Bénin : Les Grandes décisions du Conseil des ministres du mercredi 9 mars 2022

Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 9 mars 2022. Voici les grandes décisions

 

Le Conseil des ministres s’est tenu ce mercredi 9 mars 2022. Voici les grandes décisions

MESURES NORMATIVES

approbation des statuts des sept agences territoriales de développement agricole ;

approbation des statuts du Fonds national de Développement agricole ;

approbation des statuts de l’Agence pour le développement intégré de la zone économique du lac Ahémé et ses chenaux ;

nomination des membres et du président du Conseil d’administration du Centre universitaire d’enseignement professionnel .

COMMUNICATIONS

Autorisation de signature de l’accord de subvention pour le développement et la facilitation de mise en œuvre d’un compact concomitant du Millenium Challenge Corporation pour le Bénin ;

Adoption de la Politique nationale de développement des archives (PNDA) 2022-2030 .

Bénin : Voici le curriculum vitae du Directeur général des élections Abou Boucary Soulé Adam

 Après appel à candidature, Abou Boucary Soulé Adam a été désigné Directeur général des Elections. Kpakpato Medias vous propose son profil, son expérience professionnelle,…En un mot, son curriculum vitae    

 

 Après appel à candidature, Abou Boucary Soulé Adam a été désigné Directeur général des Elections. Kpakpato Medias vous propose son profil, son expérience professionnelle,…En un mot, son curriculum vitae    

 

CURRICULUM VITAE de Abou Boucary SOULÉ ADAM

 

DÉTAILS PERSONNELS

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Nom et prénom : Abou Boucary SOULÉ ADAM

 

 

PROFIL 

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Détenteur d’un Diplôme de 3ème cycle en économie internationale de développement de l’ Université Paris 1 Panthéon Sorbonne et Administrateur des services financiers, j’ai acquis, ces dernières années, une solide expérience et gagné en compétence en matière électorale, respectivement en qualité de membre de la première mandature de la Commission électorale nationale autonome (CENA), chargé des études, de la conception des documents électoraux, du suivi des partis politiques et des agents électoraux, et comme expert électoral, Point focal à la CENA du projet « Accroître la compétitivité des élections au Bénin » initié par l’Institut républicain international( IRI) des USA.

Cadre dynamique, polyvalent, exigeant, réactif, professionnel et bilingue français-anglais aux fortes capacités d’écoute et d’adaptation, je suis prêt à m’engager pour relever le défi que constituent la mise en place et l’opérationnalisation des structures de la Direction générale des élections (DGE) de la CENA.

EXPERIENCES PROFESSIONNELLES AU BENIN

Période Lieu Activités
Octobre 2018 à Juillet 2021 Cotonou (Bénin) Membre de la CENA, responsable de la Direction technique n°4. Cette direction est chargée des études, de la conception des documents électoraux, de la formation et du suivi des agents électoraux et des partis politiques. À ce titre, j’ai joué un rôle clé dans tout le processus d’appropriation par la CENA et les parties prenantes de l’ensemble de la législation relative au nouveau cadre juridique des élections, notamment la révision des modules de formation pour les mettre en cohérence avec les lois promulguées, la conception des outils et mécanismes appropriés. La conception du draft zéro du formulaire de parrainage des candidats à la présidentielle, les modalités de suivi des partis politiques ainsi que l’acquisition des compétences en matière de gestion de l’aide de l’Etat aux partis politiques sont quelques-uns des faits d’arme.

Au total, avec l’accompagnement du Gouvernement, l’ensemble des Commissaires, du Secrétaire exécutif permanent, du personnel de la CENA et des agents déployés sur le terrain, la CENA a pu mener trois élections : les législatives du 28 avril 2019, les élections communales du 17 mai 2020 et la présidentielle du 11 avril 2021. Malgré les pressions venant de toutes parts, le lynchage médiatique, les violences orchestrées, l’angoisse, la peur, les intoxications des réseaux sociaux, le Covid-19 nous avons réussi ces trois rendez-vous de dévolution du pouvoir législatif, local et présidentiel dans le strict respect de la Constitution.

 

En outre, durant tout le processus, mes collègues m’ont toujours demandé d’appuyer le Commissaire chargé du budget dans certaines de ses activités relatives à la préparation du budget et à la réallocation de ressources.

De même, compte tenu de mon expérience de travail avec les organismes étrangers, mes collègues m’ont encouragé et soutenu dans la négociation avec l’Ambassade des USA à Cotonou d’un projet d’appui intitulé ‘’Accroître la compétitivité des élections au Bénin’’. Ce projet mis en œuvre par l’International republicaninstitute (IRI) est toujours en cours car il a été prolongé deux fois compte tenu des bons résultats atteints. L’ensemble des partis politiques est bénéficiaire de ce projet dont j’étais le Point focal.

 

Mai 1999- avril 2007 Assemblée nationale du Bénin (3ème et 4ème législatures) J’ai été élu député et j’ai siégé durant deux législatures.

Outre les fonctions classiques de vote des lois, de contrôle de l’action gouvernementale et de représentation, j’ai occupé les positions respectives de :

– président de la commission des finances

– rapporteur spécial du budget

– président du Comité de pilotage de l’Unité pour l’analyse et le contrôle de l’exécution du budget de l’Etat (UNACEB)

–   président du Comité de pilotage du projet d’appui pour le renforcement et la modernisation de l’Assemblée nationale (PARMAN)

–  membre du CIP-UEMOA et président du sous-comité des politiques sectorielles du CIP-UEMOA

–  co-auteur des projets de textes fondamentaux du Parlement Panafricain à Midrand, en Afrique du Sud.

J’ai introduit plusieurs innovations dans la procédure d’examen des projets de lois de finances, du contrôle citoyen ainsi que des sessions de formation ciblées au profit des députés et du personnel.

Mai 1991 à Sept 1996 Cadre au Ministère des finances et de l’économie (Direction générale des affaires économiques), République du Bénin :

ü  Assistant du Directeur de la Prévision puis du Directeur général des affaires économiques

ü  Assistant du Directeur de la Prévision puis de Directeur général des affaires économiques

ü  Membre du Groupe d’analyse de la conjoncture et la centralisation des données collectées en vue de rédiger la note de conjoncture qui accompagne le budget de l’Etat.

 

Mars 1981 à Avril 1991 Ministère des finances (DGTCP) et Présidence de la République Après la prise de service au Ministère des finances, j’ai été immédiatement affecté à la Direction générale du Trésor et de la comptabilité pour l’imprégnation dans les différents services, à savoir administratif, centralisation des recettes, dépenses, visas, comptabilité, pensions et caisse. Ensuite, j’ai été affecté à la Présidence de la République où j’ai occupé plusieurs postes notamment :

–          Responsable de l’entretien des bâtiments du Palais de la Présidence de la République, des services rattachés et du Conseil de l’Entente

–          Chargé de l’élaboration du projet de budget du Cabinet civil du Président de la République

–          Intendant du Palais de la Présidence de la République

–          Conseiller technique à l’économie

 

EXPERIENCES PROFESSIONNELLES INTERNATIONALES

Période et lieu Activités Employeur
Juillet à Août 2017

Lieu : Abidjan

Formuler et élaborer le Plan Stratégique de l’Assemblée nationale de la Côte d’Ivoire (ANCI) pour la période 2017-2020. SUNY – RF[1]
Avril 2017

Lieu : Ouagadougou

Consultant principal de la Banque Mondiale pour l’atelier de renforcement des parlementaires du Burkina faso sur le thème : Parlementaires et développement – Le contrôle et la surveillance des finances publiques, (Ouagadougou). L’objectif ultime est de doter les députés, les fonctionnaires parlementaires et les réseaux de parlementaires d’outils et d’instruments de contrôle de la chaîne des dépenses et la prévision des recettes budgétaires. La préparation intellectuelle de l’atelier, la conception du programme et la validation des différentes communications ont été ma contribution. J’y ai présenté une communication puis rédigé le rapport de l’atelier

Les députés de la Commission des finances ainsi que les assistants de ladite commission ont participé à cet atelier. Ils étaient une trentaine de personnes.

Banque Mondiale
Avril 2017

Lieu : Djibouti

Consultant et conférencier dans deux ateliers de renforcement de capacité des parlementaires Djiboutiens respectivement sur les thèmes du contrôle parlementaire et des techniques d’élaboration des lois.

L’atelier sur le contrôle budgétaire a regroupé les membres de la Commission des finances et des députés des autres commissions, soit vingt-cinq personnes. Quant à l’atelier sur les techniques d’élaboration des lois, elle cible principalement les députés de la Commission des lois auxquels se sont ajoutés des députés des autres commissions, soit vingt-cinq personnes. En outre, les fonctionnaires de la Direction de la procédure législative et ceux de la Direction administrative et financière ont participé aux deux ateliers.

Le financement de ces deux ateliers a été assuré par la Banque Mondiale et l’Assemblée nationale de Djibouti.

Banque Mondiale
Janvier – Févr 2017

Lieux : Bénin,

Côte d’Ivoire

Sénégal

Consultant-chercheur pour conduire une étude sur la prise en compte du dividende démographique dans le travail parlementaire. L’étude a été menée dans trois pays que sont le Bénin, la Côte d’Ivoire et le Sénégal. Le rapport a été remis au FNUAP avec des recommandations. UNFPA, siège NY

UNFPA Bénin

Août-Oct 2016

Lieu : Bangui (RCA)

En tant que Consultant sénior, mes tâches étaient les suivantes : (i) évaluer les besoins en renforcement des capacités techniques des députés, du Bureau de l’Assemblée nationale, du secrétariat général, des députés femmes ainsi que des commissions parlementaires. De façon précise et après l’état des lieux, j’ai inventorié les appuis antérieurs fournis au parlement centrafricain par les PTF. Le travail s’est étendu à une relecture du règlement intérieur afin de mettre quelques dispositions en cohérence avec la Constitution. Les documents rendus ont répondu à l’attente de PNUD et des députés malgré les dissentions perceptibles, la méfiance entre députés et l’état de mi-paix mi-guerre qui prévalait à Bangui. PNUD
Depuis Juin 2015

Lieu :

Québec, Canada

Formateur dans le Programme International de formation parlementaire à Université Laval, Québec Canada (Chaire de recherche sur la démocratie et les institutions parlementaires). Ce programme est destiné aux personnels des parlements des pays francophones d’Afrique, Haïti, Cambodge, Vietnam). Le même programme est organisé par l’Université Mc Gil, Montréal, Canada pour les ressortissants des pays anglophones. Ce sont 25 agents qui arrivent chaque année de différents pays pour cette formation diplômante ; chacun d’eux est accompagné par un mentor pendant un an. Elections Québec en tant qu’organe de l’Assemblée nationale est partie prenante et y partage ses expériences en matière électorale. Université Laval,

Assemblée nationale

Québec

Nov 2015 à Déc 2016

Lieu : Mali

Consultant en question législative du consortium National Democratic Institute (USA) et NIRAS (Royaume du Danemark), Bamako, Mali

ü  Appui à 3 commissions parlementaires : Lois, Femme-Travail-Enfants et Finances et le Réseau de parlementaires maliens contre la corruption

ü  Contributions au renforcement de la Haute Cour de Justice du Mali

Développements d’outils de contrôle parlementaire des régies financières, de mécanismes de reddition de compte, de draft de lois et d’amendements de la législation relative à l’âge de la majorité légale, le mariage, l’adoption, la transparence dans les industries extractives, le réseautage…

Le plan de travail, l’élaboration du budget de mes activités, le recrutement de collaborateurs fait partie de mon cahier de charges ainsi que les missions de terrain pour tester certains mécanismes et outils élaborés.

Consortium NDI et

NIRAS;

financement

Ambassade Danemark

et l’USAID

Oct 2009 à Sept 2013

Lieux :

Accra, Cotonou,

Dakar, Nairobi,

Dar-ès-Salam,

Lusaka,

Kampala

Le Programme Afrique pour le Renforcement Parlementaire et la Surveillance Budgétaire (PARP) travaille avec sept parlements nationaux partenaires : Bénin, Ghana, Sénégal, Kénya, Tanzanie, Zambie et Ouganda. Le PARP travaille à développer et mettre en œuvre des stratégies qui renforcent l’efficacité et la transparence au cours du processus budgétaire aux fins de s’assurer que les parlements sont plus réceptifs aux besoins des citoyens au moment d’allouer des ressources budgétaires puis de contrôler la qualité des services offerts. Ainsi, les parlements vont :

–          Accroître leur autorité et leur implication dans le processus budgétaire,

–          Accroître la capacité des parlementaires et soutenir leurs efforts en vue de minimiser la corruption au cours de l’exécution du budget;

–          Promouvoir les budgets nationaux sensibles au genre et viables avec un accent sur la réduction de la pauvreté.

J’ai dirigé l’équipe qui a fait l’état des lieux dans trois pays que sont le Bénin, le Ghana et le Sénégal. Un travail de validation a été organisée, les outils de gestion (PTA, plans de trésorerie..) puis les programmes pertinents ont été conçus et mis en œuvre pendant cinq ans dans les pays partenaires du PARP. Les problèmes recensés étant quasiment identiques dans les sept pays, la mise en œuvre du programme a été l’occasion d’organiser des sessions communes de renforcement des capacités des députés venant de ces différents pays.

Dans ce cadre, j’étais chargé de la préparation intellectuelle des sessions de formation, de recruter si nécessaire des consultants locaux ou internationaux pour la mise en œuvre de certains aspects du PARP. J’avais la charge d’élaborer le budget de chaque activité. Je disposais d’une carte visa de débit pour payer les différents prestataires au cours de ces sessions hors d’Accra (Siège du Bureau Afrique du Centre parlementaire Canada).

Centre Parlementaire

Canada

Bureau Afrique

Accra

Juin à Juillet 2009

Lieu : Tunisie

Recruté comme Consultant, mon rôle a consisté à organiser le Séminaire sur le Rôle des parlementaires dans la promotion de la bonne gouvernance. De façon précise en tant que personne ressource, j’ai :

–          conçu le contenu et élaboré l’agenda du séminaire

–          rédigé et présenté une partie des modules

–          identifié, recruté et payé 3 conférenciers pour m’accompagner

–          supervisé le Séminaire et présenté des communications

–          rédigé le rapport général du séminaire.

Les participants sont des fonctionnaires parlementaires et des bureaux d’études venant de 15 pays africains : Rwanda, Mali, Sénégal, Burkina Faso, Cameroun, Bénin, DR Congo, République Centrafricaine, Tunisie, Togo, Côte d’Ivoire, Gabon, Madagascar, Maroc et Guinée. Un certificat de participation a été délivré à chaque participant.

Banque

Africaine de

Développement,

Fonds Monétaire

International

Banque Mondiale

Mai 2008 à Oct 2009

Lieux :

RD Congo,

Provinces du

Maniema,

Katanga, Bandundu,

Nord Kivu

et Sud Kivu

Expert Sénior en législation et Conseiller Principal du Projet BRDG DRC (Building, Recovery, Democracy and Governance in DR Congo) et Chef d’équipe technique. L’objectif ultime de BRDG RDC est de contribuer à reconstruire les institutions démocratiques que sont le Parlement, cinq assemblées provinciales et cinq gouvernements provinciaux.

En ma qualité de Conseiller principal du Projet BRDG, j’ai travaillé avec le personnel du Projet BRDG DRC pour identifier et fournir les informations générales sur les principales questions législatives et parlementaires, un diagnostic et un état des lieux des besoins en renforcement de capacités ainsi que l’analyse du cadre juridique et institutionnel aux fins de proposer des textes de lois, des amendements de lois pour les adresser. De même, dans le volet décentralisation et libre administration des provinces, le Programme BRDG couvre cinq provinces (il y avait 11 provinces à l’époque) que sont Katanga, Bandundu, Maniema, Nord Kivu et Sud Kivu. La question la plus complexe étant celle de la législation pertinente sur la libre administration des provinces et le mécanisme de l’opérationnalisation des 26 provinces tel que prescrit par la Constitution.

Je faisais appel aux universitaires, aux membres des OSC ainsi qu’à l’expertise internationale pour adresser certaines questions. J’ai dû organiser un voyage d’études des députés congolais au Bénin afin qu’ils échangent sur les meilleures pratiques du travail parlementaire.

Les institutions ciblées sont le Parlement national (Sénat et Assemblée nationale) et les gouvernements et assemblées des provinces couvertes par le Projet BRDG. Dans la mise en œuvre, il fallait interagir constamment avec les autres bailleurs de fonds pour mutualiser les ressources et éviter les doublons. Le PNUD était chargé de la coordination et la MONUC (Mission des Nations Unies au Congo) chargée de l’accompagnement sécuritaire car le pays était toujours en guerre. Etant donné que DAI est une société américaine financée par l’USAID, l’officier sécurité de l’Ambassade devait toujours approuver les fréquents déplacements dans les provinces.

Les Commissions Politique, Administrative et Juridique (PAJ) et Economie et Finances (ECOFIN) du Parlement national et des assemblées provinciales sont les bénéficiaires directs du Projet en ce qui concerne les aspects législatifs : élaboration de propositions de lois, des amendements des lois, élaboration de projets d’édit, vote des lois de finances. S’agissant des gouvernements provinciaux, l’appui conseil a été privilégié.  Avec les OSC, il s’agissait de développer l’interaction avec les commissions parlementaires en vue du contrôle citoyen de l’action gouvernementale.

Development

Alternatives

Incorporated (USA)

 

 

OBSERVATEUR DES ELECTIONS :

 

Août 2004 :

Sur recommandation de la mission du CIP-UEMOA qui a observé les élections législatives en Guinée-Bissau, une formation des députés a été organisée et s’est tenue en Août 2004 à Niamey. J’ai participé à cette formation qui a passé en revue tous les aspects du processus électoral y compris les différentes activités qui concourent à la bonne tenue des élections.

 

J’ai été observateur des élections pour le compte de l’Union Africaine, la CEDEAO et le CIP-UEMOA dans plusieurs pays :

– en Guinée Bissaule 28 mars 2004 : élections législatives

– au Burkina Faso le 13 novembre 2005 : élection présidentielle

-au Mali 29 avril 2007 : élection présidentielle et

– au Togo le 22 février 2020 : élection présidentielle.

En outre, au Burkina Faso, lors de la présidentielle du 13 novembre 2005, le collectif des observateurs internationaux m’a désigné rapporteur unique, le rendu a été approuvé et publié.

 

 

FORMATIONS ET DIPLÔMES

 

Diplômes ou certificat Période d’obtention Observations
Certificat de fin du Cours ‘’Advanced security in the field’’ 19 Novembre 2017 Ce cours est conçu et mis en ligne par United nations department of safety and security (UNDSS). La validité du Certificat est de 3 ans.

Code confirmation : 2138986

Certificat de fin du cours ‘’Preparing and responding to active shooters incidents’’ 19 novembre 2017 Id

Code confirmation : 2139505

 

Diplôme de spécialité en gestion de l’ajustement structurel et prévision économique. Mars-Avril 1990 Institut international d’administration publique, Paris, France
Diplôme de spécialité en Techniques de Privatisation Octobre 1989 Intrados Management Group in partnership with Georges Washington University (USA) International Business Program
Diplôme d’études approfondies(DEA) en économie, option Mutations économiques et adaptation régionale avec habilitation pour une thèse Novembre 1987 Université de Picardie, UER d’économie et de gestion, Amiens, France
Diplôme de 3ème cycle en Économie internationale de développement. Octobre1987

 

Université de Paris 1 Panthéon Sorbonne-Institut d’études de développement économique et social, Paris, France
Maîtrise en sciences juridiques, option administration générale Juillet 1983 Université nationale du Bénin, Faculté des sciences juridiques, économiques et politiques, Abomey-Calavi, Bénin
Diplôme d’études techniques supérieures, option Finances Août 1980 Université nationale du Bénin, Collège polytechnique universitaire, Abomey-Calavi, Bénin
Baccalauréat, série B 1976 Lycée mixte Mathieu Bouké Parakou

 

J’ai obtenu plusieurs autres certificats de participation à différents cours ou formations de courte durée relatives aux finances publiques, chaîne des dépenses, compte de gestion, lois électorales, changement climatique, droits humains…

 

LANGUES ETRANGERES

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Français : excellent

Anglais : excellent

Allemand: basique

 

DECORATION 

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Commandeur de l’Ordre national du Bénin

 

 

À PROPOS DE MOI

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Loisirs : culture générale, cuisine, marche, voyage

Intérêt : vie associative

Passion : planter les arbres

 

 

RÉFÉRENCES 

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Mr Emanuel TIANDO, ancien Président de la CENA

Prof Mélégué Traoré, ancien Président AN Burkina Faso et du CIP-UEMOA

Dr Badié Hima, NDI

 

 

Je certifie exacts les renseignements ci-dessus mentionnés.

 

Cotonou, le 23 novembre 2021

 

 

Abou Boucary SOULÉ ADAM 

[1]SUNY – RF : Fondation pour la recherche de l’Université d’Etat New-York

Législative de 2023 : Alimatou Badarou fait une demande pressante aux responsables des partis

Après la fixation de la date des élections législatives de 2023 par la Cour constitutionnelle, l’heure est désormais aux appels, adresses et doléances et autres. C’est le cas de Alimatou  Badarou.

Après la fixation de la date des élections législatives de 2023 par la Cour constitutionnelle, l’heure est désormais aux appels, adresses et doléances et autres. C’est le cas de Alimatou  Badarou.

De passage sur la chaîne de télévision E-Télé, ce dimanche 06 mars 2022, la coordonatrice de l’Organisation des femmes républicaines du parti Bloc républicain a fait une demande pressante aux responsables des partis, tout bord confondu.

Elle a demandé aux présidents des différents partis de  « mettre les femmes à des positions éligibles » lors des législatives du 8 janvier 2023 pour le compte de la 9è législature.

L’ex directrice générale du Conseil national des chargeurs du Bénin (CNCB) a appelé les chefs de partis à faire confiance aux femmes et à faciliter une forte représentativité  de la gente féminine au Parlement.

Elle dit connaître des femmes  battantes et compétentes pour faire gagner les partis dans les différentes circonscriptions électorales.

Pour Alimatou Badarou, les responsables des partis ont l’occasion d’accompagner la vision du chef de l’Etat, qui accorde une place de choix à la femme, et qui n’a pas hésité à désigner  une femme pour être sa colistière.

Et si elle reconnait que les 24 sièges réservés d’office aux femmes (article 144) est une avancée, la coordonatrice de l’organisation des femmes républicaines du Bloc républicain  invite les uns et les uns et les autres à ne pas se contenter de cela pour ne pas positionner plus de femmes sur les différentes listes.

Abdoulaye Bio Tchané, Bruno Amoussou, Eric Houndété, Jacques Ayadji, Paul Hounkpè, Expérience Tébé, …sont donc interpelés !!!

Manassé AGBOSSAGA

Décision DCC 22-065 fixant les législatives au 08 janvier : Un éminent avocat désavoue la Cour constitutionnelle

Au Bénin, la prochaine élection législative se tiendra le 08 janvier 2023. Conséquence de la  décision DCC 22-065 du 24 février 2022.

 

Au Bénin, la prochaine élection législative se tiendra le 08 janvier 2023. Conséquence de la  décision DCC 22-065 du 24 février 2022.

Saisie d’une requête en date du 14 février par laquelle le président de la Céna « forme un recours aux fins d’avis de la Cour sur la date légale des élections législatives de 2023 », les ‘‘sept sages’’ ont « dit que l’élection des députés à l’Assemblée nationale doit se tenir le « le 8 janvier », suivie de l’entrée en fonction des députés élus le 12 février.

Dans sa décision, la Cour constitutionnelle a,  dans un premier temps,  déclaré irrecevable la requête du président de la Céna « pour défaut de qualité », avant de considérer que « compte tenue de l’incertitude de la date d’organisation du scrutin ayant pour objet la dévolution du pouvoir législatif qui est l’un des fondements de la démocratie béninoise dans laquelle se trouve la Céna, source de dysfonctionnement latent des institutions de la république, il appartient à la cour en vertu de l’article 114 de la constitution qui fait d’elle «  l’organe régulateur du fonctionnement des institutions et de l’activité des pouvoirs publics de se prononcer d’office sur la difficulté soulevée ».

Me Fatiou Ousmane désavoue

Un argument qui ne convainc pas Me Fatiou. Pour l’avocat au barreau de Dijon,  la Cour aurait dû s’arrêter à sa première décision.

« Il faut d’abord regretter que la cour ne se soit pas simplement contentée de constater l’irrecevabilité de sa saisine et son incompétence à statuer sur une telle demande émanant de la CENA et non de celui qui doit convoquer le corps électoral », fait il d’abord remarquer, avant d’expliquer «  La cour aurait pu, compte tenu de l’absence d’urgence, inviter l’organe compétent soit le Président de la République à se pourvoir devant elle. En se substituant à l’organe constitutionnel de saisine et se saisissant d’office de cette question, la cour a confirmé qu’elle n’était plus le recours indépendant créé en 1990 ».

Me fatiou Ousmane, avocat au barreau de Dijon

Me Fatiou Ousmane rappelle que dans un passé récent cette  même cour Constitutionnelle est allée au-delà de ses fonctions d’organe régulateur, ouvrant ainsi la voie à une « crise politique qui perdure depuis ».

« En poussant le raisonnement, on peut regretter que cette même cour n’ait pas joué ce rôle de régulateur lorsqu’en 2019 elle était saisie des difficultés d’application du nouveau code électoral et qu’elle a opté pour un dépassement de ses fonctions en créant un acte administratif dit certificat de conformité.

Il lui aurait pourtant suffi, à l’époque, de constater que la loi votée manquait de précision et méritait un second vote, ce qui induisant alors le report du scrutin législatif d’avril 2019.

Mais à ce moment, la Cour des miracles a préféré déréguler et se porter complice d’une crise politique qui perdure depuis… »

Joseph Djogbénou et les autres apprécieront !!!

Manassé AGBOSSAGA

 

Bénin/Recrutement d’agents de santé au profit de la CNSS : Liste des candidats retenus après étude de dossiers

 

Dans le cadre de ses activités, la Caisse nationale de sécurité sociale (CNSS) du Bénin a lancé un appel de candidature pour pouvoir à plusieurs  postes.

Voir en images la liste des candidats retenus après étude de dossiers.

 

Date anniversaire de l’arrestation de Réckiatou Madougou : Le parti ‘‘Les Démocrates’’ s’en souvient et adresse trois exigences au Gouvernement

Cette triste d’anniversaire, son parti ‘‘Les Démocrates’’ s’en souvient. A travers un communiqué signé de son président, le parti est revenu sur les  conditions déplorables de son arrestation le 03 mars sur le pont de Porto-Novo, conséquence, de « sa décision de participer à l’élection présidentielle ».

03 mars 2021-03 mars 2022 ! Exactement 01 an  que Réckiatou Madougou, opposante et candidate recalée du parti ‘‘Les Démocrates’’ à la présidentielle de 2021,   était arrêtée sur le pont de Porto-Novo, du retour d’un meeting dans la ville capitale.

La suite, on la connaît. Sa condamnation à 20 ans d’emprisonnement ferme,  le 10 décembre 2021.

Annonce

Cette triste d’anniversaire, son parti ‘‘Les Démocrates’’ s’en souvient. A travers un communiqué signé de son président, le parti est revenu sur les  conditions déplorables de son arrestation le 03 mars sur le pont de Porto-Novo, conséquence, de « sa décision de participer à l’élection présidentielle ».

Le parti ‘‘Les Démocrates’’ dénonce donc un « procès inique et politique » ayant conduit à une condamnation « injuste » à 20 ans de prison.

Pour Eric Houndété et les siens, Réckiatou Madougou « ne saurait continuer à être gardée  en prison surtout qu’aujourd’ hui les vrais terroristes sont à nos portes ».

Face à cela, le parti exige   «la libération sans condition de Réckiatou  Madougou », ainsi que  de tous les détenus politiques.

Le parti ‘‘Les Démocrates’’ en profite pour adresser deux exigences au Gouvernement de la Rupture à savoir «  le retour sans condition des exilés politiques » et « la fin de la clandestinité pour ceux qui y sont contraints ».

Et d’ajouter « le Bénin a besoin de toutes ses filles et des fils pour combattre » le terrorisme.

Manassé AGBOSSAGA

Changement du nom des Ecureuils: « D’une bête à une autre bête pourvu que tout ne soit pas bête à l’heure des bilans », lance Tomèty

Changement de nom : des écureuils aux ratels

D’une bête à une autre bête pourvu que tout ne soit pas bête à l’heure des bilans.

Les écureuils ne sont pas féroces pour dévorer leurs proies. Ils sont néanmoins des stratèges et recherchent les failles de l’adversaire pour le surprendre par des exploits fulgurants.

C’est vrai, notre football ne fait pas rêver. Les écureuils sont malades parce que ce milieu du foot est exigeant en apprentissage pour se hisser professionnellement au firmament des grandes nations de football.

Le problème est-il vraiment celui d’un changement de nom ou celui des magouilles que les différentes fédérations ont fait subir à l’équipe nationale depuis quelques années. Où sont les écoles du football au Bénin qui forment des talents pour les clubs et l’équipe nationale ?

Je ne suis pas un fan du foot mais j’en parle parce qu’il s’agit d’une équipe nationale et le nom à donner à celle-ci ne doit pas être seulement l’affaire de la fédération et du gouvernement. Je n’ai jamais compris pourquoi a-t-on fermé l’école de football créée par monsieur Sébastien Ajavon. Passons!

Faisons très attention avec cette histoire de changement de nom car le Benin peut avoir les mêmes niveaux de performances comme du temps des écureuils.

Je comprends que des mystificateurs lieraient le nom à la chance ou à la malchance. Seulement, la chance ne dépend pas tout le temps du hasard mais du professionnalisme soutenu en organisation, en gestion financière, en management des ressources humaines et en techniques de jeu.

Une équipe nationale est comparable à des soldats au front, et l’équipe dirigeante est assimilable à l’état-major général des armées. Si vous gérez mal le mental de l’équipe ou de la troupe, vous ne produirez que des contre-performances et chaque fois ça va être de la capitulation.

Quel est le pan des problèmes de l’équipe nationale imputable au nom? Ne confondons pas fanatisme et fainéantise sur fond de mauvaise gouvernance.

Le ratel est un animal féroce, tenace et endurant qu’on rencontre en Afrique. Très bien! Cette bête à laquelle voudrait s’identifier l’équipe nationale pour sa force physique interpelle. Cette bête a-t-elle l’intelligence situationnelle pour gagner? Peut-être!

Pourquoi c’est seulement dans le règne animal qu’on recherche un nom alors qu’il y a le règne humain, le règne végétal et le règne minéral.

Faisons attention car l’esthétique du nom compte aussi. Il faut la perception et la représentation dans tout symbolisme.

Alors Ratel ne m’impressionne nullement. Il me fait penser aux mots suivants :

1/ Rater

2/ Râteau

3/ Rat

Que vaut la force sans esthétique. La stratégie est dans l’esthétique.

Simon Narcisse Tomèty

Institutionnaliste de reformes publiques

 

Bénin: Guy Mitokpè parle des législatives de 2023 et lance un appel pressant aux acteurs politiques

Le parti ‘‘Restaurer l’Espoir’’ a certes rompu les amarres avec le régime de la Rupture au point de s’inscrire dans une posture de résistant, son secrétaire général continue de suivre de très près l’agenda électoral du pays. Preuve, sa  réaction, abondamment relayée dans le quotidien  Le Matinal est évocatrice.

Le parti ‘‘Restaurer l’Espoir’’ a certes rompu les amarres avec le régime de la Rupture au point de s’inscrire dans une posture de résistant, son secrétaire général continue de suivre de très près l’agenda électoral du pays. Preuve, sa  réaction, abondamment relayée dans le quotidien  Le Matinal est évocatrice.

Guy Dousou Mitokpè s’est  prononce sur les législatives de 2023, notamment sur la date du scrutin, fixé par au 08 janvier par la Cour constitutionnelle.

« J’ai, comme la plupart de nos compatriotes, suivi l’actualité au cours de laquelle, j’ai lu que les prochaines élections législatives auront lieu dans le mois de Janvier (2023, ndlr) », fait savoir l’ancien député.

Il rappelle que « la régularité et l’effectivité des élections dans une démocratie participe de la vitalité de cette démocratie ».

Annonce

Si la date du 8 janvier coïncide avec la période des fêtes du nouvel an, le secrétaire général du parti Restaurer l’Espoir espère que ce moment permettra de tourner les douloureuses pages des dernières élections,  avec  des scrutins qui ont malheureusement « décapité  l’unité nationale » et « dérangé la quiétude de la population. »

Et de plaider  «  Nous croyons et nous pensons que les prochaines échéances électorales seront l’occasion pour notre peuple de se réconcilier avec lui-même ».

Et pour y arriver, Guy Dossou Mitokpè interpelle les « acteurs politiques à divers niveaux ».

Mitokpè plaide pour les jeunes et femmes

Dans son message, l’ancien président de la Fédération nationale des étudiants du Bénin a profité pour se faire l’avocat des candidatures de jeunes et des femmes.

« Je crois que c’est l’occasion de renouer avec les fêtes. Et la meilleure manière de renouer avec les fêtes, c’est aussi d’aider les jeunes, les femmes, tous ceux qui ont l’âge jeune, de s’exprimer de la meilleure des manières » a-t-il exhorté.

Faut-il voir par là une probable candidature de l’un des plus jeunes députés de la 8è législature malgré la position de son parti?

Wait and see !!!

Manassé AGBOSSAGA

Bénin/ Conseil des ministres du mercredi 02 mars 2022 : Liste des nominations

Le Conseil des ministres du mercredi 02 mars 2022 a enregistré plusieurs nominations notamment au  ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Liste

 

Mesures individuelles.

Les nominations suivantes ont été prononcées au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, après relance de la sélection aux hautes fonctions universitaires de direction.

A l’Université d’Abomey-Calavi

Institut de Mathématiques et de Sciences Physiques (IMSP)

Directeur adjoint : Monsieur Vincent A. MONWANOU

Institut de Formation et de Recherche en Informatique (IFRI)

Directeur adjoint : Monsieur Gaston G. EDAH

Ecole Polytechnique d’Abomey-Calavi

Directeur adjoint : Monsieur Vincent PRODJINONTO

Faculté des Sciences Agronomiques (FSA)

Vice-Doyen : Monsieur Augustin K. N. AOUDJI

Faculté des Sciences et Techniques (FAST)

Doyen : Monsieur Farid A. K. BABA-MOUSSA

Ecole Nationale des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (ENSTIC)

Directeur : Monsieur Ferdinand KPOHOUE

Ecole de Médecine

Directeur adjoint : Monsieur Ulrich B. VODOUHE

Ecole de Pharmacie

Directeur adjoint : Monsieur Habib GANFON

Institut National de l’Education Physique et Sportive (INEPS)

Directeur : Monsieur D. Basile AGBODJOGBE

Faculté de Droit et de Sciences Politiques (FADESP)

Doyen : Monsieur Léon JOSSE

Faculté des Lettres, Arts et Sciences Humaines / Adjarra

Vice-Doyen : Monsieur Joseph P. SAHGUI

Centre béninois des Langues étrangères

Directeur : Madame Rissikatou MOUSTAPHA épouse BABALOLA

Institut du Cadre de Vie

Directeur : Monsieur Euloge OGOUWALE

A l’Université de Parakou

Faculté d’Agronomie

Vice-doyen : Monsieur Erick Virgile Bertrand AZANDO

Ecole Nationale des Techniques en Santé publique et surveillance épidémiologique

Directeur : Monsieur Tododjitché Thierry Armel ADOUKONOU

Faculté de Médecine

Vice-doyen : Monsieur Mourtawakilou GOMINA ASSOUMANOU

A l’Université Nationale des Sciences, Technologies, Ingénierie et Mathématiques

Vice-recteur chargé de la Coopération

Monsieur Thierry Gorlon GODJO

Vice-recteur chargé des Affaires Académiques

Monsieur Edmond Codjo ADJOVI

Ecole nationale supérieure des Biosciences et Biotechniques appliquées

Directeur adjoint : Monsieur Eben-Ezer EWEDJE

Institut national supérieur de Technologie industrielle

Directeur adjoint : Madame Yvette Sèdjro KIKI TANPKINOU

Institut national supérieur des classes préparatoires aux études d’ingénieur

Directeur : Monsieur Christian Djidjoho AKOWANOU

Faculté des Sciences et Techniques de Natitingou

Doyen : Monsieur Mahouton Jonas Stéphane HOUNDJO

Ecole nationale supérieure ENS/Natitingou

Directeur : Monsieur Innocent DJEGBE

Ecole de Gestion et d’Exploitation des Systèmes d’Elevage

Directeur : Monsieur Sabbas ATTINDEHOU

Ecole d’Aquaculture

Directeur : Monsieur Simon AHOUANSOU

Directeur adjoint : Madame Diane Mathilde KPOGUE

Ecole des Sciences et Techniques de Conservation et de Transformation des Produits agricoles

Directeur : Madame Flora CHADARE

Ecole de Gestion et de Production végétale et semencière

Directeur : Monsieur Appolinaire ADANDONON.

Bénin: Les grandes décisions du Conseil des ministres du mercredi 02 mars 2022

GRANDES DECISIONS DU CONSEIL DES MINISTRES DU 2 MARS 2022
MESURES NORMATIVES
– Dispositions réglementaires de mise en œuvre de la stratégie de promotion et de développement de l’enseignement supérieur, la recherche scientifique et l’innovation ;
– Mise en place du cadre institutionnel chargé de la formalisation du Compact régional du Bénin avec le Millenium Challenge Corporation (MCC) ;
– Réorganisation de la pyramide sanitaire en République du Bénin .
COMMUNICATIONS
Contribution du Gouvernement du Bénin à la formulation du Compact du Bénin avec le Millénium Challenge Corporation (MCC) ;
– Réalisation de l’étude de faisabilité de la mise en place d’un centre technique agro-alimentaire au Bénin ;
– Réalisation des études dans le cadre de la construction d’un établissement hospitalier à Togbin et d’un centre de psychiatrie à Allada ;
– Contractualisation pour la construction du collège d’enseignement de Ganvié, dans la commune de Sô-Ava ;
– Contractualisation pour l’assistance technique dans le cadre de l’accompagnement de l’Agence de développement du projet Sèmè-City.
MESURES INDIVIDUELLES
Nominations
Au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique
Peut être une image de 5 personnes, personnes debout et intérieur