Politique et développement: Les Imams de Cotonou adhèrent à la vision de Gatien Adjagboni

Pour eux, il n’en saurait être autrement au vu des efforts de développement du président Gatien Adjagboni. Et tout en saluant cette vision, ils ont promis par diverses actions accompagner le mouvement. Preuve de leur engagement, les Imams du 13è arrondissement de Cotonou, accompagnés à l’occasion de leurs proches  ont scandé avec joie le slogan ‘‘Servir autrement la communauté’’. Mieux, l’imam Kadiri Mama Sanni de la mosquée centrale d’Agla a par une prière béni la rencontre…

Les soutiens s’enchaînent pour le Chantre du ‘‘Servir autrement la communauté’’. Après les femmes, les étudiants, les personnes handicapées, les jeunes, … Gatien Adjagboni vient de bénéficier du soutien des Imams de Cotonou. En effet au cours d’un riche échange ce dimanche 4 février 2018  entre les Imams du 13è arrondissement de Cotonou, et  le Chantre du ‘‘Servir autrement la communauté’’, ces derniers ont annoncé leur soutien au creuset ‘‘MITCHITE’’.

Pour eux, il n’en saurait être autrement au vu des efforts de développement du président Gatien Adjagboni. Et tout en saluant cette vision, ils ont promis par diverses actions accompagner le mouvement. Preuve de leur engagement, les Imams du 13è arrondissement de Cotonou, accompagnés à l’occasion de leurs proches  ont scandé avec joie le slogan ‘‘Servir autrement la communauté’’. Mieux, l’imam Kadiri Mama Sanni de la mosquée centrale d’Agla a par une prière béni la rencontre.

C’est dire que Gatien Adjagboni et toute la famille du creuset ‘‘MITCHITE’’ bénéficient de l’onction de Dieu !

Manassé AGBOSSAGA

Rustique Omer Guézo: « Nous ne sommes pas un nouveau parti qui vient amuser la galerie »

Mis sur les fonts baptismaux ce samedi 3 févier à la faveur de son congrès constitutif,  le parti  Dynamique d’actions pour le développement (DAD) vient ainsi compléter la longue liste des partis politiques existant au Bénin. Et comme pour répondre aux critiques qui pourraient naître, son président tente à rassurer les uns et les autres. Dans son speech à l’occasion du congrès constitutif, Rustique Omer Guézo a souligné que DAD  n’est pas un parti de trop. Pour lui, ce parti a vu le jour pour apporter un changement qualitatif au système partisan béninois…

Mis sur les fonts baptismaux ce samedi 3 févier à la faveur de son congrès constitutif,  le parti  Dynamique d’actions pour le développement (DAD) vient ainsi compléter la longue liste des partis politiques existant au Bénin. Et comme pour répondre aux critiques qui pourraient naître, son président tente à rassurer les uns et les autres. Dans son speech à l’occasion du congrès constitutif, Rustique Omer Guézo a souligné que DAD  n’est pas un parti de trop. Pour lui, ce parti a vu le jour pour apporter un changement qualitatif au système partisan béninois.

Rustique Omer Guézo rassure à cet effet que le parti DAD tient ses racines des communautés à la base. Mieux, il a fait savoir que les ténors du parti ont, sous la bannière du Mouvement des démocrates réformistes (Modéré) « parcouru  pendant des années les contrées de notre pays pour toucher de doigt les réels  problèmes qui freinent l’épanouissement de nos concitoyens et un réel décollage de notre pays ».

Et de marteler  « Le parti DAD n’est pas né ex-nihilo… Ce regroupement est un cercle des initiés…Nous ne sommes pas un nouveau parti qui vient amuser la galerie… »

L’avenir nous édifiera !

Manassé AGBOSSAGA

Développement: Mohamed Okri Assogba prêche le Ravip à Zogbo

Mohamed Okry Assogba entend apporter sa contribution à la réussite  du Recensement administratif initial à vocation d’identification de la population (Ravip). Du moins à Zogbo. Dans la soirée du dimanche 4 févier, le président du mouvement ‘‘Les Murailles de la République- Les Verts’’ s’est livré à un exercice de prédication du Ravip…

Tel un disciple, le président du mouvement ‘‘Les Murailles de la République- Les Verts’’, a prêché la bonne nouvelle du  Recensement administratif initial à vocation d’identification de la population (Ravip) aux populations de Zogbo, ce dimanche 4 février 2018.  Face à des populations qui ont prises d’assaut la cour  du complexe scolaire de Zogbo, Mohamed Okri Assogba a invité les uns et les autres à ne pas rester en marge de cet outil de « planification ».

Manassé AGBOSSAGA

Mohamed Okri Assogba entend apporter sa contribution à la réussite  du Recensement administratif initial à vocation d’identification de la population (Ravip). Du moins à Zogbo. Dans la soirée du dimanche 4 févier, le président du mouvement ‘‘Les Murailles de la République- Les Verts’’ s’est livré à un exercice de prédication du Ravip.

Face aux enfants, jeunes, hommes, femmes, sages, et notables, Mohamed Okri Assogba a expliqué  en langue locale l’utilité du Ravip, et appelé les siens à suivre le mouvement. Loin d’être un instrument politique,  l’homme a souligné que le Ravip reste avant tout « un outil de planification ». Et à en croire ses propos, le Ravip peut contribuer à mettre en place une bonne politique en matière d’électricité, d’infrastructures routières, d’équipements sanitaires, …. Ce faisant, Mohamed Okri Assogba invite les uns et les autres à s’inscrire dans le temps pour accompagner cette noble vision du président de la République, Patrice Talon. « Il ne faut pas différer le développement », a-t-il ensuite plaidé.

Et preuve de sa détermination à contribuer à la réussite du Ravip, le président du mouvement ‘‘Les Murailles de la République- Les Verts’’ promet que cette séance de sensibilisation ne sera pas la dernière. « Mon action ne va pas s’arrêter à ce que vous avez vu ce soir. Ça  fait 42 ans que je vis à Zogbo, donc je vais continuer à prendre l’angle avec les leaders, les chefs de culte, les notables. C’est un travail quotidien pour expliquer aux femmes, aux leaders d’opinion  la nécessité de faire le Ravip », rassure t-il.

Très sensibles à son message, les populations qui n’ont pas manqué de poser des doléances ont accueilli avec joie cette nouvelle.

C’est dire que le président du  mouvement ‘‘Les Murailles de la République- Les Verts’’ ne s’est pas trompé en initiant cette séance.

Dimitri Fadonougbo au congrès du parti DAD : « Je vibre de bonheur »

Président du comité d’organisation du congrès constitutif du parti Dynamique d’actions pour le développement (DAD) tenu ce samedi 3 février 2018 au Codiam de Cotonou, Dimitri Fadonougbo a vécu une forte émotion. Face aux militants du parti venus nombreux des quatre coins du pays,  sages et têtes couronnées présents, invités, mais aussi et surtout, face  au président Omer Rustique Guézo, le ‘‘patron’’ de l’organisation a exprimé ses sentiments de joie…

Président du comité d’organisation du congrès constitutif du parti Dynamique d’actions pour le développement (DAD) tenu ce samedi 3 février 2018 au Codiam de Cotonou, Dimitri Fadonougbo a vécu une forte émotion. Face aux militants du parti venus nombreux des quatre coins du pays,  sages et têtes couronnées présents, invités, mais aussi et surtout, face  au président Omer Rustique Guézo, le ‘‘patron’’ de l’organisation a exprimé ses sentiments de joie.

« Je vous annonce que je vibre de bonheur, en vous voyant ce jour 3 février 2018, aussi fortement mobilisé  dans cette salle », se réjouit Dimitri Fadonougbo.

Et s’il partage cette vibration positive, c’est parce qu’il reste convaincu, qu’au regard de la témérité et de la force des convictions des uns et des autres, le parti DAD « s’inscrira en lettre d’or dans les anales de l’histoire politique de notre pays ».

Le président du comité d’organisation a, dans cette lancée, invité les siens à la mobilisation pour porter la voix d’un Bénin nouveau, gagnant sur toute la ligne.

Les militants du parti DAD sont donc interpellés !

Manassé AGBOSSAGA

Négociations Gouvernement/Centrales syndicales: 3è round ce lundi

Et selon les informations annoncées, cette journée permettra d’échanger sur les différentes reformes initiées par le gouvernement. Si tout se déroule dans l’ordre normal des choses, la 1ère session pourrait ainsi s’achever, après les débats sur l’ordre du jour, les libertés, le pouvoir d’achat, la revalorisation du point indiciaire, les réquisitions, … entre les membres du gouvernement et les secrétaires généraux des sept centrales et confédérations syndicales…

Et de 3 ! La  1ère session extraordinaire de la Commission nationale permanente de concertation et de négociation collective Gouvernement/Centrales et Confédération syndicales est à son troisième round ce lundi 5 février 2018. Démarrée le mardi 30 janvier, avant de connaître une pause puis de reprendre le vendredi 2 février, la   1ère session extraordinaire de la Commission nationale permanente de concertation et de négociation collective Gouvernement/Centrales et Confédération syndicales se poursuit ce jour.

Et selon les informations annoncées, cette journée permettra d’échanger sur les différentes reformes initiées par le gouvernement. Si tout se déroule dans l’ordre normal des choses, la 1ère session pourrait ainsi s’achever, après les débats sur l’ordre du jour, les libertés, le pouvoir d’achat, la revalorisation du point indiciaire, les réquisitions, … entre les membres du gouvernement et les secrétaires généraux des sept centrales et confédérations syndicales.

Affaire à suivre !

Manassé AGBOSSAGA

Animation de la vie politique: Omer Guézo crée le parti DAD

Le paysage politique béninois s’enrichit d’un nouveau parti. Son nom : Dynamique d’actions pour le développement (DAD). Présidé par l’ancien candidat à la présidentielle  de 2016, Rustique Omer Guézo, le parti DAD a été mis sur les fonts baptismaux à l’issue de  son congrès constitutif tenu ce samedi 3 février 2018 au Codiam de Cotonou…

Le paysage politique béninois s’enrichit d’un nouveau parti. Son nom : Dynamique d’actions pour le développement (DAD). Présidé par l’ancien candidat à la présidentielle  de 2016, Rustique Omer Guézo, le parti DAD a été mis sur les fonts baptismaux à l’issue de  son congrès constitutif tenu ce samedi 3 février 2018 au Codiam de Cotonou.

Manassé AGBOSSAGA

Il faudra désormais faire avec le  parti Dynamique d’actions pour le développement (DAD) pour l’animation de la vie politique béninoise. Présidé par l’ancien candidat à la présidentielle de 2016, Rustique Omer Guézo, le parti DAD a vu le jour ce samedi 3 février à la faveur de son congrès constitutif. Et à l’occasion, le président du comité d’organisation, Dimitri Fadonougbo a laissé entendre aux militants venus des quatre coins du pays,  sages et têtes couronnées, les représentants de partis et autres, que le parti DAD entend éclaircir l’horizon du paysage politique du Bénin.

Dans cette lancée, Omer Rustique Guézo a, après les interventions des présidents ou représentants de partis, ajouté que le parti DAD  se fixe comme objectif de « rassembler toues les béninoises et tous les béninois autour des objectifs nobles de développement économique social et cultuel ».

Ce faisant, il a rassuré l’attachement du parti aux respects des droits de l’homme, des libertés publiques, de la dignité et  de la personne humaine. Puis de préciser que le parti DAD «vise une éthique politique nouvelle axée sur le respect du bien public et la saine gestion des affaires de la cité, la mise en place des bases solides d’une économie diversifiée et génératrice de richesse naturelle pour assurer un véritable épanouissement des couches sociales ».

Et comme pour prouver que le parti DAD est le fruit d’un véritable des maux qui minent le Bénin, Rustique Omer Guézo a indiqué qu’il est important de revoir la gestion administrative du Bénin, de refonder le système éducatif, de rendre performant le système sanitaire et accessible à toutes les bourses, d’asseoir une justice équitable, de développer et promouvoir les domaines de l’agriculture, et de l’élevage, de redonner à la tradition sa juste et noble identité, de rendre aux femmes leur droit, …

En attendant que cet appel ne soit entendu, le ‘‘prince’’ d’Abomey a annoncé le soutien du parti DAD aux actions du régime de la Rupture, qui selon lui a, avec son chef le président Patrice Talon,  fait preuve de reformes audacieuses pour l’évolution de notre pays, d’effort dans le retour d’une certaine éthique dans la gestion des affaires.

La famille présidentielle s’agrandit donc !

Congrès des FDU: Idji, Prudencio, Lafia, Zinzindohoué, et Gbian ont ennuyé les militants

L’alliance des Forces démocratiques unies (FDU) a tenu le samedi 20 janvier dernier son 1er congrès ordinaire à la salle des fêtes Majestic de Cadjèhoun. Des semaines après, Kpakpato Médias revient sur le calvaire vécu par les militants, la faute aux présidents ou représentants de partis invités…

L’alliance des Forces démocratiques unies (FDU) a tenu le samedi 20 janvier dernier son 1er congrès ordinaire à la salle des fêtes Majestic de Cadjèhoun. Des semaines après, Kpakpato Médias revient sur le calvaire vécu par les militants, la faute aux présidents ou représentants de partis invités.

Manassé AGBOSSAGA

C’était comme s’ils avaient tous signé un protocole d’accord. Invités à prendre la parole à la cérémonie d’ouverture du 1er congrès ordinaire des Forces démocratiques unies (Fdu), les présidents ou représentants de partis ont,  avec un discours kilométrique,  tous ennuyé  les militants, sympathisants et autres présents dans la salle. Dans cette longue liste, Kpakpato Médias a, pour ne pas tomber dans ce même piège’’ recensé cinq cas.

1)  Antoine Kolawolé Idji

Commençons notre série d’acteurs politiques qui ont ennuyé les militants de l’alliance Fdu par le vice-président de l’Union fait la Nation. Arrivé après le lancement des assises et donc en retard, Antoine Kolawolé Idji a joué un mauvais tour aux membres du comité d’organisation. Dans une intervention improvisée, le vice-président de l’Un s’est amusé à se répéter, pour au finish offrir une intervention de plus de 13 minutes. Heureusement pour les militants que ce jour là, personne n’a pu égaler  le  record de l’ancien ministre des Affaires étrangères du Feu président Mathieu Kérékou.

 2) Sacca Lafia

La triple casquette de président de l’alliance en disparition Soleil, de président de l’Union pour la démocratie et la solidarité nationale (UDS) et de ministre de l’Intérieur a visiblement eu un effet négatif sur Sacca Lafia au congrès des Fdu. Appelé à prendre la parole, Sacca Lafia qui a dit intervenir en qualité de président de l’alliance Soleil, s’est confondu en historien et en humoriste. Dans ce mélange de genre, Sacca Lafia a finalement présenté un discours de plus de 11 minutes, à un congrès qui n’était pas le sien.

 3) Abraham Zinzindohoué

Au congrès de l’alliance des  Fdu, la voix de la Renaissance du Bénin (Rb) a résonné, si vous préférez celle de l’aile Zinzindohoué. Abraham Zinzindohoué, président de la Rb, en attendant les tergiversations de la justice, a pris la parole au congrès des Fdu. Et comme ses prédécesseurs, il a présenté un discours kilométrique. Il n’en pouvait  être autrement quand l’homme a transformé le congrès des Fdu  en une tribune de cours de militantisme politique, comme s’il avait en face ses élèves. Obsédé par la crise que secoue la Rb, Abraham Zinzindouhoué,  s’est aussi lancé dans un long exercice de justification de la rébellion enclenchée par sa clique et lui. Le président de la Rb a eu besoin d’environs 9 minutes pour ennuyer les militants de l’alliance des Fdu.

 Claudine Prudencio

Comme pour prouver que « ce dont  peut un homme, une  femme est aussi capable », la présidente de l’Union pour le développement d’un Bénin nouveau s’est aussi mise dans la danse. Avec une voix tremblante (qu’elle a qualifiée de douce) et qui s’affaiblissait au fur et à mesure qu’elle avançait dans son discours, Claudine Prudencio a mis à rude épreuve la patience des militants de l’alliance Fdu.

Comme si on était aux obsèques du coordonateur de l’alliance des Fdu, elle a consacré la moitié de son intervention à faire des témoignages au professeur Mathurin Nago. Après cela, elle a tenté de justifier son ralliement au Nouveau départ, après son soutien au Candidat Sébastien Ajavon. C’est fort de cela que Claudine Prudeincio a présenté un discours de 8 minutes.

5) Robert Gbian

Terminons cette revue par l’Honorable Robert Gbian. Avec grande surprise, le député de l’alliance Soleil a aussi pris la parole tout comme son président Sacca Lafia. Loin de cette indiscipline de groupe, les militants se sont rendu compte que le 2ème vice-président de l’Assemblée nationale perd  peu à peu ses habitudes militaires.  Comme s’il découvre un amour dans la parole, le Général Gbian a eu besoin de 8 minutes pour s’adresser aux militants.

Face à ces discours kilométriques, les militants  de l’alliance  Fdu n’ont pas manqué d’ingéniosité pour adoucir leur colère. Sommeil, sortir de la salle,  concentration  sur des objets comme le portable, allaitement des bébés par les femmes, étaient entre autres les stratégies utilisées par les uns et les autres pour faire face à ce cauchemar.

Pourvu que Antoine Kolawolé Idji, Claudine Prudencio, Robert Gbian, Sacca Lafia et consorts en tiennent compte les prochaines fois.

Houdé à Ahossi : « Nos comptes ne sont pas aux rouges »

Comme la réponse du berger à la bergère, l’Honorable Valentin Aditi Houdé a répondu aux accusations de son collègue Léon Basile Ahossi. Face aux hommes des médias ce jeudi 1er février 2018, le 1er questeur de l’Assemblée nationale a réfuté les accusations de mauvaise gestion des comptes de l’Assemblée nationale par son président Adrien Houngbédji…

Comme la réponse du berger à la bergère, l’Honorable Valentin Aditi Houdé a répondu aux accusations de son collègue Léon Basile Ahossi. Face aux hommes des médias ce jeudi 1er février 2018, le 1er questeur de l’Assemblée nationale a réfuté les accusations de mauvaise gestion des comptes de l’Assemblée nationale par son président Adrien Houngbédji.

« Nos comptes ne sont pas aux rouges… Le collègue qui prétend que nos comptes sont aux rouges, si vous le voyez il vous dira qu’il a été régulièrement payé avant la fin du mois de janvier.  Le personnel civil, militaire de notre institution a été régulièrement payé. Nous continuos comme par le passé par à satisfaire nos obligations vis-à-vis de nos prestataires », a assuré le député de l’Alliance nationale pour la démocratie et le développement.

Le 1er Questeur de l’Assemblée a aussi fait savoir que le reliquat de législature précédente a permis de construire un nouveau bâtiment. Il a dans cette lancée invité son collègue à ne pas transposer les problèmes individuels.

Léon Basile Ahossi appréciera!

Manassé AGBOSSAGA/Le Quotidien

Réplique ridicule de Loth Houénou : Quand le ‘‘clown politique’’ donne raison à Azannaï

 Le très ridicule président du pseudo Parti des valeurs pour la République a, offert le 24 janvier dernier une véritable scène théâtrale politique. Une sortie qui  confirme les propos du président du parti Restaurer l’Espoir, qui après diagnostic, révélait le mode opératoire de l’actuel régime…

 Le très ridicule président du pseudo Parti des valeurs pour la République a, offert le 24 janvier dernier une véritable scène théâtrale politique. Une sortie qui  confirme les propos du président du parti Restaurer l’Espoir, qui après diagnostic, révélait le mode opératoire de l’actuel régime.

Manassé AGBOSSAGA

On a encore eu droit à un épisode du ridicule feuilleton Loth Houénou, véritable ‘‘clown politique’’.  Le mercredi 24 janvier dernier, le comique président du pseudo Parti des valeurs pour la République a effectué une sortie médiatique dite de réplique au président du Parti restaurer l’espoir.

Loin de nous l’idée de comparer les deux hommes. Nous ne ferons pas cette offense au très respecté Candide Azannaï, car ce serait un peu comme si on comparait un chat à une panthère. En réalité, très accroché au kpakpatoya, plusieurs éléments ont attiré l’attention de votre blog Kpakpatomédias.

D’abord, le lieu de la conférence. En effet,  le ‘‘clown politique’’ a réalisé sa scène théâtrale à la salle des fêtes Majestic de Cadjèhoun. Où a-t-il trouvé les moyens pour louer cette salle, quant on sait que par le passé il se contentait d’une petite salle à la bourse du travail. A cette époque là, son désormais frère, Frédéric Béhanzin  ne l’avait pas encore libéré des mauvais esprits. Loth Houénou  vociférait alors contre le régime de la Rupture.

Ensuite, Loth Houénou est arrivé sur les lieux accompagné des hommes en uniforme.  Etonnant pour quelqu’un de son rang !

Autre aspect, le président du PVR a réussi à remplir la salle. Pour un pseudo parti qui n’a pas de membres, et quand on sait comment les salles se remplissent lors des manifestations politiques au Bénin, il y a des raisons de s’interroger.

Enfin, c’est le relai médiatique de la ‘‘scène théâtrale’’ par les grands quotidiens béninois. A-t-il les moyens pour bénéficier de cet accompagnement médiatique des organes proches du régime en place?

Mais en réalité, il n’y a pas de raisons à se remuer le cerveau pour comprendre qui se cache derrière cette parodie de réplique. La réponse est là. Il faudrait plusieurs millénaires à Loth Houénou, qui n’a aucune fonction officielle pour organiser une pareille manifestation.

Et en cela, Candide Azannaï a d’une manière ou d’une autre raison dans son diagnostic sur le mode opératoire du régime dit de la Rupture.

« Ce système,  son chef ne sort pas, mais il laisse faire d’autres. Il reste caché et il opère par procuration à travers d’autres  qu’on appelle les klébés. Si vous n’êtes pas intelligents, si vous n’avez pas d’expérience, vous allez croire que son chef ne vous combat pas. Il est celui qui tire sur toutes les ficelles,  mais il a l’art d se cacher. Le chef actuel est sans foi ni loi », avançait Candide  Azannaï le 21 janvier 2018.

C’est ça qui est la vérité, comme on le dit au 225 !

Azannaï : « Sous le Ravip est caché une combine secrète pour voler les prochaines élections »

Le Recensement administratif initial à vocation d’identification de la population (Ravip) en cours actuellement serait-il une farce ? Pour le président du parti Restaurer l’Espoir, il y a des raisons d’y croire.  S’adressant à ses militants ce dimanche 21 janvier 2018 dans le cadre d’une cérémonie dite symbolique de présentation de vœux, Candide Azannaï a évoqué le caractère pervers de cet instrument, malgré ces avantages.  « Sous le Ravip est caché une combine secrète pour voler les prochaines élections », dénonce le président du parti Restaurer l’Espoir…

Le Recensement administratif initial à vocation d’identification de la population (Ravip) en cours actuellement serait-il une farce ? Pour le président du parti Restaurer l’Espoir, il y a des raisons d’y croire.  S’adressant à ses militants ce dimanche 21 janvier 2018 dans le cadre d’une cérémonie dite symbolique de présentation de vœux, Candide Azannaï a évoqué le caractère pervers de cet instrument, malgré ces avantages.  « Sous le Ravip est caché une combine secrète pour voler les prochaines élections », dénonce le président du parti Restaurer l’Espoir.

A en croire l’ancien ministre de la Défense, le refus par le président de l’Assemblée nationale d’installer les membres du Conseil d’orientation et de supervision de la liste électorale permanente informatisée (Cos-Lépi), malgré la décision de la Cour constitutionnelle est illustratif de la fraude qui se prépare.

« C’est pour ça que malgré la décision qui demande l’installation du Cos-Lepi, le Cos n’est pas installé. Pendant ce temps,  il y a des réunions sécrètes qui se tiennent pour vider  la Lépi et le Cos-Lépi de leurs substances pour aller à un vote électronique avec Safran », fait savoir l’ancien député à l’Assemblée nationale visiblement dans le secret  des Dieux.

Mais comme si de par son expérience politique,  il n’est pas contrarié par la mascarade qui semble se préparer, le président du parti Restaurer l’Espoir prévient « Nous attendons de pied ferme ».

Vivement que ce temps vienne vite pour que votre blog Kpakpato Médias puisse faire son Kpakpatoya.

Manassé AGBOSSAGA