Côte d’Ivoire: 03 individus emportent le coffre-fort d’une entreprise contenant la somme de 14 millions Fcfa

En Côte d’Ivoire, 03 individus ont fait parler leur ingéniosité en vol et cambriolage. Ils ont réussi à  emporter  le coffre-fort d’une entreprise d’aménagement urbain située dans la commune du Plateau, contenant la somme de 14 millions Fcfa.

L’opération a eu lieu dans la nuit du dimanche 10 janvier aux environs de  02heures.

Les responsables de l’entreprise et la Police ont constaté les dégâts au petit matin de ce dimanche. Selon le constat fait,  les cambrioleurs sont entrés dans l’entreprise située au niveau du cercle des rails par effraction. Ils ont notamment désactivé le système de sécurité de l’établissement à l’aide d’eau de robinet. Visages masqués, les trois cambrioleurs ont ensuite défoncé toutes les portes donnant directement accès au coffre-fort.

Sans perdre de temps, et visiblement bien renseignés,  ils s’en sont uniquement pris à la caissière qui hébergeait le coffre-fort.

L’opération réussie, ils ont pris la clé des champs.

Et désormais, la Police ivoirienne est aux trousses de trois ingénieux cambrioleurs en possession de 14  millions Fcfa.

Manassé AGBOSSAGA

Sept présumés braqueurs abattus à Cotonou

La Police républicaine a mis K.O sept présumés braqueurs à Cotonou. Ces derniers ont été abattus ce mercredi 11 novembre 2020 aux environs de 16 heurs  au quartier Zogbohouè par les éléments du 9è arrondissement de Cotonou, Matin Libre.

Les présumés braqueurs tués s’apprêteraient à attaquer une institution financière quand ils ont reçu la visite surprise des policiers, alertés de ce braquage.

Archive

Va s’en suivre un échange tirs avec de présumés braqueurs qui  seraient en possession  d’armes artisanales. 7 sont touchés et meurent sur les lieux, tandis que d’autres réussissent à s’échapper.

Sur instruction du procureur, les corps ont été déposés à la morgue.

La Police est à présent à la recherche de ceux qui ont réussi à s’échapper.

Manassé AGBOSSAGA

Carmen Sama craint pour sa vie et celle de sa fille, voici pourquoi

La veuve de Dj Arafat craint pour sa vie et celle de sa fille. A travers un message adressé à First Mag Le Vrai, Carmen Sama a notamment alerté.

La veuve de Dj Arafat craint pour sa vie et celle de sa fille. A travers un message adressé à First Mag Le Vrai, Carmen Sama a notamment alerté.

« Aujourd’hui j’ai peur pour ma fille et moi car je sens notre vie menacée perpétuellement depuis un moment c’est pour cela j’en parle publiquement par le canal de FIRST MAG LE VRAI afin de prendre tout le monde à témoin au cas où quelque chose nous arrive », confie t- elle.

Dans son message, Carmen Sama a confié qu’elle est de plus en plus victime d’actes criminels. Le tout dernier est un braquage opéré à son domicile, même si fort heureusement elle a eu le temps de s’échapper à temps avec sa fille.

 « Hier j’ai du quitter le pays avec ma fille Rafna vu la situation. Par la grâce de DIEU, nous sommes bien arrivées.

Malheureusement j’ai appris par le biais de mon amie intime que trois(3) hommes habillés en costumes et armés ont débarqué chez moi la nuit dans une 4×4.

Ils ont drogué mes pitbull, ils ont enfermé ma servante et la copine de mon petit frère dans la chambre de Rafna pendant qu’ils tabassaient copieusement mon petit frère parce qu’il a refusé de dire ou j’étais Ils ont défoncé la porte de ma chambre pour avoir accès à mon coffre-fort, ils ont tout pris chez moi », raconte t-elle.

Puis de poursuivre « …ces hommes ont dit à mon petit frère qu’ils ne sont pas des voleurs et qu’ils sont venus pour Rafna et moi,ils ont ajouté ensuite que leur mission a échoué vu qu’ils nous ont pas trouvé ».

En attendant de prendre des dispositions pour assurer la sécurité de l’ex-épouse de Dj Arafat, une plainte a été déposée pour élucider cette affaire.

Manassé AGBOSSAGA

Carmen Sama

Carmen Sama : JE PENSE AVOIR ÉCHAPPÉ A LA MORT HIER 😮

« Hier j’ai du quitter le pays avec ma fille Rafna vu la situation.

Par la grâce de DIEU,nous sommes bien arrivées.

Malheureusement j’ai appris par le biais de mon amie intime que trois(3) hommes habillés en costumes et armés ont débarqué chez moi la nuit dans une 4×4.

Ils ont drogué mes pitbull,ils ont enfermé ma servante et la copine de mon petit frère dans la chambre de Rafna pendant qu’ils tabassaient copieusement mon petit frère parce qu’il a refusé de dire ou j’étais

Ils ont défoncé la porte de ma chambre pour avoir accès à mon coffre-fort,ils ont tout pris chez moi.

J’en parle aujourd’hui parce que trop de choses me sont arrivées ces derniers temps notamment les piratages de mes comptes gmail et Snapchat sans oublier que deux(2) jours après,les fils du compteur de ma boutique ont été sectionnés à mon insu.

Aujourd’hui j’ai peur pour ma fille et moi car je sens notre vie menacée perpétuellement depuis un moment c’est pour cela j’en parle publiquement par le canal de FIRST MAG LE VRAI afin de prendre tout le monde à témoin au cas où quelque chose nous arrive car ces hommes ont dit à mon petit frère qu’ils ne sont pas des voleurs et qu’ils sont venus pour Rafna et moi,ils ont ajouté ensuite que leur mission a échoué vu qu’ils nous ont pas trouvé.

Toutefois,une plainte a été portée ce matin par mon petit frère, plainte qui on espère portera ses fruits »

/First Mag Le Vrai

Kétou : Un jeune homme de 20 ans fusillé à mort, sa moto emportée

La commune de Kétou, précisément l’arrondissement d’Adakplamè a été le théâtre d’un horrible braquage ce samedi 10 octobre 2020.

La commune de Kétou, précisément l’arrondissement d’Adakplamè a été le théâtre d’un horrible braquage ce samedi 10 octobre 2020.

Un jeune homme âgé de 20 ans environ et répondant au nom de Constantin Z.  a été fusillé à mort dans un braquage aux environs de 21 heures.

Sa moto a également été apportée par les malfaiteurs.

D’après l’ABP, la victime a été attaquée sur son chemin de retour où  il allait rendre visite à sa mère pour lui remettre des produits commandés par cette dernière.

« A trois kilomètres du village d’Adakplamè d’où il a pris le départ, le jeune homme est tombé dans une embuscade. Les malfaiteurs ont fait usage d’arme à feu et ont abattu leur victime sur l’axe Adakplamè – Agonlinkpahou », explique l’ABP.

Les éléments du commissariat d’Adakplamè se sont rendus sur les lieux pour le constat d’usage, une fois  alertés.

Le corps sans vie du jeune homme a été remis à la famille pour inhumation.

Manassé AGBOSSAGA

Troublantes révélations du rappeur Blaaz sur son passé : « J’ai braqué des gens avec des armes blanches… »

Le rappeur béninois Blaaz fait des confidences sur son triste passé. Dans un post intitulé ‘‘Ma Part de Vérité Acte 2’’, Lawal Assani, son nom à l’état civil est revenu sur les choses pas catholiques qu’il faisait pour pouvoir survivre dans ses moments de galère.

Le rappeur béninois Blaaz fait des confidences sur son triste passé. Dans un post intitulé ‘‘Ma Part de Vérité Acte 2’’, Lawal Assani, son nom à l’état civil est revenu sur les choses pas catholiques ou humiliantes qu’il faisait pour pouvoir survivre dans ses moments de galère.

Le rappeur béninois Blaaz

Et selon ses confidences, il a par le passé braqué et volé des gens parce qu’il avait faim

« Je suis parti de chez moi, je n’avais même pas un T shirt ou des chaussures. J’ai volé, j’ai dormi dans les garages auto dans des voitures abandonnés, j’ai squatté chez des gens qui me sortaient de chez eux à cause de filles qu’ils devaient gérer ou simplement parce qu’ils en avaient marre de voir ma tête. J’ai braqué des gens avec des armes blanches parce que j’avais faim et pas d’argent pour manger. J’ai un putain de vécu et si je devais tout relater, on n’en finirait pas », a confié le rappeur  pour répondre à ceux qui   répètent  que c’est parce qu’il était  riche et rassasié, ou que ses relations s’étendaient jusqu’à la présidence qu’il   ne me mêlait pas de sujets d’ordre général.

Dans ses aveux, Blaaz a révélé à quel point son feu père était un dur, au point de côtoyer la prison

« Ceux qui connaissent mon père, vous le confirmerons. C’est un fou. Un vrai, qui a déjà eu à faire la prison (Ça ne me plaît pas de le dire ici mais je dois être le plus explicite possible pour que vous compreniez), c’était un peu la terreur du quartier surtout le jour où un djabi m’a raquetté, il l’a retrouvé et avec une machette il lui a coupé la main gauche 🤛 », a-t-il raconté.

Quelle histoire !!!

Manassé AGBOSSAGA