UP le Renouveau : Malgré l’installation d ‘un comité d’études pour l’examen des dossiers, c’est Talon qui « va trancher»

Le dernier mot reviendra à Patrice Talon pour la désignation des candidats de l’Union progressiste le Renouveau (UP le Renouveau) aux législatives du 08 janvier 2023. Et ce malgré l’installation d’un  comité d’études pour l’examen des dossiers, présidé par Gérard Gbénonchi.

Le dernier mot reviendra à Patrice Talon pour la désignation des candidats de l’Union progressiste le Renouveau (UP le Renouveau) aux législatives du 08 janvier 2023. Ceci, malgré l’installation d’un  comité d’études pour l’examen des dossiers, présidé par Gérard Gbénonchi.

En effet, invité de l’émission ‘‘Cartes sur table’’ de la radio Océan Fm, dimanche 30 octobre 2022,  Maître Ibrahim David Salami, professeur titulaire de droit public, avocat à la Cour, et membre de l’UP le Renouveau, l’a laissé entendre.

Selon ses mots, le chef de l’Etat, en militant de l’UP le Renouveau et chef de la mouvance « va faire les derniers arbitrages » pour retenir les 109 candidats titulaires et les 109 candidats suppléants sur les 1236 dossiers reçus.

« Il n’y a pas à se voiler la face sur ça. Faut pas croire que vous avez un parti qui soutient l’action du gouvernement et que le gouvernement lui-même soutient et que vous allez penser, qu’on va se mettre dans une case quelque part pour décider seul. Non, on est en politique », a-t-il  d’abord fait remarquer, avant de lâcher une vérité connue par tous «   Et donc, il va s’en dire que le Chef de l’état dans sa posture de chef politique de la mouvance va trancher, va faire les derniers arbitrages ».

Probables candidats de l’UP le Renouveau aux législatives de 2023, votre sort est donc entre les mains de Patrice Talon.

Manassé AGBOSSAGA

A cause d’un ‘‘petit commentaire’’: Iréné Agossa traite un auditeur de « haineux » et de « jaloux »

Avis aux auditeurs ou auditrices, téléspectateurs ou téléspectatrices !  Si vous avez sur le plateau d’une émission radio ou télé le président du parti Restaurer la Confiance, sachez remuer sept fois votre langue avant de vous adresser à lui. Surtout si vous devez placer un commentaire en sa défaveur.

Avis aux auditeurs ou auditrices, téléspectateurs ou téléspectatrices !  Si vous avez sur le plateau d’une émission radio ou télé le président du parti Restaurer la Confiance, sachez remuer sept fois votre langue avant de vous adresser à lui. Surtout si vous devez placer un commentaire en sa défaveur.

Ce n’est pas cet auditeur de la 88.6 Fm qui a été traité de tous les noms d’oiseau après une réaction pas appréciée par Iréné Agossa, le dimanche dernier sur le plateau de l’émission  »Cartes sur table ».

En effet, alors que l’auditeur dans son intervention a dénoncé les critiques du président Restaurer la Confiance contre le parti Les Démocrates et sa ruse pour obtenir les parrainages pour participer à la dernière présidentielle, le colistier de Corentin Kohoué n’a pas tardé à le traiter de « haineux » et de « jaloux ».

« (…) Je lui demande de se débarrasser de la haine, de se débarrasser de la jalousie, de se débarrasser de ce qui l’anime là. J’ai entendu sa voix, je pense qu’il doit être d’un certain âge,  qu’il se débarrasse de ça pour mieux vivre », a-t-il rétorqué.

Après avoir traité ‘‘papa de quelqu’un’’ juste pur un commentaire, Iréné Agossa cherche comment démissionner de son propre parti pour trouver une place chez les cauris dans le cadre des législatives…

Manassé AGBOSSAGA

 

Ayadji dénonce la violation de la charte des partis dans le camp présidentiel, « ils sont en train de fossoyer la reforme du système partisan … ce qui est malheureux, c’est encore nous qui sommes de la famille présidentielle qui nous comportons comme ça »

Même s’il s’est retenu de citer de nom, Jacques Ayadji  n’a pas lésiné sur les mots pour dénoncer les autres partis de la mouvance présidentielle. Sur l’émission socio-politique ‘‘Cartes sur table’’ de la radio Océan Fm,  le président de Moele-Bénin se désole des, « fusion », « mariage », « mise ensemble » en cours à l’Union progressiste le Renouveau, au Bloc républicain,…Et ce tout en évitant de mentionner le nom desdits partis.

Coup de gueule de Jacques Ayadji ! Invité de l’émission ‘‘Cartes sur table’’, de la radio Océan FM, dimanche 25 septembre 2022, le président de Mouvement des élites engagés pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin) a, avec courroux, dénoncé la violation de la charte des partis politiques, beaucoup plus, dans le camp présidentiel, référence aux ‘‘fusions’’, ‘‘mariage’’, ‘‘mise ensemble’’.

Même s’il s’est retenu de citer de nom, Jacques Ayadji  n’a pas lésiné sur les mots pour dénoncer les autres partis de la mouvance présidentielle.

Sur l’émission socio-politique ‘‘Cartes sur table’’ de la radio Océan Fm,  le président de Moele-Bénin se désole des, « fusion », « mariage », « mise ensemble » en cours à l’Union progressiste le Renouveau, au Bloc républicain,…Et ce tout en évitant de mentionner le nom desdits partis.

Pour lui, tout ce qui s’observe est simplement une violation de la loi sur la charte des partis politiques.

« …Je ne voudrais pas parler des autres partis politiques, je veux faire un débat impersonnel », fait il d’abord observer, avant de dénoncer avec tristesse «nous avons une charte des partis politiques en vigueur dans notre pays qui ne prévoit pas des fusions, qui ne prévoit pas des mises ensembles, qui ne prévoit pas des unions…Tout les cas que vous évoquez, c’est de la tristesse, parce que moi j’avais pensé qu’en ayant parlé de rupture en 2016 et surtout en ayant mis en chantier et mis en œuvre la reforme du système partisan, on a fait dos à tout ça, à tout ce que nous voyons là. Si on devait être respectueux de la charte des partis politiques, on ne peut pas observer ce que nous sommes en train d’observer ».

Le président de Moele-Bénin se dit beaucoup plus déçu, d’autant plus que le mal s’observe chez les partis soutenant l’action du chef de l’Etat et à l’origine des nouvelles lois électorales.

« …Notre loi positif ne permet pas des adhésions groupées, des adhésions collectives. Les gens préfèrent changer alliance par mariage, mise ensemble, ce n’est pas bien. Ils sont en train de fossoyer la reforme du système partisan. Ce qui est malheureux, c’est encore nous qui sommes de la famille présidentielle qui nous comportons comme ça. C’est vraiment dommage », a-t-il déploré.

Mais, Jacques Ayadji rassure que Moele-Bénin ne s’adonnera pas à ce vilain jeu.

« Vous ne verrez jamais Moele-Bénin en train de faire une cérémonie de fusion…c’est illégal, ce n’est pas prévu. Si un parti veut venir à Moele-Bénin, il s’auto-dissout et laisse libre court aux militants de venir individuellement à Moele-Bénin, mais en tant qu’individu, mais pas en tant que groupe ».

Voilà qui est bien clair !!!

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : De-Laure Laurent Faton dénonce « l’arrogance politique » des responsables de l’UP le Renouveau

A la barre : Joseph Djogbénou et les responsables de l’Union progressiste le Renouveau (UP le Renouveau). Le plaignant : De-Laure Laurent Faton, secrétaire général du parti La Nouvelle Alliance (LNA).

A la barre : Joseph Djogbénou et les responsables de l’Union progressiste le Renouveau (UP le Renouveau). Le plaignant : De-Laure Laurent Faton, secrétaire général du parti La Nouvelle Alliance (LNA).

Invité de l’émission ‘‘Cartes sur table’’ de la radio Océan Fm, dimanche 18 septembre 2022, il a ouvertement accuse les principaux responsables de l’Union progressiste le Renouveau de faire dans « l’arrogance politique ».

C’est réagissant aux tractations en cours entre l’UP le Renouveau et le parti LNA pour une dissolution du parti présidé par Théophile Yarou que l’invité de l’émission ‘‘Cartes sur table’’ a fait cette remarque.

« …ce que je remarque, peut être, je fais une mauvaise lecture, il y a comme un forcing, tout le monde doit rentrer. Il y a comme de l’arrogance politique. C’est nous  les plus forts, c’est nous les plus grands, vous devrez vous mettre avec nous. On a le pouvoir pour 30 ans, 40 ans, c’est nous qui devons décider du pays. Personne ne fera rien », a-t-il dénoncé.

Pour De-Laure Laurent Faton, ce  « discours » des responsables  de « l’UP le Renouveau  n’est pas un discours politique », mais «  un discours de guerre ».

Il en veut pour preuve la dernière formule du président de l’UP le Renouveau lors de son périple dans le septentrion.

« Il y a une phrase fétiche qui est sortie la dernière fois. En tout cas, le prochain président de la République sera avec nous », a déploré De-Laure Laurent Faton avec ironie.

Le Secrétaire général du parti LNA invite les responsables de l’UP le renouveau à l’humilité et à jeter un coup d’œil dans le passé politique où à une certaine époque, certains ont sorti « Après nous, c’est nous » pour aujourd’hui ravaler leur vomissures.

 Manassé AGBOSSAGA