Le match Rwanda vs Bénin à suivre sur l’ORTB

Bonne nouvelle pour les supporters des Guépards du Bénin. Ils pourront suivre le match de leur équipe nationale sur la télévision nationale.

Bonne nouvelle pour les supporteurs des Guépards du Bénin. Ils pourront suivre le match de leur équipe nationale sur la télévision nationale.

« 𝐂𝐡𝐞𝐫𝐬 𝐚𝐛𝐨𝐧𝐧é𝐬 !L’𝐎𝐑𝐓𝐁 vous propose à partir de 17h, 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝘁𝗿𝗮𝗻𝘀𝗺𝗶𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗲𝗻 𝗱𝗶𝗿𝗲𝗰𝘁 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗻𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝗥𝘄𝗮𝗻𝗱𝗮 – 𝗕é𝗻𝗶𝗻 comptant pour la 4è journée des éliminatoires de 𝐥𝐚 𝐂𝐀𝐍 𝐌𝐚𝐫𝐨𝐜 𝟐𝟎𝟐𝟓.Prenez le rendez-vous sur les chaînes audiovisuelles du service public du Bénin. », peut-on lire sur la page Facebook de la télévision nationale.

Qui a dit que l’ORTB n’est pas la chaîne des grands événements.

M.A

Can 2025 : Rwanda vs Bénin ce jour, voici où suivre le match

Les Guépards du Bénin affrontent en déplacement les Amavubi du Rwanda pour le compte de la 4è journée des éliminatoires de la CAN Maroc 2025.

Les Guépards effectuent leur quatrième sortie ce mardi 15 octobre 2024. Les joueurs béninois affrontent en déplacement les Amavubi pour le compte de la 4è journée des éliminatoires de la CAN Maroc 2025, dans le Groupe D.

Avant ce match, le Bénin compte 06 points, tandis que le Rwanda est à 02 points. En cas de victoire, les hommes de Gernot Rohr pourraient presque valider leur billet pour la prochaine CAN.

Et pour inciter les coéquipiers de Steve Mounié à la victoire, le président de la Fédération béninoise de football (FBF), Mathurin De Chacus a promis 100000 Euros aux joueurs en cas de victoire.

Rwanda vs Bénin, c’est à 17 heures au Stade Amahoro de Kigali. La rencontre pourrait être diffusée sur Rwanda TV, Canal 380 sur le bouquet CANAL +.

M.A

Éliminatoires Can 2025 : Le film du calvaire des Super Eagles du Nigeria sur le sol Libyen

Dans le cadre des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations Maroc 2025, les Super Eagles du Nigéria devront affronter pour le compte de la 4ème Journée la Libye ce mardi 15 octobre 2024. Aux dernières nouvelles on apprend que la sélection Nigériane qui a fait effectuer le déplacement de la Libye est retournée au pays en refusant de disputer la rencontre. Et pour cause, elle aurait subi un calvaire qui ne la prédestine plus à livrer un match d’une telle envergure. Nous vous proposons ci-dessous le film des évènements racontée par la cellule de communication de la Fédération Nigériane de Football NFF en 20 points.

Le directeur de la communication de la NFF, le Dr Ademola Olajire, fournit un compte rendu point par point de la manière dont un match de qualification pour la Coupe d’Afrique des Nations très attendu a été relégué au fiasco par les autorités fédérales libyennes et la Fédération de football.

1) L’avion affrété par ValueJet a décollé de l’aéroport international Victor Attah d’Uyo à 11 h 55 le dimanche 13 octobre  2024 et a atterri à l’aéroport international Aminu Kano de Kano à 13 h 10 pour accomplir les formalités d’immigration et faire le plein de l’avion.

2) L’avion a décollé de Kano à 15h18, pour un vol de 3 heures et 35 minutes à destination de Benghazi, en Libye, avec l’intention d’arriver quelques minutes avant 20 heures, heure libyenne.

3) Alors qu’il s’apprêtait à commencer son approche initiale vers Benghazi, le commandant de bord (pilote) a reçu l’ordre de la tour de contrôle qu’il ne pouvait pas atterrir à Benghazi (malgré le fait qu’il avait tous les documents d’atterrissage requis et qu’il avait accompli toutes les formalités avant de quitter Uyo puis Kano), mais qu’il devait se rendre à l’aéroport international d’Al-Abraq, même si l’aéroport manquait de navigateurs de contrôle pour atterrir à de telles heures. Il s’est plaint d’être à court de carburant, mais ses paroles sont tombées dans l’oreille d’un sourd car on lui a répondu d’un ton sévère que la directive venait des « autorités supérieures ».

4) A l’atterrissage à l’aéroport international d’Al-Abraq, dans la petite ville de Labraq, à 19h50, il était clair que l’aéroport n’était pas très utilisé. Il n’y avait pas de machines de numérisation ni d’équipements habituels pour ce service, et les fonctionnaires devaient se contenter de téléphones portables pour scanner les pages de données des passeports.

5) La délégation, qui comprenait 22 joueurs et responsables d’équipe, le président de la NFF, Alh. Ibrahim Musa Gusau, le vice-gouverneur de l’État d’Edo, le camarade Philip Shaibu, quelques membres du conseil d’administration de la NFF, le secrétaire général de la NFF, le Dr Mohammed Sanusi, quelques parlementaires, quelques membres de la direction de la NFF, quelques représentants des médias et quelques parties prenantes, a été peu respectée par les autorités aéroportuaires qui ont fait preuve de manières brusques et d’un ton sévère.

6) Il a fallu plus d’une heure pour que les bagages de l’équipe parcourent le carrousel, malgré le fait que les sacs et autres objets avaient déjà été retirés de l’avion dès l’arrivée.

7) Aucun responsable de la Fédération libyenne de football n’était présent à l’aéroport pour accueillir la délégation, comme c’est la pratique courante dans le monde. Les responsables de l’aéroport n’ont pas pu répondre à la simple question de savoir où se trouvaient les bus qui ramèneraient les membres de la délégation à Benghazi (où la NFF avait réservé des chambres d’hôtel).

8) Lorsque les membres de la délégation, dont le président de la NFF, le camarade Shaibu et le Dr Sanusi, ont tenté de s’aventurer à l’extérieur de l’aéroport pour vérifier s’il y avait des véhicules qui attendaient l’équipe, ils ont été arrêtés de la manière la plus grossière par le personnel de sécurité de l’aéroport.

9) Les appels du Dr Sanusi au secrétaire général de la LFF, M. Abdul-Nasser, n’ont donné aucun résultat, car ce dernier n’a cessé de promettre que les bus arriveraient dans « 10 minutes », puis dans « deux heures », puis dans « trois heures ». Plus tard dans la soirée, il n’a plus été possible de le joindre au téléphone. Frustré par cette attitude, le Dr Sanusi s’est adressé aux agents de sécurité pour demander que l’équipe soit autorisée à sortir et à monter dans les bus finalement loués par la NFF. Cette demande a été rejetée avec des insultes. Il a fallu l’intervention des dignitaires de la NFF pour empêcher ce qui aurait dégénéré en dispute, car le président de la NFF lui-même n’a pas été épargné lorsqu’il a entendu un échange de voix entre le personnel de sécurité et son secrétaire général. Cela a aggravé la tension et frustré encore plus l’équipe.

10) Au fil des heures, la frustration des membres de la délégation, et en particulier des joueurs, s’est accrue. La LFF ne leur a fourni ni eau ni nourriture, et ils ne savaient même pas où se les procurer. Il n’y avait pas de réseau ni de connexion Internet à l’aéroport. Tout cela a rapidement accru leur niveau de frustration et de colère.

11) Vers minuit passé, on a appris que des « autorités supérieures » (la Libye est une juridiction gouvernée par deux administrations différentes – un cabinet reconnu par l’ONU à Tripoli et une équipe auto-imposée sur l’est de la Libye, y compris des endroits comme Benghazi et Labraq) avaient indiqué que la délégation nigériane devrait être retardée d’au moins 10 heures à l’aéroport pour ce qu’ils prétendaient avoir fait subir à leur équipe au Nigeria. (Toutes les conversations entre le secrétaire général de la NFF et le secrétaire général de la LFF sur le match à Uyo, à la fois des textes écrits et des notes vocales, sont toujours dans le téléphone du secrétaire général de la NFF)

12) L’équipe de la NFF a été choquée car l’incident évoqué au Nigeria a été entièrement provoqué par les Libyens. Ils ont informé la NFF que leur contingent atterrirait à Port Harcourt, et non à Uyo, seulement deux heures avant l’arrivée de l’équipe au Nigeria. Malgré cela, la NFF a agi rapidement pour obtenir des autorités qu’elles accordent à l’équipe un permis de déplacement aérien de Port Harcourt à Uyo, mais cette demande a été abandonnée car la LFF n’a apparemment pas apprécié les frais supplémentaires facturés par la compagnie charter. Ils ont choisi de voyager par la route, ont refusé d’utiliser les bus loués par la NFF et ont plutôt loué les leurs, et ont ignoré le conseil de ne pas voyager de nuit. Lorsqu’ils ont persisté dans leur décision de se déplacer de nuit, la NFF a assuré la sécurité. La NFF a même fourni le centre d’entraînement de l’équipe le lendemain du match et a obtenu un permis de vol direct d’Uyo à Benghazi pour la délégation.

13) Furieux, le président de la NFF a réagi : « Nous nous attendions à quelques surprises ici, compte tenu du récit erroné de ce qui s’est passé au Nigeria, tel que relaté par leur capitaine. Mais nous ne nous attendions pas à ces manigances. Ce que je vois est méprisable et n’a pas sa place dans le football, qui est censé favoriser d’excellentes relations entre les nations et rassembler des peuples de cultures, de convictions religieuses et d’intérêts économiques et politiques divers dans une ambiance de paix et de joie. »

14) La NFF a appris que l’ambassade du Nigeria à Tripoli avait écrit, quinze jours plus tôt, aux autorités de Benghazi pour leur faire part de son souhait d’accueillir la délégation nigériane à son arrivée. Cette demande aurait été rejetée d’emblée.

15) Dans un effort conscient pour minimiser leur frustration, leur colère et leur faim, les joueurs et les officiels ont eu recours à des jeux, à écouter de la musique, à discuter entre eux, à scruter la porte de sortie de l’aéroport pour voir si des véhicules étaient arrivés, et ont généralement attendu avec impatience l’aube, qui, espéraient-ils, apporterait le soulagement tant recherché.

16) De nombreux appels ont été passés aux autorités supérieures du Nigéria pour les informer de la situation, et ces personnes ont toutes exprimé des craintes pour la sécurité de l’équipe. Ces craintes étaient réelles et justifiées compte tenu de la pléthore de menaces proférées par les Libyens sur les réseaux sociaux et les médias sociaux dans les jours précédant et suivant le match d’Uyo. À 2 heures du matin, le capitaine William Ekong a rencontré le président de la NFF en compagnie du secrétaire général de la NFF pour informer le président que l’équipe pourrait ne pas être en mesure de poursuivre le match, en raison de traumatismes, de fatigue et de douleurs corporelles résultant du manque de nourriture, de la déshydratation et de traitements très cruels et inimaginables, qui ont conduit certains joueurs à tomber malades.

17) La NFF a réitéré ses appels aux responsables de la Confédération africaine de football, au membre du Conseil de la FIFA pour le Nigeria, M. Amaju Melvin Pinnick, et aux autorités supérieures du Nigeria. Elle a envoyé une lettre à la CAF dans laquelle elle détaillait les frasques des hôtes et espérait que l’instance dirigeante continentale irait de l’avant pour « punir cette rare bestialité infligée au beau football ». Elle a noté que les Super Eagles avaient voyagé dans l’espoir de profiter d’un grand match de football mais avaient été profondément déçus et frustrés par le niveau sans précédent d’hostilité et la mauvaise attitude des hôtes.

18) Au lever du jour, M. Maurice Eromosele, président de la communauté nigériane de l’Est de la Libye, est arrivé avec les mots d’empathie de l’ambassadeur du Nigéria en Libye, Son Excellence Alhaji Muhammad Muhammad. Il s’est dit choqué par le traitement infligé à la délégation nigériane, qui a dû passer toute la nuit dans la salle d’embarquement de l’aéroport d’Al-Abraq. Il a déclaré que Son Excellence lui avait ordonné d’aller chercher quelques affaires pour l’équipe, et qu’il était revenu plus tard avec des sacs en plastique remplis de croissants et de boissons. Ces sacs ont servi de petit-déjeuner à l’équipe.

19) D’autres appels ont été passés et finalement, il a été convenu par toutes les parties que l’équipe ne devrait pas poursuivre le match, mais retourner au Nigeria pour attendre la décision de la CAF (qui a été informée en détail de la situation) concernant le match non joué.

20) Après avoir passé de nombreuses heures supplémentaires à attendre que les autorités de l’aéroport d’Al-Abraq vendent du carburant pour remplir l’avion affrété par ValueJet (qui s’est avéré au départ être une sorte d’ingénierie robotique), la délégation nigériane a quitté l’aéroport d’Al-Abraq (qui ne mérite pas la toge d’« international » à quelque échelle que ce soit) à exactement 15h05, à destination de la ville de Kano, puis de la capitale fédérale, Abuja.

Par la Cellule de Communication de la Fédération Nigérianne de Football

Source : thenff.com

Éliminatoires Can 2025 : Le film du calvaire des Super Eagles du Nigeria sur le sol Libyen

Dans le cadre des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des Nations Maroc 2025, les Super Eagles du Nigéria devront affronter pour le compte de la 4ème Journée la Lybie ce mardi 15 octobre 2024. Aux dernières nouvelles on apprend que la sélection Nigériane qui a fait effectuer le déplacement de la Lybie est retournée au pays en refusant de disputer la rencontre. Et pour cause, elle aurait subi un calvaire qui ne la prédestine plus à livrer un match d’une telle envergure. Nous vous proposons ci-dessous le film des évènements racontée par la cellule de communication de la Fédération Nigériane de Football NFF en 20 points.

Le directeur de la communication de la NFF, le Dr Ademola Olajire, fournit un compte rendu point par point de la manière dont un match de qualification pour la Coupe d’Afrique des Nations très attendu a été relégué au fiasco par les autorités fédérales libyennes et la Fédération de football.

1) L’avion affrété par ValueJet a décollé de l’aéroport international Victor Attah d’Uyo à 11 h 55 le dimanche 13 octobre  2024 et a atterri à l’aéroport international Aminu Kano de Kano à 13 h 10 pour accomplir les formalités d’immigration et faire le plein de l’avion.

2) L’avion a décollé de Kano à 15h18, pour un vol de 3 heures et 35 minutes à destination de Benghazi, en Libye, avec l’intention d’arriver quelques minutes avant 20 heures, heure libyenne.

3) Alors qu’il s’apprêtait à commencer son approche initiale vers Benghazi, le commandant de bord (pilote) a reçu l’ordre de la tour de contrôle qu’il ne pouvait pas atterrir à Benghazi (malgré le fait qu’il avait tous les documents d’atterrissage requis et qu’il avait accompli toutes les formalités avant de quitter Uyo puis Kano), mais qu’il devait se rendre à l’aéroport international d’Al-Abraq, même si l’aéroport manquait de navigateurs de contrôle pour atterrir à de telles heures. Il s’est plaint d’être à court de carburant, mais ses paroles sont tombées dans l’oreille d’un sourd car on lui a répondu d’un ton sévère que la directive venait des « autorités supérieures ».

4) A l’atterrissage à l’aéroport international d’Al-Abraq, dans la petite ville de Labraq, à 19h50, il était clair que l’aéroport n’était pas très utilisé. Il n’y avait pas de machines de numérisation ni d’équipements habituels pour ce service, et les fonctionnaires devaient se contenter de téléphones portables pour scanner les pages de données des passeports.

5) La délégation, qui comprenait 22 joueurs et responsables d’équipe, le président de la NFF, Alh. Ibrahim Musa Gusau, le vice-gouverneur de l’État d’Edo, le camarade Philip Shaibu, quelques membres du conseil d’administration de la NFF, le secrétaire général de la NFF, le Dr Mohammed Sanusi, quelques parlementaires, quelques membres de la direction de la NFF, quelques représentants des médias et quelques parties prenantes, a été peu respectée par les autorités aéroportuaires qui ont fait preuve de manières brusques et d’un ton sévère.

6) Il a fallu plus d’une heure pour que les bagages de l’équipe parcourent le carrousel, malgré le fait que les sacs et autres objets avaient déjà été retirés de l’avion dès l’arrivée.

7) Aucun responsable de la Fédération libyenne de football n’était présent à l’aéroport pour accueillir la délégation, comme c’est la pratique courante dans le monde. Les responsables de l’aéroport n’ont pas pu répondre à la simple question de savoir où se trouvaient les bus qui ramèneraient les membres de la délégation à Benghazi (où la NFF avait réservé des chambres d’hôtel).

8) Lorsque les membres de la délégation, dont le président de la NFF, le camarade Shaibu et le Dr Sanusi, ont tenté de s’aventurer à l’extérieur de l’aéroport pour vérifier s’il y avait des véhicules qui attendaient l’équipe, ils ont été arrêtés de la manière la plus grossière par le personnel de sécurité de l’aéroport.

9) Les appels du Dr Sanusi au secrétaire général de la LFF, M. Abdul-Nasser, n’ont donné aucun résultat, car ce dernier n’a cessé de promettre que les bus arriveraient dans « 10 minutes », puis dans « deux heures », puis dans « trois heures ». Plus tard dans la soirée, il n’a plus été possible de le joindre au téléphone. Frustré par cette attitude, le Dr Sanusi s’est adressé aux agents de sécurité pour demander que l’équipe soit autorisée à sortir et à monter dans les bus finalement loués par la NFF. Cette demande a été rejetée avec des insultes. Il a fallu l’intervention des dignitaires de la NFF pour empêcher ce qui aurait dégénéré en dispute, car le président de la NFF lui-même n’a pas été épargné lorsqu’il a entendu un échange de voix entre le personnel de sécurité et son secrétaire général. Cela a aggravé la tension et frustré encore plus l’équipe.

10) Au fil des heures, la frustration des membres de la délégation, et en particulier des joueurs, s’est accrue. La LFF ne leur a fourni ni eau ni nourriture, et ils ne savaient même pas où se les procurer. Il n’y avait pas de réseau ni de connexion Internet à l’aéroport. Tout cela a rapidement accru leur niveau de frustration et de colère.

11) Vers minuit passé, on a appris que des « autorités supérieures » (la Libye est une juridiction gouvernée par deux administrations différentes – un cabinet reconnu par l’ONU à Tripoli et une équipe auto-imposée sur l’est de la Libye, y compris des endroits comme Benghazi et Labraq) avaient indiqué que la délégation nigériane devrait être retardée d’au moins 10 heures à l’aéroport pour ce qu’ils prétendaient avoir fait subir à leur équipe au Nigeria. (Toutes les conversations entre le secrétaire général de la NFF et le secrétaire général de la LFF sur le match à Uyo, à la fois des textes écrits et des notes vocales, sont toujours dans le téléphone du secrétaire général de la NFF)

12) L’équipe de la NFF a été choquée car l’incident évoqué au Nigeria a été entièrement provoqué par les Libyens. Ils ont informé la NFF que leur contingent atterrirait à Port Harcourt, et non à Uyo, seulement deux heures avant l’arrivée de l’équipe au Nigeria. Malgré cela, la NFF a agi rapidement pour obtenir des autorités qu’elles accordent à l’équipe un permis de déplacement aérien de Port Harcourt à Uyo, mais cette demande a été abandonnée car la LFF n’a apparemment pas apprécié les frais supplémentaires facturés par la compagnie charter. Ils ont choisi de voyager par la route, ont refusé d’utiliser les bus loués par la NFF et ont plutôt loué les leurs, et ont ignoré le conseil de ne pas voyager de nuit. Lorsqu’ils ont persisté dans leur décision de se déplacer de nuit, la NFF a assuré la sécurité. La NFF a même fourni le centre d’entraînement de l’équipe le lendemain du match et a obtenu un permis de vol direct d’Uyo à Benghazi pour la délégation.

13) Furieux, le président de la NFF a réagi : « Nous nous attendions à quelques surprises ici, compte tenu du récit erroné de ce qui s’est passé au Nigeria, tel que relaté par leur capitaine. Mais nous ne nous attendions pas à ces manigances. Ce que je vois est méprisable et n’a pas sa place dans le football, qui est censé favoriser d’excellentes relations entre les nations et rassembler des peuples de cultures, de convictions religieuses et d’intérêts économiques et politiques divers dans une ambiance de paix et de joie. »

14) La NFF a appris que l’ambassade du Nigeria à Tripoli avait écrit, quinze jours plus tôt, aux autorités de Benghazi pour leur faire part de son souhait d’accueillir la délégation nigériane à son arrivée. Cette demande aurait été rejetée d’emblée.

15) Dans un effort conscient pour minimiser leur frustration, leur colère et leur faim, les joueurs et les officiels ont eu recours à des jeux, à écouter de la musique, à discuter entre eux, à scruter la porte de sortie de l’aéroport pour voir si des véhicules étaient arrivés, et ont généralement attendu avec impatience l’aube, qui, espéraient-ils, apporterait le soulagement tant recherché.

16) De nombreux appels ont été passés aux autorités supérieures du Nigéria pour les informer de la situation, et ces personnes ont toutes exprimé des craintes pour la sécurité de l’équipe. Ces craintes étaient réelles et justifiées compte tenu de la pléthore de menaces proférées par les Libyens sur les réseaux sociaux et les médias sociaux dans les jours précédant et suivant le match d’Uyo. À 2 heures du matin, le capitaine William Ekong a rencontré le président de la NFF en compagnie du secrétaire général de la NFF pour informer le président que l’équipe pourrait ne pas être en mesure de poursuivre le match, en raison de traumatismes, de fatigue et de douleurs corporelles résultant du manque de nourriture, de la déshydratation et de traitements très cruels et inimaginables, qui ont conduit certains joueurs à tomber malades.

17) La NFF a réitéré ses appels aux responsables de la Confédération africaine de football, au membre du Conseil de la FIFA pour le Nigeria, M. Amaju Melvin Pinnick, et aux autorités supérieures du Nigeria. Elle a envoyé une lettre à la CAF dans laquelle elle détaillait les frasques des hôtes et espérait que l’instance dirigeante continentale irait de l’avant pour « punir cette rare bestialité infligée au beau football ». Elle a noté que les Super Eagles avaient voyagé dans l’espoir de profiter d’un grand match de football mais avaient été profondément déçus et frustrés par le niveau sans précédent d’hostilité et la mauvaise attitude des hôtes.

18) Au lever du jour, M. Maurice Eromosele, président de la communauté nigériane de l’Est de la Libye, est arrivé avec les mots d’empathie de l’ambassadeur du Nigéria en Libye, Son Excellence Alhaji Muhammad Muhammad. Il s’est dit choqué par le traitement infligé à la délégation nigériane, qui a dû passer toute la nuit dans la salle d’embarquement de l’aéroport d’Al-Abraq. Il a déclaré que Son Excellence lui avait ordonné d’aller chercher quelques affaires pour l’équipe, et qu’il était revenu plus tard avec des sacs en plastique remplis de croissants et de boissons. Ces sacs ont servi de petit-déjeuner à l’équipe.

19) D’autres appels ont été passés et finalement, il a été convenu par toutes les parties que l’équipe ne devrait pas poursuivre le match, mais retourner au Nigeria pour attendre la décision de la CAF (qui a été informée en détail de la situation) concernant le match non joué.

20) Après avoir passé de nombreuses heures supplémentaires à attendre que les autorités de l’aéroport d’Al-Abraq vendent du carburant pour remplir l’avion affrété par ValueJet (qui s’est avéré au départ être une sorte d’ingénierie robotique), la délégation nigériane a quitté l’aéroport d’Al-Abraq (qui ne mérite pas la toge d’« international » à quelque échelle que ce soit) à exactement 15h05, à destination de la ville de Kano, puis de la capitale fédérale, Abuja.

Par la Cellule de Communication de la Fédération Nigérianne de Football

Source : thenff.com

Rwanda vs Bénin : De Chacus promet plus de 65 millions aux Guépards en cas de victoire

Une belle promesse du président de la Fédération béninoise de football (FBF) aux Guépards pour les inciter à réaliser le coup de 2. Après la victoire (3-0) face au Rwanda à Abidjan  pour le compte de la 3è journée des éliminatoires de la CAN Maroc 2025, Mathurin De Chacus a promis une enveloppe financière aux joueurs s’ils gagnent le match retour.

Une belle promesse du président de la Fédération béninoise de football (FBF) aux Guépards pour les inciter à réaliser le coup de 2. Après la victoire (3-0) face au Rwanda à Abidjan  pour le compte de la 3è journée des éliminatoires de la CAN Maroc 2025, Mathurin De Chacus a promis une enveloppe financière aux joueurs s’ils gagnent le match retour.

En cas de victoire à Kigali, le président de la FBF a pris l’engagement d’offrir 100 000 Euros, soit 65 489 977,53 Franc CFA de sa propre poche aux joueurs. Il a fait cette promesse dans le vestiaire des Guépards à la fin du match Bénin vs Rwanda.

S’ils veulent décrocher le jackpot, Steve Mounié et ses coéquipiers savent donc quoi faire ce mardi 15 octobre 2024 au stade Amahoro de Kigali à 17 heures.

M.A

Éliminatoires CAN 2025: Les Guépards déjà à Kigali pour affronter le Rwanda

Après le large succès de vendredi dernier, les hommes de Gernot Rohr ont déjà le regard tourné vers la manche retour. Les Guépards ont à cet effet quitté Abidjan, hier dimanche 13 octobre à 13h pour se rendre  au Rwanda.

Après le large succès de vendredi dernier, les hommes de Gernot Rohr ont déjà le regard tourné vers la manche retour. Les Guépards ont à cet effet quitté Abidjan, hier dimanche 13 octobre à 13h pour se rendre  au Rwanda.

L’avion qui transportait les joueurs et l’encadrement technique a atterri à l’aéroport de Kigali à « 18h25 GMT, soit après 5h15’ de vol », selon Fernando Abalo, proche du ministère des sports.

 
Après les formalités d’usage qui ont duré une vingtaine de minutes, ils ont été conduits à l’hôtel Park Inn by Radison où ils sont logés.

Et selon l’agenda annoncé,  Gernot Rohr et ses poulains vont effectuer la reconnaissance du stade Amahoro de Kigali ce jour. Une  conférence de presse d’avant-match est également annoncée comme l’exige la CAF.

Le match retour Rwanda vs Bénin, comptant pour la 4 ème journée des éliminatoires de la CAN Maroc 2025, c’est demain mardi 14 octobre.

Manassé AGBOSSAGA

CAN 2025 (Q) : le Bénin humilie le Rwanda

Le Bénin était face au Rwanda ce vendredi 11 octobre 2024 au stade Félix Houphouët Boigny. Pour cette troisième sortie, des éliminatoires de la CAN Maroc 2025 dans le Groupe D; les hommes de Gernot Rohr ne se sont pas loupés.

Le Bénin était face au Rwanda ce vendredi 11 octobre 2024 au stade Félix Houphouët Boigny. Pour cette troisième sortie, des éliminatoires de la CAN Maroc 2025 dans le Groupe D; les hommes de Gernot Rohr ne se sont pas loupés.

Le Bénin s’est largement imposé devant le Rwanda. Steve Mounié (7è), Andréas Hountondji (67è) et Hassane Imourane (70è) sont à l’origine de la soirée cauchemardesque des Rwandais au félicia.

Avec cette large victoire (3-0), la première sous l’ère Gernot Rohr, les coéquipiers de Steve Mounié creusent l’écart face à leur adversaire. Les Béninois comptent 06 points tandis que le Rwanda reste à deux points. Néanmoins, le Nigéria après sa victoire (1-0) face à la Libye reste leader du Groupe D avec 07 points.

Prochaine sortie des Guépards du Bénin, le 15 prochain pour la rencontre retour face au Rwanda.

M.A

CAN 2025 (Q) : le Onze entrant du Bénin face au Rwanda

Pour la rencontre Bénin vs Rwanda, Gernot Rohr a fait confianec à Steve Mounié pour conduire l’attaque des Guépards.

Troisième sortie pour les Guépards ce jour! Le Bénin affronte le Rwanda ce vendredi 11 octobre 2024 au stade Félix Houphouët Boigny pour le compte de la troisième journée des éliminatoires de la CAN Maroc 2025 dans le Groupe D.

Quel axe pour les Guépards face aux Amavubi avec le retour de Tidjani? Et sur cette question, Gernot Rohr a tranché.

Dans son onze entrant, le sélectionneur des Guépards a fait confiance au costaud défenseur d’Yverdon. Hountondji-Tidjani compose donc l’axe, tandis que Olivier Verdon retrouve le banc.

L’autre interrogation était liée à la titularisation ou non de Jodel Dossou. Et même sans club, Jodel Dossou va démarrer la rencontre.

Pour le reste, pas grande chose à se mettre sous la dent. Olaïtan, Dodo, d’Alméida, Hassane, ou encore Mounié sont titulaires.

Dans les buts on retrouve, Marcel Dandjinou qui aligne une nouvelle titularisation.

Bénin vs Rwanda, c’est à 16 h (GMT).

M.A

Onze du Bénin :

1-Marcel Dandjinou,

4-Cédric Hountondji,

13-Mohamed Tijani

5-Yohan Roche,

11-Rachid Moumini,

15-Sessi D’Almeida,

19-Dodo Dokou

8-Imourane Hassane,

18-Junior Olaïtan,

20-Jodel Dossou

9-Steve Mounié

CAN 2025 (Q) : Bénin vs Rwanda ce jour, voici où suivre le match

Troisième sortie pour les Guépards ce jour! Le Bénin affronte le Rwanda ce vendredi 11 octobre 2024 au stade Félix Houphouët Boigny pour le compte de la troisième journée des éliminatoires de la CAN Maroc 2025 dans le Groupe D.

Troisième sortie pour les Guépards ce jour! Le Bénin affronte le Rwanda ce vendredi 11 octobre 2024 au stade Félix Houphouët Boigny pour le compte de la troisième journée des éliminatoires de la CAN Maroc 2025 dans le Groupe D.

Une rencontre décisive, puisque le Bénin est deuxième avec 3 points, tandis que son adversaire est troisième avec deux points. Les hommes de Gernot Rohr ont donc intérêt à creuser l’écart en remportant la rencontre de ce soir.

Même si le Rwanda n’a perdu aucun match depuis le démarrage des éliminatoires de la CAN Maroc (Libye 1 – Rwanda 1, Rwanda 0 – Nigéria 0), cette mission ne paraît pas impossible. En juin dernier, les Guépards s’étaient imposés (1-0) face aux Amavubi pour le compte de la 3è journée des éliminatoires du mondial 2026, dans le Groupe C.

Voici où suivre le match Bénin vs Rwanda

La rencontre Bénin vs Rwanda se joue à 16 heures en terre ivoirienne en raison de la non homologation du stade de l’amitié Général Mathieu Kérékou. A quelques heures de cette rencontre décisive, la télévision nationale du Bénin n’a pipé aucun mot sur la diffusion du match.

Néanmoins, Canal + a, de son côté, annoncé la retransmission en direct du match Bénin vs Rwanda sur ses antennes. Les personnes qui disposent d’un abonnement peuvent donc suivre le match sur Canal + Sport 3.

Regardez, mais ne pleurez pas au cas où…

Manassé AGBOSSAGA

« Jodel Dossou est en pleine forme », rassure Gernot Rohr

Selon les confidences du sélectionneur des Guépards, Jodel Dossou « a travaillé avec un préparateur physique et s’est entraîné avec une équipe » avant le regroupement.

Le Bénin affronte le Rwanda, vendredi 11 octobre à Abidjan pour le compte de la 3è journée des éliminatoires de la CAN Maroc 2025. A la veille de cette rencontre, le sélectionneur des Guépards était en conférence de presse.

Gernot Rohr a notamment été interpellé sur la convocation de Jodel Dossou, sans club depuis plusieurs mois.

Sur cette question, le technicien franco-allemand a rassuré que l’ancien joueur de Sochaux est en « pleine forme, malgré le manque de temps de jeu. « « On a vu à l’entraînement qu’il (Jodel Dossou) est en pleine forme », a déclaré Gernot Rohr face aux hommes des médias, d’après des propos rapportés par le service presse de la Fédération béninoise de football.

Selon les confidences du sélectionneur des Guépards, Jodel Dossou « a travaillé avec un préparateur physique et s’est entraîné avec une équipe » avant le regroupement.

S’il rassure que l’ancien joueur de CIFAS est en « pleine forme », Gernot Rohr a toutefois fait savoir que cela ne fait pas d’office de lui un titulaire pour la rencontre face au Rwanda. « On verra demain s’il peut débuter le match ou pas », a-t-il laissé entendre.

Le sélectionneur des Guépards se réjouit à cet effet du retour de Andréas Hountondji, qui dit-il offre des options supplémentaires.

Gernot Rohr a enfin souligné que son équipe est « focus à 100% sur ce match » et est prête pour chercher les trois points.

M.A