Côte d’Ivoire : arrestation d’un membre influent du parti de Guillaume Soro

Générations et peuples solidaires (GPS) annonce l’arrestation de l’un de ses soldats. Dans un communiqué en date du lundi 12 août 2024, le parti de Guillaume Soro informe que…

Générations et peuples solidaires (GPS) annonce l’arrestation de l’un de ses soldats. Dans un communiqué en date du lundi 12 août 2024, le parti de Guillaume Soro informe que Traoré Mamadou n’est plus libre de ses mouvements.

Membre de la Commission d’Orientation et de Coordination (COC) et formateur au sein de la Commission Formation et Livres de Générations et Peuples Solidaires (GPS), ce dernier a d’abord été « convoqué dans les locaux de la Police criminelle le jeudi 8 août 2024″ où il  » a été placé en garde à vue », indique le communiqué signé de la Cellule de communication. Traoré Mamadou a ensuite été « transféré le vendredi 9 août 2024 au Pôle Pénitentiaire d’Abidjan ».

Il est « accusé d’avoir exprimé des opinions critiques sur le fonctionnement de certaines institutions de la République à la suite du défilé du 7 août 2024 ».

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arrestation et détention de Traoré Mamadou, membre de la Commission d’Orientation et de Coordination (COC) et formateur au sein de la Commission Formation et Livres de Générations et Peuples Solidaires (GPS).

Pour le parti de l’ancien président de l’Assemblée nationale Ivoirienne, cette arrestation « est une violation grave de la liberté d’expression et d’opinion, pourtant garanties par la Constitution », dénonçant au passage un « acharnement » dont « Traoré Mamadou est victime », avec cette seconde arrestation.

GPS en profite pour condamneŕ la « pression ciblée et brutale dont ses cadres et ses militants sont victimes depuis la naissance du Mouvement’.

Et tout en réaffirmant sa « détermination à mener la bataille judiciaire de sa libération et la lutte pour la cessation du harcèlement contre le Mouvement, ses dirigeants et ses militants », le parti demande la libération immédiate de Traoré Mamadou.

Affaire à suivre …

Manassé AGBOSSGA

Explication en français facile du Patriotisme : Richard Boni Ouorou sort la jeunesse du piège des politiciens manipulateurs

Le monde entier célèbre ce 12 août la Journée internationale de la jeunesse. Moment choisi par le Politologue Richard Boni Ouorou pour entretenir les jeunes de son pays sur le Patriotisme, un concept, objet de manipulation par certains politiciens.

Le monde entier célèbre ce 12 août la Journée internationale de la jeunesse. Moment choisi par le Politologue Richard Boni Ouorou pour entretenir les jeunes de son pays sur le Patriotisme, un concept, objet de manipulation par certains politiciens. Explication en Français facile…

Chers jeunes béninois,

Aujourd’hui alors qu’on célèbre la journée de la jeunesse, je voudrais nous inviter à une réflexion assez profonde sur le sens du patriotisme du moins comment je le conçois.

Est-ce donc important d’être patriote ?

« La patrie, c’est la maison des hommes. » – Albert Einstein

Le patriotisme, cette idée souvent glorifiée par les discours enflammés et les drapeaux flottants, mérite une réflexion plus profonde. Est-il vraiment si important d’être patriote ? La question semble simple, mais elle ouvre la porte à une multitude de considérations philosophiques et éthiques.

Personnellement Je n’y crois pas, car je vois en lui un autre mensonge créé par les politiciens pour nous pousser à nous battre et à mourir à leur place. Pourquoi être patriote dans un pays où vous n’avez même pas la certitude que vos enfants auront un toit après votre mort ?

Mourir pour une cause qui laisse derrière soi des enfants déchirés et une famille en lambeaux ? Quand un patriote meurt, c’est un politicien qui prend le pouvoir et ne parle de vous que le temps d’un discours.

« Mourir pour des idées, l’idée est excellente ; moi, j’ai failli mourir de ne l’avoir pas eue. » – Georges Brassens

Le vrai patriotisme ne réside pas dans les sacrifices ultimes glorifiés par les puissants, mais dans les petits actes de la vie quotidienne. C’est s’occuper de sa famille, défendre son environnement, payer ses impôts, et partager de bonnes valeurs autour de soi.

Lorsque chaque famille sera à l’aise, avec des enfants bien éduqués qui ne mentent pas, ne volent pas et respectent les règles du vivre-ensemble, alors le pays se portera bien mieux.

« Le patriotisme, c’est l’amour des siens ; le nationalisme, c’est la haine des autres. » – Romain Gary

Il n’est donc pas nécessaire de mourir pour prouver son amour pour son pays. Il suffit de vivre pleinement, en harmonie avec les autres, en respectant leur paix et leur prospérité. En cultivant la bonté et le respect au quotidien, on bâtit une patrie forte et unie, loin des discours superficiels et des manipulations politiques.

« La grandeur d’un pays ne se mesure pas à sa puissance militaire, mais à la compassion de son peuple. » – Mahatma Gandhi

Ainsi, je ne mourrai pas pour vous, mais je m’assurerai que de mon vivant, je ne fasse rien qui dérange votre paix et votre prospérité. Car le vrai patriotisme, c’est de bâtir un monde où chacun peut vivre dignement, en paix et en harmonie.

Avec vous au plus profond de mon âme,

Richard Boni Ouorou 

Président Liberal Bénin 

Education-Examens de Licence 2024 au Bénin : voici le chronogramme des épreuves écrites :

A travers la note de service N°0472 en date du 31 juillet 2024, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique a dévoilé chronogramme des épreuves écrites des examens de Licence, session unique 2024. Selon ladite note, les compositions démarrent le 14 août prochain.

A travers la note de service N°0472 en date du 31 juillet 2024, la ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique a dévoilé chronogramme des épreuves écrites des examens de Licence, session unique 2024. Selon ladite note, les compositions démarrent le 14 août prochain. Téléchargez le fichier ci-dessous pour en savoir plus.

 

éducation-bénin-calendrier-examens_nationaux-licence-2024

Bénin : Le concours de recrutement de150 fonctionnaires de l’Etat au profit de la Direction Générale du Trésor à nouveau reporté

A travers un communiqué en date du 09 août 2024, le ministère du Travail et de la fonction publique a annoncé le report, pour une seconde fois, du concours de recrutement de cent cinquante (150) fonctionnaires de l’Etat au profit de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité. La date de composition prévue pour le samedi 24 août 2024 est à nouveau reportée au samedi 31 août 2024

A travers un communiqué en date du 09 août 2024, le ministère du Travail et de la fonction publique a annoncé le report, pour une seconde fois, du concours de recrutement de cent cinquante (150) fonctionnaires de l’Etat au profit de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité. La date de composition prévue pour le samedi 24 août 2024 est à nouveau reportée au samedi 31 août 2024, précise le communiqué signé du Directeur de cabinet, Victorin V. Honvoh.
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COMMUNIQUÉ 

Cotonou, le 09 AOUT 2024 

Le Ministre du Travail et de la Fonction Publique informe les candidats au concours de recrutement de cent cinquante (150) fonctionnaires de l’Etat au profit de la Direction Générale du Trésor et de la Comptabilité

Publique, qui n’ont pas pu fournir dans leurs dossiers le casier judiciaire, qu’ils sont invités impérativement à produire ladite pièce du lundi 12 au mercredi 14 août 2024.

En conséquence, le Ministre porte à la connaissance de tous les candidats que la date de composition prévue pour le samedi 24 août 2024 est à nouveau reportée au samedi 31 août 2024. 

Enfin, la liste définitive des candidats retenus sera rendue disponible sur le portail web du Ministère du Travail et de la Fonction Publique à l’adresse http://www.travail.gouv.bj et dans les Directions Départementales du Travail et de la Fonction Publique à partir du mardi 27 août 2024.

Pour le Ministre et P.O. Le Directeur de Cabinet,

Victorin V. HONVOH

Economie : Voici l’homme le plus riche de la Chine selon le dernier classement Bloomberg

Après l’actualisation ce vendredi 9 août 2024 du l’indice des hommes les plus riches du monde du Groupe Financier Bloomberg, un nouveau visage du commerce électronique devient l’homme le plus riche de la Chine.

Après l’actualisation ce vendredi 9 août 2024 du l’indice des hommes les plus riches du monde du Groupe Financier Bloomberg, un nouveau visage du commerce électronique devient l’homme le plus riche de la Chine.

Il aura passé seulement trois à la tête du classement des hommes les plus riches de la Chine. Zhong Shanshan puisque c’est de lui qu’il s’agit est déchu ce vendredi 9 août 2024 de sa place par un autre compatriote. Il s’agit de Colin Huang. Ce dernier selon le classement de l’Agence Bloomberg des hommes les plus riches du monde est désormais l’homme le plus riche de la Chine.

Agé de 44 ans, Colin Huang a fait fortune dans le commerce en ligne. Il est le fondateur du Groupe PDD Holdings qui est le propriétaire de la plateforme de vente en ligne Temu.

Selon l’Agence Bloomberg, la valeur nette de la fortune de Colin Huang est estimée à 48,6 milliards de dollars. Au plan mondial, il est la 25ème fortune derrière l’américain Jean Mars (50,7 milliards de dollars) et devant Zhong Shanshan (47,4 milliards de dollars) dont il a pris la place.

Ce classement est dominé par l’Américain Elon Musk qui reste l’homme le plus riche du monde avec une fortune de 228 milliards de FCFA.

Ci-joint le dernier classement Bloomberg des hommes les plus riches du monde

https://www.bloomberg.com/billionaires/

Par Christophe KPOSSINOU

Côte d’Ivoire : Soro, Gbagbo, Thiam, Ehivet et plusieurs partis de l’opposition font une demande à Ouattara

En Côte d’Ivoire, des partis de l’opposition et organisations de la société civile regroupés sous le vocable « Groupement de partis politiques et d’organisations de la société civile » ont animé un point de presse ce vendredi 09 août 2024. Principal sujet abordé : la présidentielle de 2025.

En Côte d’Ivoire, des partis de l’opposition et organisations de la société civile regroupés sous le vocable « Groupement de partis politiques et d’organisations de la société civile » ont animé un point de presse ce vendredi 09 août 2024. Principal sujet abordé : la présidentielle de 2025.

A l’occasion, le GPS de Guillaume Soro, le PDC-RDA de Tidjane Thiam, le PPA-CI de Laurent Gbagbo, le MGC de Simone Ehivet et autres ont fait une demande au président Alassane Ouattara. Ils demandent « au gouvernement d’engager un vrai dialogue, c’est-à-dire un dialogue inclusif avec les partis politiques, les organisations de la société civile et l’ensemble des forces vives de la nation ».

« Ce dialogue devra permettre entre autres sujets importants à examiner, d’aboutir à des reformes électorales nécessaires et consensuelles dans leurs aspects juridiques et constitutionnels, organisationnels, sécuritaires et de financement à même de conduire à une élection inclusive, crédible et transparente en 2025, répondant aux standards internationaux et gage d’un nouveau départ de la Côte d’Ivoire dans la justice, l’équité et les droits civiques de tous les citoyens », précise le Groupement de partis politiques et d’organisations de la société civile.

ADO appréciera !!!

M.A

GROUPEMENT DE PARTIS POLITIQUESET D’ORGANISATIONS DE LA SOCIÉTÉ CIVILE

POINT DE PRESSE COMMUN

ABIDJAN, LE VENDREDI 9 AOÛT 2024

Mesdames et Messieurs les journalistes.

Distingués invités,

Mesdames et Messieurs.

Chers concitoyens,

Je voudrais vous saluer tous et vous remercier d’avoir répondu massivement à notre appel de ce jour.

Je prends la parole au nom d’un ensemble d’organisations politiques et de la société civile. Ce sont :

– onze (11) partis et mouvements politiques, à savoir le MGC, le PDCI, le PPA-CI, le COJEP, le GPS, l’URD, l’AIRD, le RPP, le PIP, Objectif République, le Renouveau Démocratique ;

– deux (2) groupements d’organisations de la société civile, à savoir la FIDHOP et la PEC-CI.

Le présent point de presse commun vise deux objectifs essentiels.

− D’une part, il s’agit d’afficher ensemble notre volonté commune de construire un groupement uni, solide pour obtenir des réformes en profondeur du système électoral. Cette unité des partis politiques et des organisations de la société civile, tant souhaitée par la majorité des populations ivoiriennes, est une nécessité impérieuse pour sortir définitivement des crises électorales aux conséquences tragiques.

− D’autre part, nous sommes ensemble devant vous ce jour pour affirmer notre désaccord relativement au processus électoral tel qu’engagé actuellement, de façon générale et en particulier pour dénoncer l’opération de révision de la liste électorale telle qu’elle est annoncée par la CEI.

Mesdames et Messieurs.

Comme vous le savez tous, une élection présidentielle aura lieu dans notre pays l’année prochaine. Nous sommes tous mobilisés pour assurer que cette élection se tient dans la paix, sans violence d’aucune sorte ; qu’elle soit tout simplement une élection apaisée, après toutes les crises électorales que notre pays a connues.

Or, notre système électoral actuel est l’une des sources majeures de conflits sociopolitiques qui occasionnent des crises graves en Côte d’Ivoire depuis 2010. Ce système ne peut donc pas, en l’état, garantir des élections apaisées dans notre pays. Malheureusement, si l’on n’y prend garde, la situation risque de perdurer puisque le gouvernement est resté jusque-là sourd aux nombreux appels des partis dans l’opposition et des organisations de la société civile qui réclament un dialogue politique franc et ouvert à tous. De surcroit, la Commission Électorale dite Indépendante (CEI) a engagé, de manière unilatérale le processus électoral et procède pour chacune des étapes de ce processus à une sorte de passage en force.

Après l’actualisation presqu’en catimini de la cartographie électorale et la programmation à tâtons de l’installation des commissions électorales locales, l’on a appris ces derniers jours, à travers la presse en ligne, que l’opération de révision de la liste électorale tant attendue par nos populations débuterait le 30 septembre pour prendre fin le 31 octobre 2024. Cette opération cruciale, qui doit permettre, entre autres, aux nombreux nouveaux majeurs et à tous les Ivoiriens non encore inscrits sur la liste électorale de le faire pour devenir membres du corps électoral, ne durera que 30 jours, soit un mois. Cette autre initiative confirme davantage la volonté de la CEI de passer outre la recherche de solutions concertées, prônées autant par les partis politiques dans l’opposition que par les organisations de la société civile, à l’approche de l’élection présidentielle de 2025.

Cette situation projette déjà le spectre d’une autre crise électorale aux conséquences imprévisibles en Côte d’Ivoire.

Les organisations politiques et celles de la société civile réunies en ce lieu veulent, dans une dynamique d’unité, travailler à mettre fin à ce cycle infernal pour garantir à notre pays une vie démocratique normale et apaisée. C’est véritablement le sens de ce point de presse commun.

Mesdames et Messieurs.

Il est de notoriété publique qu’en raison des crises que le pays a connues, de nombreux Ivoiriens n’ont pas d’extrait de naissance. Une procédure spéciale a même été mise en place par le gouvernement pour régler ce problème. Malheureusement, cette procédure ne fonctionne pas correctement, car la lenteur et les lourdeurs administratives ainsi que les coûts qui en découlent découragent les requérants. Il en est de même pour l’obtention de la Carte Nationale d’Identité (CNI). Ne nous voilons pas la face, tous les Ivoiriens savent qu’il est impossible d’obtenir dans des délais raisonnables un certificat de nationalité pour se faire établir une CNI. À cela, s’ajoutent les coûts que génèrent ces documents administratifs, qui, pour la majorité des Ivoiriens restent élevés compte tenu de la cherté de la vie tant décriée par tous.

Par ailleurs, en consultant les chiffres du gouvernement tels qu’ils sont donnés dans les statistiques du Recensement Général de la Population et de l’Habitat de 2021 (RGPH 21), la population de nationalité ivoirienne, âgée de 18 ans et plus, était de 12 593 428 en 2021. Avec un taux de croissance moyen annuel de près de 3%, le nombre d’Ivoiriens en 2024 de plus de 18 ans et donc en âge de voter et qui devrait figurer sur la liste électorale est estimé à plus de 13 millions de citoyens. Quand on sait que trois années se sont écoulées de 2021 à 2024 et que par conséquent la population électorale actuellement de 8 012 424 d’inscrits a forcément augmenté, le minimum de nouveaux électeurs que l’on est en droit d’attendre de l’opération de révision de la liste électorale est de 5 millions de personnes.

Mesdames et Messieurs.

Nous estimons que l’inscription de nouveaux majeurs et de nouveaux électeurs sur la liste électorale ne doit pas être limitée dans le temps. C’est ce qui se fait dans de nombreux pays en Afrique, en Europe, en Asie et aux États-Unis d’Amérique.

Nous demandons que la liste électorale soit ouverte jusqu’à 03 mois de l’élection présidentielle d’octobre 2025, c’est-à-dire jusqu’à la fin du mois de juillet 2025. En tout état de cause, la révision de la liste électorale ne doit pas faire partie des raisons du faible taux de participation des populations ivoiriennes aux échéances électorales à venir. Nous avons le devoir d’éviter que beaucoup de nos concitoyens ne puissent pas s’inscrire sur la liste électorale à cause du délai artificiel que leur impose la CEI.

Rappelons qu’en 2020, une période de 21 jours avait été consacrée à l’opération de Révision de la Liste Électorale pour une population électorale potentielle d’un peu moins de 9 600 000 personnes. Cette opération avait abouti à un chiffre global de 7 495 082 personnes représentant la population électorale révisée.

En 2022, alors que le nombre d’électeurs potentiels avait augmenté et était passé à 12 600 000, la période réservée aux opérations d’inscription, de mise à jour du statut et de vérificatiqs²nh cv²on de la présence des électeurs sur la liste électorale avait été de 32 jours. Nous le savons tous, il en a résulté la population électorale actuelle de 8 012 424.

Il apparaît clairement que cette limitation de la durée constatée des deux dernières opérations de révision de la liste électorale est contre-productive puisqu’elle n’a permis d’enregistrer qu’environ 500 000 nouveaux électeurs entre 2020 et 2022.

Mesdames et Messieurs.

Au regard de ce qui précède, les organisations politiques et de la société civile, signataires de la présente déclaration adoptent la position commune articulée autour des points ci-après :

1) nous affirmons que la révision de la liste électorale telle qu’envisagée n’est ni objectivement, ni techniquement réalisable dans le délai projeté, parce qu’il s’agit d’inscrire en 30 jours, des millions d’électeurs à qui il faut donner le temps et les moyens d’obtenir les pièces nécessaires à l’accomplissement de ce devoir citoyen. CE N’EST PAS POSSIBLE !

2) nous affirmons que la programmation, les modalités d’organisation et de financements de ces opérations préélectorales doivent se dérouler dans un cadre de concertation avec l’organe chargé des élections ;

3) nous demandons au gouvernement d’engager un vrai dialogue, c’est-à-dire un dialogue inclusif avec les partis politiques, les organisations de la société civile et l’ensemble des forces vives de la nation. Ce dialogue devra permettre entre autres sujets importants à examiner, d’aboutir à des reformes électorales nécessaires et consensuelles dans leurs aspects juridiques et constitutionnels, organisationnels, sécuritaires et de financement à même de conduire à une élection inclusive, crédible et transparente en 2025, répondant aux standards internationaux et gage d’un nouveau départ de la Côte d’Ivoire dans la justice, l’équité et les droits civiques de tous les citoyens.

Mesdames et Messieurs.

Nous voulons prendre à témoin la communauté nationale et internationale et interpeller le gouvernement sur la nécessité pour la Côte d’Ivoire de trouver des solutions consensuelles à l’ensemble des problèmes liés au système électoral en vue d’assurer l’organisation d’élections inclusives, crédibles et apaisées et de garantir ainsi la démocratie et la paix dans notre pays qui n’a que trop souffert des crises dites post-électorales.

La survie de notre nation en dépend.

Que Dieu Bénisse la Côte d’Ivoire !

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Confédération Africaine de Football : Ce qu’il faut savoir sur la cause de décès de l’ancien président Issa Hayatou

L’ancien président de la Confédération Africaine de Football (Caf) a rendu l’âme dans la journée du jeudi 8 aout 2024. S’il est reconnu que l’homme était malade, c’est un malaise en plein traitement qui va précipiter sa mort.

L’ancien président de la Confédération Africaine de Football (Caf) a rendu l’âme dans la journée du jeudi 8 aout 2024. S’il est reconnu que l’homme était malade, c’est un malaise en plein traitement qui va précipiter sa mort.

Issa Hayatou a succombé à un arrêt cardiaque. Tel est le principal malaise qui a précipité l’homme qui a dirigé le football Africain pendant 29 ans dans la tombe. L’information émane des sources du magazine Jeune Afrique qui précise que le décès a eu lieu dans les locaux de l’Hôpital américain de Paris, à Neuilly-sur-Seine où il était soigné depuis plusieurs mois.

Né en 1942 à Garoua au Cameroun, Issa Hayatou fut Athlète, Basketteur, footballeur et parallèlement professeur d’Education Physique et Sportive dans son pays avant de devenir président de la Confédération Africaine de Football en 1988.

Une figure emblématique du football Africain vient ainsi de quitter ce monde et les sportifs lui sauront rendre l’hommage mérité dans les jours à venir.

Par Christophe KPOSSINOU

Bénin : Le jeudi déclaré férié, chômé et payé

Avis aux fonctionnaires et agents de l’Etat ! Dans un communiqué en date du vendredi 09 août 2024, la ministre du Travail et de la fonction publique, Adidjatou Mathys annonce que la journée du jeudi 15 août 2024 est fériée, chômée et payée sur toute l’étendue du territoire national. Ceci en raison de la fête de l’Assomption.

Vive les mariés ! Laurent Gbagbo et Nady Bamba se sont dit oui devant le Maire et à l’Eglise

Trois ans après l’officialisation de son divorce avec Simone Ehivet, Laurent Gbagbo vient d’officialiser son union, avec celle qui était jusque là sa deuxième femme. L’ancien président ivoirien, 70 ans et Nadine Bamba, 50 ans se sont dit oui devant le Maire et à l’Eglise.

Trois ans après l’officialisation de son divorce avec Simone Ehivet, Laurent Gbagbo vient d’officialiser son union, avec celle qui était jusque là sa deuxième femme. L’ancien président ivoirien, 79 ans et Nady Bamba, 50 ans se sont dit oui devant le Maire et à l’Eglise.

Selon une note de la Cellule de communication du PPA-CI, ils « se sont unis hier jeudi 8 Août 2024 devant le maire de Cocody , Jean marc Yacé et à l’église catholique , en toute discrétion » .

Jeanette Koudou  et Laurent Ottro Zirignon étaient respectivement , les témoins de Laurent Gbagbo devant le maire et à l’église.

Après le discret mariage, célébré en présence de quelques membres de la famille et de quelques membres de la haute direction du PPA-CI, Laurent Gbagbo et Nady Bamba ont » ensuite partagé un repas avec leurs invités dans une belle ambiance , en toute sobriété », précise la note.

Reste désormais à savoir si le couple va s’envoler pour la lune de miel ou si la nuit du jeudi 08 août 2024 a été mouvementée.

Loin de cette double interrogation kpakpatotique, félicitations aux mariés !

Manassé AGBOSSAGA

Bénin-Année scolaire 2024-2025 : mutation des enseignants de la maternelle et du primaire, liste

Par arrêté N°054 en date du 02 août 2024, le ministre des Enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou  a procédé à la mutation des personnels enseignants de la maternelle et du primaire pour le compte de la prochaine rentrée scolaire.

Par arrêté N°054 en date du 02 août 2024, le ministre des Enseignements maternel et primaire, Salimane Karimou  a procédé à la mutation des personnels enseignants de la maternelle et du primaire pour le compte de la prochaine rentrée scolaire. Téléchargez le fichier ci-dessous pour découvrir l’identité des personnes concernées.

 

mutation-du-personnel-enseignant-au-MEMP_2024