Tout n’a pas été rose pour Angela Kpeidja. La journaliste a, dans son passé, manqué du minimum pour subvenir à ses besoins. Du moins à en croire ses confidences sur son compte méta.
Loin de son combat contre les violences sexistes et sexuelles, Angela Kpeidja a évoqué son parcours difficile. La journaliste révèle avoir manqué de nourriture ou des moyens pour se vêtir.
« Je voudrais vous parler de ces jours où alors que j’étais enceinte, je n’ai pas pu manger à ma faim. Il y a une image qui ne me quitte pas : moi entrain de demander une mangue à la locataire d’à côté. Le trousseau de mon aînée, j’ai dû le faire à Missèbo par manque de moyens financiers. Ma fille aînée n’a pas eu droit à un berceau mais à une corbeille en rotin que son père et moi avons fait confectionner difficilement par un ami.
Je manquais du minimum pour m’habiller. A LC2, c’est la Feue Marie-Hubert AGBO qui parfois m’a habillée si je ne vais pas chercher des habits chez ma tante Basilia ACCROMBESSI », a-t-elle confié.
Angela Kpeidja a ajouté que sa « volonté de réussir et de réaliser son rêve primait toute de même sur ces difficultés ».
Et de conclure par cette formule motivante de Oprah whinfrey: « Vous ne devenez pas ce que vous voulez, vous devenez ce que vous croyez.».
M.A