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Drame au quartier Tibona, situé à Albarika dans le 1er arrondissement de Parakou. Deux (02) corps sans vie ont été découverts dans une maison dans la matinée du mercredi 14 juin 2023.
Drame au quartier Tibona, situé à Albarika dans le 1er arrondissement de Parakou. Deux (02) corps sans vie ont été découverts dans une maison dans la matinée du mercredi 14 juin 2023.
Selon les informations de Fraternité Fm, qui rapporte cette découverte macabre, il s’agit d’un père et de son fils.
Contacté par le média, « le Chef dudit quartier indique que ces derniers auraient trouvés la mort suite à une intoxication alimentaire après avoir consommé la viande d’un chat décédé ». Le chat appartiendrait au père de famille. Ganiou Alinindji ajoute que ces derniers sont passés de vie à trépas « dans les mêmes conditions que le chat ».
Steve Bouquet, un agent de sécurité de 54 ans, était jugé pour la mort de neuf chats et des blessures infligées à sept autres en octobre 2018 et juillet 2019. Il avait plaidé non coupable.
Steve Bouquet, un agent de sécurité de 54 ans, était jugé pour la mort de neuf chats et des blessures infligées à sept autres en octobre 2018 et juillet 2019. Il avait plaidé non coupable.
La justice britannique a condamné vendredi à cinq ans et trois mois de prison un homme pour avoir égorgé neuf chats en l’espace de quelques mois à Brighton, semant la terreur parmi les propriétaires de félins de cette station balnéaire du sud de l’Angleterre.
Steve Bouquet, un agent de sécurité de 54 ans, était jugé pour la mort de neuf chats et des blessures infligées à sept autres en octobre 2018 et juillet 2019, ainsi que pour possession illégale d’une arme blanche. Il avait plaidé non coupable.
Lors du procès à la Hove Crown Court, près de Brighton, les propriétaires des animaux domestiques tués (Hendrix, Tommy, Hannah, Alan, Nancy, Gizmo, Kyo, Ollie et Cosmo) avaient raconté leur horreur en retrouvant leurs chats ensanglantés sur le pas de leur porte.
Des attaques menées la nuit
Steve Bouquet avait affirmé à la police ne constituer « aucune menace pour les animaux » et avait assuré avoir entendu parler des meurtres de chats dans la presse locale. Une photo de chat mort avait cependant été retrouvée sur son téléphone portable.
Pendant des mois, la police n’est pas parvenue à lever le mystère de ces attaques, menées surtout la nuit, avant que l’auteur ne soit pris sur le fait grâce à une caméra de surveillance installée par le propriétaire d’un des chats morts.
Après son arrestation, les forces de l’ordre ont pu utiliser les données de son téléphone portable pour tracer ses déplacements sur les lieux de plusieurs méfaits. Lors du prononcé de la peine, le juge Jeremy Gold a qualifié son attitude de « cruelle » et souligné qu’il s’en prenait « au coeur de la vie familiale ».
Le propriétaire de Nancy avait expliqué à l’audience avoir retrouvé son animal sous son lit, avec des taches de sang menant au pas de sa porte. Emmenée chez le vétérinaire et placée sous respirateur artificiel, la chatte était morte d’une crise cardiaque.
Traumatisme
Un témoin avait indiqué avoir aperçu Steve Bouquet, agissant « bizarrement », sur les lieux. Les motivations de Steve Bouquet restent mystérieuses. »C’est dommage que les propriétaires des chats ne sachent pas pourquoi il a fait cela », a reconnu la procureure Sally Lakin, interrogée par l’agence PA. « C’est un délit tellement inhabituel et extrêmement traumatisant ».
En 2015, des signalements par les habitants de chats mutilés à Croydon, district du sud de Londres, avaient entraîné l’ouverture d’une enquête par Scotland Yard et suscité la crainte d’un tueur en série d’animaux visant principalement les félins de la capitale britannique.
Mais après trois ans d’enquête et le recensement de 400 victimes, la police avait conclu qu’il s’agissait en réalité de l’oeuvre de renards, que l’on peut régulièrement croiser jusque dans le centre de Londres.
« Un tissu attaché autour du cou » de l’animal « contenait plusieurs paquets […] de matière végétale et des emballages en plastique transparent avec de la poudre blanche », a expliqué le directeur général du système pénitentiaire.
« Un tissu attaché autour du cou » de l’animal « contenait plusieurs paquets […] de matière végétale et des emballages en plastique transparent avec de la poudre blanche », a expliqué le directeur général du système pénitentiaire
Son petit sac en tissu accroché autour de son cou avait attiré l’attention : un chat convoyeur de drogues a été capturé aux abords d’une prison du Panama, ont annoncé ce vendredi les autorités du pays d’Amérique centrale. Ce « narcogato » (chat trafiquant de drogue) comme le nomment les médias panaméens, a été capturé alors qu’il se dirigeait vers l’enceinte de la prison de Nueva Esperanza.
Plus de 1.700 détenus sont entassés dans cette structure située dans la province caribéenne de Colon, à environ 80 kilomètres au nord de la capitale. « L’animal avait un tissu attaché autour du cou qui contenait plusieurs paquets […] de matière végétale et des emballages en plastique transparent avec de la poudre blanche », a expliqué Andrés Gutiérrez, directeur général du système pénitentiaire panaméen.
Cocaïne, crack, marijuana…
« Une enquête a été ouverte sur l’utilisation d’animaux pour le transfert de substances illicites au centre pénitentiaire de Nueva Esperanza », a annoncé le procureur de la province en charge des narcotrafics. Les stupéfiants retrouvés seraient de la cocaïne, du crack et de la marijuana.
Pour les inciter à rentrer dans la prison et faire office de convoyeur de drogue, les animaux sont généralement nourris par les prisonniers, a ajouté M. Rodriguez. Le Panama compte plus de 18.000 détenus dans 23 prisons, dont la plupart sont surpeuplées.
Le chat, un mâle adulte à poil blanc avec des taches rousses, a été remis à une fondation de protection des animaux. Ce n’est pas la première fois que des animaux sont utilisés pour transporter de la drogue dans les cellules. Le « narcogato » avait été précédé au Panama par des tentatives de livraison par des pigeons ramiers. Pays de transit de la cocaïne sud-américaine vers les États-Unis, le Panama a saisi 84 tonnes de différentes drogues en 2020, principalement de la cocaïne, approchant le record de 2019 de 90 tonnes.