Drame à Akpro-Missérété : Une écolière de 11 ans victime de viol

Une fillette de 11 ans a fait les frais de la folie sexuelle  d’un homme à Akpro-Missérété.

Incroyable, mais vrai ! Une fillette de 11 ans a fait les frais de la folie sexuelle  d’un homme à Akpro-Missérété. En effet, selon les révélations du porte-parole de la Police républicaine, le commissariat d’Akpro-Missérété a, interpellé un directeur d’école pour viol sur une de ses écolières de 11 ans, le dimanche 15 juillet 2018.  Ce dernier qui bénéficie toujours de la présomption d’innocence serait entre les mains de la justice pour besoin d’enquête.

« C’est regrettable qu’un éducateur se tourne de son rôle et devienne une gangrène pour la société surtout par des actes ignobles commis contre ces âmes innocentes sans aucune défense », a toutefois déploré le colonel Pascal Odéloui.

C’est évident que le présumé violeur a un avis contraire

Manassé AGBOSSAGA

Prison civile d’Abomey-Calavi, Lokossa, Cotonou,… : Ce qui conduit principalement les béninois dans ces maisons d’arrêt

Autant mille chemins mènent à Rome, autant mille chemins peuvent aussi mener en prison. Les prisons béninoises justifient à merveille  cette diversité de cause des détenus. Le travail de fond réalisé par le Barreau du Bénin ressort cet aspect. En fonction des prisons, la cause de la détention varie…

Autant mille chemins mènent à Rome, autant mille chemins peuvent aussi mener en prison. Les prisons béninoises justifient à merveille  cette diversité de cause des détenus. Le travail de fond réalisé par le Barreau du Bénin ressort cet aspect. En fonction des prisons, la cause de la détention varie.

En effet, selon les résultats dévoilés à Abomey-Calavi, l’infraction principale qui semble justifier la présence des détenus  reste le viol. Selon les statistiques du Barreau, 16,30%  des détenus  y  sont sur la base de cette infraction.

Loin des plaisirs sexuels infondés, le vol et l’association de malfaiteurs avec un taux de 54% conduisent beaucoup de personnes à  séjourner à la prison civile de Cotonou.

A la prison civile d’Akpro-Missérété, qui abrite en grande majorité les personnes condamnés, l’assassinat reste le premier chef d’incarcération.

Tout comme à la prison d’Akpro-Missérété, l’assassinat reste la première raison de la détention des détenus de la maison d’arrêt de Natitingou,  avec un taux de 29,6 %.

Pour vous qui habitez chacune de ces localités, vous savez un peu les risques que vous courrez, c’est-à-dire le type de malfrat qui réside dans votre localité.

Manassé AGBOSSAGA