Football : Le calendrier de la Super Ligue Pro saison 2023-2024 enfin connu 

Au Bénin, le calendrier de la Super Ligue Pro saison 2023-2024 enfin connu. Le président de la Ligue de Football du Bénin, Pamphile Zomahoun, a dévoilé ledit calendrier. Pendant 24 journées, les équipes rivaliseront pour couronner le champion. La Super Ligue Pro saison 2023-2024  démarre le 10 février prochain avec la 1ère journée.

Au Bénin, le calendrier de la Super Ligue Pro saison 2023-2024 enfin connu. Le président de la Ligue de Football du Bénin, Pamphile Zomahoun, a dévoilé ledit calendrier. Pendant 24 journées, les équipes rivaliseront pour couronner le champion. La Super Ligue Pro saison 2023-2024  démarre le 10 février prochain avec la 1ère journée.

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Décentralisation : Ulrich Sokègbé désigné nouveau maire de Djakotomey

Fin du suspense à la mairie de Djakotomey. L’identité du nouveau maire, suite au décès de Bruno Fangnigbé, le vendredi 8 septembre 2023, est enfin connue. Il s’agit : Ulrich Sokègbé.

Fin du suspense à la mairie de Djakotomey. L’identité du nouveau maire, suite au décès de Bruno Fangnigbé, le vendredi 8 septembre 2023, est enfin connue. Il s’agit : Ulrich Sokègbé.

Ulrich Sokègbé a été désigné par l’Union progressiste le Renouveau, parti majoritaire au sein du conseil communal de Djakotomey pour conduire les destinées de la commune après le décès de Bruno Fangnigbé. Antoine Gnikle est désormais le premier adjoint au maire, tandis que Victorine Agbemahloué va occuper le fauteuil de 2è adjointe au maire.

Par arrêté préfectoral en date du mercredi 31 janvier, le Préfet du Couffo, Christophe Mégbédji annonce l’installation du nouveau maire de Djakotomey et de ses deux adjoints pour le lundi 05 février.

Les 25 conseillers communaux sont donc attendus à la salle de conférence de ladite mairie à 10 H.

M.A

INMES : Appel à candidature pour le recrutement des étudiants infirmiers et sage-femmes au titre de l’année académique 2023-2024

A travers une note en date du 29 janvier 2024, la Directrice de l’INMES, Lisette ODOULAMI YEHOUESSI lance un appel à candidature pour le recrutement des étudiants infirmiers et sage-femmes de la première cohorte de formation par << Passerelle » au grade académique de Licence en Sciences Infirmières (IDE) et de Licence en Sciences obstétricales (SFE). Lire ci-dessous l'appel à candidature.

A travers une note en date du 29 janvier 2024, la Directrice de l’INMES, Lisette ODOULAMI YEHOUESSI lance un appel à candidature pour le recrutement des étudiants infirmiers et sage-femmes de la première cohorte de formation par << Passerelle » au grade académique de Licence en Sciences Infirmières (IDE) et de Licence en Sciences obstétricales (SFE). Lire ci-dessous l’appel à candidature.

Appel à candidature pour le recrutement des étudiants infirmiers et sage-femmes de la première cohorte de formation par << Passerelle » au grade académique de Licence en Sciences Infirmières (IDE) et de Licence en Sciences obstétricales (SFE) à l’Institut National Médico- Sanitaire de l’Université d’Abomey-Calavi. 

Dans le cadre du démarrage de la formation continue par « Passerelle » au grade académique de Licence en Sciences Infirmières et Obstétricales, la Directrice de l’Institut National Médico-Sanitaire (INMES) de l’Université d’Abomey-Calavi (UAC) lance un appel à candidature pour le recrutement de la première cohorte des étudiants-es infirmiers-ères et sages-femmes au titre de l’année académique 2023-2024.

Peut faire acte de candidature, tout professionnel infirmier ou sage-femme remplissant les conditions suivantes :

Avoir le diplôme d’état d’infirmier ou le diplôme d’état de sage-femme (Brevet d’études du premier cycle + 3 ans de formation) obtenu à l’Institut National Médico-Social (INMES) ou à l’étranger

Avoir une expérience professionnelle effective d’au-moins dix ans après l’obtention du diplôme d’état d’infirmier ou du diplôme d’état de sage-femme.

Les dossiers de candidature doivent comporter les pièces suivantes 

Dossier de Validation des Acquis de l’Expérience Professionnelle (VAEP) 

⚫ une demande manuscrite adressée à Monsieur le Recteur de l’Université d’Abomey-Calavi

(Attention: M. le Vice-Recteur chargé des affaires académiques);

⚫ une copie légalisée du diplôme de Brevet d’Etudes du Premier Cycle (BEPC) ou tout autre diplôme admis en équivalence au début de la formation

⚫ une copie légalisée du diplôme d’Etat de sage-femme ou d’infirmier;

⚫ une équivalence des diplômes obtenus à l’étranger;

o un extrait d’acte de naissance sécurisé;

un certificat de nationalité;

un acte d’engagement, acte de nomination ou contrat

o un curriculum vitae ; poste…..)

une preuve de dix années d’expériences professionnelle (attestation ou certificat de travail,

attestation ou certificat de première prise de service, attestation de présence au

o une quittance de 10.000 francs pour les frais d’étude de dossier.

o Un cartable à rabat

Dossier d’inscription en Licence en sciences infirmières et obstétricales par << Passerelle »

Nota Bene:

une demande manuscrite adressée à Madame la Directrice de l’Institut National Médico-Sanitaire (INMES)

une copie légalisée de l’attestation de Validation des Acquis d’Expériences Professionnelles

(VAEP) délivrée par l’Université d’Abomey-Calavi (Valable uniquement dans le cadre de la formation par «Passerelle » à l’INMeS);

un engagement légalisé à payer les frais de formation pour les deux années de formation (quatre semestres du système LMD);

une quittance de 10.000FCFA à verser sur le compte Trésor Public BJ660 01001 000001044385 40 pour l’étude du dossier par la Commission Universitaire de Contrôle d’Aptitude (CUCA) de I’INMES;

une quittance de 2.000FCFA à verser sur le compte Trésor Public 506100001476 pour l’étude du dossier par la Commission Universitaire d’Orientation (CUO);

une chemise cartable à rabat.

– les deux dossiers peuvent être déposés ensemble au secrétariat particulier de la Directrice de l’INMES, sans

l’attestation de VAEP, les jours ouvrables de 9h00 à 11h00 et de 14h00 à 15h30.

– la date limite de dépôt des dossiers est fixée au vendredi 17 février 2024 à 16h00. Aucun dossier ne sera

accepté après cette date et tout dossier incomplet est irrecevable.

– les frais d’inscription et de formation s’élèvent à 415 000 FCFA par an..

Directrice de l’INMES

Lisette ODOULAMI YEHOUESSI

Professeur titulaire d’ophtalmologie

 

Mairie de Boukoumbé : Démission de la Responsable des affaires administratives et financières

La mairie de Boukoumbé est sans Responsable des affaires administratives et financières (Raaf) depuis quelques jours. Pour cause, Marcelline Fifamè Ahouansou, qui occupe le poste, vient de rendre le tablier, rapporte le quotidien Matin Libre.

La mairie de Boukoumbé est sans Responsable des affaires administratives et financières (Raaf) depuis quelques jours. Pour cause, Marcelline Fifamè Ahouansou, qui occupe le poste, vient de rendre le tablier, rapporte le quotidien Matin Libre.

Selon la même source, la désormais ex Raaf de la mairie de Boukoumbé a jeté l’éponge, via, une lettre de démission transmise à la secrétaire exécutive, qui en a pris acte.

La démissionnaire évoque des « Raisons familiales ».

M.A

Bénin : Patrice Talon en déplacement à l’étranger

Le chef d’Etat Béninois n’est pas présent sur le territoire national. Patrice Talon est en déplacement à l’étranger.

Le chef d’Etat Béninois n’est pas présent sur le territoire national. Patrice Talon est en déplacement à l’étranger.

Bip Radio confie qu’il s’est envolé pour la capitale française à la fin du conseil des ministres, tenu hier mercredi 31 janvier. Patrice Talon devrait séjourner à Paris pour quelques jours. Les raisons de ce voyage sont inconnues.

Pour l’heure, le service presse de la Présidence n’a filé aucune information sur ce déplacement à l’étranger du chef de l’État.

M.A

Khalifa Sall à propos de la présidentielle sénégalaise, « il y aura un second tour dans ce scrutin…j’y serai »

Interrogé sur ses relations distendues, au sein de l’opposition au Sénégal, avec Ousmane Sonko, Khalifa Sall affirme qu’il n’y a pas rupture, mais que chacun suit sa voie. « En juin dernier, j’ai accepté d’aller au dialogue national initié par le président Macky Sall, parce que je crois au dialogue politique. J’ai même accepté de dialoguer quand j’étais en prison. »

Parce qu’il revendique 57 ans de militantisme et qu’il a été deux fois maire de Dakar, de 2009 à 2018, Khalifa Sall, le leader de la plate-forme Taxawu Sénégal, se dit certain de se qualifier pour le second tour de la prochaine présidentielle. « Tout le monde sait qu’il y aura second tour, c’est la réalité du moment, et je sais que j’y serai », déclare-t-il à RFI et France 24 dans une interview accordée à Saint-Louis du Sénégal. Et qui sera, selon lui, son adversaire du second tour ? « Peu m’importe celui que j’aurai en face de moi ».

Interrogé sur ses relations distendues, au sein de l’opposition au Sénégal, avec Ousmane Sonko, Khalifa Sall affirme qu’il n’y a pas rupture, mais que chacun suit sa voie. « En juin dernier, j’ai accepté d’aller au dialogue national initié par le président Macky Sall, parce que je crois au dialogue politique. J’ai même accepté de dialoguer quand j’étais en prison. »

À la question : « Espérez-vous attirer les électeurs orphelins de Karim Wade ? », Khalifa Sall réplique : « Il ne faut pas avoir un comportement de charognard. On est solidaire de Karim et, pour l’instant, on le soutient dans son combat pour intégrer le dispositif électoral ».

RFI & France 24 : Khalifa Sall, vous êtes donc candidat à l’élection présidentielle prévue le 25 février prochain. Vous n’êtes pas seul sur la ligne de départ. Il y a vingt candidats au total, mais manquent à l’appel deux des poids lourds de la politique sénégalaise, à savoir Ousmane Sonko et Karim Wade. Est-ce que ça veut dire que cette élection, avant d’avoir lieu, est d’ores et déjà tronquée ? 

Khalifa Sall : Merci beaucoup de cette opportunité qui m’est offerte par vos deux organes pour parler aux Sénégalais, à l’Afrique et au monde. Maintenant, vous me dites que nous allons aborder un scrutin tronqué. C’est votre mot. C’est vrai que cette élection est assez particulière. Sa première particularité, c’est que c’est la première fois qu’un chef d’État sortant n’est pas candidat et que c’est lui qui va organiser cette élection. Donc c’est pourquoi nous avons tous espoir que là, cela se passera sans qu’il y ait trop de dommages, sans qu’il y ait trop de contraintes. En tout cas, [Macky Sall] s’est engagé à organiser des élections sereines et sincères. Qu’il manque Karim Wade et Ousmane Sonko, c’est quelque chose de regrettable, parce que ce que nous aurions souhaité, c’est qu’il y ait tout le monde, que tous ceux qui prétendent postuler à servir ce pays puissent le faire à travers ce scrutin. Vous comprenez que c’est quelque chose que nous regrettons pour la vitalité démocratique, pour le jeu démocratique, et nous sommes de tout cœur avec tous les combats qu’ils mènent tous pour pouvoir intégrer le dispositif.

La surprise en fait, la vraie surprise du 20 janvier, c’est le rejet de la candidature de Karim Wade dont le parti avait accepté, pourtant, de participer au dialogue national de juin dernier à vos côtés aussi, avec votre parti Taxawu Sénégal. Est-ce que vous pensez, comme Karim Wade, que c’est un coup bas de la part d’Amadou Ba et du parti au pouvoir ? 

En tout cas, je suis solidaire de Karim. Je le lui ai dit de vive voix, ce qui lui est arrivé est injuste et difficilement acceptable, parce que ça fait deux scrutins de suite qu’il se prépare à prétendre servir son pays et que l’occasion ne lui est pas donnée pour le faire. C’est vrai aussi, j’ai été surpris qu’il ait été recalé pour cette raison-là.

La nationalité ? 

Voilà, la nationalité, parce qu’il avait conscience de la situation et je crois qu’il s’est donné les moyens d’y participer. C’est une manœuvre de qui ? C’est vrai, les accusations fusent, hein ? À chaque fois, il faut trouver les auteurs et je crois que la commission d’enquête parlementaire qu’ils ont initiée pourrait contribuer à élucider ce qu’il s’est passé réellement.

Alors cette commission d’enquête, le principe en a été accepté, est-ce que vous êtes solidaire de cette démarche qui a été prise à l’initiative du PDS de Karim Wade et est-ce que cela pourrait entraîner un report de la présidentielle ? 

Nous sommes solidaires de tous les combats que nos amis, nos frères et nos camarades de lutte mènent pour préserver, protéger leurs droits. Karim doit participer, devait participer à cette élection. Qu’il puisse se battre aujourd’hui est normal et nécessaire et compréhensible. Donc maintenant… La question que vous avez posée, c’est ?

Est-ce qu’on va vers un report éventuel de la présidentielle ? 

Je ne pense pas que ce soit la solution. Tout le monde sait que je suis contre le report. C’est ma position personnelle et on ne reporte pas une élection à 31 jours. Nous sommes à 31 jours du scrutin. Ce serait sur quelle base ? Qu’est-ce qui conduirait, qu’est ce qui justifierait, qu’est ce qui expliquerait un report ? J’aimerais bien en avoir les raisons. Parce que c’est ça le vrai problème, qu’est ce qui le justifierait ?

Alors le fait est que la mise à l’écart de Karim Wade fait que les gens qui auraient voté pour lui vont voter pour d’autres. Est-ce que vous espérez profiter de cette situation pour attirer des électeurs potentiels de Karim Wade, notamment ceux qui ne veulent plus du régime en place, et ceux qui ont peur d’Ousmane Sonko ? 

Karim Wade se bat, il ne faut pas qu’on ait un comportement de charognard. Pour l’instant, il mène un combat. Ce combat, nous en sommes solidaires. Il s’agit pour nous de le soutenir et de l’encourager à se battre. Le moment venu, quand il faudra aller au scrutin et qu’il faudra discuter, ce sera une seconde étape. Mais aujourd’hui, il n’est pas dans nos intentions de parler, d’aller travailler l’électorat de Karim. Pour l’instant, on le soutient et on est à ses côtés pour son combat.

Jusqu’au mois de juin dernier, Khalifa Sall, c’est-à-dire jusqu’au dialogue national initié par le président Macky Sall et auquel vous avez accepté de participer, vous étiez dans la coalition d’opposition Yewwi Askan Wi aux côtés d’Ousmane Sonko. Alors pourquoi avez-vous rompu ? Est-ce que c’est pour des raisons idéologiques ou est-ce que c’est tout simplement parce que votre présence au dialogue national était le prix à payer pour être candidat ? 

D’abord, je voudrais préciser que nous n’avons pas rompu avec Yewwi. Yewwi avait des statuts, des textes de code de conduite et des règles et nous avons été respectueux de ces règles. Il respecte ma position comme je respecte la sienne, parce que pour aller au dialogue, c’est une décision de chaque formation politique de la coalition. On n’a jamais dit, dans le texte de Yewwi, qu’il fallait une décision unanime pour aller au dialogue ou pas. Surtout que pour l’élection présidentielle, chacun a le droit d’être candidat ou non. Donc ce sont des choix que nous avons faits et que nous assumons. Nous avons été au dialogue, pas parce qu’il y avait l’élection présidentielle, mais parce que d’abord, nous croyons au dialogue politique dans ce pays. C’est important. D’abord, j’ai dialogué alors que j’étais en prison, j’ai participé à tous les dialogues alors que j’étais en prison. Je n’étais pas candidat et pourtant j’étais là, j’étais à tous les dialogues. Aujourd’hui, le président nous a conviés à ce dialogue. Nous y sommes allés.

Alors ne craignez-vous pas pendant cette élection d’être broyé par la machine électorale du camp présidentiel ? Je vous vois sourire, sans doute parce que vous avez une longue expérience électorale, mais c’est vrai, il y a quand même une machine dans le camp d’en face. Vous êtes en situation de faiblesse, non ? 

Pas du tout. Pourquoi serions-nous en position de faiblesse ? C’est une élection présidentielle, c’est un problème de personne. Ce sont des hommes et des femmes qui se présentent à nos concitoyens pour solliciter leurs suffrages à travers des projets, des programmes qu’ils vont leur proposer. Il s’agit de crédibilité, il s’agit de compétences, il s’agit de capacité et je suis très bien placé pour être le prochain président de la République du Sénégal. J’y suis préparé, je connais ce pays, je connais l’État et j’ai tous les atouts pour être élu. Je n’ai aucune inquiétude face au pouvoir.

Même face à Amadou Ba ? Est-ce que ce n’est pas un adversaire redoutable, le Premier ministre ? Je vous vois à nouveau sourire, pourquoi ? Vous ne le craignez pas ? 

Il ne faut jamais sous-estimer ses adversaires, jamais, c’est de la politesse, c’est de la correction. Il faut toujours respecter ses adversaires. Mais quand vous parlez d’être broyé ou d’être laminé, je pense que même là, le camp d’en face connait la réalité politique du moment.

Vous qui avez une longue expertise politique, de qui vous vous sentez le plus proche ? De la coalition au pouvoir Benno Bokk Yakaar ou de la coalition d’opposition Yewwi Askan Wi ? 

Je suis dans l’opposition depuis 24 ans. Je suis le plus ancien opposant depuis que le PS a perdu le pouvoir. Je suis dans l’opposition. J’ai eu tous mes mandats en étant opposant. J’ai été élu et réélu député, j’ai été élu et réélu maire de Dakar, toujours en étant dans l’opposition, je n’ai pas besoin d’aller à Benno [Bokk Yakaar]. Donc je reste dans l’opposition. Je suis lié par les contrats moraux que nous avons signés au niveau de l’opposition, que ce soit dans le F24 et autres, ça m’engage. J’ai apposé ma signature.

Alors vous vous battez, comme vous l’avez dit, pour gagner, mais si jamais vous n’y parvenez pas, si jamais, par exemple, vous ne parvenez pas au second tour…

Je ne l’envisage même pas.

Est-ce que vous pourriez faire une alliance électorale avec peut-être, justement, les gens de Yewwi Askan Wi, puisque vous n’êtes pas de Benno Bokk Yakaar ? 

Je ne l’envisage pas, je n’envisage pas d’être absent. Je serai au second tour.

Il y aura un second tour, pour vous ? 

Forcément. C’est la réalité politique du moment. Ceux qui vous disent, le premier tour… Bon, vous savez, il n’est pas interdit de rêver. Tout le monde sait qu’il y aura un second tour dans ce scrutin. On n’a jamais eu un scrutin aussi ouvert.

Et qui voyez-vous en face de vous au second tour ? 

Personne et je sais que j’y serai inch’Allah, peu importe celui que j’aurai en face de moi.

Venons-en à un sujet, hélas, triste : les jeunes Sénégalais qui partent en pirogue, au péril de leur vie, chercher un avenir meilleur en Europe. Les gouvernements ici et ailleurs, disent que oui, il faut créer des emplois, que les jeunes vont rester, mais on a l’impression que c’est une fatalité. Est-ce qu’à vos yeux c’est une fatalité, ou est-ce que vous avez la solution miracle pour endiguer ce flux ? 

Ce n’est pas une fatalité. Vous savez ce que me disent les jeunes ? On n’a aucune envie d’aller faire du « Barça ou Barsakh » [« Barcelone ou la mort »], aucune envie. Ils n’ont connu que la terre, l’agriculture, aujourd’hui ils sont laissés à eux-mêmes. Il y a des surfaces, des superficies énormes, qui ne peuvent pas être aménagées ou exploitées. Ces jeunes n’ont pas de terre, ils n’ont pas d’activité, ils n’ont pas de moyens sûrs, qu’est-ce que vous voulez qu’ils fassent ? Il vaut mieux mourir plutôt que de rester dans certaines situations, c’est ça le problème. La question, elle est économique et sociale, la solution sera économique et sociale. Développer ce pays dans son hinterland, faire en sorte que les gens aient les moyens de vivre et de travailler pour garder leur dignité, voilà le problème. Et on n’a pas besoin de vous pour ça. Nous devrions nous-mêmes revoir nos politiques économiques, revoir nos stratégies de développement pour répondre aux aspirations de ces populations qui, parce qu’elles n’ont plus de réponses, préfèrent la mort ou l’exil, plutôt que de rester dans la honte.

Par :Marc Perelman|Christophe Boisbouvier/France 24, Rfi

Offre d’emploi : l’Ambassade des Etats-Unis au Bénin recrute pour le poste de chauffeur

La mission américaine à Cotonou, au Bénin, recherche des personnes éligibles et qualifiées pour le poste de chauffeur au bureau des services généraux de l’ambassade. 

La mission américaine à Cotonou, au Bénin, recherche des personnes éligibles et qualifiées pour le poste de chauffeur au bureau des services généraux de l’ambassade. 
L’horaire de travail pour ce poste est : Temps plein (48 heures par semaine).
 Date de début : Le candidat doit être en mesure de commencer à travailler dans un délai raisonnable (4 semaines) après la réception de l’autorisation de l’agence et/ou des autorisations/certifications, sinon sa candidature pourrait prendre fin.
Salaire:(XOF) 4 848 036 CFA – (XOF) 8 543 854 CFA/Par An
Série/Niveau :LE-1015-3
Agence:Ambassade Cotonou
Informations sur le poste :
Emplacement:Cotonou, BN
Date de clôture :
(MM/JJ/AAAA)
02/07/2024

 

Voici comment postulez  

Rendez-vous sur  https://bj.usembassy.gov/embassy/jobs/ et cliquez ensuite sur “Electronic Recruitment Application (ERA)”
Avant de postuler, vous devez créer un compte dans le système ERA. Pour le faire, cliquez sur le lien ci-dessus, sur “ERA” et sur “login” dans le coin droit de l’écran afin de fournir les informations exigées. Vous utiliserez votre “Username” et “Password” pour accéder à un formulaire de demande d’emploi que vous remplirez et éditerez jusqu’au moment où vous serez prêt à soumettre votre candidature.

Révision de la constitution : Claudine Prudencio avertit et donne sa position

Les réactions s’enchaînent sur la proposition de loi portant révision de la constitution, portée par le député Assan Séibou. Dernière en date, celle de la présidente de la Renaissance nationale (RN).

Les réactions s’enchaînent sur la proposition de loi portant révision de la constitution, portée par le député Assan Séibou. Dernière en date, celle de la présidente de la Renaissance nationale (RN).

Dans un message adressé aux femmes du Bénin en ce dernier jour du mois de janvier, Claudine Prudencio a saisi la perche pour donner son avis sur le sujet. Et le moins que l’on puisse dire, c’est que l’ex-présidente de l’Institut national de la femme (INF) n’est pas emballée pas l’idée d’une nouvelle révision de la constitution, à moins de deux ans de la fin du mandat de l’actuel locataire de la marina.

Pour Claudine Prudencio, la révision de la constitution est un sujet « très sensible ». « Toute révision constitutionnelle forcée, notamment par voie parlementaire risque d’être considérée au-delà de nos frontières comme un coup d’État institutionnel et traitée comme tel », fait remarquer la présidente du parti RN.

Face à cela, elle « recommande de ne pas chercher par tous les moyens à détourner l’attention, ou encore à imaginer des prétextes pour forcer la décision ». « Il vaut mieux convaincre que de vaincre surtout lorsqu’il s’agit de réviser une Constitution révisée il n’y a pas si longtemps », conseille t-elle.

L’initiateur de la loi et ses soutiens apprécieront !!!

Manassé AGBOSSAGA

Ordre national du Bénin : nomination ou promotion à titre normal et civil, liste

Patrice Talon a signé un décret portant nomination ou promotion à titre normal et civil dans l’Ordre National du Bénin.

Patrice Talon a signé un décret portant nomination ou promotion à titre normal et civil dans l’Ordre National du Bénin. Lire ci-dessous le décret pour découvrir les cadres promus dans les ministères et institutions.

DECRET N°2024-731 DU 29 JANVIER 2024 Portant nomination ou promotion à titre normal et civil dans l’Ordre National du Bénin.

LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE, CHEF DE L’ETAT,

CHEF DU GOUVERNEMENT,

GRAND-MAITRE DE L’ORDRE NATIONAL DU BENIN,

Vu la loi n° 90-032 du 11 décembre 1990 portant Constitution de la République du  Bénin telle que modifiée par la loi N° 2019-40 du 07 novembre 2019;

Vu la loi N° 94-029 du 03 Juin 1996 portant réorganisation de l’Ordre National du Bénin telle que modifiée par la loi n° 2002-17 du 07 février 2007;

Vu les décrets n°99-243 du 14 mai 1999 et 2013-390 du 26 septembre 2013 portant nomination des membres du Conseil de l’Ordre National du Bénin ;

Vu la décision portant proclamation, le 21 avril 2021 par la Cour Constitutionnelle, des résultats définitifs de l’élection présidentielle du 11 avril 2021;

Vu le décret n°2021-447 du 08 septembre 2021 portant nomination du Vice-Grand  Chancelier de l’Ordre National du Bénin ;

Vu le décret n° 2023-410 du 26 juillet 2023 portant attributions, organisation et  fonctionnement du cabinet du vice-président de la République et des services de la Grande chancellerie du Bénin ;

Vu le décret n° 2023-507 du 10 octobre 2023 portant composition du Gouvernement ;

Vu le compte rendu intégral avec les conclusions issues des travaux de la Session  Ordinaire du Conseil de l’Ordre National du Bénin tenue du 19 juillet au 19 novembre 2023;

DECRETE:

Article premier 

MINISTERE DE LA JUSTICE ET DE LA LEGISLATION

Est élevé à titre normal et civil à la dignité de Grand officier dans l’Ordre National du Bénin pour prendre rang de la date de sa réception dans la nouvelle dignité, Feu AMOUSSOU-KPAKPA Zinsou Sèdjonouyovo, Magistrat à la retraite (Ancien Com/ONB par décret n°2000-507 du 17-10-2000).

Article 2 

Sont promues à titre normal et civil au grade de Commandeur dans l’Ordre National du Bénin pour prendre rang de la date de leur réception dans le nouveau grade, les personnalités dont les noms suivent :

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES 

Monsieur ADOVELANDE Simon Pierre, Gestionnaire des Projets (Ancien Off/ONB par décret n°2005-530 du 22-08-2005).

MINISTERE DE L’INTERIEUR ET DE LA SECURITE PUBLIQUE 

Messieurs :

N’DAH M’po Stéphane Arcadius, Contrôleur Général de Police (Ancien Off/ONB par décret n°2016-195 du 01/04/2016);

ALOUKOU Martin Agonman, Commissaire Divisionnaire de Police (Ancien Off/ONB par décret n°2016-195 du 01/04/2016);

LOKOTO Bernadin Jean Baguiri, Commissaire Divisionnaire de Police (Ancien Off/ONB par décret n°2016-195 du 01/04/2016).

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

Monsieur AKPONA Ayelerun Simon, Professeur Titulaire hors classe à la retraite (Ancien Off/ONB par décret n°2008-747 du 31/12/2008).

Article 3 

Sont promues à titre normal et civil au grade d’Officier dans l’Ordre National du Bénin pour prendre rang de la date de leur réception dans le nouveau grade, les personnalités dont les noms suivent :

ASSEMBLEE NATIONALE 

Monsieur OGOUTOLOU Pascal Oscar Afolabi Mariano, Administrateur des services parlementaires (Ancien Ch/ONB par décret n°2009-369 du 16/07/2009).

COUR SUPREME 

Messieurs

AVOGNON Sourou Innocent, Magistrat (Ancien Ch/ONB par décret n°2004-514 du 14/09/2004);

MADODE Onésime Gérard, Magistrat (Ancien Ch/ONB par décret n°2012-322 du 28/08/2012).

CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL 

Monsieur PARAÏSO Aziz Armel, Administrateur des Services Financiers. (Ancien Ch/ONB par décret n°2016-116 du 10/03/2016).

HAUTE AUTORITE DE L’AUDIO-VISUEL ET DE LA COMMUNICATION 

Monsieur AKPAKI Pierre Julien, Ingénieur des Télécommunications (Ancien Ch/ONB par décret n°2008-197 du 08/04/2008).

MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES, EN CHARGE DE LA COOPERATION

Monsieur AGOSSOU Ogo Pascal René, Inspecteur des douanes de 1ère classe (Ancien Ch/ONB par décret n°2016-247 du 05/04/2016).

MINISTERE DE L’INTERIEUR ET DE LA SECURITE PUBLIQUE 

Messieurs :

ADJANOHOUN Kouassi Félix Ismaïla, Contrôleur Général de Police (Ancien Ch/ONB par décret n°2015-223 du 17/04/2015);

AHOUANGBENON Noudéhouénou Dallys, Lieutenant-colonel (Ancien Ch/ONB par décret n°2016-572 du 14/09/2016);

BEHANZIN Hatodé Fiacre, Commissaire Principal de Police (Ancien Ch/ONB par décret n°2013-452 du 08/10/2013).

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

Monsieur LALEYE Adédjobi Philippe Kokou, Professeur titulaire (Ancien Ch/ONB par décret n°2014-651 du 03/11/2014).

Article 4 

Sont nommées à titre normal et civil au grade de Chevalier dans l’Ordre National du Bénin pour prendre rang de la date de leur réception dans l’ordre, les personnes dont les noms suivent :

ASSEMBLEE NATIONALE 

Messieurs :

HOUNGBEDJI Toviho Gustave Etienne, Administrateur des Finances et du Trésor ;

MIKPON James, Sociologue-Administrateur des services Parlementaires ;

NONVIGNON Ayivi Eloi, Comptable;

SEMASSA Adjimon Guy Modeste, Ingénieur Electronicien.

HAUTE COUR DE JUSTICE 

Monsieur VODOUGNON Kênassé Marc Joselito Kenneth, Administrateur.

COUR SUPREME 

Madame SALIOU Ogoulola Atoke Aline Christelle, Administrateur d’action culturell

Messieurs :

AFATON Djidonou Saturnin, Magistrat ;

AFFEWE Kodjihounkan Appolinaire, Officier de justice, Greffier;

DADJO Hubert-Arsène Houékpodoté, Magistrat ;

KILANYOSSI Mardochée Makanjuola Vignon, Magistrat ;

SAGBO Vignon André, Magistrat ;

SONSARE Mouhamadou, Administrateur;

TOUMATOU Goudjo Georges, Magistrat.

CONSEIL ECONOMIQUE ET SOCIAL 

Messieurs :

DOSSOUKPEZIN Timothée, Administrateur d’Action Culturelle ;

MORAKPAÏ Chabi Séké, Biologiste à la retraite.

HAUTE AUTORITE DE L’AUDIO-VISUEL ET DE LA COMMUNICATION 

Madame GNIMAGNON Inès Bernadette Houénoudé, Administrateur d’action culturelle.

MINISTERE DU DEVELOPPEMENT ET DE LA COORDINATION DE L’ACTION GOUVERNEMENTALE

Mesdames :

AHAMIDE Hokpongbé Armelle Coralie épse MEANGOUA, Ingénieur de la Planification;

TOSSOU Baï Alice Crescentia, Administrateur.

Messieurs :

AHODEKON Athanase, Ingénieur de la Planification;

BADA Adétona Olabissi Paterne, Ingénieur de la Statistique ;

DEDEGBE Charles, Professeur certifié.

MINISTERE DE L’ECONOMIE ET DES FINANCES, CHARGE DE LA COOPERATION 

Mesdames :

 

AKOTO Chilina Vicentia Sèmèvo, Administrateur des Impôts;

ALI YERIMA Chérifatou Arlette Florence, Administrateur des Services Financiers;

CHABI IRANIN Bona Taïbath, Administrateur du Trésor ;

• DOTOU Hortense Laure Kouessiba, Administrateur des Services Financiers;

KODJOGAN Houeffa Mireille Edwige, Administrateur des Banques et Finances.

Messieurs :

AFADJINOU Horace, Administrateur ;

AKAKPO-DJIHOUNTRY Erick Maxime Mensah, Administrateur des Impôts ;

AZANMASSO Alain Eudes, Administrateur des Impôts;

DOSSOU-YOVO Serge Oscar Gbenakpon, Informaticien et Spécialiste des Politiques de Développement;

FADJI Honorat, Administrateur des Impôts;

GOUNOU Zimé Kora, Assistant Recherche ;

HOUNKPEVI Marius Dossou, Administrateur des impôts;

HOUSSOU Mathias, Inspecteur des Finances;

MAMA OROU Charyabil Bawa, Administrateur des Impôts;

MEHOU Gabin Théotime, Administrateur des Services Financiers;

SOKPIN Lambert, Administrateur des Impôts.

Inspecteur des Douanes de 1ère classe OROU GUIDOU Sadeck;

Inspecteur des Douanes de 2ème classe ALOFA Rodrigue;

MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES 

Mesdames:

ADJOVI YEKPE Marcelline Paulette Alexandrine, Diplomate;

ADOUKONOU Houévo Angèle Evelyne Eléonore, Diplomate;

BIO GUENE Gnaki Pauline épse DJIBRIL, Interprète-Traductrice.

Messieurs :

AFOUKOU Franck Armel Ogouwa, Diplomate;

ARABA Marc Hermanne Gninadoou, Diplomate;

BIAOU Maurille Firmin, Diplomate;

DAGNON Serge, Juriste;

Do REGO Jean-Claude Félix, Gestion d’entreprise ;

GBAGUIDI Gbèhoumon Sylvère Brice, Diplomate;

HOUINSINON Joseph, Diplomate;

HOUNGBEDJI Bienvenu Alogninou, Diplomate;

ODJO Timothée, Diplomate;

VIGNON Boniface Vincent Bertold Comlan Tonakpon, Journaliste, Diplomate.

MINISTERE DE L’INTERIEUR ET DE LA SECURITE PUBLIQUE 

Madame SEGLA Laure Félicia Houegnon Akouelé Akouavi, Administrateur.

Messieurs :

ABOUTA Jean Gontran, Commissaire Divisionnaire de Police;

ADJEKOSSI Emile, Commissaire Major de Police ;

ADJILE Bochoro Wilfrid, Commissaire de police de 1ère Classe;

ADJOVI Kohovi Amédée Yves, Commissaire de police de 1ère Classe;

AGBIDINOUKOUN Codjo Anselme, Commissaire de police de 1ère Classe;

AHINON Narcisse, Commissaire de police de 1ère Classe;

ALLADASSI Sagbo, Commissaire de police de 1ère Classe;

ATCHOU Antoine, Commissaire de police de 1ère Classe;

AVOCANH Esprito Franco Lebel, Commissaire de police de 1ère Classe;

AWO Agbatan Ichola Aboudou Rachidi, Commissaire Divisionnaire de Police;

AYENI Stanislas Adénidjin, Contrôleur Général de Police;

BAH L’IMAM Abdoul-Hazizou, Commissaire Principal de Police;

BEKPA-KINHOU Sénanmi Dorothée, Commissaire de police de 1ère Classe ;

BONOU Nouessèwa, Commissaire de police de 1ère Classe;

DANGBEKLOUNON Nougbognon Raymond, Commissaire de police de 2ème Classe ;

DJAHO Séwanou E. Dieu-donné, Commissaire Divisionnaire de Police ;

• DOSSO Ousmane, Commissaire Principal de Police;

EGBLEKADJA Léopold, Commissaire Major de Police ;

FATOUMBI Agbola Adissa Rodrigue, Commissaire de police de 2ème Classe;

• GAFFAN Narcisse Innocent Yaovi, Contrôleur Général de Police;

GBEDE Célestin, Commissaire Principal de Police;

HODONOU Euloge Stéphane, Commissaire de police de 1ère Classe ;

HOUESSOU Georges, Commissaire de police de 1ère Classe;

HOUEZE Richard Ghislain Constantin, Commissaire Principal de Police;

HOUNGBEDJI Cohovi René, Commissaire Divisionnaire de Police ;

HOUNTONDJI Constant Darius Franck, Commissaire de police de 1ère Classe ;

KEKE Noutin Kévin, Commissaire de police de 1ère Classe;

KOTO Arsène, Commissaire de police de 1ère Classe ;

LEGBA Botehoussè Yannick, Commissaire Principal de Police;

MOUHAMADOU EL-HADJ AMADOU Moussa, Administrateur des Services. Financiers ;

OLOSSOUMARE Abasse, Administrateur Civil;

PATIPE Jules, Commissaire Major de Police;

RODRIGUEZ Koffi Augustin Alexandre, Commissaire de police de 2ème Classe ;

SABO Syindé Denis, Commissaire de police de 1ère Classe ;

TOGBEDE André, Commissaire Divisionnaire de Police;

• TOKPANOU Tankpinou Louis, Contrôleur Général de Police;

TOSSOU Séraphin, Commissaire de police de 1ère Classe;

YAROU TAMOU Orou Boko, Commissaire de police de 1ère Classe.

MINISTERE DU CADRE DE VIE ET DES TRANSPORTS, CHARGE DU DEVELOPPEMENT DURABLE 

Messieurs :

ABIALA Stanislas Olaréwadjou, Administrateur d’Action Culturelle;

ADOGBAGBE Koffi Felix Beauregard, Administrateur des Services Financiers ;

AGBO Marcel Alpin Magloire, Administrateur ;

AGUEHOUNDE Guy Basilide, Administrateur;

ATIKPO Cyrille Abdoulaye, Ingénieur des Services Techniques des Travaux Publics;

BONI YALLA Mémanton, Administrateur des Banques et des Institutions Financières ;

CHEDE Dakpanon Félicien, Docteur en Agro climatologie ;

GBEDJI Hervé Hermane, Ingénieur des Services Techniques des Travaux Publics;

GODJO Constant Hippolyte Ghislain, Administrateur civil;

GONCALVES Octaviano Evariste Marie, Ingénieur de conception, Géomètre Topographe;

GONGO Bokpè Paul, Administrateur de l’Aviation Civil ;

HOUNYO Lazare, Ingénieur des Services Techniques des Travaux Publics;

• KOUTON Désiré Mouléro, Administrateur;

NAKPON Kokou Marcellin, Ingénieur à la retraite ;

• ODIDI Cocou Edmond, Ingénieur de la planification;

OUSSOU Dagbenagni Djidjoho Gad, Ingénieur analyste concepteur.

MINISTERE DE L’AGRICULTURE, DE L’ELEVAGE ET DE LA PECHE 

Messieurs :

AMOUSSOU Sèchéton Paterne, Administrateur des Banques;

EDAH Justin, Ingénieur Agronome;

GNAKADJA Kossi Félix, Professeur Certifié en Génie Civil;

SAGBO Agossou Prosper Anthenne, Ingénieur Agronome;

SOBABE ALI TAHIROU Abdou-Aziz, Docteur en Informatique ;

TIKANDE Imorou, Administrateur.

MINISTERE DE LA DECENTRALISATION ET DE LA GOUVERNANCE LOCALE

Madame AZON Aimée Justine épouse ABOUDOU, Administrateur.

Messieurs :

DANSOU Ambroise, Professeur Adjoint;

GUIDI Crespin, Administrateur en Gestion des Projets et Développement Local ;

KOUTON Lakognon Sègbégnon Aimée Firmin, Administrateur du Travail et de la Main d’OEuvre

MILOHIN Dèdègnon Bienvenu, Gestionnaire de Projets.

MONTCHO Comlan, Administrateur;

YOKOSSI Dokopé Séraphin, Administrateur.

MINISTERE DU TRAVAIL ET DE LA FONCTION PUBLIQUE 

Mesdames :

NODICHAO Marylène Rékiath épouse GOUDA, Administrateur;

ZENONTIN Zita Emma, Administrateur.

Messieurs :

ADJIBI Ramanou, Administrateur;

ALLOGANVINON Tokanmè Simon, Ingénieur des Services Techniques des TP;

BOTON William Achille Elysée Mékoudé, Administrateur;

BOUKO Théodore, Inspecteur des Services et Emplois Publics;

GODJO MEGNI Guillaume Eric Edgard, Professeur certifié ;

GOUTONDJI Thomas Cocou Florent, Administrateur à la retraite ;

KPODANHO FALIERE Maurille, Informaticien ;

NOUTAÏ Gbéssè Aristide Bruce, Inspecteur des services et emplois publics.

.

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA MICROFINANCE 

Messieurs :

AGBO Amédé Jules César, Administrateur;

HOUANGNI Acodédji Corneille, Médecin.

MINISTERE DE LA SANTE 

Mesdames :

AMI-TOURE Raïssatou, Médecin ;

ASSAVEDO Françoise Sibylle, Médecin Santé Publique ;

HOUSSOU Adjoavi Mathilde, Médecin ;

N’DA TIDO Catherine, Ingénieur d’Hygiène et d’Assainissement.

Messieurs

AFFOLABI Dissou, Médecin Biologiste;

AGUEGUE Mathieu, Médecin Gynécologue-Obstétricien ;

AMIDOU Salmane Ariyoh, Médecin ;

BABA Egbéléyé François de Paul, Ingénieur en Imagerie Médicale;

CAKPO Corneille Kpèkou, Pharmacien ;

DEGLA Delphin Gbèdolo, Médecin ;

DEGLA Sèdoté Ghislain, Ingénieur en maintenance Biomédical et Hospitalier;

DEHOUI Toussaint, Administrateur des hôpitaux ;

DOHOU Nounagnon Tomakplegou Sewabo Eric Albert, Médecin ;

GNANCADJA Fidèle, Médecin en Santé Publique ;

GOUDJO Sovi Fréjus Faustin, Médecin spécialiste ;

GOUNFLE Darius, Administrateur Hospitalier Universitaire et d’Intendance;

GUEZO-MEVO Metoyigbena Blaise, Médecin ;

HOTEYI Sèmassa Mohamed Ismaël, Chercheur ;

HOUANGNI Acodédji Corneille, Médecin d’Assurance;

HOUEZO Jean-Gabin, Médecin spécialiste ;

HOUNKARIN Mahoussi Adandé Landry, Médecin de Santé Publique ;

HOUNKPE Virgile Olivier, Médecin ;

IMOROU BAH CHABI Ali, Médecin Diplômé d’Etat ;

KOHOUN Kodjo Rodrigue, Médecin de Santé Publique ;

KORA Gounou Koélo, Inspecteur d’Action Sanitaire ;

KPADONOU Godonou Toussaint, Médecin Titulaire de Médecine Physique ;

MAZU Séïdou, Biologiste Médical;

SINGBO Jesuwanou Dorothée, Technicien Supérieur/Spécialiste en Santé Mentale;

TOHOU Louis Pascal, Administrateur des Services Financiers.

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE 

Mesdames:

GANDONOU Oboubé Melone Diane, Juriste-Chercheur;

GAYET Armèle Fidèle Anihouvi, Administrateur;

WOROU Rosaline Dado, Professeur Titulaire.

Messieurs :

ADIDO Gérard Joël Roch, Enseignant-chercheur;

ADJIEN Kodjo Constant, Professeur Titulaire de Neurologie;

AZANDEGBEY Koladé Josué, Ingénieur en Planification;

BACO Mohamed Nasser, Professeur Titulaire ;

BIAO Barthélémy, Professeur Titulaire à la retraite ;

CHABI IMOROU Azizou, Maitre de Conférences;

EDJAH Ange Honorat Adjibola, Maître de Conférences;

GOMEZ COAMI Ansèque, Professeur Titulaire ;

HOUNGNINOU Bodoun Etienne, Professeur Titulaire ;

HOUNKPATIN Spéro Hermenegilde Raoul, Professeur Titulaire ;

IMOROU Abou Bakari, Professeur Titulaire ;

TCHIBOZO Eric Alain Mahugnon, Professeur Titulaire ;

TOGNON TCHEGNONSI Francis Kokou, Professeur Titulaire ;

TOSSOU Makpéhou Rogatien, Professeur Titulaire ;

ZIME Chabi Amadou, Professeur Certifié.

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE, TECHNIQUE ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE

Mesdames:

ABOU LAWANI Rissicatou, Professeur Certifié de SVT;

FATOKE Sikiratou Clémence, Professeur Certifié à la retraite ;

GANHOUNNOUTO Martine, Conseillère Pédagogique d’Anglais;

HOUNDAKENOU Irène, Administrateur de l’Action Culturelle ;

LAOUROU Modoukpè Doris Christelle, Professeur Certifié.

OUSSOU Reine, Professeur Certifié ;

Messieurs :

AGBESSI Gilbert, Professeur Certifié ;

AYIGBEDE Albert, Professeur Certifié ;

AZOKPOTA Emmanuel, Professeur Certifié ;

CAKPO Cossi Justin, Professeur Certifié de droit;

EDOH Gbèhossou Firmin Abel, Professeur Certifié ;

SAGBO Mahougbé André, Professeur Certifié ;

TANGNI Louis Monsoyi, Professeur Certifié.

MINISTERE DU TOURISME, DE LA CULTURE ET DES ARTS 

Monsieur CLOUBOU Jonas, Administrateur des Services Financiers.

MINISTERE DU NUMERIQUE ET DE LA DIGITALISATION 

Messieurs :

ADJINACOU Aristide Guy, Ingénieur Télécoms;

AGOUA Sedjro François de Paule, Ingénieur Télécoms;

AHOUASSOU Thierry Michel Noukpo, Ingénieur en Informatique et Réseaux;

AMOUSSOU Codjo Houélété Paul, Journaliste;

LOKO Akin-Olu Olawolé Marc André, Ingénieur Télécoms;

YAROU Ahmed Sacca Yérima, Administrateur des Services Financiers.

Messieurs :

MINISTERE DE L’INDUSTRIE ET DU COMMERCE 

AWALLA Jean-Paul Quirin, Administrateur de commerce;

METONOU Akotègnon Isidore, Administrateur du commerce;

MITOKPE Comlan Léonard, Administrateur du commerce;

SALIOU MOUHAMANE Abdou Latif, Auditeur Interne.

MINISTERE DE L’ENERGIE, DE L’EAU ET DES MINES 

Madame TOGBE Léa, Administrateur des Projets.

Messieurs :

ADJOMAYI Philippe Armand, Chercheur Hydrogéologue;

AWO Amoussou Marcel, Professeur certifié Géologue;

CHABI KONLO Chabi, Professeur certifié ;

GNAHA Cossi François Emmanuel, Ingénieur Géologue ;

IMOROU Djîbril, Administrateur Civil ;

KPOMASSE Martin, Ingénieur Analyste Concepteur;

LAWIN Agnidé Emmanuel, Professeur Titulaire ;

• MOUZOUN Paul, Administrateur des Services Financiers;

SEWADE SOKEGBE Grégoire, Administrateur des Services Financiers.

MINISTERE DES PETITES ET MOYENNES ENTREPRISES 

Monsieur YOTTO Sotima Michel, Administrateur.

MINISTERE DES SPORTS 

Messieurs :

ALLADASSI Bienvenu, Administrateur des Services Publics;

KOUAGOU N’Kouéi Bernard, Administrateur en Management des services publics;

LOUMEDJINON Ekpodofassi Sabin, Journaliste ;

SEIDOU Taïbou, Professeur certifié d’EPS.

Article 5 

Le présent décret prend effet pour compter de la date de sa signature et sera publié au journal officiel.

Par le Président de la République, Chef de l’Etat, Chef du Gouvernement, Grand-Maître de l’Ordre National du Bénin.

Fait à Cotonou, le 29 janvier 2024 

Patrice TALON 

La Vice-Présidente de la République, 

Grande Chancelière de l’Ordre National du Bénin, 

Mariam CHABI TALATA ZIME YERIMA 

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AMPLIATIONS: PR: 4; AN: 4; CC:2; CS: 2; HCJ: 2; HAAC: 2; CES: 2; MINISTERES : 24; GCONB: 20; SGG: 4; DEPARTEMENTS: 12; INTERESSES: 234; JORB : 2.

Cameroun: Arrestation d’un opérateur économique pour agression sexuelle

L’opérateur économique Camerounais Hervé Bopda n’est plus libre de ses mouvements. La police du pays de Paul Biya à réussir à mettre la main sur lui dans la nuit du mardi au mercredi 30 janvier à Douala. Ceci après des accusations d’agressions sexuelle contre sa personne.

L’opérateur économique Camerounais Hervé Bopda n’est plus libre de ses mouvements. La police du pays de Paul Biya à réussir à mettre la main sur lui dans la nuit du mardi au mercredi 30 janvier à Douala. Ceci après des accusations d’agressions sexuelle contre sa personne.

Le cri de cœur de l’opinion public Camerounais a reçu un écho favorable de la part des autorités judiciaires. Hervé Bopda, homme d’affaire amoureux du bling bling est finalement arrêté et devra répondre des chefs d’accusations qui pèsent contre sa personne.

En effet, à travers des publications d’un lanceur d’alerte camerounais sur les réseaux sociaux, Hervé Bopda est accusé d’avoir agressé sexuellement de nombreuses femmes. Cette première dénonciation va dresser le lit à de nombreuses témoignage qui l’accable. Depuis lors, l’opinion public s’est mise à réclamer l’interpellation de celui-là qui n’hésiterait pas à faire usage de son arme pour commettre son forfait. D’où son interpellation dans un motel de la ville de Douala dans la nuit du 30 au 31 janvier 2024 en compagnie d’une fille de 21 ans nous renseigne Rfi.

Il aura donc une procédure judicaire dans l’affaire Bopda au Cameroun. L’opérateur économique qui a également porté plainte pour diffamation clame son innocence.

Par C.K.