurs missions régaliennes.

En tout état de cause, les auteurs et instigateurs de ces actes feront face à la rigueur de la loi.

Cotonou, le 16 octobre 2023

                                                         

 La cellule de communication

Côte d’Ivoire : Robert Nambé Beugré nommé Premier ministre en remplacement de Patrick Achi

Le nouveau premier ministre de la République de Côte d’Ivoire est connu. Il s’agit de Robert Nambé Beugré

Le nouveau premier ministre de la République de Côte d’Ivoire est connu. Il s’agit de Robert Nambé Beugré.

Patrick Achi ne sera pas reconduit à son poste. Après la dissolution du gouvernement il y a quelques jours, Alassane Ouattara a finalement misé sur une figure bien connue de la vie politique ivoirienne pour le poste de Premier ministre.

Dans un communiqué publié le lundi, le secrétaire général de la présidence de la République a annoncé la nomination de Robert Nambé Beugré en qualité de Chef de Gouvernement.

Le nouveau premier ministre ivoirien a occupé les postes de ministre, gouverneur de District d’Abidjan.

Il est appelé à proposer un nouveau gouvernement dans les meilleurs délais, précise le communiqué.

M.A

43ème Congrès de l’AIMF : L’intégralité du discours d’ouverture du Secrétaire permanent Pierre Ballet

Le Secrétaire permanent de l’Association Internationale des Maires Francophones était à l’ouverture des travaux du 43ème Congrès du creuset qui se déroule à Cotonou du 11 au 14 octobre 2023. Voici ci-dessous l’intégralité de son allocution d’ouverture.

Le Secrétaire permanent de l’Association Internationale des Maires Francophones était à l’ouverture des travaux du 43ème Congrès du creuset qui se déroule à Cotonou du 11 au 14 octobre 2023. Voici ci-dessous l’intégralité de son allocution d’ouverture.

Monsieur le Ministre

Mmes et Mrs les représentants du corps diplomatique

Mmes et Mrs les élus locaux,

Mmes et Mrs les représentants des administrations centrales,

Chers amis,

Merci d’être là !

Merci à toutes et tous d’avoir ainsi manifesté, en grand nombre, en étant présents ici à Cotonou !

Vous êtes ou vous serez près de 400, 105 délégations de 33 pays,

205 élus locaux. Une grande famille qui se retrouve pour parler de nos programmes, de nos réseaux et d’une thématique de société importante, les Arts de la rue.

« La rue est le cordon ombilical qui relie l’individu à la société » disait

Victor Hugo. C’est signifier combien le soutien apporté aux arts de la rue est une politique culturelle des villes.

Ils portent également en eux une vision du monde où les mots corps social, tissu urbain, art public, qu’il soit ou non éphémère comme le sont les murs de façade peints, ont tout leur sens. Les fresques de Cotonou en sont la preuve.

Les arts de la rue sont davantage qu’une catégorie spécifique du spectacle vivant : ils sont une démarche artistique globale, un véritable creuset, porteur d’un dialogue et de rencontres entre les disciplines artistiques et les populations locales. Et j’en ai pris la mesure lors de mon dernier déplacement à Tunis et Cotonou, ville de culture par excellence, nous en fera très bientôt la démonstration.

Les arts de la rue présentent donc cette caractéristique très importante qui est le contact direct avec les populations. Ils permettent, avec leur diversité de langage – du monde forain au burlesque en passant par le sport – de dépasser l’obstacle de l’intimidation sociale qui existe souvent lorsqu’il s’agit de franchir la porte d’un théâtre ou d’un lieu de culture, quel qu’il soit.

Grace aux arts de la rue, une collectivité locale peut affirmer sa politique de démocratisation et de partage du geste artistique avec les populations. Une politique essentielle pour favoriser le rapprochement des femmes et des hommes porteurs de cultures différentes. Une politique essentielle pour favoriser l’appropriation du territoire et la paix sociale.

Encore faut-il qu’il y ait des espaces de rencontre ! Les arts de la rue me ramènent donc à la préoccupation qu’a l’AIMF pour l’urbanisme, l’espace public et les valeurs qu’il porte. L’espace public, quel qu’en puisse être sa forme, rue, place, friches, rassemble et permet de diffuser largement : parce qu’il appartient à tous, il agrège et fédère de nouveaux publics. Dans l’espace public, en effet, nous sommes libérés de tous les codes sociaux qui peuvent s’attacher au rituel d’une représentation de théâtre, d’opéra ou de danse. Nous sommes d’une certaine manière plus libre, moins conditionnés pour la réception du spectacle qui nous est proposé.

C’est pour cet ensemble de raisons que les arts de la rue, plus encore que d’autres formes d’expression artistiques, ne peuvent être dissociés des enjeux urbains, architecturaux, et des questions sociales qui intéressent un territoire, une ville, un quartier.

Mesdames Messieurs les Maires ils nous appartient donc de cultiver l’extraordinaire, la surprise, l’émerveillement au coeur du quotidien.

Il nous appartient aussi de faciliter l’échange de savoir-faire et de former les acteurs pour accroitre la valeur intrinsèque de leurs témoignages.

Mais, aujourd’hui, nous ne pouvons en rester à ce seul message.

Chers Amis, il m’appartient, à ce moment, de rappeler que le thème de ce Congrès s’inscrit dans un contexte plus global et m’est impossible de le passer sous silence

En effet, la rencontre de Cotonou intervient à un moment bien particulier dans les relations internationales. Celui d’une recomposition accélérée de l’échiquier international, qui va de pair avec la volonté de laisser derrière nous, enfin, une perception et des attitudes vis-à-vis de l’Afrique qui ne sont plus acceptables. Avec un réseau composé aux 2/3 de villes africaines, avec l’histoire qu’elle porte en héritage, celle de la colonisation, l’AIMF est bien sûr traversée par ces débats et par cet espoir d’un changement réel et définitif.

Ces enjeux, et vous le savez tous ici, sont pour nous depuis des années un cheval de bataille. Que ce soit dans le fonctionnement de nos institutions ou dans la manière dont nous travaillons ensemble autour des projets portés par les villes, nous nous attachons chaque jour à construire une autre coopération, une autre manière de voir et de faire. En partant des demandes des villes pour construire notre programme d’action (et non l’inverse), en donnant la priorité à l’expertise du Sud, en soutenant la coopération sud-sud et le dialogue sous régional… Cette démarche, qui est la nôtre, a quelque chose à dire au monde, et l’état d’esprit qui porte la coopération que nous construisons ici ont, il me semble, quelque chose à dire au monde. Nous devons en être fiers, le faire savoir, et nous servir de cette base pour transformer les choses en activant tous les leviers à notre disposition.

Je veux, qu’il soit dit, ici, que nous ne devons pas nous satisfaire de cette démarche que nous avons construite et qui devrait en réalité simplement être la norme. Nous devons aller encore plus loin, continuer de faire de l’AIMF cet espace d’ouverture à l’autre, où nous remettons en cause nos certitudes et où nous bousculons nos habitudes. La Déclaration de Cotonou qui doit être adoptée demain, mais aussi la programmation stratégique qui sera soumise à votre vote, doivent être l’expression de notre volonté de porter encore plus loin le changement. Elles doivent être le reflet du message que nous entendons porter au monde en matière de coopération. L’expression de notre diplomatie, de notre capacité à être une force de changement pour les relations internationales.

A cet égard, permettez-moi d’insister sur quelques points clé du projet de programmation que vous avez reçu, et autour duquel nous avons déjà eu l’occasion d’animer des échanges :

– Tout d’abord l’état d’esprit de notre coopération, que nous devons approfondir si nous voulons continuer d’être cette force de changement pour les relations internationales, et que nous devons rendre visible à travers une communication engagée des Maires. Il faudra pour cela nous saisir, en plus des sujets techniques, de sujets « politiques » : l’importance de renforcer la coopération sud-sud et le dialogue régional, d’approfondir la diplomatie des villes, les questions de lutte contre la désinformation, la capacité à associer les diasporas à notre coopération…

– Il y a aussi le fonctionnement de nos instances. Celles-ci doivent être dynamiques et ne pas se refermer sur elles-mêmes.

Ce que nous souhaitons atteindre notamment avec l’appui des commissions permanentes, qui vont avancer vers un fonctionnement plus ouvert pour permettre une participation élargie des membres de l’AIMF.

– N’oublions pas l’utilité de notre coopération : cette question de l’utilité est au cœur des débats actuels. La coopération décentralisée et utile aux habitants et change leur vie. Ce modèle que nous avons construit doit fédérer plus largement et être soutenu fédérer autour de notre coopération à impact et mobiliser plus largement des soutiens à notre action. La coopération décentralisée ne doit plus se limiter à l’envoi d’experts du nord vers le sud mais de mieux comprendre les aspirations du sud pour leur apporter une solution. L’AIMF est utile car l’essentiel de son action est concret.

– Enfin et surtout, notre volonté d’ouverture. Vous le savez, depuis que j’ai pris mes fonctions j’ai toujours veillé à ce que l’AIMF ne soit pas un club vivant de l’entre-soi. Et cette ouverture je la souhaite aussi pour les bailleurs… A cet égard, après l’appui que nous recevons de la Fondation Bill et Mélinda Gates, nous venons de signer un partenariat avec la GIZ.

Voilà, Excellences, ce que je souhaitais porter à votre réflexion en cette ouverture de Congrès.

Encore une fois, merci de nous avoir rejoints.

Cela fait chaud au cœur !

Merci infiniment à toutes et à tous.

Merci à Cotonou d’avoir tant fait pour que tout se passe bien.

Congrès AIMF Cotonou 2023: Le colloque sur les arts et les cultures urbaines, l’attention de la deuxième journée

Le 43ᵉ Congrès de l’Association Internationale des Maires Francophones (AIMF) se poursuit. La deuxième journée est marquée par les travaux du Colloque sur les arts et les cultures urbaines. Raphaël Akotègnon ministre de la décentralisation a procédé au lancement des travaux ce jeudi 12 octobre 2023 dans la salle rouge du Palais des Congrès de Cotonou.

Le 43ᵉ Congrès de l’Association Internationale des Maires Francophones (AIMF) se poursuit. La deuxième journée est marquée par les travaux du Colloque sur les arts et les cultures urbaines. Raphaël Akotègnon ministre de la décentralisation a procédé au lancement des travaux ce jeudi 12 octobre 2023 dans la salle rouge du Palais des Congrès de Cotonou.

« L’art et les cultures urbaines, enjeux et facteurs de développement de paix ». Ainsi se décline le thème autour duquel se sont déroulés les échanges du colloque sur les arts et les cultures urbaines inscrit au programme de la deuxième journée des travaux du 43ᵉ Congrès de l’Association des Maires Francophones. Pour l’AIMF, il est question de réfléchir sur les politiques d’urbanisation face à la diversité culturelle des populations des terroirs.

Les autorités béninoises soucieuses également de la préoccupation, ces réflexions viennent donc à point nommé. « Le colloque de cette année se tient dans une situation particulière où les collectivités territoriales décentralisées sont appelées à jouer leur partition dans le renforcement du lien social et l’attachement aux territoires des populations dans toutes leurs diversités. Les arts et la culture apparaissent comme des réponses appropriées dans la nécessité au mobile inscrit cette problématique dans leur agenda d’investissement », a laissé entendre Raphaël Akotègnon, Ministre de la Décentralisation et de la Gouvernance Locale dans son discours de lancement.

Prenant la parole à son tour, Luc Atrokpo, maire de la ville de Cotonou va lever un coin de voile les composantes des panels de discussions prévus. Ils sont au nombre de quatre, fait-il savoir. Les thématiques impactent particulièrement la vie des populations. Elles ont rapport avec la culture, les arts le sport, la rue le vodou ».

L’AIMF par la voix de Pierre Ballet son Secrétaire Permanent a invité tous les participants à suivre avec attentions les discussions ceci pour une bonne gouvernance culturelle des collectivités territoriales. Ceci en attendant d’autres discussions qui visent les mêmes objectifs.

Par C.K

Congrès AIMF 2023: Les travaux s’ouvrent à Cotonou sous le management du maire Luc Atrokpo

Le démarrage des travaux du 43ᵉ Congrès de l’Association Internationale des Maires Francophones (AIMF) est effectif au Palais des Congrès de Cotonou depuis la matinée de ce 11 octobre 2023. Les mots de bienvenu du maire Luc Atrokpo ont donné le top.

Le démarrage des travaux du 43ᵉ Congrès de l’Association Internationale des Maires Francophones (AIMF) est effectif à Cotonou depuis la matinée de ce 11 octobre 2023. Les mots de bienvenu du maire Luc Atrokpo ont donné le top.

« Les Dialogues Sous Régionaux Comme Instrument Du Co-Développement De La Diplomatie Des Villes ». Ainsi se présente le thème de la communication qui a donné le top des réflexions des assises de la 43ᵉ Conférences de l’Association Internationale des Maires Francophone à Cotonou. Prennent part à ces assises, des personnalités des collectivités territoriales venues de 54 pays du monde. Entre autres personalités phares le Secretaire permanent de l’AIMF en occurrence Pierre BAILLET, des maires des granges villes francophones, des présidents de régions des Grands Lacs, de l’Océan Indien et d’Asie du Sud-Est et bien d’autres.

Avec les assises de l’AIMF à Cotonou, il est de manifester davantage la volonté des élus municipaux des pays francophones de concrétiser une nouvelle coopération décentralisée conforme aux réalités du monde actuel. « Je reste donc persuadé que notre monde se porterait davantage mieux si les autorités locales avaient une place autour des tables de négociation et de prise des décisions qui engagent la planète toute entière. », a lancé Luc Atrokpo maire de la municipalité à l’endroit des participants dans son discours d’ouverture.

Table ronde, colloque des arts et cultures et autres consultations sont entre les grandes activités prévues dans le cadre de ce congrès qui va connaitre la participation de Anne Hidalgo maire de la ville de Paris et présidente de l’AIMF.

Par Christophe KPOSSINOU