L’Ingratitude : Le chemin le plus rapide vers la pauvreté, par Coach Patrick Armand Pognon

C’est l’histoire d’une jeune et belle femme mariée qui, de retour du service, surprend son mari, en plein ébats sexuels avec une autre femme dans leur lit conjugal.

𝗟’𝗜𝗡𝗚𝗥𝗔𝗧𝗜𝗧𝗨𝗗𝗘 : 𝗟𝗘 𝗖𝗛𝗘𝗠𝗜𝗡 𝗟𝗘 𝗣𝗟𝗨𝗦 𝗥𝗔𝗣𝗜𝗗𝗘 𝗩𝗘𝗥𝗦 𝗟𝗔 𝗣𝗔𝗨𝗩𝗥𝗘𝗧𝗘́.

C’est l’histoire d’une jeune et belle femme mariée qui, de retour du service, surprend son mari, en plein ébats sexuels avec une autre femme dans leur lit conjugal.

Fâchée et animée d’un esprit vindicatif, elle décide d’aller appeler les voisins pour qu’ils viennent voir les preuves de l’infidélité de son mari.

Quelques minutes après, ce n’étaient plus seulement les voisins mais tout le quartier qui était réuni dans la cour du monsieur pour condamner le fait qu’il ait osé tromper sa femme. Torse nu et accompagné de l’autre femme, le monsieur vint devant la foule réunie chez lui et prit la parole : << Chers voisins, je sais que ma femme vous a fait appel afin que vous veniez voir quel homme infidèle je suis et que vous me condamniez. Seulement, permettez-moi de vous raconter exactement ce qui s’est passé pour qu’on en arrive-là.

J’étais rentré du service il y a quelques heures, lorsque j’ai croisé la jeune dame que voici au portail. Après avoir fait entré ma voiture, j’ai demandé au gardien de la faire venir afin de savoir la raison de sa présence. Voici notre conversation :

-Bonjour Monsieur.

-Bonjour Madame. Vous cherchez quelqu’un ? lui répondis-je

-Oh Monsieur, je ne cherche pas quelqu’un. Je cherche juste un peu d’aide. Si vous avez des choses (de préférence des choses de femme) dont vous voulez vous débarrasser, vous pouvez me les donner.

J’ai ouvert mon porte-monnaie et je lui ai donné un peu d’argent pour qu’elle s’en aille. Mais, elle insista encore pour savoir s’il y a des habits que ma femme n’aimerait plus porter et que je veux bien lui donner. N’étant pas insensible à mon prochain dans le besoin, je suis rentré et j’ai ramassé toutes les robes, les bijoux et chaussures que j’ai achetées à mon épouse mais qu’elle a rejeté sous-prétexte que c’est pour les pauvres…et j’ai tout donné à la dame. Tellement émue et reconnaissante, elle me demanda encore si tout est fini ou s’il n’y aurait pas autre chose que ma femme n’utilise pas et que je veux bien lui donner. C’est alors que je me suis souvenu que depuis plus d’un an, ma femme n’utilise plus mon pénis sous-prétexte que c’est petit.

Je l’ai donc proposé à la dame que voici

Comme cette femme envers son mari, nous agissons aussi de la même manière avec Dieu. J’explique…

[🔹] 𝗗𝗶𝗲𝘂 𝘁’𝗮 𝗱𝗼𝗻𝗻𝗲́ 𝘂𝗻 𝗺𝗮𝗿𝗶/𝘂𝗻𝗲 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲 𝗰𝗼𝘂𝗿𝘁(𝗲), 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗮𝘂 𝗹𝗶𝗲𝘂 𝗱𝗲 𝘁’𝗲𝗻 𝗼𝗰𝗰𝘂𝗽𝗲𝗿, 𝘁𝘂 𝘁𝗲 𝗽𝗹𝗮𝗶𝗻𝘀 𝗲𝘁 𝘁𝘂 𝗻𝗲́𝗴𝗹𝗶𝗴𝗲𝘀 𝗰̧𝗮 𝘀𝗼𝘂𝘀 𝗽𝗿𝗲́𝘁𝗲𝘅𝘁𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝗼𝗶 𝘁𝘂 𝘃𝗼𝘂𝗹𝗮𝗶𝘀 𝗮𝗹𝗼𝗿𝘀 𝘂𝗻 𝗵𝗼𝗺𝗺𝗲/𝘂𝗻𝗲 𝗳𝗲𝗺𝗺𝗲 𝗲́𝗹𝗮𝗻𝗰𝗲́(𝗲).

[🔹] 𝗗𝗶𝗲𝘂 𝘁’𝗮 𝗱𝗼𝗻𝗻𝗲́ 𝘂𝗻 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹. 𝗔𝘂 𝗹𝗶𝗲𝘂 𝗱𝗲 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝘁’𝗲𝗻 𝗼𝗰𝗰𝘂𝗽𝗲𝗿 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗟𝘂𝗶 𝗱𝗶𝗿𝗲 𝗺𝗲𝗿𝗰𝗶, 𝘁𝘂 𝘁𝗲 𝗽𝗹𝗮𝗶𝗻𝘀 𝘀𝗼𝗶𝘁-𝗱𝗶𝘀𝗮𝗻𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝗼𝗶, 𝘁𝘂 𝗻𝗲 𝘃𝗲𝘂𝘅 𝗽𝗮𝘀 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹𝗹𝗲𝗿 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗾𝘂𝗲𝗹𝗾𝘂’𝘂𝗻 𝗲𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝘁𝘂 𝘃𝗲𝘂𝘅 𝗰𝗿𝗲́𝗲𝗿 𝘁𝗮 𝗽𝗿𝗼𝗽𝗿𝗲 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲. 𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗹𝘁𝗮𝘁, 𝗽𝗮𝗿 𝘁𝗼𝗻 𝗶𝗺𝗽𝗿𝗼𝗱𝘂𝗰𝘁𝗶𝘃𝗶𝘁𝗲́, 𝘁𝘂 𝗳𝗶𝗻𝗶𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗽𝗲𝗿𝗱𝗿𝗲 𝗹𝗲 𝗯𝗼𝘂𝗹𝗼𝘁 𝗲𝘁 𝗮𝗽𝗿𝗲̀𝘀, 𝘁𝘂 𝗱𝗶𝘀 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗴𝗲𝗻𝘀 𝘀𝗼𝗻𝘁 𝗰𝗼𝗻𝘁𝗿𝗲 𝘁𝗼𝗶. 𝗦𝗼𝗿𝗰𝗶𝗲𝗿-𝗹𝗮̀ !!

[🔹] Dieu te met à un poste dans une entreprise. Au lieu d’être reconnaissant, tu te plains tous les jours sous-prétexte que toi, tu as de gros diplômes et que tu mérites un poste supérieur. Résultat, au lieu d’évoluer dans l’entreprise, Dieu te ramène gentiment dans ta vie de chômeur et Il continue son chemin.

[🔹]  Pendant que des milliers de couples font tout pour avoir un enfant, Le Bon Dieu te donne gratuitement comme premier enfant une fille. Mais, au lieu de t’en réjouir, tu es là à te plaindre parce que toi tu aurais voulu avoir un garçon plutôt qu’une fille. Résultat, comme le monsieur dans l’histoire du haut, Dieu va te le reprendre tranquillement et le remettre à quelqu’un d’autre qui saura en prendre soin.

Je peux aller plus loin hein, mais je préfère m’en arrêter-là et nous dire ceci :

Beaucoup prient, jeûnent, veillent et sont prêts à tout pour avoir ce que nous avons aujourd’hui. Mais nous, Dieu nous l’a donné gratuitement et on néglige ça, on méprise ça. Comme je le dis souvent, 𝗰𝗲𝗹𝘂𝗶 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗲 𝗽𝗹𝗮𝗶𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝗻’𝗮 𝗽𝗮𝘀 𝗮𝘂 𝗹𝗶𝗲𝘂 𝗱𝗲 𝘀𝗲 𝗿𝗲́𝗷𝗼𝘂𝗶𝗿 𝗱𝗲 𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝗮 𝗱𝗲́𝗷𝗮̀, 𝗳𝗶𝗻𝗶𝘁 𝘁𝗼𝘂𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀 𝗽𝗮𝗿 𝗽𝗲𝗿𝗱𝗿𝗲 𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝗮.

Vivement, que ceux qui ont toujours des oreilles pour entendre, entendent ce que l’Esprit de Dieu veut dire à l’esprit de chacun  [❗]

C’était Coach Patrick Armand POGNON, 𝙡𝙚 𝘿𝙚́𝙢𝙚́𝙣𝙖𝙜𝙚𝙪𝙧 𝙈𝙚𝙣𝙩𝙖𝙡.