Parrain de la 2è édition du Festival Hoxo : Richard Boni Ouorou prouve son amour pour la culture, son secret avec les jumeaux

La deuxième édition du Festival Hoxo a pu compter sur le soutien d’un grand amoureux de la culture béninoise. Richard Boni Ouorou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, » a spontanément répondu aux sollicitations, de la Fondation Jumeaux nationaux et Unité jumeaux et jumelles.

La deuxième édition du Festival Hoxo a pu compter sur le soutien d’un grand amoureux de la culture béninoise. Richard Boni Ouorou, puisque c’est de lui qu’il s’agit, » a spontanément répondu aux sollicitations, de la Fondation Jumeaux nationaux et Unité jumeaux et jumelles.

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Le président du mouvement Libéral Bénin a parrainé cette deuxième édition qui a eu lieu du 05 au 08 juin dans la commune d’Abomey-Calavi. C’est donc avec le précieux soutien de Richard Boni Ouorou que le match d’ouverture, la caravane, le grand débat public sur la naissance gémellaire en Afrique , le concours Miss jumelle et autres activités prévues dans l’agenda de la deuxième édition du Festival Hoxo se sont déroulées sans anicroche.

Interrogé par Reporter Bénin Monde, Richard Boni Ouorou a levé un coin de voile sur les raisons de son attachement aux valeurs traditionnelles, révélant au passage son histoire avec les jumeaux.

« J’étais allé en aventure en Côte d’Ivoire. Quand j’ai eu 20 ans, je suis revenu au Bénin. Avant de partir ma grande mère, paix à son âme, m’a amené devant les jumeaux, puis m’a béni.Depuis ce temps, quand je suis retourné, j’ai eu du travail à Abidjan. Ce n’était pas un grand travail,…mais c’était quand même mieux que la vie que je vivais avant. Avec ce travail, j’allais au cours du soir… Tout ça, m’a permis d’être l’homme que je suis aujourd’hui. Après moi aussi, j’ai eu à enfanter des jumeaux. Malheureusement, une seule  est restée,. Ma fille, elle  vit actuellement Canada », a t-il confié plein d’émotion.

Ceux qui s’interrogent sur les deux statuettes  qui accompagnent Richard Boni Ouorou sont désormais éclairés.

M.A

Conflit entre la Russie et l’occident, intervention militaire au Niger : Richard Boni Ouorou tire la sonnette d’alarme (Tribune)

Je suis profondément préoccupé par la possibilité que le conflit entre la Russie et l’Occident ne s’exporte sur nos territoires, avec le Niger risquant de devenir une véritable poudrière, le tout avec une complicité passive de nos forces armées. Il est crucial de prendre des mesures pour éviter une telle situation.

Terrien,ne,s

Je suis profondément préoccupé par la possibilité que le conflit entre la Russie et l’Occident ne s’exporte sur nos territoires, avec le Niger risquant de devenir une véritable poudrière, le tout avec une complicité passive de nos forces armées. Il est crucial de prendre des mesures pour éviter une telle situation.

Envisager une offensive militaire au Niger, sous prétexte de raisons que nous connaissons tous, serait une grave erreur. Si une telle offensive venait à s’enliser, les conséquences pour nos pays seraient désastreuses. Non seulement cela pourrait entraîner une escalade du conflit et une augmentation des pertes humaines, mais cela créerait également un vide de pouvoir qui pourrait être exploité par les mouvements djihadistes.

Il est essentiel que nos armées adoptent une approche responsable pour prévenir l’expansion du conflit et pour garantir que le Niger ne tombe pas entre les mains des groupes extrémistes. Cela nécessite une prise de responsabilité politique et militaire, une coopération internationale décomplexée, une coordination efficace entre les forces de sécurité, une augmentation et réorientation des efforts diplomatiques avec plus de sincérité.

En parallèle, il est crucial de rechercher des solutions politiques et pacifiques pour résoudre la crise nigérienne en considération des intérêts économiques et humaine de tous les côtés, éviter que nos ressortissants vivants au Niger soient pris pour cible dans une guerre sans intérêt réel pour les populations. Les négociations et le dialogue doivent être privilégiés afin de prévenir une escalade militaire qui aurait des conséquences dévastatrices pour l’ensemble de la sous-région et la communauté internationale.

Pour me résumer , je dirai qu’il est impératif que nous évitions que le conflit entre la Russie et l’Occident ne se propage sur nos territoires et que le Niger ne devienne une zone instable et propice à l’émergence de mouvements djihadistes à l’instar de la Libye . Cela nécessite une approche proactive, une coopération internationale renforcée et une recherche de solutions politiques pacifiques. En agissant de la sorte, nous pourrons préserver la sécurité et la stabilité de nos pays et une sortie de crise pacifique pour le Niger.

Issa Boni Richard Ouorou