Djougou : Richard Boni Ouorou offre un marché moderne aux populations

Enième action sociale de Richard Boni Ouorou au profit de ses compatriotes. Après la construction de salle de classe, la distribution des kits scolaires, l’organisation des concerts gratuits, le programme Top Entrepreneurs, la distribution des casques, le président de la fondation Terrien.nes vient d’offrir un marché moderne aux populations de Yom, Djougou et autres.

Enième action sociale de Richard Boni Ouorou au profit de ses compatriotes. Après la construction de salle de classe, la distribution des kits scolaires, l’organisation des concerts gratuits, le programme Top Entrepreneurs, la distribution des casques, le président de la fondation Terrien.nes vient d’offrir un marché moderne aux populations de Yom, Djougou et autres.

Attaché à l’autonomisation des femmes, il a, sur fonds propres, fait construire deux bâtiments modernes pour permettre aux commerçantes d’exercer leurs activités dans un cadre approprié.

Cette infrastructure marchande évaluée à plusieurs millions de Fcfa est remise à la mairie de Djougou, qui définira les conditions d’occupation.

En attendant, c’est tout Soubroukou qui renouvelle sa gratitude à son éternel bienfaiteur.

Manassé AGBOSSAGA 

Agriculture, hôtellerie, création d’emplois  : Richard Boni Ouoroi a fait fort !

Acteur politique éclairé, mais avant tout, un homme d’affaires qui crée la richesse dans son pays. De retour au Bénin depuis moins d’un an, Richard Boni Ouorou investit ses ressources dans des secteurs d’activités profitables à tous.

Acteur politique éclairé, mais avant tout, un homme d’affaires qui crée la richesse dans son pays. De retour au Bénin depuis moins d’un an, Richard Boni Ouorou investit ses ressources dans des secteurs d’activités profitables à tous.

Outre la création de Ouorou Production dans le domaine culturel, le président du mouvement Libéral Bénin s’est lancé dans l’agriculture et l’hôtellerie.

La Société Tarraouorou-Akiyo, spécialisée dans l’agriculture, a notamment vu le jour.  1 domaine de 135 hectares a ainsi été acquis. Le maïs et le soja ont été cultivés  sur une centaine d’hectares cette saison. Ce n’est pas tout..20 hectares d’anacarde ont également été plantés.

 La Société Tarraouorou-Akiyo est également présente dans l’hôtellerie. La construction d’un hôtel de 70 chambres et 5 suites présidentielles à Djougou, dénommé « SOUBROUKOU » est en cours. Ce projet s’inscrit dans le cadre d’une chaîne hôtelière, dont le second établissement sera situé sur la route des Pêches à Fidjrossê, et le troisième à Lomé.

Par ce lourd investissement, Richard Boni Ouorou offre des emplois aux jeunes, réduit le taux du chômage au Bénin, gonfle les caisses de l’Etat.

Un modèle à suivre.

Manassé AGBOSSAGA

Mois du Consommons Local 2024: Les stratégies pour une adoption des produits locaux au coeur de deux panels de discussion

Dans le cadre de la célébration de l’édition 2024 du Mois du Consommons Local au Bénin, le Ministère de l’industrie et du Commerce a convié les acteurs de la chaîne de production locale à une journée de réflexion. Au cœur des échanges, les stratégies et politique à développer pour inciter les populations à adopter les produits locaux.


C’est la salle des conférences de la Chambre de Commerce et d’industrie du Benin qui a servi de cadre dans la matinée du mercredi 23 octobre 2024 aux discussions. Ces dernières se sont déroulées sous la houlette de Emilie Tibouté la Directrice de Cabinet du Ministre de l’industrie et du Commerce.

Deux thèmes principaux ont été développés par des experts et cadres à divers niveaux du ministère de l’industrie et du commerce pour lever un coin de voile sur l’état des lieux de la production locale au Benin et les possibles raisons qui justifient leur faible consommation par les populations. Il s’agit : « Le développement industriel à travers la consommation des produits locaux » d’une part et  « La promotion des produits locaux, un levier de développement à la base » d’autre part.

Si le premier panel a été modéré par le journaliste Osias Sounouvou, c’est la Directrice Adjointe du Cabinet du Ministre de l’industrie et du Commerce Émilie Tibouté qui sera à la manette du second. « Les panels nous invitent à poser les questions essentielles pour évaluer les cinq années du mois de consommons local et voir ce que nous allons faire dans les cinq prochaines années pour penser à comment conquérir le marché international », a-t-elle faire savoir pour donner un aperçu de l’objectif visé à travers ces assises.

De bout en bout, les différents participants ont suivi avec une attention particulière les échanges et ont posé des questions pour comprendre mais également ont fait des propositions.

Il est à constater qu’a l’unanimité l’on est conscient de ce que des efforts restent à faire pour amener le public Béninois a adopté les produits fabriqués localement. Ceci au niveau des autorités au plus haut niveau comme au niveau des producteurs.


Par Christophe KPOSSINOU

Mois du Consommons Local dans l’Atlantique et le Littoral: La mini-foire interdépartementale 2024 s’ouvre avec succès à Cotonou

Au Bénin, l’Etat Central ne cesse de fournir des efforts pour faire la promotion des produits fabriqués localement. Entre autres activités qui ont marqué ce mois d’octobre dédié à cet effet, le lancement officiel de la mini-foire interdépartementale Atlantique et Littoral du ‘’Consommons Locale’’. C’était dans la soirée de ce mercredi 23 octobre 2024 sur la grande place du quartier Sainte-Cécile à Cotonou.

5 jours pour découvrir l’expression des talents des populations des départements de l’Atlantique et du Littoral. C’est l’occasion qu’offre la mini-foire interdépartementale de l’Atlantique et du Littoral qui a ouvert ses portes à Cotonou pour faire la promotion des produits localement fabriqués.

Au détour d’une cérémonie grandiose, qui a connu la participation des autorités politico-administratives des deux départements, la Directrice Adjointe de Cabinet du Ministère de l’Industrie et du Commerce Émilie Tibouté a procédé officiellement à l’ouverture.

La mini-foire interdépartementale du ‘’Consommons Local’’ vise à valoriser les multiples potentialités dont regorge le Bénin mais aussi et surtout d’amener les uns et les autres à donner une place à leur habitude de consommation, a-t-elle faire savoir.

Pour Émilie Tibouté consommer local n’est plus une option, c’est une exigence, une responsabilité et une marque de lucidité pour participer au développement économique et social du Bénin. Elle va inviter toutes les populations dans les deux départements à faire le déplacement massif des lieux pour faire de ce grand rendez-vous économique une réussite à travers achat et découverte.

Avec une particularité

La mini-foire interdépartementale du ‘’Consommons Local’’ de l’Atlantique et du Littoral édition 2024 a une particularité a annoncé le Directeur Départemental de l’Industrie et du Commerce, des départements de l’Atlantique et du Littoral. « Nous avons la foire avec beaucoup de produits innovants et en dehors de ça nous auront un podium qui permettra à nos artistes locaux de s’exprimer et d’exprimer leurs talents », informe Fernando José Gomez

En effet, pendant les 5 jours, des artistes talentueux vont agrémenter l’ambiance pour le bonheur des forains et des visiteurs. « Le consommons local ce n’est pas seulement les habitudes vestimentaires, c’est aussi l’expression de notre culture et de nos artistes », a martelé le DDIC Atlantique et Littoral.

Fernando José Gomez va revenir sur l’importance de la consommation des produits locaux. « Quand nous consommons les produits qui sont fabriqués chez nous, ça permet de créer de la, valeur. Les produits qui sont fabriqués chez nous, nous connaissons leur source, ils sont traçables et ce sont nos enfants, nos frères, nos femmes, qui travaillent à la création et à la production de ces produits. De ce fait, ça crée de la valeur ajoutée et ça permet de distribuer la richesse à tout le monde. C’est seulement par ce biais nous pouvons avoir le développement que prône le chef de l’Etat. »

Une visite des différents stands a mis un terme à cette cérémonie qui a connu la présence de Gatien Adjagboni représentant le maire de la ville de Cotonou ainsi que des préfets Alain Orounla et Jean-Claude Codjia respectivement des départements du Littoral et l’Atlantique.

Par Christophe KPOSSINOU

Production Pétrolière au Bénin: L’entreprise TGS annonce la reprise très prochainement des recherches

La République du Bénin veut faire son retour dans le rang des pays producteurs de Pétrole et prend des dispositions à cet effet. Dans un communiqué de presse publié dans la journée du mardi 22 octobre 2024 sur son site web, TGS qui est une entreprise pionnière en matière de données énergétiques informe de la reprise très prochainement des recherches aux larges des côtes Béninoise pour mettre la main sur le potentiel en hydrocarbure inexploité.

Pour rappel, « entre 1982 et 1990, le Bénin a été un pays producteur de pétrole avec un rendement marginal de 8000 barils par jour obtenus sur le bloc Sèmè, au large de la ville de Sèmè-Podji, non loin de la frontière maritime avec le Nigeria. »

 Lire ci-dessous l’intégralité du Communiqué de presse.

Communiqué de presse

TGS étend son méga-sondage au Bénin pour révéler un potentiel inexploité

OSLO, Norvège (22 octobre 2024) – TGS, leader mondial des données et de l’intelligence énergétique, annonce l’extension de la couverture sismique 3D de son projet MegaSurvey au Bénin, en collaboration avec la Société Nationale des Hydrocarbures du Bénin (SNH-B). Cette initiative stratégique vise à approfondir notre compréhension de la géologie souterraine de la région et à exploiter son potentiel inexploité en hydrocarbures.

Avec cette extension, TGS ajoutera 2 248 kilomètres carrés de données sismiques conventionnelles 3D de haute qualité au MegaSurvey existant au Bénin. La couverture élargie s’étendra du plateau continental au talus, offrant une vue complète de la zone et révélant un potentiel d’exploration jusqu’alors inexploité.

Outre l’expansion sismique, TGS a intégré 10 puits dans son atlas RockAVO. Cet outil avancé intègre les données sismiques aux informations sur les puits, offrant aux explorateurs une puissante suite de fonctionnalités, notamment :

Atlas interactif de physique des roches : explorez les modèles de physique des roches, analysez les propriétés élastiques et visualisez les réponses sismiques AVO pour obtenir des informations détaillées sur le sous-sol.

Intégration des données de puits : accédez à une multitude de journaux de puits, de modèles de physique des roches et d’atlas de données sur une seule plateforme, rationalisant ainsi les flux de travail d’exploration.

Tests de scénario : recherchez des analogues géologiques et évaluez la lithologie, la teneur en fluides et la porosité pour réduire les risques et améliorer la prise de décision.

Contrôle qualité : assurez l’exactitude des données et l’intégrité des images sismiques grâce à des fonctionnalités de contrôle qualité améliorées.

Cette extension du MegaSurvey du Bénin constitue une étape importante vers l’accès aux perspectives d’hydrocarbures de la région, fournissant des données et des informations précieuses à l’industrie énergétique mondiale.

Pour toute demande de renseignements, veuillez contacter sales@tgs.com

Rapport Business Ready: Les lacunes de mise en œuvre nuisent au climat des affaires dans 50 économies (Banque Mondiale)

WASHINGTON, 3 octobre 2024 — En matière d’environnement des affaires, les économies affichent de meilleures performances dans leurs efforts de réglementation qu’en ce qui concerne la fourniture des services publics nécessaires pour réaliser de véritables progrès. C’est ce que révèle le rapport Business Ready, une nouvelle publication du Groupe de la Banque mondiale.

La première édition de ce rapport, qui évalue le climat des affaires dans 50 économies, fournit un vaste ensemble de données — 1 200 indicateurs pour chaque économie — permettant d’identifier les domaines à améliorer et d’encourager des réformes. Le rapport s’enrichira au cours des trois prochaines années, pour atteindre une couverture complète de 180 économies environ en 2026, offrant ainsi un outil de référence et de comparaison mondial.

Dans la quasi-totalité des 50 économies évaluées cette année, la qualité du cadre réglementaire est supérieure à celle des services publics fournis pour favoriser le respect des dispositions par les entreprises. Ces failles dans la mise en œuvre empêchent les entreprises, les travailleurs et la société en général de tirer pleinement parti des avantages que procure un bon climat des affaires.

Sur une échelle de 0 à 100, les économies obtiennent une note moyenne de 65,5 pour la qualité de leur cadre réglementaire, ce qui signifie qu’elles ont parcouru, dans cette catégorie, environ les deux tiers du chemin menant à un environnement des affaires pleinement opérant. En revanche, elles n’obtiennent qu’un score de 49,7 en ce qui concerne leurs services publics, soit seulement la moitié du niveau qu’elles devraient atteindre. Si cet écart peut s’observer à tous les niveaux de revenu et dans toutes les régions, c’est dans les économies à revenu élevé qu’il est le plus faible et en Afrique subsaharienne et dans la région Moyen-Orient et Afrique du Nord qu’il est le plus important.

« Alors que la démographie, l’endettement et les conflits pèsent sur la croissance économique, on ne pourra progresser qu’en mobilisant toute l’ingéniosité de l’entreprise privée, affirme Indermit Gill, économiste en chef et premier vice-président du Groupe de la Banque mondiale pour l’Économie du développement. Et, pour cela, il faut des conditions propices, c’est-à-dire un climat d’investissement favorisant les miracles économiques que les entrepreneurs accomplissent si on leur en donne l’occasion et dont nous avons cruellement besoin aujourd’hui. Business Ready fournit aux pouvoirs publics les informations dont ils ont besoin pour créer les conditions qui permettent aux entreprises de générer de la prospérité au profit de leurs actionnaires, des consommateurs et des travailleurs tout en prenant soin de la planète. »

Le rapport Business Ready, qui succède au projet Doing Business (a), rend compte d’une approche plus équilibrée et transparente de l’évaluation du climat des affaires et de l’investissement. Cette approche a bénéficié des recommandations d’experts du Groupe de la Banque mondiale et d’autres horizons : milieux gouvernementaux, secteur privé, organisations de la société civile et chercheurs universitaires, notamment.

Dans le monde entier, le secteur privé est un puissant moteur de croissance économique, mais il a besoin d’un environnement favorable pour se développer et réussir. Le rapport Business Ready ne se contente pas d’évaluer les contraintes réglementaires qui entravent une entreprise quand elle entre sur le marché (combien de temps faut-il pour créer une entreprise, par exemple), innove et développe ses activités. Il mesure aussi la qualité des réglementations. Est-ce que la réglementation du travail comprend des exigences en matière de sécurité, par exemple ? Ou encore, la réglementation sur les start-up exige-t-elle de vérifier l’identité des entrepreneurs ? Outre les réglementations en place, Business Ready passe au crible les services publics nécessaires à leur mise en œuvre. Les pouvoirs publics facilitent-ils le paiement des impôts par les entreprises grâce à des systèmes en ligne et interconnectés ? Fournissent-ils des bases de données publiques qui favorisent la transparence et facilitent l’obtention de crédits pour les entreprises justifiant de bons antécédents ?

Le rapport Business Ready jauge également les conditions réelles auxquelles les entreprises sont confrontées dans la pratique, et met en lumière des variations considérables entre les 50 économies étudiées. Il faut par exemple entre trois et 80 jours pour enregistrer une entreprise nationale et jusqu’à 106 jours pour une société étrangère. Les entreprises subissent en moyenne quatre coupures d’électricité par mois, mais ce chiffre peut grimper jusqu’à 22 dans certains pays. Et si le règlement judiciaire d’un différend commercial prend en moyenne un peu plus de deux ans, la fourchette va de 105 jours seulement à pas moins de cinq ans.

En fournissant des données comparables d’une telle ampleur et qualité, le rapport permet aux entreprises de prendre des décisions importantes quant à la localisation et aux modalités de leurs activités. Et aux pouvoirs publics de mieux calibrer les mesures nécessaires à un développement du secteur privé porteur de prospérité pour les entreprises, les travailleurs et la société.

« Les économies riches offrent en général un environnement plus propice à l’entreprise, mais ce n’est pas une condition indispensable pour créer un bon climat d’affaires, souligne Norman Loayza, directeur de la cellule Indicateurs de la Banque mondiale et responsable du projet Business Ready. Notre analyse montre que les économies à revenu faible ou intermédiaire peuvent aussi créer un environnement très favorable à l’entreprise. Le Rwanda, la Géorgie, la Colombie, le Viet Nam et le Népal, par exemple, obtiennent de bons résultats dans divers domaines, qu’il s’agisse de la qualité de la réglementation, de la solidité des services publics ou de l’efficacité globale du système. »

La transparence et l’intégrité des données sont au cœur du projet Business Ready. Toutes les informations recueillies par le projet — les données brutes, les notations ainsi que les modes de calcul — sont désormais accessibles au public sur le site web Business Ready. De plus, tous les résultats présentés dans le rapport peuvent être facilement reproduits à l’aide d’outils disponibles sur le même site.

COMMUNIQUÉ DE PRESSE N° : 2024/013/DEC
Source: www.banquemondiale.org

Economie : La puissance financière de Samuel Dossou selon le magazine Forbes

Le magazine économique Forbes a consacré une de ses dernières publications sur les personnes les plus riches de l’Afrique Francophone. Au rang de ces dernières, on y retrouve un Béninois. Son nom, Samuel Dossou-Aworet. Qui est cet homme ? Quel est son parcours en tant qu’entrepreneur ? Quelle est sa fortune ? Forbes nous donne des réponses. Lisez plutôt !

Samuel Dossou-Aworet est né à Porto-Novo en 1944. Il grandit en Côte d’Ivoire et poursuit ses études à Dakar avant de rejoindre l’École nationale supérieure du pétrole et des moteurs de Paris, puis l’Institut français du pétrole. Cet ex-conseiller d’Omar Bongo sur les questions d’hydrocarbures a bâti sa fortune dans le pétrole via son groupe Petrolin – dont le dernier chiffre d’affaires connu et communiqué était de plus de 726 millions d’euros… en 2013 – qui opère dans l’exploration et la production pétrolière au sein d’une dizaine de pays d’Afrique et du Moyen-Orient*. Fondée à Londres en 1992 sous le nom de Petrolin UK Limited, la structure, dont le siège est à Genève, s’est développée en rachetant les parts d’autres entreprises pétrolières africaines, comme Niger Delta Exploration & Production (NDEP) en 2005. Petrolin est aujourd’hui le deuxième producteur de gaz au Nigéria, où il contrôle 40 % de ND Western Limited, que préside Samuel Dossou. Toujours au Nigéria, il possède 13,87 % de Seplat, l’un des principaux producteurs de pétrole du pays. Homme de réseaux, Samuel Dossou a présidé par deux fois l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP). Fin connaisseur du secteur pétrolier et minier, il s’est par ailleurs imposé comme un intermédiaire influent dans le business à Dubaï, assurant l’interface des affaires entre des gouvernements africains et la communauté des investisseurs. Il est également connu comme étant celui qui a fait plier Bolloré sur le dossier de la boucle ferroviaire entre le Bénin et le Niger. Enfin, le milliardaire bénino-gabonais, qui est l’époux d’Honorine Dossou Naki, ambassadrice du Gabon à Paris de 1994 à 2002 et ancienne ministre de la Justice, est également actionnaire de Bank of Africa, Orabank Gabon et BGFIBank Bénin.

Source : www.forbesafrique.com

CES Bénin : Les représentants du Parlement connus, liste

Les députés ont désigné, sans anicroche, ce lundi 23 septembre 2024, leurs représentants au sein du Conseil économique et social. Les trois groupes parlementaires Union progressiste le Renouveau, le Bloc Républicain et Les Démocrates ont présenté une liste unique.

Les députés ont désigné, sans anicroche, ce lundi 23 septembre 2024, leurs représentants au sein du Conseil économique et social. Les trois groupes parlementaires Union progressiste le Renouveau, le Bloc Républicain et Les Démocrates ont présenté une liste unique. Cette liste a été adoptée par les députés par 99 voix pour, 2 contre et 01 abstention. Voir en image les représentants de l’Assemblée nationale au CES au plan national et par département.

Bénin-Budget général de l’Etat gestion 2025 : Le projet transmis à l’Assemblée Nationale, voici les premiers chiffres

En Conseil des Ministres ce mercredi 18 septembre 2024, le gouvernement du président Patrice Talon a décidé de la transmission à l’Assemblée nationale, pour examen et vote, du projet de loi de finances pour la gestion 2025. Quid des premiers chiffres.

3.551,005 milliards de FCFA. Tel est le montant auquel est évalué le projet de Budget Général de l’Etat pour le compte de l’année 2025 au Bénin. Ce dernier est en hausse de 11% par rapport à 2024.

Dans la dynamique d’une organisation à succès des élections générales de 2026, il est prévu des investissements déjà courant de l’année 2025. Le projet de Budget prend donc en compte les dépenses liées à la préparation des dites élections, précise le communiqué du Conseil des Ministres.

Il prend également en compte : l’achèvement, la mise en service et le fonctionnement de plusieurs infrastructures socio-économiques, la montée en puissance des projets de filets sociaux, la mise en service de plusieurs systèmes d’alimentation en eau potable multi-villages et leur raccordement aux ménages, l’extension du réseau de distribution de l’énergie électrique et l’acquisition des compteurs à moindre coût.

Au plan social, l’Etat Béninois envisage en effet dépenser une somme de « 1101,71 milliards de FCFA en 2025, correspondant à 41,5% du budget général », nous renseigne le document qui précise, « qu’aucun nouvel impôt n’a été créé dans le projet de loi de finances pour la gestion 2025. »

Il est rappelé qu’avant son adoption chaque ministre est attendu devant les députés pour convaincre ces derniers sur l’importance des dépenses au programme dans leur département.

Par C.K.

Électrification rurale : la Fondation Terrien.nes installe plus d’une trentaine de lampadaires à Djougou et ses environs

La fondation Terrien.nes n’a pas renoncé à son ambitieux projet d’électrification rurale. Lancée en 2022 au grand bonheur des populations des zones reculées, l’initiative continue de sortir plusieurs localités de l’obscurité.

La fondation Terrien.nes n’a pas renoncé à son ambitieux projet d’électrification rurale. Lancée en 2022 au grand bonheur des populations des zones reculées, l’initiative continue de sortir plusieurs localités de l’obscurité.

C’est à juste titre que la Fondation Terrien.nes a répondu favorablement aux sollicitations des habitants du département de la Donga. Sollicitée, la fondation Terrien,nes est allée électrifier un kilomètre de route de l’entrée de Djougou jusqu’à 1 km de part et d’autre de la voie inter-États en venant de Dassa. Plus d’une trentaine de lampadaires ont notamment été installés.

Les populations disent merci à Richard Bon Ouorou

L’installation des lampadaires apporte de la lumière dans des zones autrefois sombres. Les usagers, chauffeurs et autres peuvent emprunter la voie inter-Etats avec plus d’assurance et de quiétude. Les femmes peuvent également mener des activités génératrices de revenus la nuit.

C’est conscient de ces nombreux avantages,que les populations adressent leur gratitude et remerciement au président Richard Boni Ouorou. Elles invitent ce dernier à poursuivre ses actions sociales, soumettant au passage quelques doléances (construction de salle de classe).

En outre, les populations supplient le Créateur à continuer à protéger leur infatigable bienfaiteur. 

Tout le Bénin en profite

Le projet d’électrification de la fondation Terrien.nes a déjà fait le bonheur des populations des départements des Collines, de l’Atacora, de la Donga, et autres.

A titre d’exemple,  Savalou, précisément le village de Kannanhou a bénéficié de deux (02) lampadaires solaires, et un système de recharge téléphonique solaire, deux (02) lampadaires solaires ont également été installés à Savè, dans l’arrondissement d’Adido, précisément dans le village d’Idjalomon.

Sans discrimination, la fondation Terrien,nes avec son président, Richard Boni Ouorou contribue à l’améliotion du cadre de vie des Bénoinois.

Manassé AGBOSSAGA