A en croire les informations du président de l’Autorité nationale de lutte contre la corruption (ANLC), le premier vice président de l’Assemblée nationale est en conflit avec la loi. En effet au cours de deux sorties médiatiques (17 septembre et 05 décembre 2018), Jean Baptiste Elias a révélé l’identité des fonctionnaires, agents de l’Etat, élus du peuple qui n’ont toujours pas satisfait à l’obligation de déclaration de patrimoine conformément aux dispositions de la loi n°2011-20 du 12 octobre 2011 portant lutte contre la corruption et autres infractions connexes…
Etonnant, mais vrai ! Le député Eric Houndété veut jouer le policier qui surveillera la transparence du scrutin législatif de 2019. Pourtant le premier vice président de l’Assemblée nationale n’a pas fait preuve de transparence sur la déclaration de patrimoine comme l’exige la loi n°2011-20 du 12 octobre 2011 portant lutte contre la corruption.
Manassé AGBOSSAGA
A
en croire les informations du président de l’Autorité nationale de lutte contre
la corruption (ANLC), le premier vice président de l’Assemblée nationale est en
conflit avec la loi. En effet au cours de deux sorties médiatiques (17
septembre et 05 décembre 2018), Jean
Baptiste Elias a révélé l’identité des fonctionnaires, agents de l’Etat, élus
du peuple qui n’ont toujours pas satisfait à l’obligation de déclaration de
patrimoine conformément aux dispositions de la loi n°2011-20 du 12 octobre 2011 portant lutte
contre la corruption et autres infractions connexes.
Le
point fait par le président de l’ANLC révélait que le député Eric Houndété et
plusieurs de ses collègues n’avaient toujours pas satisfait à cette obligation.
Si certains députés ont réussi à se rattraper, le premier vice président de l’Assemblée
nationale a préféré violer la loi.
Pourtant l’article 7 du décret n°2012-338 du 02
octobre 2012, stipule que « la déclaration du patrimoine est adressée à la
juridiction financière compétente dans les 15 jours suivant l’entrée en
fonction et à la cessation de fonction…»
Elu en 2015, Eric Houndété a semblé ignorer cette disposition. Etonnante attitude pour un député qui est à sa quatrième mandature et qui porte le costume de premier vice-président de l’Assemblée nationale, 7è législature.
En attendant que la Cour suprême ne réagisse à la plainte du président de l’ANLC contre Eric Houndété et ses autres collègues retardataires, on est en droit de se poser la question de savoir si l’homme qui veut lutter contre la fraude électorale est bien placé pour parler de transparence et de respect des textes.
Il y avait un monde fou au meeting politique de l’Union Progressiste tenu le samedi 19 janvier 2019 sur le terrain de sport du Collège d’enseignement général de Godomey. Et selon le Conseiller Local de Togbin Daho, Hervé Gbétie, cette forte présence des militants de l’Union Progressiste, composée de femmes, hommes, jeunes, enfants, artisans, enseignants et autres sur les lieux, revient en partie au Chef d’arrondissement (CA) de Godomey, Léon Kpobly.
Il y avait un monde fou au meeting politique de l’Union Progressiste tenu le samedi 19 janvier 2019 sur le terrain de sport du Collège d’enseignement général de Godomey. Et selon le Conseiller Local de Togbin Daho, Hervé Gbétie, cette forte présence des militants de l’Union Progressiste, composée de femmes, hommes, jeunes, enfants, artisans, enseignants et autres sur les lieux, revient en partie au Chef d’arrondissement (CA) de Godomey, Léon Kpobly.
Manassé AGBOSSAGA
Interrogé
à la fin du meeting qui a connu la présence du ministre Barnabé Dassigli et
autres responsables du bureau politique, Hervé Gbétie a adressé ses félicitations au CA de Godomey,
Léon Kpobly.
« Les
populations sont venues nombreuses et sont contentes par rapport à la
mobilisation du CA Léon Kpobly »,
a-t-il laissé entendre.
Le
conseiller local de Togbin Daho a ensuite souligné que les militants de l’UP de la 6è circonscription
électorale et précisément de la commune
d’Abomey-Calavi sont décidés à faire gagner la liste UP lors des législatives
de 2019.
« Les
populations sont contentes et sont décidées à voter les quatre députés de l’UP dans
la 6è circonscription électorale », rassure le conseiller local de Togbin
Daho.
Dans
l’entretien qu’il nous a accordé à l’issue de la rencontre politique, Hervé
Gbétie s’est aussi prononcé sur les actions du Ca Léon Kpobly à la tête de
l’arrondissement de Godomey. Et selon lui, Léon Kpobly qui a pris les commandes de
l’arrondissement en 2018 abat un travail remarquable.
« Le
CA est sur la bonne voie, Il est
bon. Il travaille correctement. Il est jeune et dynamique », se réjouit
le Conseiller local de Togbin Daho.
Les efforts du CA Léon Kpobly Léon Kpobly sont donc
reconnus par les élus communaux de Godomey.
Orden Alladatin maintien le contact avec les jeunes progressistes. Après ses nombreuses descentes sur le terrain, il a rencontré la jeunesse progressiste de la 16è circonscription électorale, le samedi dernier à l’ hôtel Qualimax de Cotonou. A l’occasion, Orden Alladatin a entretenu ces jeunes venus massivement sur leur rôle, et leur place au sein du parti Union Progressiste (UP).
Dans un premier temps, il a rappelé le contexte de création du l’UP. Il a fait savoir que ce parti a vu le jour le 1er décembre 2019…
Accompagné d’une forte délégation du bureau politique national, l’honorable Orden Alladatin a rencontré ce samedi 19 janvier 2019 à Cotonou la jeunesse progressiste de la 16è circonscription électorale. Dans une salle remplie comme un œuf, il a entretenu l’assistance sur le rôle et la place des jeunes dans l’Union Progressiste (UP).
Manassé AGBOSSAGA
Orden
Alladatin maintien le contact avec les jeunes progressistes. Après ses
nombreuses descentes sur le terrain, il
a rencontré la jeunesse progressiste de la 16è circonscription électorale, le
samedi dernier à l’ hôtel Qualimax de Cotonou. A l’occasion, Orden Alladatin a
entretenu ces jeunes venus massivement sur leur rôle, et leur place au sein du parti Union Progressiste (UP).
Dans
un premier temps, il a rappelé le contexte de création du l’UP. Il a fait
savoir que ce parti a vu le jour le 1er décembre 2018 dans un
contexte d’émiettement avancé de la classe politique.
Orden
Alladatin a indiqué que les députés, dans leur grande majorité ont fait l’option d’accompagner la vision du
président Patrice Talon, celle d’assainir le paysage politique. Le député de la
16è circonscription électorale a souligné que la manifestation de celle volonté
s’est exprimée par le vote, au Parlement
de la Charte des partis politiques et
du Code électoral. Orden
Alladatin a rappelé quelques exigences de ces deux dispositions. Au sujet de la
Charte des partis politiques, il a, ente
autres, mis l’accent sur le nombre de militants à réunir pour créer un
parti (15 personnes par commune),
le siège national du parti, mais
également par département.
Quant
au Code électoral, le porte-parole de la Commission des lois a mis l’accent sur
le mécanisme des candidatures aux
législatives, qui interdit, par exemple,
les alliances, les critères de validation de siège (seuil de 10%),
Après
ces rappels, Orden Alladatin a ensuite abordé la place et le rôle des jeunes
dans l’UP. Et très tôt, il a reconnu qu’aucune Nation ne peut se bâtir sans sa
jeunesse. Dans cette logique, il a fait savoir que les textes accordent une
place de choix aux jeunes au sein de l’UP.
Orden
Alladatin a souligné qu’un poste est réservé
à la jeunesse au niveau des différentes structures de l’UP, à savoir au niveau des Cellules (quartier), Sous-section
(arrondissement), Sections (commune), de la Fédération (département), du
Conseil national, du Bureau politique,
et autres.
L’Honorable
Alladatin a précisé qu’il ne s’agira pas de coopter des jeunes, ou des personnes.
A en croire ses propos, des élections auront lieu pour désigner les
responsables qui siégeront dans ces différentes structures. Orden Alladatin prévient
que personne ne peut être membre du bureau politique, s’il ne se fait pas élire à la base.
En
outre, Orden Alladatin a fait savoir que le parti dispose des structures de
masse, dont la ligue de la jeunesse progressiste, la ligue des femmes
progressistes, …
Et
là-dessus, il a fait savoir que le parti a besoin de toutes les couches pour
s’imposer sur l’échiquier politique national.
Engagement pour la victoire de l’UP…
Visiblement
rassurés par les explications de l’Honorable Orden Alladatin, les jeunes
progressistes ont, par le biais, de leur porte parole exprimé leur fierté d’appartenir
à l’UP.
Selon Marielle Zanou, l’Union progressiste née de la réforme du système partisan à travers le vote de la loi n°201-23 du 17 septembre 2018 portant charte des partis politiques est la réponse des grands baptiseurs au service de la Nation.
La porte parole de la jeunesse Progressiste de la 16è circonscription électorale a martelé que l’UP est un parti de jeunes, Marielle Zanou a ajouté que cette volonté se traduit par les textes fondamentaux du parti.
« Désormais
sous jeunes sommes inscrits au cœur de l’activité politique où nous sommes
ensemble avec les femmes et les toutes
les autres organisations de femmes à travailler à l’enracinement du vivre
ensemble et la construction d’une jeunesse imprégnée de nos réalités politiques »,
rasure t- elle.
L’autre
assurance donnée par la jeunesse progressiste de la 16è circonscription, c’est
son soutien indéfectible au président de la République.
Séduits
par la transformation du Bénin en moins
de trois ans de gouvernance du président Talon, les jeunes progressistes de la
16è circonscription électorale ont réitéré
leur soutien au chef de l’Etat et pris l’engagement de mouiller le maillot
pour la mise en œuvre du Programme d’actions du gouvernement (PAG), mais
aussi et surtout pour la conquête du pouvoir par l’UP à l’occasion des prochaines
élections.
Les
législatives du 28 avril 2019 constituent donc un test grandeur majeur pour la
jeunesse progressiste de la 16è circonscription électorale.
INTEGRALITE DU DISCOURS DE LA PORTE-PAROLE DE LA JEUNESSE PROGRESSISTE DE LA 16è CIRCONSCRIPTION ELECTORALE
UNION PROGRESSISTE
**********
SORTIE POLITIQUE DES JEUNES PROGRESSISTES DE LA 16ème Circonscription Electorale
Mesdames et Messieurs les
Membres du Bureau Politique,
Honorables Députés à l’Assemblée
Nationale,
Mesdames, Messieurs les
membres du Comité d’Organisation,
Mesdames, Messieurs en vos
rangs et qualités,
Chers militants, Jeunes
Progressistes,
En choisissant ce jour, de rompre le silence face à l’appel du devoir, nous jeunes progressistes de la 16ème circonscription électorale, avons décidé d’affirmer à la face du monde que nous prenons la pleine mesure de notre responsabilité, celle de participer à l’oeuvre salvatrice de la reconstruction de la classe politique nationale.
Aucune nation ! Aucun peuple ne peut opérer des transformations profondes et les inscrire dans la durée, s’il ne s’appuie sur sa jeunesse ! Une jeunesse consciente et responsable !
Chers camarades jeunes progressistes, Le devoir nous appelle ! Jadis, nos aïeux sans faiblesse ont répondu dignement à cet appel citoyen et républicain ! En dignes héritiers nous ne faillirons pas à notre mission! A l’ombre du baobab et à l’école de nos aînés au sein du parti, nous tisserons la nouvelle corde à l’ancienne pour construire un Bénin rayonnant, apprenant et entreprenant !
Aucune nation ne peut prospérer sans la participation à l’oeuvre de construction nationale de ses enfants ! La jeunesse béninoise et celle progressiste doit se singulariser par sa quête permanente du devoir bien accompli, avec un engagement républicain pour l’édification de l’Etat-Nation.
Chers amis, une jeunesse militante est le gage d’un état débarrassé de parvenus, insouciants et insensibles à l’amélioration des conditions de vies des populations, pourtant productrices de la richesse nationale.
Oui ! La richesse nationale doit servir à l’épanouissement du citoyen par l’apport de solutions appropriées à ses problèmes
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quotidiens pour un mieux-être général. Mais… pourrait-on partager ce que l’on n’a pas produit !?
Mesdames et messieurs,
Si le processus du renouveau démocratique enclenché à la Conférence nationale des forces vives de la Nation de février 1990 a instauré le multipartisme intégral, au Bénin, il n’en demeure pas moins qu’il n’a pas permis l’émergence de partis Politiques suffisamment forts, capables d’être une école de militantisme, et d’opérer la mutation de l’habitant en citoyen, nanti d’un sens élevé de l’Etat.
Faute d’encadrement, nous avons assisté impuissant jusque-là à une floraison de partis et mouvements sans véritables fondements idéologiques et caractérisés par l’ethnocentrisme, le régionalisme, le népotisme, la mal gouvernance et la corruption.
Avec un tableau aussi sombre, il va sans dire qu’une jeunesse consciente ne peut que déserter le forum et être absent du débat national. Devons-nous continuer dans cette lancée?! Accepterions-nous toujours d’être des objets de décoration et de manipulation sur des listes électorales concoctées entre les quatre murs d’un leader dénudé de discipline partisane et mû par ses seuls intérêts?! Nous jeunes progressistes avons décidé
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de dire non ! Non à la politique de compromission ! Non à la politique sans idéologie ! Non à la politique sans vision ! L’engagement politique suppose un choix muri. Il ne peut pas se faire tel que le propose certains, en vrac et par appel d’offre !
C’est fini ! Ce temps est révolu ! Une nouvelle génération est née ! La génération progressiste ! Armée aux côtés d’un visionnaire ! Aux côtés d’un bâtisseur ! Aux côtés d’un réformateur républicain ! Le Président Athanase Guillaume Talon !
Ici et devant nous, s’écrit une nouvelle page de la vie politique de notre pays.
En seulement trois ans de gouvernance :
Les douze départements administratifs sont devenus une réalité avec le choix des chefs-lieux, la nomination des préfets et l’érection de leurs sièges !
Le système sanitaire est assaini avec la nette démarcation des exercices en clientèle privée et publique !
La lutte contre les faux-médicaments et la disparition de Adjégounlè sont devenues une réalité !
L’espace public est libéré pour un environnement sécurisé et propre !
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La police républicaine est créée pour renforcer le capital humain avec pour corollaire l’amélioration du dispositif sécuritaire et la réduction de l’insécurité tant sur nos axes routiers que dans nos grandes villes !
Le Tourisme, le sport et la culture sont inscrits au rang d’axes stratégiques pour un meilleur rayonnement du Bénin sur l’échiquier international !
Les cantines scolaires impactent un nombre de plus en plus grandissant de nos compatriotes dans nos villes et campagnes !
Le système éducatif est progressivement assaini avec la valorisation des diplômes délivrés!
Une révolution numérique est amorcée !
Chers camarades ! Toutes ces transformations certes, ne se font pas sans douleurs, sans peines, mais nous convenons tous qu’avant que l’or ne brille, il passe au feu ! Ce feu purificateur et révélateur du potentiel de chacun de nous !
Témoin privilégiée de toutes ces transformations, la jeunesse béninoise veut du haut de cette tribune rendre un hommage mérité à ce digne descendant de Kaba, de Séro-Kpéra, de Béhanzin, de Toffa ! Son Excellence le Président Patrice TALON.
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Engagé sur le terrain des grandes mutations républicaines salvatrices, le Président Patrice TALON a induit la réforme du système partisan à travers le vote de la loi n° 2018-23 du 17 septembre 2018 portant Charte des partis politiques au Bénin. Il vient par cet acte démontrer qu’il est véritablement un homme d’Etat engagé, courageux et visionnaire et sensible à la déperdition sociale provoquée par la mal gouvernance et le nombrilisme de notre système partisan. Il a su s’associer à cette oeuvre salvatrice des députés républicains et des citoyens soucieux d’un environnement politique renforcé et redoré.
Cette réforme majeure a permis d’assainir le paysage politique béninois de par la création de grands ensembles caractérisés par des lignes idéologiques claires, des visions de développement, des projets de sociétés ambitieux et la création d’écoles politiques au service des militants.
Sortie de ses réformes, notre parti, l’Union Progressiste, le Grand, le Géant a vu le jour le 1er décembre 2018. Il est la réponse de grands bâtisseurs au service de la nation. Les enfants du Bénin, du sud, du nord, de l’est, de l’ouest et du centre s’y ont donné rendez-vous pour contribuer à l’écriture de ces belles et nouvelles pages de l’ère démocratique du Bénin. La jeunesse béninois n’a pas voulu se faire compte cette histoire ou rester immobile sur le trottoir.
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L’Union Progressiste est un parti de jeunes et cette volonté manifeste de ses fondateurs s’exprime dans nos textes fondamentaux. Désormais nous jeunes sommes inscrits au coeur de l’activité politique où nous aurons ensemble avec les femmes et toutes les autres organisations de masse travailler à l’enracinement du vivre-ensemble et la construction d’une jeunesse imprégnée de nos réalités politiques. Oui la jeunesse progressiste est consciente qu’il n’y a pas de génération spontanée en politique. L’oisillon ne grandit que dans les plumages de l’oiseau dit-on.
Les diverses possibilités de valorisation des membres constituent la clé pour véritablement satisfaire le désir de chacun à mieux contribuer au progrès de tous. Ainsi, l’originalité des cadres d’échange comme la Ligue des jeunes progressistes, la Ligue des femmes progressistes, la Ligue des enseignants progressistes, l’association des élus progressistes n’est plus objet à discussion.
L’engagement des jeunes progressistes à accompagner le Gouvernement du Président Patrice TALON dans la mise en oeuvre du Programme d’Actions du Gouvernement est clair. Il s’agit d’oeuvrer activement à une large conquête du pouvoir par l’Union Progressiste à l’occasion des prochaines élections
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législatives. Nous connaissons donc notre mission et sommes prêts à la remplir.
Mesdames et messieurs,
Nous voulons, du haut de cette tribune, réaffirmer, notre soutien ferme et indéfectible aux actions du Gouvernement du Patrice TALON dont les effets de la mise en oeuvre du Programme d’Action sont tangibles et visibles. C’est un fait indéniable sous les tropiques, que nous faisons tôt d’oublier d’où nous venons. Mais dans la tête du plus grand d’entre nous restent encore frais les scandales de Maria Gléta, d’ICC services, des machines agricoles, du PPA2, des menaces sur notre démocratie avec des propos régionalistes à l’allure des lions prêts à bondir, l’achat d’avion présidentiels inopérants, les fonds de micro-crédits distribués sans règle, l’instrumentalisation de nos mères et soeurs transformées et adoratrices.
Oui nous comprenons ! Oui la jeunesse UP comprend ! Oui la jeunesse béninoise comprend ! La rigueur de la gouvernance basée sur l’éthique et la qualité totale perturbe et les audits donnent l’insomnie, mais le Bénin doit se construire !
Nous irons par monts et vallées annoncer la bonne nouvelle ! Oui le Bénin se révèle de jour en jour avec les résultats de ses
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fils confiants en l’avenir ! Nous maintiendrons le cap ! Nous descendons dans nos quartiers pour propager les valeurs du baobab. Soyons fiers d’être progressistes !
L’Union Progressiste est un parti ouvert à tous ; nous invitons tous les jeunes de toutes origines, de toutes conditions sociales à nous rejoindre dès maintenant.
Chers jeunes progressistes, l’heure a sonné. Nous sommes engagés pour transformer notre pays, continuons de travailler et soyons solidaires dans le combat.
Vive l’Union Progressiste !
Vive la jeunesse de la 16ème Circonscription Electorale !
QUE VIVE LE BENIN.
Je vous remercie.
Fait à Cotonou le 19 Janvier 2019
Les partis de l’opposition ont sonné la grande mobilisation ce mercredi 16 janvier 2019 à Cotonou. A travers, une rencontre qui a réuni presque tous les leaders de l’opposition, ils ont exprimé leur volonté d’aller en rang serré lors des législatives de 2019, mais également levé un coin de voile sur les arguments de campagne pour l’échéance du 28 avril prochain.
Manassé AGBOSSAGA
On sait à quoi s’attendre
sur les thèmes de campagne de l’opposition pour les législatives de 2019. Du moins,
à en croire le communiqué final qui a sanctionné la rencontre politique des
partis de l’opposition le mercredi dernier.
En effet, si le
communiqué lu par Nourou Dine Saka Saley a confirmé la volonté des partis de l’opposition
de se doter d’une liste unique, il a également fait cas des solutions
politiques proposées par l’opposition pour répondre aux lois « inadaptées »
et « crisogènes » adoptées par
la 7è législature.
« Lorsque l’histoire
et la postérité nous interrogeront sur nos solutions politiques, nous assurerons
la Nation que nous engagerons des processus inclusifs :
-D’une meilleure orientation
de nos textes liés au droit social de manière à réduire la précarité et
assurer la protection des travailleurs tant du privé, que du secteur
public afin que notamment, aucune loi n’autorise
plus expressément les pouvoirs publics à ne pas respecter les décisions
judiciaires. Nous avons donc besoin de reformer la loi sur l’embauche, sur le
statut de la fonction publique, et celle sur les collaborateurs extérieurs.
-d’un renforcement du
droit à l’information et de la liberté de la presse dont les atteintes
manifestes ne sont plus à rechercher et à prouver.
-d’adoption de textes
à caractère économique, propices à l’entreprenariat et donc à une croissance de
débouchés économiques et d’emplois. Nous devons impérativement adopter des lois
qui rassurent les étudiants et les jeunes quant à une insertion académique et
professionnelle accompagnée et soutenue.
-de réinstallation de
l’équité fiscale en réponse aux multiples taxes et impôts qui mettront en péril
notre économie encore fragile.
-de reformulation des
lois qui créent une insécurité juridique et judiciaire, notamment celle
politisant le Conseil supérieur de la Magistrature, voire la suppression de
celle instituant la CRIET.
– de relecture de nos
textes électoraux afin de garantir l’impératif constitutionnel de pluralisme
politique, et de libre et saine expression et compétition politique. Notre code électoral et
notre charte des partis politiques seront donc profondément revus et
accompagnés d’une loi sur le financement public équitable des partis politiques »,
renseigne le communiqué sanctionnant la
rencontre des partis de l’opposition.
Le professeur Roch David Gnahoui est décidé à mettre en exergue les ambitions et prouesses du régime de la Rupture. Après sa sortie médiatique du 03 janvier 2019 au Chant d’oiseau où il a exposé ses convictions de la reconstruction physique et humaine du Bénin, l’homme effectue, aux côtés de Séraphin Agbahoungbata, ce samedi 19 janvier, une sortie politique pour prêcher à nouveau les mérites de Patrice Talon.
Le professeur Roch David Gnahoui est décidé à mettre en exergue les ambitions et prouesses du régime de la Rupture. Après sa sortie médiatique du 03 janvier 2019 au Chant d’oiseau où il a exposé ses convictions de la reconstruction physique et humaine du Bénin, l’homme effectue, aux côtés de Séraphin Agbahoungbata, ce samedi 19 janvier, une sortie politique pour prêcher à nouveau les mérites de Patrice Talon.
Sous l’étiquette du ‘‘Groupe de réflexion des intellectuels’’ (GRAP), les deux personnalités politiques participeront, aux côtés du Cadre de concertation ‘‘Osons rompre’’, tous membres de l’Union Progressiste à une causerie-débat. Cette causerie débat portera sur les projets et réalisations du président de la République, Patrice Talon. A l’occasion, Roch David Gnahoui, Séraphin Agbahoungbata et les membres du Cadre de concertation ‘‘Osons Rompre’’ ne manqueront pas de donner les outils aux jeunes de la mouvance pour permettre à ces derniers de disposer de la vraie information au sujet du Programme d’action du gouvernement, et donc d’avoir les arguments solides pour se défendre lors des campagnes pour les législatives du 28 avril prochain.
Jeunes, hommes et femmes de la grande famille de la mouvance, effectuez donc massivement le déplacement à la salle des fêtes de l’hôtel Orientale sis au quartier Tokpota, à 10 heures précise.
La grande rencontre des partis de l’opposition tenue au siège de la Renaissance du Bénin le mercredi dernier a laissé transparaitre deux choses. Loin de la présence remarquée des anciens présidents de la République Boni Yayi, et Nicéphore Soglo, cette assise a consacré l’arrivée, voire la présence de Nourou Dine Saka Saley, mais l’absence de Candide Azannaï, et par ricochet du parti Restaurer l’Espoir.
Les partis politiques de l’opposition se sont donné rendez-vous ce mercredi 16 janvier 2019 à Vidolé à Cotonou. De cette rencontre votre blog Kpakpato Médias est reparti avec deux constats : une absence de taille, et une arrivée de taille.
Manassé AGBOSSAGA
La
grande rencontre des partis de l’opposition tenue au siège de la Renaissance du
Bénin le mercredi dernier a laissé transparaitre deux choses. Loin de la présence remarquée des
anciens présidents de la République Boni Yayi, et Nicéphore Soglo, cette assise
a consacré l’arrivée, voire la présence
de Nourou Dine Saka Saley, mais l’absence de Candide Azannaï, et par
ricochet du parti Restaurer l’Espoir.
En effet, président du Mouvement ‘‘Troisième voix’’, Nourou Dine Saka Saley s’est affiché publiquement ce mercredi 16 janvier 2019 aux côtés des autres leaders de l’opposition. Mieux, l’honneur est revenu à l’ex Conseiller du ministre d’Etat, Abdoulaye Bio Tchané de lire le communiqué final sanctionnant la rencontre. Nourou Dine Saka Saley justifie ainsi de la plus belle des manières son surnom ‘‘d’opposant tchigan’’.
Si
les militants des partis de l’opposition peuvent se réjouir de l’arrivée
officielle de Nourou Dine Saka Saley, ils devront patienter avant de voir
Candide Azannaï rallier la barque de « l’unicité des partis de
l’opposition ». Pour cause, le président du parti Restaurer l’Espoir n’était
pas présent à la rencontre. A quelques mois des législatives, Candide Azannaï,
Guy Mitokpè et les siens se font toujours désirer aux rencontres des partis de
l’opposition.
Cette absence
ne manquera sans doute pas de renforcer
la thèse d’une liste multiple des partis de l’opposition aux élections
législatives du 28 avril prochain.
Le nouveau code électoral adopté par les députés de la 7è législature n’est pas du goût de l’ancien président de la République. Présent à la rencontre politique des partis de l’opposition ce mercredi 16 janvier 2019 à Cotonou, Boni Yayi a désapprouvé cet instrument, confiant au passage que le Bénin dispose du « pire code électoral» qui existe sur la planète terre.
Le nouveau code électoral adopté par les députés de la 7è législature n’est pas du goût de l’ancien président de la République. Présent à la rencontre politique des partis de l’opposition ce mercredi 16 janvier 2019 à Cotonou, Boni Yayi a désapprouvé cet instrument, confiant au passage que le Bénin dispose du « pire code électoral» qui existe sur la planète terre.
Manassé AGBOSSAGA
C’est
sans doute avec un regard d’observateur électoral dans plusieurs pays africains
où il est de plus en plus sollicité pour
ses compétences, que Boni Yayi a livré son diagnostic. Pour l’ancien président
de la République, le nouveau code électoral adopté par les députés de la 7ème
législature, avec la caution des élus du Bloc de la majorité parlementaire est
le pire qui existe sur la planète terre.
« J’ai
eu l’occasion de présider plus d’une dizaine de missions internationales d’observations
électorales. Le Bénin a le pire code électoral qui existe, non seulement dans la sous région, mais encore dans la région,
mais encore dans notre continent, mais encore dans le monde. Je vous le jure », a déploré le
président d’honneur du parti Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe).
Contrairement
au code électoral de 2013, qui a servi à la bonne tenue des législatives de
2015 et à la présidentielle de 2016, l’ancien locataire de la marina estime que
le nouveau code électoral regorge des
« écueils qui pourraient influencer négativement la transparence et la
crédibilité du processus électoral ».
Sans
être exhaustif, Boni Yayi a, à cet effet, mis l’accent sur le flou au sujet du mode de répartition des sièges, la présence des représentants des
partis politiques dans les bureaux de vote, la validité du processus de vote.
Face
à ces difficultés, Boni Yayi compte sur les femmes, le peuple béninois, mais
aussi et surtout sur le Créateur pour délivrer le Bénin le 28 avril.
La capacité du béninois à tout comprendre au point de se prononcer sur tous les sujets s’observe abondamment sur les réseaux sociaux, dans la rue ou lors des débats. A l’occasion d’une sortie médiatique effectuée le jeudi 3 janvier dernier au Chant d’oiseau de Cotonou, Roch David Gnahoui est revenu sur cet état de chose. Il s’est notamment interrogé sur la capacité du béninois à tout connaitre et à tout comprendre pour opiner sur tous les sujets…
La capacité du béninois à tout
comprendre au point de se prononcer sur tous les sujets s’observe abondamment
sur les réseaux sociaux, dans la rue ou lors des débats. A l’occasion d’une
sortie médiatique effectuée le jeudi 3 janvier dernier au Chant d’oiseau de Cotonou,
Roch David Gnahoui est revenu sur cet état de chose. Il s’est notamment interrogé sur la capacité du béninois à tout connaitre et à
tout comprendre pour opiner sur tous les sujets.
Abordant « la transmutation
profonde des mentalités » alors qu’il développait le thème « Le Bénin:
la conviction d’une reconstruction en lien avec un développement
irréversible », Roch David Gnahoui s’est étonné de cette particularité
béninoise où chacun se comporte comme un sachant dans tous les domaines.
« Au Bénin, une particularité a toujours étonné et étonne
encore, c’est le statut de sachant de tout le monde. Tout le monde opine sur
tout, en tant que sachant, en tant qu’intellectuel, économiste, juriste, politique », lance t-il.
S’il reconnait que l’Homme est doté
de facultés qui font de lui un être capable d’apprécier ou de raisonner, Roch David
Gnahoui souligne toutefois que cela entraîne parfois une confusion.
« Certes ce qui fait l’essence
de l’homme est son aptitude à raisonner, sa capacité à compatir. Mais on dit
tout. On expose tout. On défend tout. On conteste tout, et à la fin on ne comprend plus rien »,
fait observer le Professeur de Droit et membre de l’Union progressiste.
Une vérité qui ne plaira sans doute
pas à tous les sachant du 229.
C’est fait ! Le président de la République, Patrice Talon a convoqué le corps électoral le 28 avril prochain dans le cadre des législatives de 2019, La plateforme ‘‘Task Force Citoyenne de la Cédeao pour la gouvernance, la médiation, la démocratie et la paix’’ présidée par Gustave Assah vient sans doute de gagner l’un de ses trois combats pour la bonne tenue des législatives de 2019.
C’est fait ! Le président de la
République, Patrice Talon a convoqué le
corps électoral le 28 avril prochain dans le cadre des législatives de 2019, La
plateforme ‘‘Task Force Citoyenne de la Cédeao pour la gouvernance, la
médiation, la démocratie et la paix’’ présidée par Gustave Assah vient sans
doute de gagner l’un de ses trois combats pour la bonne tenue des législatives
de 2019.
Manassé AGBOSSAGA
Face aux hommes des médias le jeudi 27
décembre 2018, la plateforme
‘‘Task Force Citoyenne de la Cédeao pour la gouvernance, la médiation, la
démocratie et la paix’’ invitait, avec
courtoisie, le chef de l’Etat à convoquer
le corps électoral pour « permettre à la Céna de vite mettre en
branle le déroulement de son chronogramme». C’est désormais chose faite. En effet,
le président de la République, Patrice Talon a, à l’occasion du Conseil des
ministres du mercredi 09 janvier 2019, décidé de convoquer le corps électoral
le 28 avril prochain dans le cadre des législatives de 2019. Cet acte constitue,
sans doute, une grande victoire pour la ‘‘Task Force’’, en particulier, pour son président Gustave Assah, acteur chevronné
de la société civile au Bénin.
Très accroché à la sauvegarde des
acquis démocratiques, il a très tôt donné l’alerte sur les inquiétudes des
béninois en ce qui concerne l’organisation prochaine des législatives devant
conduire à la mise en place de la 8è mandature.
Après la déclaration du 27 décembre
2015, où l’homme invitait avec le respect le chef de l’Etat à convoquer le
corps électoral, il a enchainé les interventions pour appeler le président de
la République à rassurer les béninois sur la tenue effective du scrutin. A la
faveur de point de presse, de débats sur les chaines de radio ou de
télévision, Gustave Assah a alors insisté
sur la nécessité de convoquer à temps le corps électoral.
Et puisque le gouvernement vient de répondre
favorablement à cette requête, la ‘‘Task Force’’ ne manquera pas d’adresser ses
félicitations au président de la République pour cet acte salutaire.
Après quoi, le combat se poursuivra pour
l’arbitrage budgétaire du 27 décembre au niveau du budget des élections, et
pour la réalisation et la distribution des nouvelles cartes estampillées
législatives 2101.
Les deux autres plaidoyers de la ‘‘Task
Force’’ qui restent à être satisfaits.
C’est avec un double regard de Professeur d’université et d’acteur politique, que Roch David Gnahoui a entretenu les professionnels des médias sur le thème « le Bénin et la conviction d’une reconstruction en lien avec le développement irréversible ». Sur cette base, le communicateur a soutenu l’amorce de la reconstruction du Bénin, insistant sur la reconstruction physique en cours et la reconstruction humaine en vue.
Le thème « Le Bénin et la conviction d’une reconstruction en lien avec le développement irréversible » a fait l’objet une conférence de presse ce jeudi 03 janvier 2019 au chant d’oiseau de Cotonou. Animée par Roch David Gnahoui, membre du bureau politique de l’Union progressiste, cette sortie médiatique a permis à ce dernier, d’exposer les reformes et actions entreprises par le régime de la Rupture qui attestent que la reconstruction du Bénin est enclenchée et son développement est plus perceptible.
Manassé AGBOSSAGA
C’est avec un double regard de Professeur d’université et d’acteur politique, que Roch David Gnahoui a entretenu les professionnels des médias sur le thème « le Bénin et la conviction d’une reconstruction en lien avec le développement irréversible ». Sur cette base, le communicateur a soutenu l’amorce de la reconstruction du Bénin, insistant sur la reconstruction physique en cours et la reconstruction humaine en vue.
Avant
d’aborder ces points, Roch David Gnahoui a rappelé que le gouvernement de la Rupture
a entrepris des reformes et actions pour répondre aux nombreuses crises
économiques et chocs négatifs, qui ont frappé le monde ces dix dernières
années, sans oublier le lourd passif hérité du régime défunt.
Fermant, moteur, régularité,
liant
Le
communicateur fait alors part de sa « conviction manifeste » quant à
la reconstruction physique du Bénin qui est en cours.
« Ce
n’est ni une exagération, ni une cécité
intellectuelle d’affirmer que la
reconstruction du Bénin est enclenchée et son développement désormais plus
perceptible qu’avant », avance t-il.
Pour
justifier sa thèse, le conférencier met en avant les réalisations du pouvoir de
la Rupture au plan politique et juridique, qu’il qualifie d’ailleurs de fermant.
Sans
chercher à être exhaustif, il cite, au plan politique, la reforme du système
partisan, à travers la charte des partis politiques, qui selon lui donne lieu à
un regroupement des forces politiques.
Au plan juridique, Roch David Gnahoui salue
les nombreuses lois votées par l’Assemblée nationale dans les différents
secteurs. «On se rend compte, qu’il y a eu une activité forte en matière
juridique et en matière politique qui démontre encore une fois que le Bénin
s’est lancé dans un développement qui va assurer un épanouissement de tout le
monde », rassure t-il.
Puis
de chuter sur le développement économique et social, qu’il qualifie de moteur. Ici
aussi, le communicateur s’est voulu moins exhaustif.
Au
plan économique, Roch David Gnahoui s’est contenté
d’évoquer, le budget de l’Etat, qui selon lui répond de plus en plus aux
réalités du pays, la mise en œuvre de la
transformation structurelle du secteur de l’énergie (maitrise progressive des
coupures de courant par des mesures conjoncturelles, autonomisation progressive
en matière de production et de distribution de l’électricité, reforme de la CEB,
ouverture du :marché régional de l’électricité , impulsion de
l’électrification rurale), les infrastructures routières, la construction des
stades.
Au
plan social, Roch David Gnahoui mentionne l’approvisionnement en eau potable en
milieu rural, l’effectivité du programme des cantines scolaire, la construction
de plus de 1021 salles de classes, le retour des œuvres d’art, le projet Arch
dans sa phase pilote à près de 350000 citoyens, la lutte contre la fraude dans
les concours, …
Et
de marteler « Il y a un effort. Il y a
une avancée. Il y a une évolution. La reconstruction
est en marche » avant d’ajouter, « mais
elle ne sera pas totale. Si on oubli
l’humain.».
Une
transition pour le communicateur d’exprimer sa « conviction utile »
au sujet de la reconstruction humaine.
A
ce niveau, l’élu municipal évoque les notions d’éducation au développement
local des citoyens et la transmutation profonde des mentalités.
Au
sujet de l’éducation au développement local des citoyens, Roch David Gnahoui
ressort le concept de régularité et fait
savoir qu’il s’agit d’un investissement rentable qui assure une compétitivité
des pays.
A
en croire ses propos, l’actuel régime a compris cet enjeu et s’inscrit dans
cette droite ligne. « L’éducation est au cœur de cette reconstruction
enclenchée par le pouvoir en place », assure t-il.
Quant
la transmutation profonde des mentalités, le conférencier ressort le concept de liant et insiste sur l’éthique.
Roch
David Gnahoui plaide, à cet effet, pour
que l’éthique de la responsabilité guide les faits et actions des uns et des
autres.
En
attendant que son appel soit entendu par la classe politique, Roch David
Gnahoui martèle « le temps est venu d’espérer plus fortement, plus intensément. Dans cinq, dix vingt ans, … on ne pourra plus revenir en
arrière. C’est une certitude. La reconstruction amorcée est irréversible comme
le développement qui la sous-tend ».