Lancement du Projet  »Mon éducation, mon avenir’’ : L’appel du parrain Brice Fagbémi à l’endroit des 300 jeunes bénéficiaires

Le projet ‘’Mon éducation, mon avenir’’ qui veut aider les jeunes à se prendre en charge est rentré dans sa phase active ce samedi 22 juillet 2023 à Togbin Kpèvi dans l’arrondissement de Godomey. La cérémonie de lancement a connu la présence effective du parrain Brice Fagbémi, du coordonnateur Joseph Tchougbo et autres leaders politiques du parti Union Progressiste Le Renouveau. Dans un discours de lancement très motivateur, l’honorable Brice Fagbémi a situé les participants sur les avantages de l’entreprenariat et les a invités à s’y engager.

Le projet ‘’Mon éducation, mon avenir’’ qui veut aider les jeunes à se prendre en charge est rentré dans sa phase active ce samedi 22 juillet 2023 à Togbin Kpèvi dans l’arrondissement de Godomey. La cérémonie de lancement a connu la présence effective du parrain Brice Fagbémi, du coordonnateur Joseph Tchougbo et autres leaders politiques du parti Union Progressiste Le Renouveau. Dans un discours de lancement très motivateur, l’honorable Brice Fagbémi a situé les participants sur les avantages de l’entreprenariat et les a invités à s’y engager. Lire ci-dessous.

Brice Dénis Fagbémi, Député à l’Assemblée Nationale : « Votre présence traduit la volonté d’apprendre. Pour ça, je vous dis merci. On n’est pas ici ce matin pour faire la politique. C’est vrai que je viens d’un parti politique. L’acte que nous posons ce matin est un acte pour le développement de Godomey en particulier et en général de la 6ème Circonscription électorale. Je vous prierais donc de suivre attentivement vos formateurs. Parce que le plaisir que vous pouvez nous faire c’est de suivre et de retenir ce qui se fera au cours de la formation et de mettre ça en pratique. D’ailleurs, dans l’introduction on vous a déjà dit que les 5 meilleurs projets que vous aurez à nous soumettre seront accompagné. Vous avez le devoir, l’obligation de suivre attentivement afin de donner le meilleur de vous-même.

Ce que vous êtes entrain de faire, c’est pour vous et non pour moi. Il est toujours bien d’avoir plusieurs armes à son hameçon. Etudier, c’est vrai. Au Nigeria tout près, les gens sont à l’école. Mais à part l’école, ils ont des activités pour seconder l’école. Je souhaiterais que vous soyez comme ces gens-là pour qu’après les études, on ne va pas forcément attendre l’emploi, écrire j’ai l’honneur et attendre qu’on vous appelle.

Moi qui suis devant vous, j’ai étudié, je suis comptable de profession. J’ai un Master en contrôle et audit. Je pouvais m’assoir dans un bureau et dire je veux être Daf, je veux être contrôleur de gestion. Je n’ai pas dit ça. Je suis un entrepreneur. J’ai exercé ma profession depuis toujours. Le métier de comptabilité je l’ai exercé à peine pendant 5 ans et je me suis retiré. J’ai créé mon entreprise. C’est ça que je gère jusqu’à aujourd’hui. Ça veut dire qu’il y a meilleur dans l’entreprenariat que d’être utilisé. Et c’est ce que j’attends de vous. Si vous êtes comptable de formation, vous n’êtes pas dans l’obligation de l’exercer. Il y a des métiers qui peuvent vous faire vivre mieux que ce que vous avez appris à l’école. Et c’est ce que j’attends de vous.

Faites l’effort d’écouter les gens, faites l’effort de mettre en pratique ce que les gens vont vous dire à partir de ce matin. Je vous souhaite le meilleur »

Togbin Kpèvi, le 22 juillet 2023

Lutte contre le chômage et le sous-emploi : Brice Fagbemi lance le projet  »Mon éducation, mon avenir » au profit de 300 jeunes ce samedi

Une initiative de plus dans le cadre de la lutte contre le chômage et le sous-emploi en République du Bénin. Il s’agit du projet  »Mon éducation, mon emploi ». Cette dernière rentrera dans sa phase active le samedi 21 juillet 2022 sous le parrainage du député à l’Assemblée Nationale Brice Denis Fagbemi à Togbin Kpèvi dans l’arrondissement de Godomey.

Une initiative de plus dans le cadre de la lutte contre le chômage et le sous-emploi en République du Bénin. Il s’agit du projet  »Mon éducation, mon emploi ». Cette dernière rentrera dans sa phase active le samedi 21 juillet 2022 sous le parrainage du député à l’Assemblée Nationale Brice Denis Fagbemi à Togbin Kpèvi dans l’arrondissement de Godomey.

300 jeunes Béninois seront impactés par le projet  »Mon éducation, mon avenir » dans la mise en œuvre de sa première édition. Fruits des réflexions d’un groupe de jeunes aquis à la cause du député de la 6ème Circonscription Electorale Brice Denis Fagbemi, le projet  »Mon éducation mon avenir » veut mettre ses bénéficiaires à l’abris du chômage d’une part et renforcer leur employabilité.

Pendant trois mois, les 300 jeunes bénéficiaires vont suivre des formations sur: l’utilisation des plateformes en ligne, l’anglais commercial et l’entrepreneuriat. La particularité de cette action sociale est que les 5 meilleurs projets, recevront un financement.

Pour faire partie des bénéficiaires de la première édition du projet  »Mon éducation mon avenir », il suffit de s’inscrire via le contact 91054975 (appel ou WhatsApp).

Au cours des campagnes pour les élections législatives de janvier 2023, Brice Denis Fagbemi alors candidat a pris l’engagement d’être l’élu de la jeunesse. Avec la mise en œuvre du projet  »Mon éducation mon avenir », l’homme donne la ainsi la preuve de ce le respect de la parole donnée est l’une de ses valeurs.

Par Christophe KPOSSINOU

Taux de chômage du Bénin à 3% : Richard Boni Ouorou recadre Wilfried Houngbédji et démontre comment la rupture a rendu précaire l’emploi

Au cours d’une émission spéciale organisée sur la cybercriminalité diffusée sur la télévision nationale, le Porte-parole du Gouvernement a lâché que le taux de chômage du Bénin était de moins 4%, voire 3 ou 2%. Des propos qui ont fait réagir Richard Boni Ouorou.

Au cours d’une émission spéciale organisée sur la cybercriminalité diffusée sur la télévision nationale, le Porte-parole du Gouvernement a lâché que le taux de chômage du Bénin était de moins 4%, voire 3 ou 2%. Des propos qui ont fait réagir Richard Boni Ouorou.

Aux aguets des faits et gestes du gouvernement, l’homme a immédiatement recadré Wilfried Léandre Houngbédji.

Il a d’abord soutenu que ce faible taux de chômage n’est pas à l’actif du régime de la Rupture. Mais encore plus important, Richard Boni Ouorou a invité le gouvernement à se préoccuper du taux élevé du sous-emploi situé à 70%, qui confirme que l’emploi reste une denrée rare au Bénin depuis l’arrivée du président Talon. Il en profite pour dénoncer la loi sur l’embauche votée sous l’actuel régime.

Morceaux choisis  «  (…) j’ai suivi les déclarations de Monsieur Houngbédji, Porte-parole du Gouvernement du Bénin, relatives au taux de chômage dans notre pays. Déclaration faite dans la foulée des sorties sur le phénomène de la cybercriminalité contre laquelle la Justice du Bénin mène un combat âpre, sans merci mais larvé. Quoiqu’il faille punir tout fautif, de quelconque délit, de quelconque crime lorsqu’il est constitué.

J’ai cru comprendre comme bon nombre d’entre vous, que le communicant officiel se réjouit du faible taux de chômage au Bénin et essayait de faire comprendre à l’opinion que la recrudescence du phénomène de gay n’est pas du tout liée au manque d’emploi dans le pays. Soit !

Mais, il y a une chose que le Gouvernement ne nous dit pas, ou peut-être que Monsieur Houngbédji fait preuve d’une grande ignorance, le faible taux de chômage dans le pays n’est pas un résultat de la politique d’emploi du Président Talon. Car, à côté de faible taux de chômage dont personne ne sait comment il est évalué, on estime qu’il y a un taux de près de 70 % de sous-emploi. Cela signifie quoi ? Cela veut dire que les Béninois ne sont pas des paresseux, qu’il y a un nombre relativement très important de jeunes qualifiés qui ne trouvent pas du travail dans leur domaine de formation, mais qui ne se résignent pas et qui travaillent dans des secteurs ne nécessitant pas qualifications majeures. En termes terre-à-terre, parce qu’il n’y a pas d’emplois dans le pays, les jeunes diplômés font ce qu’ils trouvent. Et ça, ce n’est pas le succès d’un régime, c’est plutôt un échec retentissant.

En matière d’emploi, nous avons tous et toutes en mémoire la loi sur l’embauche que le Président a fait voter -les yeux fermés- par ses députés d’alors, laquelle a précarisé le travail dans notre pays, laquelle a esclavagisé le travailleur, laquelle a rendu surpuissant un employeur qui, pour un rien, peut rompre un contrat de travail sans rien craindre en retour ».

Puis de tirer la sonnette d’alarme : « Je pense que si nous ne prenons pas conscience des enjeux de notre temps, de l’appauvrissement de la masse laborieuse, du chômage réel, et si nous n’œuvrons pas pour la justice sociale et économique, demain, il sera difficile de relever la pente, difficile de rassembler les Béninois, difficile de bâtir une Nation forte ».

  M.A

Chasse au gayman : « C’est un chantier qui va être permanent pour notre quiétude collective », assure le gouvernement

Au Bénin, les cybercriminels vivent un cauchemar depuis quelques jours. Ils sont traqués partout par la Police républicaine. Mais loin des critiques et encouragements, le porte-parole  du Gouvernement, Wilfried Leandre Houngbédji a, au cours d’une rencontre avec la presse, assuré que la lutte contre la cybercriminalité est un « chantier qui va être permanent  pour le  bien de la société ».

Au Bénin, les cybercriminels vivent un cauchemar depuis quelques jours. Ils sont traqués partout par la Police républicaine. Mais loin des critiques et encouragements, le porte-parole  du Gouvernement, Wilfried Leandre Houngbédji a, au cours d’une rencontre avec la presse, assuré que la lutte contre la cybercriminalité est un « chantier qui va être permanent  pour le  bien de la société ».

Avis aux cybercriminels ou soutiens de ces derniers !  Malgré les critiques et appels à la clémence de certains artistes, le gouvernement de la rupture n’entend pas diminuer la pression dans sa lutte contre la cybercriminalité. Interrogé sur les nombreuses interpellations de plusieurs jeunes présumés cybercriminels et le mécontentement observé chez certains, Wilfried Léandre Houngbédji a soutenu que le « chantier sera permanent ». Et ce pour le « bien de la société », a précisé le porte-parole du gouvernement.

« C’est un chantier qui désormais va être permanent,  parce que tant que les réseaux existent, il y aura toujours des gens pour se comporter  autrement que les textes l’autorisent, exactement comme la police existe parce qu’il faut  assurer l’ordre et la sécurité puisqu’il y aura toujours des gens pour se mettre en délicatesse  avec les lois et règlements. De la même façon  sur les réseaux sociaux, on entend bien qu’il n‘y aura pas de répit, et parce qu’il n’y aura pas de répit,  il s’entend aussi que la police ne puisse pas dormir sur ses lauriers.

Donc chaque fois qu’il va y avoir nécessité de faire des opérations, soit parce que les informations parviennent, soit parce que les indices probants permettent de remonter une filière, la police fera son travail. Et j’ajouterai toujours pour notre quiétude collective, pour le bien de notre société », a-t-il déclaré.

Wilfried Léandre Houngbédji a soutenu que « l’action de la police pour déloger ces réseaux   n’est « dirigé contre personne ».

 L’appel de Vano

Dans un direct, Vano Baby s’était fait l’avocat-défenseur des jeunes présumés cybercriminels arrêtés, proposant une réduction de peine. Le porte-parole du Gouvernement a été interpelé sur cet appel du rappeur au chef de l’Etat.

Wilfried Léandre Houngbédji a indiqué que c’est son « appel » à lui, mais que le gouvernement se contentera de faire son « travail », celui d’assurer la « sécurité des béninois et béninoises ».

« Le gouvernement n’a rien à dire. Il a lancé son appel en tant qu’artiste, peut-être pour ses amis où la jeunesse, c’est son appel à lui. Le gouvernement fait son travail, celui d’assurer la sécurité de tous les béninois », a-t-il réagi.

Gayman et autres sont donc prévenus !!!

Manassé AGBOSSAGA

On ne cherche pas l’emploi, on le mérite, Coach Patrick Armand Pognon (Opinion)

Pendant longtemps, je me suis humilié à chercher un emploi par-ci par-là, parce que je ne savais pas. J’étais ignorant, je n’avais pas compris toutes ces choses que je suis sur le point de partager avec vous.

𝗢𝗡 𝗡𝗘 𝗖𝗛𝗘𝗥𝗖𝗛𝗘 𝗣𝗔𝗦 𝗟’𝗘𝗠𝗣𝗟𝗢𝗜, 𝗢𝗡 𝗟𝗘 𝗠𝗘́𝗥𝗜𝗧𝗘.

𝗡𝗕: 𝘊𝘦𝘭𝘶𝘪/𝘤𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘲𝘶𝘪 𝘯𝘢 𝘱𝘢𝘴 𝘶𝘯 𝘦𝘮𝘱𝘭𝘰𝘪 𝘢𝘱𝘳𝘦̀𝘴 𝘢𝘷𝘰𝘪𝘳 𝘭𝘶 𝘦𝘵 𝘤𝘰𝘮𝘱𝘳𝘪𝘴 𝘤𝘦𝘵 𝘦𝘯𝘴𝘦𝘪𝘨𝘯𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘢 𝘶𝘯𝘦 𝘮𝘢𝘭𝘢𝘥𝘪𝘦 (𝘥𝘦́𝘧𝘢𝘶𝘵 𝘥𝘦 𝘴𝘰𝘧𝘵𝘬𝘪𝘭𝘭𝘴) 𝘧𝘢𝘤𝘪𝘭𝘦 𝘢̀ 𝘨𝘶𝘦́𝘳𝘪𝘳, 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯 𝘮𝘢𝘭𝘢𝘥𝘦 𝘥𝘪𝘧𝘧𝘪𝘤𝘪𝘭𝘦 𝘢̀ 𝘨𝘶𝘦́𝘳𝘪𝘳. 𝘌𝘵 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘤𝘦 𝘤𝘢𝘴, 𝘯𝘪 𝘱𝘦𝘳𝘴𝘰𝘯𝘯𝘦 𝘯𝘪 𝘮𝘦̂𝘮𝘦 𝘋𝘪𝘦𝘶 𝘯𝘦 𝘱𝘦𝘶𝘵 𝘳𝘪𝘦𝘯 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘦 𝘴𝘰𝘳𝘵𝘪𝘳 𝘥𝘶 𝘤𝘩𝘰̂𝘮𝘢𝘨𝘦.

Pendant longtemps, je me suis humilié à chercher un emploi par-ci par-là, parce que je ne savais pas. J’étais ignorant, je n’avais pas compris toutes ces choses que je suis sur le point de partager avec vous.

Un jour, fatigué de me voir nager dans le chômage chronique dans lequel j’étais, un sage du quartier a fini par avoir pitié de moi. Il a décidé de m’emmener à Kétou [🇧🇯] pour soi-disant purifier mon âme afin que je puisse enfin avoir un boulot. Une fois là-bas, on m’a rasé la tête (et ce fut pour la première et la seule fois de ma vie). On a tué des moutons et des cabris et on a versé leur sang sur ma tête pendant que j’étais à-genoux presque nu dans le sanctuaire du marabout. J’ai fait tout ça, je suis reparti à Porto-Novo mais rien. Deux mois après, j’étais toujours un des domiciles privés du chômage.

Toujours à la recherche d’emploi, je me suis lavé dans des lacs, des lagunes et des fleuves sous-prétexte que cela m’ouvrirait les portes de l’emploi. J’ai utilisé des parfums bizarres, des savons bizarres, des bougies à allumer matin, midi et soir sans décrocher un quelconque emploi. Même pas job de répétiteur pour enfants je n’ai trouvé.

Oh les amis…L’ignorance est un poison qui tue à petits coups. Eh oui, je mourrais à petits coups parce que j’étais ignorant. Heureusement qu’un beau jour, j’ai fini par me décider à questionner le Détenteur de toutes connaissances (Dieu) qui vit en moi pour comprendre ces choses que je vais vous révéler d’ici-là.

Tout d’abord, retenez qu’un emploi, est une occupation qui m’épanouit et me permet d’avoir une rémunération pour vivre. Autrement dit, toute personne ayant envie de s’occuper tout en s’épanouissant dans cette occupation et d’avoir les moyens de vivre, doit avoir un emploi.

Se lever le matin et aller au boulot par ennui, en train de chercher les jours fériés, en train de guetter les congés et autres…n’est donc pas un emploi. Un emploi motive, donne la joie, de l’excitation, du bien-être et on a envie d’y être tout le temps. C’est ça d’abord un emploi. Ensuite, il est rémunérateur.

𝗦𝗶 𝗹𝗲 𝗺𝗼𝗻𝗱𝗲 𝗲𝘀𝘁 𝗿𝗲𝗺𝗽𝗹𝗶 𝗱’𝗮𝘂𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗱𝗲 𝗰𝗵𝗼̂𝗺𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗾𝘂𝗶 𝘀𝗲 𝗽𝗹𝗮𝗶𝗴𝗻𝗲𝗻𝘁 𝘁𝗼𝘂𝘁 𝗹𝗲 𝘁𝗲𝗺𝗽𝘀 𝗱𝘂 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝗱𝗲 𝗻𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝘂𝗻 𝗲𝗺𝗽𝗹𝗼𝗶 𝗺𝗮𝗹𝗴𝗿𝗲́ 𝗾𝘂𝗲 𝗹𝗲𝘀 𝗲𝗻𝘁𝗿𝗲𝗽𝗿𝗶𝘀𝗲𝘀 𝗿𝗲𝗰𝗿𝘂𝘁𝗲𝗻𝘁 𝗽𝗿𝗲𝘀𝗾𝘂𝗲 𝘁𝗼𝘂𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗷𝗼𝘂𝗿𝘀, 𝗲𝗵 𝗯𝗶𝗲𝗻, 𝗰’𝗲𝘀𝘁 𝗽𝗮𝗿𝗰𝗲 𝗾𝘂𝗲 𝗯𝗲𝗮𝘂𝗰𝗼𝘂𝗽 𝗱𝗲 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗼𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗽𝗲𝗻𝘀𝗲𝗻𝘁 𝗲𝘁 𝗲𝘅𝗶𝗴𝗲𝗻𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝗹’𝗲𝗺𝗽𝗹𝗼𝗶 𝘀𝗼𝗶𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗮𝗰𝘁𝗶𝗼𝗻 𝘀𝗼𝗰𝗶𝗮𝗹𝗲.

Je m’explique : Une action sociale, c’est tout ce qu’on fait pour améliorer la vie des citoyens…pour faire en sorte qu’il n’y ait pas des pauvres à côté des riches, qu’il n’y ait pas de malheureux à côté des heureux, etc.

Maintenant, si parce que quelqu’un est malheureux et au chômage, il faut lui donner un emploi pour qu’il soit heureux, c’est-à-dire avoir de la compassion pour sa situation de vie, alors-là on a choisi de le détruire, de nous détruire et de détruire l’entreprise. Résultat, on risque de se retrouver au chômage tous les deux.

Et c’est ce que veulent beaucoup de personnes aujourd’hui. Elles veulent être recrutées par compassion et non par mérite. Or, de nos jours, 𝗹’𝗲𝗺𝗽𝗹𝗼𝗶 𝗲𝘀𝘁 𝘂𝗻𝗲 𝗾𝘂𝗲𝘀𝘁𝗶𝗼𝗻 𝗱𝗲 𝗺𝗲́𝗿𝗶𝘁𝗲.

Mon frère/ma Sœur, toi-même dis-moi, tu as une méconnaissance de Soi, tu manques de confiance en toi, tu te lamentes tout le temps, tu n’es pas intègre, pas professionnel et tu penses mériter un emploi ?? Tu es raciste, tu te la joues le défenseur de Dieu, tu condamnes tes frères d’autres religions, tu dis que parce qu’ils n’ont pas reçu Christ dans leur vie comme toi ils iront en enfer…mon frère/ma Sœur qui va te recruter ? Qui va recruter une calamité comme toi [❓]

Tu es réputé(e) pour ta malhonnêteté, tu ne sais que critiquer les autres, tu as une mauvaise hygiène corporelle, tu as une mauvaise haleine, tu t’habilles comme un chômeur invétéré, tu n’aimes pas mouiller le maillot mais tu veux gagner de l’argent… dis-moi emploi-là c’est dans rêve [❓]

Ta tête est remplie de charabia inutile pour les entreprises…tu veux avoir un boulot alors que tout ce que tu aimes faire, c’est venir t’asseoir, allumer la clim, manipuler le téléphone jusqu’à l’heure de fin, prendre ton sac, rentrer à la maison et prendre ton salaire… Franchement, recruter quelqu’un comme toi, c’est se donner au suicide.

Tout ce que tu sais faire, c’est prendre sans donner, tu ne sais pas créer des relations utiles, tu ne travailles que lorsqu’on te confie de tâches ou lorsqu’on te surveille, tu n’es pas prêt(e) à te former tout le temps et dans plusieurs domaines afin d’être utile pour ton Patron et tu veux que quelqu’un te recrute ?

Mon frère/ma Sœur, écoute-moi très bien : Si tu veux vraiment un emploi, au lieu de te plaindre que les gens ne t’aiment pas, que le gouvernement de ton pays ne t’aime pas ou même que c’est ta mère/tante et autres qui ne veulent pas te voir réussir…demandes-toi d’abord si tu mérites d’avoir un emploi. Je te parle au sérieux hein. Analyse toi-même ta vie, tes comportements, ta façon de penser, de parler, d’agir et vois si toi-même tu serais capable de recruter une personne qui a actuellement les mêmes caractéristiques que toi dans ton entreprise.

Ensuite, retiens ceci une fois pour toute: Ce n’est pas parce que c’est ton frère/ta sœur, ton père/ta mère, ton oncle/ta tante, ton mari/ta femme, ton ami d’enfance ou même ton Pasteur/Prêtre, qu’il/elle est obligé(e) de te recruter. Si tu n’as pas les qualités nécessaires pour travailler avec les autres, si tu n’es pas agréable à vivre, si tu n’es pas utile pour lui, si au lieu d’être une solution pour lui tu vas être un sérieux problème pour lui, alors-là, tu auras beau te lamenter, l’insulter, le supplier, le menacer mais tu n’auras rien, absolument rien !!

À tous ceux et celles qui ont déjà un emploi, si vous ne voulez pas du jour au lendemain vous retrouver au chômage, posez-vous tous les jours la question de savoir : Si on m’enlève le travail que je fais actuellement dans l’entreprise, est-ce que mon Patron va perdre quelque chose  [❓] Si je ne suis pas là, est-ce que tout peut bien fonctionner dans l’entreprise ? Si oui, tu es utile à quelque chose. Si non, le chômage rôde autour de toi comme un lion dévorant cherchant à te dévorer.

À tous les recruteurs qui ont fait la bêtise de recruter par action sociale comme moi: Travaillez à vous former vous-mêmes, à élever votre niveau de développement personnel pour ne plus jamais faire cette bêtise. Ensuite, aidez ceux que vous avez recruté par action sociale à être formé pour devenir des forces productrices dans un partenariat gagnant-gagnant. Mais s’ils ne veulent pas se former, s’ils veulent juste prendre votre argent sans rien vous apporter, ayez le courage de les virer. Je dis bien, virez-les !! Car, 𝗶𝗹 𝗽𝗲𝘂𝘁 𝗮𝗿𝗿𝗶𝘃𝗲𝗿 𝗾𝘂’𝗼𝗻 𝗳𝗮𝘀𝘀𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗲𝗿𝗿𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝘃𝗶𝗲, 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗽𝗲𝗿𝘀𝗶𝘀𝘁𝗲𝗿 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹’𝗲𝗿𝗿𝗲𝘂𝗿 𝗲𝘀𝘁 𝗱𝗶𝗮𝗯𝗼𝗹𝗶𝗾𝘂𝗲.

Et à chacun de nous, je voudrais dire ceci: Oui j’ai parlé des employés en général mais en réalité, ça nous concerne tous. Car, être mari/femme, père/mère, Ambassadeur de Dieu sur Terre…est aussi un emploi. Alors, chaque jour, évaluons-nous et demandons-nous si nous sommes utiles, agréables à vivre, si nous apportons du bonheur à notre conjoint/à nos enfants/à Dieu ou si plutôt, nous sommes en réalité la cause n°1 de sa souffrance. Si tel n’est pas le cas, ne soyons pas surpris(es) d’être virés du jour au lendemain.

Que ceux qui ont des oreilles pour entendre entendent ce que l’Esprit de Dieu dit à l’esprit de chacun !

C’était Coach Patrick Armand POGNON, le Déménageur Mental.

Inflation, perte du pouvoir d’achat des populations, droits sociaux, inégalités salariales, chômage,..: Richard Boni Ouorou dénonce le silence des partis sur ces « sujets importants »

Alors que l’actualité béninoise est marquée par les adhésions, démissions, fusions,… en prélude aux législatives du 08 janvier 2023, Richard Boni Ouorou plaide pour un débat sur les sujets touchant au quotidien des Béninois. A travers un post sur sa page Facebook, le Politologue a invité les partis politiques, toutes tendances confondues, à plutôt débattre sur l’inflation,  la perte du pouvoir d’achat des populations, les droits sociaux, les inégalités salariales, la revalorisation des salaires, le chômage, le  terrorisme, la police républicaine, la rentrée scolaire, …

Alors que l’actualité béninoise est marquée par les adhésions, démissions, fusions,… en prélude aux législatives du 08 janvier 2023, Richard Boni Ouorou plaide pour un débat sur les sujets touchant au quotidien des Béninois. A travers un post sur sa page Facebook, le Politologue a invité les partis politiques, toutes tendances confondues, à plutôt débattre sur l’inflation,  la perte du pouvoir d’achat des populations, les droits sociaux, les inégalités salariales, la revalorisation des salaires, le chômage, le  terrorisme, la police républicaine, la rentrée scolaire, …

Richard Boni Ouorou s’étonne d’ailleurs que ces « sujets », pourtant « importants », à ses yeux, soient mis de côté au profit des questions électorales.

«  Tous ces sujets importants pour notre quotidien, notre survie et notre stabilité en société, passent sous silence, comme si au Bénin, il n’y a pas de problème, que les populations vivent bien et que la prospérité est partagée, que les revendications syndicales prospèrent et que la pauvreté a régressé », dénonce t-il, avant d’interpeler chacun «  A la veille d’une élection qu’ils disent importante, le seul sujet en débat est de solliciter votre adhésion massive pour leur donner la majorité mais en contrepartie de quoi ? ».

Mais pour lui, ce débat stérile traduit en réalité un aveu d’impuissance des partis et gouvernants face aux problèmes du peuple.

« Il est par conséquent clair, que ceux et celles qui remplissent leurs salles sont dans une démarche totalement spéculative, puisqu’ils n’auront jamais réponse à leurs questions du quotidien du moins sur le moyen et le long terme, même si sur le court terme ils ont quelques billets ou des paroles excitantes. Mais une fois l’élection passée, leur vraie nature réapparaîtra », révèle t-il.

En attendant un changement sur l’animation du débat politique, Richard Boni Ouorou lance avec beaucoup d’optimisme : « avec un peu de patience, nous relèverons le défi ».

 Manassé AGBOSSAGA

 

Urbain Amégbédji, Dg ANPE « Vous avez un Master et vous exercez une activité dans une cabine téléphonique, vous n’êtes plus chômeur »

Avis aux diplômés qui se contentent d’un petit job pour joindre les deux bouts. Débrouillard oui, mais tout sauf chômeur. C’est le directeur général de l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi (ANPE) qui le dit.

Avis aux diplômés qui se contentent d’un petit job pour joindre les deux bouts. Débrouillard oui, mais tout sauf chômeur. C’est le directeur général de l’Agence nationale pour la promotion de l’emploi (ANPE) qui le dit.

Expliquant le concept de chômage, Urbain Amégbédji a apporté cette clarification.

« Vous avez un Master, mais  vous exercez une activité dans une cabine téléphonique, vous considérez vous-mêmes que vous êtes au chômage, mais vous n’êtes plus chômeur. Nous, on ne vous compte pas dans les chômeurs parce que vous exercez une activité économique, quoique ne correspondant pas à vos compétences », a-t-il expliqué sur le plateau de l’émission 5/7 Matins de l’ORTB, ce mercredi 27 juillet 2022.

Le DG ANPE précise que le mot approprié dans ce contexte est celui de sous-emploi.

Urbain Amégbédji a aussi ajouté que  « ce qui est considéré dans les statistiques comme chômeur, c’est la personne qui les deux dernières semaines de l’enquête est restée totalement au chômage, n’a pas pu exercer une activité économique mais qui a recherché activement de l’emploi et qui si on lui en proposait, il prendrait ».

Par contre, si vous « êtes restés sans activité économique les deux dernières semaines de l’enquête, mais vous n’avez pas cherché de l’emploi activement, vous n’êtes pas considérés comme un chômeur » où alors vous n’êtes plus chômeur si vous avez « cherché  activement de l’emploi, mais si on vous propose une activité économique, vous n’êtes pas prêts à prendre », a-t-il poursuivi.

S’il reconnaît que ces différentes définitions sont sources de « mal entendu », Urbain Amégbédi souligne toutefois que « cette définition n’est pas du Bénin », mais plutôt du Bureau international du travail.

Sur cette base, le DG ANPE réaffirme que le taux de chômage au Bénin est de 2,3% contre un taux de sous- emploi de 72%.

Manassé AGBOSSAGA

Urbain Amégbédji, dg Anpe : « Le taux de chômage au Bénin est de 2% »

Le directeur de l’Agence nationale pour l’emploi (Anpe) était  l’invité de l’émission ‘‘L’Entretien du dimanche’’  de la télévision privée Eden tv,  ce 22 mai 2022. Urbain Amégbédji a évoqué la contribution de la  structure qu’il dirige pour la promotion de l’emploi au Bénin, indiquant au passage que le « taux de chômage au Bénin est de « 2% ».

Le directeur de l’Agence nationale pour l’emploi (Anpe) était  l’invité de l’émission ‘‘L’Entretien du dimanche’’  de la télévision privée Eden tv,  ce 22 mai 2022. Urbain Amégbédji a évoqué la contribution de la  structure qu’il dirige pour la promotion de l’emploi au Bénin, indiquant au passage que le  chômage diminue au Bénin avec un taux qui se situe à  « 2% ».

C’est un chiffre qui fera, sans doute,  polémique. Pour le Directeur de l’Agence nationale de  l’emploi (ANPE), le « taux de chômage au Bénin est de 2% ». « Le taux de chômage régresse, l’emploi augmente… le taux de chômage est à 2% dans notre pays », a-t-il déclaré.

Urbain Amégbédfi souligne que   ce chiffre provient des statistiques  de l’Organisation internationale du travail (OIT) et du Bureau international du travail (BIT).

Il a fait remarquer que le BIT  s’appuie sur trois  conditions avant de  conclure qu’une personne est dans le chômage. Selon ses explications, une personne qui pendant les deux dernières semaines n’a pas travaillé et qui est à la recherche du travail mais à qui on n’a pas pu trouver  un travail,  peu importe le domaine, peut-être considéré comme un chômeur.

Pour Urbain Amégbédji, le conducteur de taxi-moto, peu importe son diplôme, ne peut pas être considéré comme un  chômeur. Idem pour une  titulaire d’ un  Master qui arrive à joindre les deux bouts en aidant une tante ou un proche au marché Dantokpa, à titre d’exemple.  Le directeur de l’ANPE reconnaît que cette définition du chômage  suscite polémique et parle de «mal entendu de chiffre » avec les normes du BIT.

Urbain Amègbédji,  «    Le Bénin n’a pas un problème de chômage, mais de sous-emploi »

S’il a indiqué que le taux de chômage du Bénin est en baisse, le directeur général de l’ANPE a,  toutefois,  fait remarquer que le taux de sous –emploi est en hausse. Selon lui, le Bénin a un taux de sous-emploi de « 70% ».

Urbain Amègbédji explique qu’ il s’agit là des personnes qui sont qualifiées mais qui exercent dans un autre domaine ou qui ne sont pas bien rémunérées.

Et de lancer «   Le Bénin n’a pas un problème de chômage, mais de sous-emploi ».

Pour lui, le Gouvernement du président Talon travaille pour inverser la tendance, notamment avec la réforme du système éducatif ou les facilitations de création d’entreprise

Manassé AGBOSSAGA

Plus de 800.000 emplois en 4 ans : « Nos autorités nous prennent vraiment pour des imbéciles », se désole Ganiou Soglo

Considérons que 4 millions d’entre eux travaillent dans le public, le secteur privé, et dans l’informel. Le reste étant sans emploi soit environ 2 millions de personnes. Mes chers amis, êtes-vous sûrs que dans ces 2 millions de personnes 807 000 sortiraient du lot ayant un emploi et l’argent ne circulerait pas dans notre pays ?

Entre avril 2016 et juin 2020, un total de  huit cent sept mille quatre cent vingt-sept (807 427 emplois), indique  l’Institut National de la Statistique Economique (INSAE), s’appuyant sur les statistiques des données de l’Enquête Régionale Intégrée sur l’Emploi et  le Secteur Informel et de la Comptabilité Nationale. Evoquant cette actualité, l’ancien ministre  Ganiou Soglo a émis des réserves, déplorant que les autorités prennent les béninois « pour des imbéciles ». Son développement.

Ganiou Soglo

Quand le mensonge est érigé en mode de gestion d’Etat.

Il y a peu, nos autorités nous ont vendu que le Bénin était un pays à Revenu Intermédiaire. D’après les informations transmises par le Bénin aux autorités de Bretton wood, ce résultat faisant suite à une augmentation du revenu des béninois de 800 dollars à 1250 dollars.

Faut-il en rire ou en pleurer ?

Chers compatriotes, êtes-vous certains que le moins disant des béninois gagne 500 000 Fcfa sur l’année ?

J’en doute !

Nos autorités nous prennent vraiment pour des imbéciles.

Comment nous vendre en pleine pandémie qu’en 3 ans (j’ôte l’année 2020 à cause de sa particularité) vous avez créé 807 427 emplois dont une majorité d’emplois indirects (596 844 dans l’informel).

Réfléchissons un peu.

Nous avons une population de 11 millions d’habitants. 60% de cette population à entre 1 et 20 ans.

Donc la population active représente environ 6 millions de personnes.

Considérons que 4 millions d’entre eux travaillent dans le public, le secteur privé, et dans l’informel. Le reste étant sans emploi soit environ 2 millions de personnes. Mes chers amis, êtes-vous sûrs que dans ces 2 millions de personnes 807 000 sortiraient du lot ayant un emploi et l’argent ne circulerait pas dans notre pays ?

La consommation intérieure ne serait pas impactée par le plein emploi ?

Je me pose juste des questions..

Qu’en pensez vous ?

Le prix Nobel d’économie sera bientôt au Bénin..

Très bon début de semaine à tous, n’oubliez pas les masques.

Votre fidèle dévoué

Ganiou SOGLO