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Ouf ! Le président de l’Assemblée nationale, l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, le ministre du budget et du portefeuille de l’Etat et la vice-présidente du sénat ont échappé de justesse à la mort dans un crash d’hélicoptère ce samedi 25 février 2023.
Ouf ! Le président de l’Assemblée nationale, l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères, le ministre du budget et du portefeuille de l’Etat et la vice-présidente du sénat ont échappé de justesse à la mort dans un crash d’hélicoptère ce samedi 25 février 2023.
Dans un communiqué, le Chef d’Etat-major général des armées a précisé qu’il s’agit d’un « hélicoptère de troupe de type MI 8 de l’armée de l’Air ».
Le général des corps d’Armée Lassina Doumbia a expliqué que l’hélicoptère a effectué un atterrissage d’urgence dans la localité de Gohitafla à 17 heures.
« Un hélicoptère de troupe de type MI 8 de l’armée de l’Air ivoirienne a effectué un atterrissage d’urgence dans la localité de Gohitafla ce samedi 25 février 2023 à 17 heures », peut-on lire.
« Si les raisons de cette manœuvre demeurent pour l’heure inconnues », le Chef d’Etat-major général des armées a laissé entendre que « le professionnalisme de l’équipage a permis de la réaliser en dépit des conditions particulièrement difficiles ».
Les passagers aux nombres desquels Adama Bictogo, Kandia Camar, Moussa Sanogo, Chantal Fanny « sont tous sortis indemnes », a assuré le général des corps d’Armée Lassina Doumbia.
Il a ajouté des que « dispositions sont prises pour leur transport et la sécurisation de l’aéronef ».
« Une équipe de l’armée de l’air a été immédiatement constituée afin de déterminer les causes de cet incident », a conclu le communiqué.
ADO n’était donc pas loin de perdre à nouveau des ministres après Hamed Bakayoko, Gon Coulibaly, …
Le chef de l’armée nigériane, le lieutenant général Ibrahim Attahiru, est mort dans le crash d’un avion militaire avec dix autres officiers vendredi en fin d’après-midi autour de l’aéroport de Kaduna dans le nord du Nigeria, ont annoncé les autorités.
Le chef de l’armée nigériane, le lieutenant général Ibrahim Attahiru, est mort dans le crash d’un avion militaire avec dix autres officiers vendredi en fin d’après-midi autour de l’aéroport de Kaduna dans le nord du Nigeria, ont annoncé les autorités.
Le militaire âgé de 54 ans avait été nommé à la tête de l’armée le 26 janvier dernier par le président nigérian Muhammadu Buhari, sous le feu des critiques après des mois de grave détérioration de la situation sécuritaire dans le pays le plus peuplé d’Afrique, en proie notamment à une insurrection jihadiste.
L’annonce de son décès intervient alors que des informations sur la possible mort du chef du groupe jihadiste Boko Haram Abubakar Shekau, grièvement blessé mercredi soir après des affrontements avec des jihadistes rivaux, ne cessent de circuler.
Le président Buhari a exprimé « sa profonde tristesse » après le crash de l’avion militaire « qui a enlevé la vie au chef de l’armée, le lieutenant général Ibrahim Attahiru et à d’autres officiers militaires », dans un communiqué vendredi soir.
Dix autres officiers sont morts dans ce crash « qui a eu lieu peu après le décollage à l’aéroport de Kaduna à cause du mauvais temps », selon l’armée, qui précise dans un communiqué, qu’une enquête a été ouverte.
« C’est un coup mortel qui nous est porté à un moment où nos forces armés sont sur le point de mettre fin aux défis sécuritaires auxquels le pays est confronté », a ajouté le président dans son communiqué.
L’armée nigériane combat une insurrection jihadiste dans le nord-est du pays depuis 2009, un conflit qui a fait plus de 40.000 morts et a forcé à la fuite plus de deux millions de personnes.
En mai 2017, M. Attahiru avait pris la tête des opérations contre le groupe jihadiste dans le nord-est du pays, mais il avait été limogé sept mois plus tard alors que les attaques de Boko Haram n’avaient pas diminué.
L’armée nigériane, sous financée et accusée de mauvaise gestion, est critiquée de toute part pour son incapacité à mettre un terme aux violences dans le pays, et particulièrement à l’insurrection jihadiste.
Depuis des années, elle tente notamment de neutraliser le leader de Boko Haram, Abubakar Shekau en vain. Elle avait même annoncé à plusieurs reprises sa mort, à tort.
Mercredi, ce sont des jihadistes du groupe Etat islamique en Afrique de l’Ouest (Iswap) qui ont réussi à encercler la maison où se trouvait Abubakar Shekau dans la forêt de Sambisa, dans le nord-est du Nigeria.
Selon deux sources proche des services de renseignement, le leader s’est grièvement blessé en tentant de se suicider pour éviter d’être capturé par les jihadistes rivaux liés à l’Etat islamique (EI).
L’une de ces sources a affirmé vendredi soir à l’AFP que Abubakar Shekau était finalement décédé jeudi des suites de ses blessures.
« Shekau est mort hier soir dans le village de Nainawa, il a été enterré dans la nuit, mais sa tombe n’a pas été marquée pour éviter que l’armée nigériane ou les jihadistes rivaux ne puissent l’exhumer », a affirmé à l’AFP cette source.
Un habitant de ce village, situé dans le forêt de Sambisa, a confirmé à l’AFP avoir vu une vingtaine de véhicules de Boko Haram, dont l’un transportant un corps, arriver jeudi soir dans sa localité.
« Nous avons appris aujourd’hui que c’était Shekau qui était dans le véhicule, qu’il est mort hier et qu’il a été enterré dans la nuit », a-t-il déclaré à l’AFP au téléphone.
Ni Boko Haram, ni l’Iswap n’ont pour l’heure annoncé la mort de Abubakar Shekau, mais pour plusieurs médias nigérians et spécialistes de la région, son décès ne fait plus de doute.
La perte de Shekau serait un coup dur pour Boko Haram dont il a été la figure centrale pendant onze ans, mais elle ne signifierait pas la fin de l’insurrection jihadiste.
Au contraire, la prise du fief de Shekau pourrait permettre à l’Iswap, devenu le groupe le plus puissant dans la région, de consolider son emprise sur le territoire, et de mener des attaques encore plus sophistiquées contre l’armée nigériane.
L’élu Les Républicains et fils du célèbre industriel est décédé dimanche dans le Calvados dans le crash d’un hélicoptère. Il avait 69 ans.
Terrible drame dans le Calvados. Olivier Dassault, député Les Républicains (LR) de l’Oise et fils de Serge Dassault, est décédé dimanche 7 mars 2021 dans un accident d’hélicoptère près de Deauville, a appris l’Agence France-Presse de sources parlementaires et proches de l’enquête. Le parquet a ouvert une enquête pour homicide involontaire.
« Olivier Dassault aimait la France. Capitaine d’industrie, député, élu local, commandant de réserve dans l’armée de l’air : sa vie durant, il ne cessa de servir notre pays, d’en valoriser les atouts. Son décès brutal est une grande perte. Pensées à sa famille et à ses proches », a réagi Emmanuel Macron sur Twitter
« Notre région perd un grand serviteur »
De sources proches de l’enquête, le pilote de l’appareil est également décédé dans l’accident qui s’est produit vers 18 heures à Touques, près de Deauville. De même source, il n’y avait personne d’autre à bord. Delphine Mienniel, procureur de la République de Lisieux, a confirmé le décès d’Olivier Dassault et du pilote et se rendait sur les lieux. Le parquet a saisi la section des recherches de la gendarmerie des transports aériens, chargée de l’enquête.
« Je pense à sa famille et à ses proches qui doivent ressentir une terrible douleur », a réagi le président de l’Assemblée nationale, Richard Ferrand, sur CNews. De nombreuses personnalités de droite ont également rendu hommage au fils de Serge Dassault et petit-fils de Marcel Dassault, qui était l’une des plus grandes fortunes de France. « Notre région perd un grand serviteur », a tweeté Xavier Bertrand, président (ex-LR) des Hauts-de-France. « Grande tristesse à la nouvelle de la brutale disparition d’Olivier Dassault. Homme d’entreprise, mais aussi photographe reconnu, il avait la passion de la politique dans le sang, ancré dans son département de l’Oise », a salué Valérie Pécresse, présidente (Libres !) de la région Île-de-France.
Le Premier ministre Jean Castex a, lui, décrit « un député humaniste, un entrepreneur visionnaire, un homme profondément engagé pour son pays [et] un artiste à l’élégante audace ». « Olivier Dassault manquera à tous ceux qui, comme lui, aimaient profondément la France. En pensée avec sa famille et ses proches. »
DJAKARTA (Reuters) – Un Boeing 737-500, transportant 62 personnes et exploité par la compagnie indonésienne Sriwijaya Air, s’est écrasé samedi en mer quelques minutes après avoir quitté Djakarta, ont annoncé les autorités.
Les autorités ont fait savoir que l’appareil avait été localisé et que tous les passagers du vol et membres d’équipage étaient indonésiens.
« Les coordonnées ont été établies et transmises à tous les navires de la marine », a dit Abdul Rasyid, un officier indonésien. »
Le site de suivi du trafic aérien Flightradar24, spécialisé dans l’analyse des données de vol, affirme que le vol SJ182 « a perdu plus de 10.000 pieds d’altitude en moins d’une minute, quatre minutes après avoir quitté Djakarta ».
Selon Budi Karya, le ministre indonésien des Transports, le Boeing transportait 62 personnes, dont 12 membres d’équipage. Une autre source affirmait un peu plus tôt que l’appareil avait 56 passagers et six membres d’équipage à son bord.
Le Boeing 737-500 en cause est sorti il y a presque 27 ans des chaînes d’assemblage de l’avionneur américain.
C’est une version bien plus ancienne du 737 MAX qui a connu de sérieuses déconvenues après le crash d’un vol de Lion Air lors duquel 189 personnes ont perdu la vie.
« Nous sommes au courant des informations de presse en provenance de Jakarta et nous suivons de près la situation », a déclaré une porte-parole de Boeing. « Nous nous efforçons de recueillir davantage d’informations. »
Au moins 22 personnes, pour la plupart des élèves d’une école militaire âgés d’une vingtaine d’années, ont été tuées et deux autres grièvement blessées dans le crash d’un avion militaire vendredi soir près de Kharkiv, dans l’est
Au moins 22 personnes, pour la plupart des élèves d’une école militaire âgés d’une vingtaine d’années, ont été tuées et deux autres grièvement blessées dans le crash d’un avion militaire vendredi soir près de Kharkiv, dans l’est
Les images diffusées par les autorités sur les réseaux sociaux ont montré l’appareil en flammes. Sur des photos diffusées par les services d’urgence, des pompiers arrosent ses débris.
« 22 personnes sont mortes », a indiqué à l’AFP le vice-ministre de l’Intérieur Anton Guerachtchenko.
« La plupart d’entre elles (étaient) des étudiants » de l’institut des forces aériennes ukrainiennes de Kharkiv, a ajouté dans un communiqué l’armée de l’air.
Deux personnes ont été blessées et trois autres portées disparues, selon le dernier bilan du service d’Etat pour les situations d’urgence.
– Refus de dernière minute –
Le précédent bilan faisait état de 22 morts, deux blessés et quatre disparus sur un total de 28 personnes à bord, mais il s’est avéré qu’un étudiant, compté initialement parmi les disparus, n’a pas été admis à bord.
« L’étudiant Oleksandre Khartchenko n’a pas été admis à ce vol à la dernière minute », ont déclaré les forces aériennes, précisant que sept membres d’équipage et 20 élèves se trouvaient à bord.
Les blessés se trouvent dans un état « critique », a indiqué sur Facebook le gouverneur régional Oleksiï Koutcher.
« Terrible tragédie », a déploré sur Facebook le président ukrainien Volodymyr Zelensky, annonçant qu’il se rendrait sur place samedi.
Le chef de la diplomatie de l’Union européenne Josep Borrell a envoyé ses condoléances aux familles et amis de « ceux qui ont perdu leurs vies », sur Twitter.
– Vol d’entraînement –
Le président Zelensky a ordonné de « créer d’urgence une commission gouvernementale pour élucider les circonstances et les causes » de la catastrophe.
Le parquet général a annoncé dans un communiqué avoir ouvert une enquête pour « violation des règles de vols ».
Cet avion de transport militaire Antonov An-26 s’est écrasé à l’atterrissage, vers 20h50 heure locale (17H50 GMT) à deux kilomètres de l’aéroport militaire de Tchougouïv, selon le service d’Etat pour les situations d’urgence.
L’avion s’est enflammé après le crash et l’incendie a pu être éteint une heure plus tard.
La petite ville de Tchougouïv est située à une trentaine de kilomètres au sud-est de Kharkiv et à une centaine de kilomètres à l’ouest de la ligne de front qui sépare les territoires qui sont sous le contrôle du gouvernement ukrainien de ceux qui sont aux mains des séparatistes prorusses.
« Selon des informations préliminaires, c’était un vol d’entraînement », a indiqué la présidence ukrainienne dans un communiqué.
Plusieurs avions militaires se sont écrasés en Ukraine lors de vols d’entraînement ces dernières années.
L’Antonov An-26 est un avion de transport léger conçu en Ukraine à l’époque soviétique. Long de 24 mètres, il peut voler à une vitesse de croisière de 440 km/h.
Largement héritée de l’époque soviétique, l’armée ukrainienne, qui souffrait d’un manque de financement chronique, se trouvait dans un état lamentable jusqu’au début de la guerre avec les séparatistes dans l’Est en 2014.
Depuis, Kiev aidé par les Occidentaux a tenté de la moderniser mais des experts considèrent les résultats comme mitigés.