Bénin : L’assurance de Guy Mitokpè aux militants du parti Les Démocrates et au peuple

Guy Dossou Mitokpè était aux côtés des députés Les Démocrates de la 16ème circonscription électorale, ce dimanche 09 juillet. Il y était dans le cadre de la tournée de remerciements du Parti d’opposition.

Guy Dossou Mitokpè était aux côtés des députés Les Démocrates de la 16ème circonscription électorale, ce dimanche 09 juillet. Il y était dans le cadre de la tournée de remerciements du Parti d’opposition.

A l’occasion, l’ancien député a d’abord remercié les populations des 09è et 10è arrondissements  pour avoir fait confiance au parti Les Démocrates lors des législatives du 08 janvier dernier.

Il a ensuite invité les uns et les autres à la patience. « On ne devrait pas s’impatienter envers les 28 Députés de l’opposition », a-t-il exhorté, avant d’ajouter «  il serait extrêmement difficile de réparer en 3 ans ce qui a été remis en cause, ou détruit en 7 ans par un régime boulimique ».

Il a assuré que le parti Les Démocrates et ses 28 députés travaillent sans relâche pour améliorer les conditions de vie des populations.

« Si l’entrée des Députés de l’opposition au parlement n’apporte pas encore de changement dans vos vies, sachez que le Parti et ses Députés travaillent ardemment à cela. Nous avons commencé une œuvre ensemble et sachez que notre reconnaissance envers vous est pleine et solide…. », a-t-il soutenu.

Et de conclure sur une note d’espoir et de satisfaction «  Nos 28 Députés sont à la hauteur de la tâche et ils le démontrent déjà… »

M.A

Azannaï : c’était bien lui qui avait mis certains « au dos pour les transporter au parlement » en 2015

En 2015, Candide Azannaï candidat premier titulaire sur la liste Union fait la Nation a réussi à faire élire deux autres membres sur la liste. Grâce à sa fougue, sa stratégie, sa connaissance du terrain, sa proximité, l’homme du ‘‘Tchékééé’’ avait fait goûter pour la première fois aux délices du parlement à Joseph Djogbénou (2è titulaire) et Patrice Nobimè (3ème titulaire).

« (…) Ils ont mis quelqu’un sur la liste et il veut faire du kaléta devant vous…Quelle élection Djogbénou peut aller ? Entre nous est-ce-que Djogbénou peut aller à une élection »  déclarait Candide Azannaï, ajoutant que c’est lui qui l’avait « mis au dos comme un bébé pour qu’il aille s’asseoir au Parlement » en 2015. Si ces propos étaient qualifiés d’arrogant à l’époque, on est bien tenté de reconnaître que le président du parti Restaurer l’Espoir n’avait pas totalement tort.

En 2015, Candide Azannaï candidat premier titulaire sur la liste Union fait la Nation a réussi à faire élire deux autres membres sur la liste. Grâce à sa fougue, sa stratégie, sa connaissance du terrain, sa proximité, l’homme du ‘‘Tchékééé’’ avait fait goûter pour la première fois aux délices du parlement à Joseph Djogbénou (2è titulaire) et Patrice Nobimè (3ème titulaire).

8 ans après, voilà Joseph Djogbénou incapable de rééditer l’exploit de Candide Azannaï.

Candidat premier titulaire dans la 16è, il n’a même pas été en mesure de faire élire un autre membre dans une élection qu’on pourrait qualifier de relativement inclusive. Sans grand challenger en face et malgré l’augmentation de sièges, le président démissionnaire de la Cour constitutionnelle et président de l’UP le Renouveau est passé in extrémis.

Et que dire de Patrice Nobimè. Lui, l’ancien militant de Restaurer l’Espoir est tombé ‘‘gbo’’ du baobab.

Alors comment ne pas le dire, Azannaï, c’est lui le boss. Et c’est bel et bien lui qui avait mis certains au dos pour les conduire au parlement en 2015.

Manassé AGBOSSAGA

16ème circonscription électorale : Sylvanus Aïssi remercie les populations pour avoir fait de lui, la 4ème force politique

Le processus électoral des législatives de 2023 tire à sa fin. Après l’annonce des grandes tendances par le Commission électorale nationale autonome (Céna), le candidat Fcbe de la 16ème circonscription électorale, prend acte des résultats, salue le bon déroulement du scrutin, et remercie tous ses militants qui ont cru en lui et porté sa vision._

Le processus électoral des législatives de 2023 tire à sa fin. Après l’annonce des grandes tendances par le Commission électorale nationale autonome (Céna), le candidat Fcbe de la 16ème circonscription électorale, prend acte des résultats, salue le bon déroulement du scrutin, et remercie tous ses militants qui ont cru en lui et porté sa vision.

L’heure est au bilan et aux grands enseignements au sein du parti Force Cauris pour un Bénin Emergent. Après le bureau politique national, c’est un autre baron de l’écurie qui monte au créneau. Dans une déclaration de presse rendue publique hier à Cotonou, Sylvanus Aïssi, candidat malheureux aux législatives de 2023, dans la 16ème circonscription électorale, est revenu sur le déroulement du scrutin. Au regard du climat apaisé qui a prévalu lors du processus, l’homme qui a porté la vision des verts Cauris dans la capitale économique du Bénin, remercie « le peuple béninois, les partis politiques, les organisations de la société civile, les institutions de la République qui ont œuvré pour que nous ayons des élections transparentes, crédibles et apaisées. »

Dans la même veine, celui dont la vision a été partagée et soutenue par nombre de femmes et d’hommes engagés à ses côtés, salue toute son équipe de campagne, ainsi que les coordinations disséminées dans les 7 arrondissements de la 16ème circonscription électorale.

Il les invite à maintenir l’engagement qui est le leur et à continuer à rester fidèles à leurs ambitions. « Soyez fiers d’être Fcbe », clame-t-il, avant de réitérer son entière disponibilité à poursuivre le combat pour le mieux-être de tous. « Nos projets, nos principes et nos idées germeront dans le cœur et l’esprit de tous », espère-t-il.

Pour finir, il a aussi félicité tous ses challengers qui ont réussi à tirer leurs épingles du jeu, avant de leur souhaiter « courage et succès » dans leur mission de parlementaires.

D. G. T

 

Installations de ses coordinations dans la 15è et la 16è circonscription : Le Facica encercle Cotonou pour Talon

Encore un territoire conquis par l’Imam Chakirou Amoussou et sa troupe ! Après la Donga, l’Alibori, le Borgou, le Zou, les Collines, l’Ouéme et le Plateau, le Fan Club de l’Imam Chakirou Amoussou (Facica) vient de mettre la main sur le département du Littoral.

Encore un territoire conquis par l’Imam Chakirou Amoussou et sa troupe ! Après la Donga, l’Alibori, le Borgou, le Zou, les Collines, l’Ouéme et le Plateau, le Fan Club de l’Imam Chakirou Amoussou (Facica) vient de mettre la main sur le département du Littoral.

Pour cause, l’infatigable et stratège Imam Chakirou Amoussou a procédé à l’installation de la coordination départementale de  Cotonou, en présence d’autres membres du bureau national à l’image du Secrétaire exécutif, Simplice Dossou, du Coordonnateur national, koudous Aguèh.

Ce dimanche 11 octobre, les Ambassadeurs du  Facica  dans la 16 è circonscription électorale ont été installés à l’infosec de Cotonou.

Mais déjà, le mercredi 07 octobre à la maison des jeunes d’Akpakpa, ceux de la 15è circonscription électorale ont été investis dans leur mission.

A l’occasion, ils ont prêté serment et juré fidélité et loyauté au Facica. En outre,  ils ont promis travailler pour la vulgarisation des idéaux du Facica, mais aussi et surtout de travailler pour la réélection du président Patrice Talon.

Un objectif à ne pas perdre de vue à tenu à préciser le président d’honneur du Facica, l’Imam Chakirou Amoussou.

Pour lui, toute la jeunesse doit se mobiliser pour faire  réélire le président de la République dès le premier tour,  fort de son exploit à la tête du pays.  

Tache à laquelle s’adonne petit à petit, mais stratégiquement, celui qu’on appelle le jeune bienfaiteur des temps modernes.

Manassé AGBOSSAGA

Candide Azannaï : « Si on va aux élections dans des conditions démocratiques, transparentes, Talon ne peut pas franchir la barre des cinq… dix députés »

Le président du parti Restaurer l’Espoir a conditionné l’échec des partis de la mouvance aux règles du jeu. Selon Candide Azannaï, Patrice Talon et son clan se retrouveraient avec un nombre très réduit de députés élus au soir du 28 avril, si le jeu démocratique était libre, ouvert et transparent…

Le président du parti Restaurer l’Espoir est convaincu de l’échec de Patrice Talon et de son clan aux prochaines législatives. Candide Azannaï a prédit la défaite des partis de la mouvance lors d’une sortie médiatique effectuée ce jeudi 21 février 2019 au siège du parti. Toutefois, Candide Azannaï a ajouté un bémol.

Manassé AGBOSSAGA

Le président du parti Restaurer l’Espoir a conditionné l’échec des partis de la mouvance aux règles du jeu. Selon Candide Azannaï, Patrice Talon et son clan se retrouveraient avec un  nombre très réduit de députés élus au soir du 28 avril, si le jeu démocratique était libre, ouvert et transparent.

« Si on  va aux élections dans les manières démocratiques transparentes,  et libres, Patrice Talon et son équipe ne peuvent pas franchir la barre des cinq députés… Ils ne peuvent pas l’avoir…Il suffit que les élections soient transparentes…Ils ne peuvent pas franchir la barre des dix députés», a lancé l’ancien ministre de la Défense.

A en croire Candide Azannaï, la mouvance n’a pas de candidat crédible et capable pour disputer le match des législatives. Par exemple, il est persuadé qu’aucun candidat n’est en mesure de le défier dans la 16è circonscription électorale.

« Ils n’ont pas de candidat. Mitokpè va les plier, moi je viendrai les ramasser… Ils n’ont pas d’effectif,  même Talon ne peut pas descendre. Ils n’ont personne pour faire ce match.  Ils ne peuvent pas.   Je vais les terrasser », a ironisé le concepteur du slogan « Edjin kô nin Tché Ké ».

Candide Azannaï fait alors savoir que c’est face à ce constat, que Patrice Talon, avec la complicité du ministre de l’Intérieur a lancé la machine d’exclusion de Restaurer l’Espoir et de tous les partis de l’Opposition.

« Comme ils savent que le peuple n’est pas avec eux et que si on allait aux élections,  ils auront zéro député, …Talon et les députés du BMP ont   planifié l’exclusion des partis de l’opposition et de toutes les forces de l’opposition », a-t-il fait savoir.

Candide Azannai saisi la balle au panier et précise que l’Opposition n’est pas dans une logique de boycott des législatives du 28 avril 2019. « Nous ne sommes pas dans le boycott. Nous sommes dans l’exclusion », précise t-il.  Voilà qui est clair.