Côte d’Ivoire : La veille de son anniversaire de naissance, l’artiste Kerozen Dj victime d’un grave accident de la route … sa réaction

Samedi noir pour l’artiste ivoirien Kerozen  DJ,  de son vrai nom Constant Joël  Yobo! De retour de Yamoussoukro, ce samedi 23 avril 2022, où il est allé apporter son soutien au candidat Didier Drogba, dans le cadre des élections à la Fédération ivoirienne de football (FIF), l’artiste ivoirien a été victime d’un grave accident de la route.

Samedi noir pour l’artiste ivoirien Kerozen  DJ,  de son vrai nom Constant Joël  Yobo! De retour de Yamoussoukro, ce samedi 23 avril 2022, où il est allé apporter son soutien au candidat Didier Drogba, dans le cadre des élections à la Fédération ivoirienne de football (FIF), l’artiste ivoirien a été victime d’un grave accident de la route.

Les deux véhicules de type Range Rover, de l’artiste chanteur et auteur-compositeur-interprète,  sont totalement irrécupérables.

Toutefois plus de peur que de mal, car l’artiste Kerozen Dj est hors de danger et se porte bien.

La Range Rover

Kerozen Dj réagit après son accident

Sur son compte méta, l’auteur du single ‘‘Tu seras élevé’’ sortie en 2019 a donné de ses nouvelles. Il a rassuré que Dieu a épargné sa vie dans  cet accident intervenu la veille de son anniversaire. Aussi a-t-il remercié les uns et les autres pour leurs nombreux messages de soutien et prières.

« Le SEIGNEUR dit: « Au jour du malheur réfléchis ! Et au jour du bonheur réjouis toi ! « .

Dieu épargna nos vies d’un terrible accident à la veille de mon anniversaire, Par son infinie Bonté, Il me fit la grâce de voir à nouveau ce jour qui m’a vu naître. Aujourd’hui, au delà de mon anniversaire, nous célébrerons LA VIE. En 15 secondes nous passions de vie à trépas Ouuuff ! Merci à tous pour vos prières , merci au personnel soignant de la clinique saint viateur pour l’attention », a-t-il écrit.

Manassé AGBOSSAGA

Valentin Djènontin règle ses comptes avec Claudine Prudencio et les sages d’Abomey-Calavi, mais reconnaît un mérite à Ganiou Soglo dans la suite de l’épisode 2 ‘‘Ma Prophétie’’

Valentin Djènontin a publié ce vendredi 23 avril 2022 la suite de l’épisode ‘‘Ma Prophétie’’ où il dénonce  le régionalisme, la haine de certains leaders politiques natifs ou apparentés de la commune d’Abomey-Calavi contre les leaders résidents. L’ancien député en profite pour régler ses comptes avec   Claudine Prudencio et les sages d’Abomey-Calavi, tout en reconnaissant un mérite à Ganiou Soglo. Détails à travers son récit…

 

Valentin Djènontin a publié ce vendredi 23 avril 2022 la suite de l’épisode ‘‘Ma Prophétie’’ où il dénonce  le régionalisme, la haine de certains leaders politiques natifs ou apparentés de la commune d’Abomey-Calavi contre les leaders résidents. L’ancien député en profite pour régler ses comptes avec   Claudine Prudencio et les sages d’Abomey-Calavi, tout en reconnaissant un mérite à Ganiou Soglo. Détails à travers son récit…

EPISODE 2 : MA PROPHETIE  ‘

PASSATION DE CHARGES AU MINISTERE DE LA CULTURE, DE L’ALPHABETISATION, DE L’ARTISANAT ET DU TOURISME.

Le lundi 06 Juin 2011, j’ai pris service le matin des mains de Madame Claudine Afiavi Prudencio Ministre sortant de l’Artisanat et du Tourisme et le soir des mains de Monsieur Ganiou Soglo, Ministre sortant de la Culture, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales.

S’il faut noter que les passations de service se sont déroulées dans le respect de la tradition républicaine requise, elles ont néanmoins révélé à bien des égards, certaines réalités sociologiques peu connues du grand public quant au vivre ensemble pacifique connu des béninois.

Peut être une image de 5 personnes et personnes debout

Ces passations de service ont été en réalité la rencontre de deux cultures, de deux civilisations et non seulement des échanges de documents administratifs entre trois personnalités politiques.

La passation de charge entre les Ministres PRUDENCIO, SOGLO et moi a révélé quelques traits communs de destin.

Avec la Ministre PRUDENCIO Claudine, je partage la même commune de résidence, la même circonscription électorale (6è), le même électorat.

Avec le Ministre SOGLO Ganiou, je partage le même département d’origine, la même région : le plateau d’Abomey pour l’un et le plateau d’Agonlin pour l’autre ; le tout relevant du ZOU.

La cérémonie de passation de service à l’ex Ministère de l’Artisanat et du Tourisme : l’éclosion d’un régionalisme maîtrisé.

La passation de service apparemment conviviale s’est déroulée devant un parterre d’opérateurs hôteliers, des responsables de structures faîtières de l’artisanat, des responsables d’agences de voyage et autres acteurs, des cadres du Ministère, parents, amis, militants politiques, des sages, notables, particulièrement des commune d’Abomey-Calavi, Sô-Ava et Zê, de la région d’Agonlin et de Ouidah.

Cette passation de service a révélé au grand jour ce que personnellement j’ignorais : le régionalisme, la haine de certains leaders politiques natifs ou apparentés de la commune d’Abomey-Calavi contre les leaders résidents.

De nous deux, l’une est originaire de Ouidah avec sa maman native de Godomey (selon ses propres propos) et l’autre est originaire de même que ses géniteurs d’Agonlin Covè.

Pour une frange de leaders politiques natifs d’Abomey-Calavi, même si DJENONTIN a plus d’une trentaine d’années de vie continue à Calavi comme résident où il a quasiment tous ses biens et réalisations, il est un allogène. Il ne doit avoir aucun droit politique dans cette citée.

Pour certains, cette passation de charge entre nous deux est perçue comme le transfert du pouvoir d’un autochtone à un « étranger ».

Curieusement, beaucoup ne s’en cachaient même pas parmi certaines personnes âgées, communément appelées sages ou notables ; véritables véhicules de haine et de régionalisme. Pour cette catégorie de citoyens, l’animation de la vie politique dans la sixième circonscription électorale du Bénin (communes d’Abomey-Calavi, Sô-Ava et Zê) devrait être l’apanage des seuls natifs de la région. Les résidents numériquement plus nombreux et grands contributeurs autant que les natifs au développement social, économique, infrastructurel ne doivent nullement prétendre aux fonctions politiques.

Ce régionalisme exacerbé très notoire à Abomey-Calavi, l’est moins à Zê et relativement maquillé à Sô-Ava.

Ce germe de régionalisme révélé à la passation de service a continué à être entretenu par ses adeptes. Le comble a été observé lors des législatives de 2015 où certaines hautes autorités communales et anciens députés se sont ajoutés à la Ministre, aidés dans leur entreprise par d’autres cadres de la région pour me régler mon compte. Heureusement, Dieu m’a toujours sauvé de leur filet.

C’était donc sans surprise que j’ai découvert sur les réseaux sociaux cette vidéo virale où la Députée s’en prenait ouvertement, publiquement devant caméras et micros à ma personne en des termes haineux unanimement condamnés par l’opinion sauf curieusement les institutions de la République et les fameuses ONG de lutte contre le régionalisme, le racisme et l’ethnocentrisme. Rires ..

Cette déclaration historique délivrée en langue Fongbé lors d’une manifestation publique pourrait ainsi se résumer : « Mes chers parents, allez dire aux ZOGBANOU d’aller dans leur pays Agonlin faire la politique. Ils n’ont pas leur place ici. Il n’y a pas de Zogba ici ; c’est à Agonlin. S’ils ne retournent pas chez eux pour faire la politique, ils vont essuyer la honte. Le tout ne suffit pas d’acheter de parcelles à Abomey-Calavi, d’y construire pour prétendre y mener des activités politiques. Moi qui vous parle, je suis de Godomey, parce que ma maman est de Godomey ; son cordon ombilical est enterré ici à Godomey »

La passation de service à l’ex Ministère de la Culture, de l’Alphabétisation et de la Promotion des Langues Nationales : l’exposition d’une rivalité religieuse étouffée.

Dans l’après-midi du 6 Juin 2011, la passation de service entre le Ministre sortant, Ganiou SOGLO et le Ministre entrant, Valentin DJENONTIN-AGOSSOU a eu lieu en présence des artistes qui ont honoré la cérémonie par la richesse de la musique béninoise, de la chorégraphie et de l’humour. Les hommes de culture, les religieux, les dignitaires de culte Vodoun, les cadres du Ministère, parents, amis, militants étaient massivement au rendez-vous.

Si la passation de service entre les deux personnalités politiques a été très fraternelle et amicale, la prise de parole du représentant des dignitaires du culte Vodoun, en la personne de Dah AGBALENON a mis en lumière l’accueil que certains usagers du Ministère réservent à ma nomination à la tête de l’institution.

A sa prise de parole, Dah AGBALENON, avant de me remettre le cadeau qu’il portait entre ses mains a déclaré : « Monsieur DJENONTIN, nous avons appris que vous êtes chrétien et on vous a envoyé chez nous pour remplacer notre fils ».

A l’instar de cet objet que je vous offre, vous allez écrire jusqu’à vous fatiguer. En effet, le cadeau qu’ils m’ont offert était une image en fonte taillée faite de main d’homme tenant entre ses doigts un stylo.

Il poursuit, « il faut dès à présent inviter vos pasteurs venus ici nombreux à beaucoup prier pour vous parce que la tâche ne vous sera pas facile ».

Prenant la parole, j’ai remercié Dah AGBALENON au nom de ses pairs pour le cadeau reçu. Je lui ai répondu que le message est reçu 5/5 et que les pasteurs aussi présents ont bien entendu ses propos.

Ministre de la République, je serai sans discrimination aucune, à l’écoute de tous. Je vous remercie.

Le clivage religieux affiché par Dah AGBALENON, le premier jour de ma prise de service est demeuré et entretenu par un groupe de prêtres vodoun sous l’égide de ce dernier qui ont délibérément choisi de prendre leur distance vis-à-vis de moi ; mais de passer par tous les moyens pour me rendre la vie difficile à la tête du Ministère.

Par la grâce de Dieu, après quelques mois d’exercice, je suis parvenu à étouffer cette rivalité religieuse et travailler à l’unité des acteurs et usagers dudit Ministère.

Dans un premier temps, j’ai invité et reçu à mon cabinet comme d’autres composantes du Ministère les dignitaires, prêtres Vodoun, les têtes couronnées à une séance de travail.

A cette séance, j’ai clairement expliqué à mes invités ma disponibilité à collaborer franchement et honnêtement avec eux dans le respect mutuel de la foi des uns et des autres.

Je leur ai donné la garantie de ne jamais bafouer leurs croyances, ni piétiner leurs intérêts dans le Ministère ; mais de grâce, qu’ils respectent également ma foi sans chercher à m’obliger à m’aligner à eux dans leurs convictions religieuses.

L’occasion était toute bien trouvée pour leur expliquer mon origine.

Digne fils d’Agonlin, né à Zogba COVE, j’ai été élevé par mon père et ma mère aux pieds de mes grands-parents dans la pure dignité africaine et moulé dans les valeurs morales traditionnelles Mahi.

Je connais bien l’histoire de ma famille et de mon aïeul DAH SOUNBOKO, grand dignitaire Vodoun connu et vénéré en région Agonlin et au-delà. Je ne suis donc pas un novice que l’on peut influencer, intimider ou manipuler. J’ai librement choisi de suivre Jésus-Christ et je respecte chacun dans son choix.

L’Etat béninois est laïc et l’administration neutre. Ministre de la République, je resterai au service de tous : adeptes vodoun, musulmans, chrétiens, athées.

Dans un second temps, est intervenue la réconciliation avec Dah AGBALENON.

En mission en Chine avec mon Directeur de la cinématographie, j’ai fortuitement découvert Dah AGBALENON dans la délégation de la troupe théâtrale HOUINDONABOUA lors d’une audience avec les autorités provinciales.

A la grande surprise de Dah AGBALENON, à ma prise de parole, je l’ai couvert d’éloge en le présentant comme l’un des grands dignitaires du culte Vodoun au Bénin ; ce qui l’a assez impressionné. Son image a été ainsi rehaussée auprès de nos hôtes.

De retour à l’hôtel, il a demandé à me rencontrer ; demande que j’ai favorablement acceptée. Après m’avoir longuement remercié pour le grand honneur que je lui ai fait à sa grande surprise auprès des autorités chinoises, il m’a fait quelques confidences sur les cabales montées contre ma personne pour me rendre la tâche périlleuse à la tête du département ministériel. Il a affirmé que je suis totalement à l’opposé du type d’homme qu’on leur présentait et que tout le mal qu’il disait ou pensait de moi est tombé.

C’est donc à la faveur de cette rencontre fortuite en Chine, que Dah AGBALENON a découvert ma réelle personnalité qui n’avait rien de commun avec le cliché qu’il se faisait de moi.

Je lui ai expliqué qu’il avait tort de constituer un front anti DJENONTIN et d’aller en guerre contre moi sur la base de simples faux témoignages au lieu de m’approcher avec son groupe et chercher à me connaître, à me découvrir et non se fonder simplement sur mon appartenance religieuse pour me fuir et me combattre.

Bref, la brèche ouverte le jour de ma prise de service a été définitivement fermée avec les dignitaires du culte vodoun et têtes couronnées durant tout mon séjour à la tête du Ministère de la Culture.

C’est le lieu de saluer et de reconnaître la dignité du Ministre Ganiou SOGLO, qui ne s’est nullement mêlé à ces petites guerres. Mes relations avec lui sont toujours restées fraternelles et amicales. Elles se bonifient d’ailleurs au fil du temps.

Par contre, de l’autre côté à Abomey-Calavi particulièrement, et dans une moindre mesure à Sô-Ava et Zè, la haine et le régionalisme ont été maintenus, entretenus et amplifiés par certains leaders politiques durant tout mon séjour dans les départements ministériels.

Le point culminant de ce régionalisme a été atteint lorsque j’ai décidé de me porter candidat aux élections législatives de 2015. Cette fois-ci, outre les députés, c’est la haute autorité communale, assistée de quelques chefs d’arrondissement, conseillers communaux, aidés par quelques cadres de la localité, certains prêtres vodoun, notables et dignitaires autochtones de la circonscription électorale qui s’étaient ligués contre ma candidature pour me barrer la route. Tous les moyens étaient bons pour parvenir à leurs fins. Délations, calomnies dans les journaux, sur les antennes de radio, de télévision, marches publiques avec branchages sur la voie publique, expédition de sages et notables, des femmes leaders au domicile du Président Boni YAYI, etc….

J’y reviendrai plus amplement lorsque je serai sur les récits de mon séjour dans les ministères et à l’assemblée nationale.

Ne crains rien, car je suis avec toi ; Ne promène pas des regards inquiets, car je suis ton Dieu ; Je te fortifie, je viens à ton secours, Je te soutiens de ma droite triomphante.

Esaïe 41 : 10

Soyez nombreux la prochaine fois pour découvrir le premier Conseil des Ministres.

DJENONTIN-AGOSSOU Valentin

Législatives: « Sans fief », Agossa dit qu’il sera élu « dans n’importe quelle circonscription électorale »… « futur impossible », s’écria un bébé kpakpato après l’avoir entendu

Même après la déculottée des présidentielles de 2021 où il a obtenu moins de 3% avec Corentin Kohoué, Iréné Agossa est convaincu de sa force de frappe pour réunir les 10% lors des législatives à venir.

Même après la déculottée des présidentielles de 2021 où il a obtenu moins de 3% avec Corentin Kohoué, Iréné Agossa est convaincu de sa force de frappe pour réunir les 10% lors des législatives à venir.

Le président du parti Restaurer La Confiance (RLC) a affiché cette assurance lors de son passage sur l’émission ‘‘l’entretien du dimanche’’ de la télévision privée Eden Tv, animé par le journaliste Donklam Aballo.

Interpelé sur le fief du parti qu’il préside, Iréné Agossa a laissé entendre que « le temps des fiefs électoraux   est révolu ». Il soutient que c’est « la proposition par rapport aux problèmes des béninois » qui est désormais le « véritable baromètre ».

Et convaincu que les propositions du parti RLC vont séduire les béninois (ses) lors des législatives du 08 janvier 2023, l’ex colistier de Corentin Kohoué à la présidentielle de 2021,  lance « je serai candidat dans n’importe quelle circonscription électorale, je serai élu ».

Pour Iréné Agossa,  les béninois doivent porter leur choix sur quelqu’un qui n’a pas de fief, car dit-il, « ce que nous vivons aujourd’hui, c’est dû à ceux qui ont des fiefs ».

Mais, comme s’il avait en tête, l’article 146 du code électoral, qui stipule, « seules les listes, ayant recueilli au moins 10% des suffrages exprimés au plan national, son éligibles à l’attribution des sièges », un bébé kpakpato s’écria « futur impossible »,   après avoir entendu  l’ancien président du parti Le Nationaliste dire, « je serai candidat dans n’importe quelle circonscription électorale, je serai élu ».

Manassé AGBOSSAGA 

Kpakpato Sans Payer : Enceinte, Rihana expose son beau et gros ventre au dehors, si Dieu pouvait raccourcir son délai d’accouchement

A 34 ans Rihana attend son premier bébé, fruit d’une magique, passionnée et  très mouvementée nuit    avec le rappeur A$AP Rocky. Seulement voilà, comme quand le dernier de la classe réussit à un examen et que tout le quartier ne peut plus respirer à cause de son succès inattendu, la star américaine fait le boucan avec sa grossesse.

A 34 ans Rihana attend son premier bébé, fruit d’une magique, passionnée et  très mouvementée nuit    avec le rappeur A$AP Rocky. Seulement voilà, comme quand le dernier de la classe réussit à un examen et que tout le quartier ne peut plus respirer à cause de son succès inattendu, la star américaine fait le boucan avec sa grossesse.

Comme si elle voulait répondre à ses détracteurs ou réinventer la maternité,  ‘‘RiRi’’ expose son beau et gros ventre au dehors. Partout où elle passe, elle s’arrange pour que sa grossesse soit connue de tous.

Avec Rihana, la femme enceinte se réinvente. Dans des tenues qui peuvent parfois choquer, la star  américaine  affiche son baby bump sans complexe depuis le début de sa grossesse, révélée en février 2022

Rihanna

Heureusement que la grossesse n’est pas éternelle sinon nos yeux risquent gros. Et même là encore Kpakpato Medias supplie Dieu de raccourcir de délai d’accouchement de Rihana.

N’y voyez pas de la jalousie d’un Kpakpato Sans Payer.

Manassé AGBOSSAGA

 

 

 

Bénin- Face à la cherté de la vie: un président de parti d’opposition demande à Talon de « réduire les salaires politiques »

C’est un secret de polichinelle. Les béninois (ses) font face à la cherté de la vie même si la crise paraît mondiale. Une augmentation des prix des produits de première nécessité s’observe dans les marchés et les béninois (ses) éprouvent  de plus en plus des difficultés à joindre les deux bouts.

C’est un secret de polichinelle. Les béninois (ses) font face à la cherté de la vie même si la crise paraît mondiale. Une augmentation des prix des produits de première nécessité s’observe dans les marchés et les béninois (ses) éprouvent  de plus en plus des difficultés à joindre les deux bouts.

Invité sur l’émission 90 minutes pour convaincre de la radio nationale, le dimanche dernier, le président du parti d’opposition Grande solidarité républicaine (GSR) n’a pas manqué d’interpeller le pouvoir de la Rupture, adressant au passage une demande pressante au chef de l’Etat pour faire face à la cherté de la vie.

Bénin- Face à la cherté de la vie: un président de parti d’opposition demande à Talon de « réduire les salaires politiques »
Antoine Guédou, président du GSR, « « La solution à la cherté de la vie, aujourd’hui, le président Patrice Talon doit avoir le courage de réduire les salaires politiques »

Pour Antoine Guédou, le président Talon doit toucher aux portefeuilles des ministres, députés, maires, et autres personnes occupant des fonctions politiques.

« La solution à la cherté de la vie,   aujourd’hui,  le président Patrice Talon doit avoir le courage de réduire les salaires politiques. Il doit réduire les salaires politiques. Il faut commencer par-là, réduire le train de vie de l’Etat », a-t-il recommandé.

Visiblement déçu par les salaires politiques sous la Rupture, le président du GSR qui avait soutenu le candidat Patrice Talon à la présidentielle  de 2016, avant de prendre ses distances avec le candidat devenu président,  lance, « Je suis politique mais je ne ferai pas ce qu’il fait »..

‘‘Agbonnon’’ appréciera !!!   

 Manassé AGBOSSAGA

 

Bénin: 1XBet met un employé dans de beaux draps

Quand 1XBet met un employé dans une situation désagréable. A Comè, un jeune qui a pris le risque de parier avec l’argent de son patron est depuis quelques jours  dans de beaux draps.

Quand 1XBet met un employé dans une situation désagréable. A Comè, un jeune qui a pris le risque de parier avec l’argent de son patron est depuis quelques jours  dans de beaux draps.

Selon les informations rapportées par l’Investigateur, à Comé au quartier Hongodé dans le département du Mono, en République du Bénin,  un  jeune homme qui se trouve être un gérant d’une cabine téléphonique est accusé d’avoir joué à 1Xbet avec l’argent de son patron.

Le montant s’élèverait à 180.000 de francs CFA.  Après son  pari infructueux, le gérant de cabine est privé de sa liberté. Il est gardé au commissariat central de Comé.

Une mauvaise habitude qui lui joue un sale tour

Les parents du jeune homme se débattent  pour rembourser le propriétaire de la cabine. Selon L’Investigateur,   les parents du prévenu ont réussi à payer 100.000 FCFA des 180.000 FCFA..

Mais le patron exige un remboursement total, et n’exclut pas de laisser la justice se saisir du dossier.

Un proche du patron contacté par la même source  confie que le jeune homme n’est pas à son premier acte.

«Il avait joué avec les sous de son ex-patron et a gagné 200.000 FCFA », rapporte L’Investigateur.

Pris au piège de son habitude, dira t-on donc…

.Manassé AGBOSSAGA

Bénin-Depuis son lieu d’exil, Valentin Djènontin adresse un émouvant message à son fils Israël Djènontin qui vient de soutenir sa thèse de doctorat en médecine

En exil depuis plusieurs années, Valentin Djènontin, ex secrétaire exécutif national du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FcBe) a vu l’un de ses fils franchir un cap important dans son parcours académique. Ce mercredi 20 avril 2022, Israël Djènontin,  son garçon, a  soutenu sa  thèse de doctorat en médecine, à la Faculté des Sciences de la Santé de Cotonou au Bénin.

En exil depuis plusieurs années, Valentin Djènontin, ex secrétaire exécutif national du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FcBe) a vu l’un de ses fils franchir un cap important dans son parcours académique. Ce mercredi 20 avril 2022, Israël Djènontin,  son garçon, a  soutenu sa  thèse de doctorat en médecine, à la Faculté des Sciences de la Santé de Cotonou au Bénin.

Et depuis Paris, son refuge, l’ancien député n’a pas manqué de féliciter et exprimé toute son admiration a son fils. Lire son émouvant message.

M.A

A toi mon cher fils Israël Djènontin

Je viens de suivre avec grande émotion en direct et en temps réel malgré la distance qui me sépare de toi, ta brillante soutenance de thèse de doctorat en médecine, ce jour, mercredi 20 avril 2022 à la Faculté des Sciences de la Santé de Cotonou au Bénin.

Avec des actions de grâces devant l’Eternel, Dieu Tout-Puissant, je me joins à ta maman pour te féliciter et t’exprimer notre grande admiration pour tout le sacrifice que tu as accepté consentir dans l’humilité et dans la discrétion, malgré mon absence à tes côtés des années durant, pour braver les difficultés de la vie et parvenir à ce niveau de reconnaissance académique.

Je saisis cette occasion pour témoigner à la Présidente, les membres du Jury et ton Directeur de thèse qui ont accepté suivre ou apprécier ton travail avec des corrections, amendements pour le parfaire, toute ma gratitude ainsi que celle de la famille DJENONTIN.

Aux membres de la famille, parents, alliés, proches et surtout les amis venus nombreux de toutes les régions du pays pour t’assister, de soutenir, t’entourer de leurs affections, je leur dis grand merci.

A tes frères, oncles, tantes, cousin(e)s, ma très grande reconnaissance.

Que l’Eternel qui a commencé en toi cette belle œuvre l’achève pour la seule gloire de son nom.

« Je suis persuadé que celui qui a commencé en vous cette bonne œuvre la rendra parfaite pour le jour de Jésus-Christ. »

Philippiens 1 : 6

Paris, le 20 avril 2022

Valentin DJENONTIN-AGOSSOU

Bénin-Richard Boni Ouorou: « Le désespoir s’agrandit dans notre pays »

Richard Boni Ouorou fait un triste constat.  Pour le Politologue, le désespoir gagne du terrain au Bénin depuis l’avènement de la Rupture.

Richard Boni Ouorou fait un triste constat.  Pour le Politologue, le désespoir gagne du terrain au Bénin depuis l’avènement de la Rupture.

« Je lis, je remarque que le désespoir s’agrandit dans notre pays. Trop de déçus et de victimes entre terrorisme d’Etat et terrorisme des déçus. Trop de misère ! »,constate avec amertume ce grand  Philanthrope.

Et si le peuple vit de plus en plus dans le désespoir avec des appels à l’aide,  Richard Boni Ouorou regrette par contre que les autorités du pays sont pleines les poches.

Face à cette dualité sous le Président Patrice Talon, le Politologue invite les uns et les autres à faire le bon choix.

« La vie est un choix et tant qu’à choisir, il faut faire le choix de la durée et non celui de l’instant qui devient long dans la durée », recommande l’ancien Directeur de la communication du candidat Robert Gbian à la présidentielle de 20216, car dit-il, « l’Etat que nous constituons tous ne peut y arriver si chacun n’exprime pas son droit dans le respect de ses obligations ».

 

En attendant, l’homme qui ne cesse d’apporter son appui matériel et  financier à de nombreux jeunes, notamment aux jeunes entrepreneurs promet,  «  Quant à moi, je continuerai de faire ce que je peux sans vraiment vous sortir de la misère parce que je n’aurai jamais les moyens matériels d’une telle charge ».

Manassé AGBOSSAGA

Signature de contrat avec le SE de Kpomassè : Malgré lui, Kénam Mensah accueille celui qui prend son « budget » et qui « vide le maire »

En septembre 2021, il était,  face à Patrice Talon,  l’un des rares maires,  a osé désapprouver  ouvertement la réforme des secrétaires exécutifs. Mais ce jeudi 14 avril 2022, c’est sourire aux lèvres, qu’il a accueilli celui qui contrôlera  le budget de sa commune.

A la faveur de la cérémonie de signature de contrat entre les secrétaires exécutifs tirés au sort et les maires, ce jeudi au Palais des congrès de Cotonou,  Kénam Mensah a presque installé ALOUKOUTOU DIEUDONNÉ DOWO, tiré au sort pour le compte de la mairie de Kpomassè.

Le maire de Kpomassè vient ainsi d’accueillir, l’homme  qui lui arrache son « budget » et qui vient ainsi le « vider » de  son titre de maire.

Et ce pour une longue durée, car conformément à la nouvelle loi sur l’administration territoriale, le Secrétaire exécutif a un mandat de 6 ans et est l’ordonnateur du budget de la mairie.

Malgré lui alors

Kénam Mensah n’a jamais été un partisan de la reforme des secrétaires exécutifs dans les mairies. En septembre 2021, lors d’une rencontre entre le président Talon et les 77 maires du Bénin, il était le seul à dénoncer la reforme.

Extrait du coup de gueule de l’élu de l’Union progressiste face au chef de l’Etat,  qui a suscité un applaudissement no limit de ses autres collègues maires

« Un budget est un instrument politique. Le maire, s’il ne suit pas son budget, s’il ne règle pas son budget, s’il n’exécute pas son budget, il ne serait pas (…) un homme politique. Le secrétaire exécutif (…) va s’opposer à vous (le maire) parce qu’il n’est pas de votre bord, parce qu’il ne soutient pas vos idées (…). C’est pourquoi je dis (…) il faut nous remettre notre budget. Si vous nous enlevez le budget, vous avez vidé le maire (…) de son contenu (…) car on va dire au village que lui il n’a plus rien ».

Avec tout ça, il y a de quoi dire que c’est malgré lui qu’il accueille sourire aux lèvres ALOUKOUTOU DIEUDONNÉ DOWO, l’homme qui prend son budget et le vide de son titre de maire.

La Rédaction

Bénin: Après neuf mois de grossesse et de douleurs, une mère abandonne son bébé…’’Aka’’ ou désamour ?

Incroyable, mais vrai. Une génitrice vient d’abandonner son bébé après neuf mois de grossesse et de douleurs en raison de la grossesse.

Le bébé abandonné est une fillette, de quelques jours. Le nouveau-né a été découvert ce mercredi 13 avril 2022   au quartier Boundarou dans le 1er arrondissement de Parakou.

Selon les premiers constats des autorités locales et des forces de l’ordre qui se sont rendues sur les lieux pour le constat d’usage, la fillette se porte en bonne santé.

De son côté, la  mère a pris le soin de ne  laisser aucune. Elle est dans la nature.

En attendant de la retrouver, on peut s’interroger sur les raison d’un tel  acte, qui n’est pas le premier au Bénin.

Qu’est ce qui peut pousser une mère à abandonner son bébé ? Un manque d’amour pour l’enfant ? Les difficultés de la vie ? ‘‘Aka’’ oo si vous préférez la galère ?

 

Manassé AGBOSSAGA