Notice: Function _load_textdomain_just_in_time was called incorrectly. Translation loading for the updraftplus domain was triggered too early. This is usually an indicator for some code in the plugin or theme running too early. Translations should be loaded at the init action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /var/www/clients/client4/web4/web/wp-includes/functions.php on line 6085 boycott – Kpakpato Medias
Au Bénin, Boni Richard Ouorou est convaincu que les conditions ne sont pas réunies pour garantir la transparence des élections législatives du 08 janvier 2023. Convaincu de cela, le Politologue a ouvertement invité les partis de l’opposition à boycotter ledit scrutin. Suffisant pour provoquer la colère d’un organe pro-gouvernemental, et de traiter l’ancien directeur de la communication du candidat Robert Gbian à la présidentielle de 2016 de « mauvais conseiller », dans l’une de ses parutions.
Au Bénin, Boni Richard Ouorou est convaincu que les conditions ne sont pas réunies pour garantir la transparence des élections législatives du 08 janvier 2023. Convaincu de cela, le Politologue a ouvertement invité les partis de l’opposition à boycotter ledit scrutin. Suffisant pour provoquer la colère d’un organe pro-gouvernemental, et de traiter l’ancien directeur de la communication du candidat Robert Gbian à la présidentielle de 2016 de « mauvais conseiller », dans l’une de ses parutions.
Mais réagissant à l’article du journal, Richard Boni Ouorou a préféré faire dans l’humour.
« Ces gens-là n’ont pas peur de Dieu oh », a ironisé le Politologue, avant d’appeler les uns et les autres à la vigilance, « Si mon grand frère Charles TOKO lui-même écrit ça, c’est parce que la participation de l’opposition fait le jeu du chef de l’Etat M. Patrice Talon. Ouvrez donc les yeux ».
A Kpakpato Médias, y a longtemps que nous avons deux yeux bien grands ouverts…Dieu même sait oh
Absents des communales du 17 mai, les partis non en lice éprouvent des difficultés à parler le même langage. Entre boycott et soutien à des formations politiques en course, les partis non engagés affichent leur division, à la veille du scrutin…
Absents des communales du 17 mai, les partis non en lice éprouvent des difficultés à parler le même langage. Entre boycott et soutien à des formations politiques en course, les partis non engagés affichent leur division, à la veille du scrutin.
Manassé AGBOSSAGA
Contrairement aux législatives, deux cas de figure s’observent pour les communales et municipales du 17 mai. Si les partis non en lice au scrutin du 28 avril dernier avaient, dans une grande majorité, appelé au boycott où certains avaient préféré garder le silence, cette fois deux tendances se disputent.
D’abord, les partis dont les dossiers ont été rejetés par la Commission électorale nationale autonome (Céna) à l’image de la Force cauris pour le développement du Bénin (FcdB) de Soumanou Toléba ou encore de Moele-Bénin de Jacques Ayadji qui se sont vfite jetés sur l’un des cinq partis en course. Par exemple, la FcdB a invité ses militants à voter soit pour l’Union progressiste (Up) soit pour le Bloc républicain, tandis que Moele-Bénin a directement invité ses militants à voter pour les candidats UP.
La dynamique unitaire pour le développement de Valentin Aditi Houdé, le Per de Nathanaël Koty ou encore le MRD de Ferdinand Lawson ont rejoint cette tendance en apportant leur soutien à des partis.
Ce groupe de partis est donc pour une participation de leurs militants au scrutin de demain dimanche.
Par contre, il y a la tendance des boycotteurs. On y retrouve le Parti communiste du Bénin (PCB), l’Union sociale libérale (USL) de Sébastien Ajavon, la Résistance nationale et autres.
Pour ces partis enregistrés non enregistrés au ministère de l’Intérieur, le scrutin du 17 mai se tient dans l’illégalité et met en danger la vie des populations avec la pandémie du Covid-19.
Qui donc de ces deux tendances l’emportera ? La réponse est pour ce dimanche soir.