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À Abomey-Calavi, une femme a, de sang-froid, tué son mari. Ce triste incident n’est pas le premier au Bénin. Des époux sont passés à tabac par leurs épouses, mais pour ne faire objet de moquerie ou de raillerie, certains préfèrent vivre en secret leur calvaire. Pour revenir au drame de Togba, il y a un fait qui a attiré l’attention de Kpakpato Medias. C’est
À Abomey-Calavi, une femme a, de sang-froid, tué son mari. Ce triste incident n’est pas le premier au Bénin. Des époux sont passés à tabac par leurs épouses, mais pour ne faire objet de moquerie ou de raillerie, certains préfèrent vivre en secret leur calvaire. Pour revenir au drame de Togba, il y a un fait qui a attiré l’attention de Kpakpato Medias. C’est ce silence retentissant autour de ce fait, des féministes du 229, notamment Angela Kpeidja.
Pourtant, prompte à réagir sur la moindre actualité, quand une femme ou une jeune fille est victime d’abus, elle n’a jusque-là pipé aucun mot. Pour un drame qui a eu lieu le week-end, relayé abondamment sur la toile, il n’y a quasiment pas eu de réactions de sa part et de ses camarades féministes pour condamner ce crime crapuleux où l’épouse se transforme en monstre.
Ni chaud ni froid, Angela Kpeidja et ses camarades féministes n’ont pas vu ça. Elles se taisent comme si de rien n’était. Rien d’étonnant, car pour ces féministes, la violence conjugale, c’est peut-être, seulement quand la femme est dans la peau de la victime. Et là-dessus, qu’est-ce qu’on n’aurait pas entendu si c’était la femme qui avait été tuée par son mari ? Qu’est-ce qu’on n’aurait pas vu sur la toile de la part de Angela Kpeidja et de toutes ces défenseuses de la cause féminine ?
En espérant qu’elles fassent le vrai et équitable combat, disons tous, non aux violences conjugales dans les deux sens !
Quand deux êtres qui avaient promis s’aimer pour le meilleur et pour le pire, arrivent à se détester au point de se battre comme des animaux sauvages qui s’entretuent. Ça se passe à Togba, dans la commune d’Abomey-Calavi. Un homme et une femme, qui vivent ensemble ont transformé leur vie de couple en ring. Et le dernier combat a viré au drame.
Quand deux êtres qui s’étaient promis amour, arrivent à se détester au point de se battre comme des animaux sauvages qui s’entretuent. Ça se passe à Togba, dans la commune d’Abomey-Calavi. Un homme et une femme, qui vivent ensemble ont transformé leur vie de couple en ring. Et le dernier combat a viré au drame.
Après une énième et violente dispute dans la nuit du samedi 09 juillet au dimanche 10 juillet 2022, la femme, âgée d’environ 30 ans, tue accidentellement son mari.
Après son crime, elle se précipite pour se rendre, elle-même, au commissariat avec ses deux enfants, confie Radio Frissons. Dans les locaux du commissariat, elle expose les faits.
Selon les premières informations rapportées par Radio Frissons, la femme avance que son conjoint l’aurait menacé de l’abandonner avec ses enfants à plusieurs reprises après des disputes.
Etait-ce suffisant pour tuer son mari ? A cette question, seule la Justice Béninoise pourra répondre.
Incroyable, mais vrai. Un homme, qui serait un Pasteur dans une église évangélique a froidement assassiné sa fille, âgée de 23 ans. Le drame s’est produit dans la nuit du lundi 16 mai dans l’arrondissement de Glo-Djigbé, commune d’Abomey-Calavi, département de l’Atlantique.
Incroyable, mais vrai. Un homme, qui serait un Pasteur dans une église évangélique a froidement assassiné sa fille, âgée de 23 ans. Le drame s’est produit dans la nuit du lundi 16 mai dans l’arrondissement de Glo-Djigbé, commune d’Abomey-Calavi, département de l’Atlantique.
Des images et vidéos ont fait le tour des réseaux sociaux. Une scène à la limite insupportable. Le père, qui selon les informations rapportées, serait un Pasteur dans une église évangélique a, de sang-froid, tué sa fille dans la nuit du lundi dans la commune d’Abomey-Calavi, au sud du Bénin.
Il a tué à coups de machette sa fille, âgée de 23 ans, après 22h. Selon les informations, l’homme de Dieu aurait des ennuis de santé depuis quelques jours.
Pour son assistance, il a sollicité l’aide fille, mariée et mère de deux enfants. Sa fille décide alors de passer quelques jours à ses côtés.
Mais à la surprise générale, alors qu’elle servait le repas du soir, son père s’est mis à lui assener des coups de machette. La victime porterait des blessures sur plusieurs parties du corps.
Après son acte et apeuré, le père a pris la fuite. Il sera toutefois rattrapé plus tard.
Aux dernières nouvelles, le présumé meurtrier de sa fille est en garde-à-vue. Il sera présenté au Procureur du tribunal d’Abomey Calavi dans les jours à venir.
Fin de cavale pour ce redoutable tueur en série qui enchainait les meurtres et crimes depuis le mois d’Octobre 2020 dans la zone sud d’Abidjan. A chaque fois, il surprenait ses victimes dans leur sommeil.
La Direction de la Police Criminelle (DPC) de Côte d’Ivoire a alors fait de lui une cible numéro 1 à arrêter.
C’est ainsi qu’après des recherches et lors d’une patrouille de deux équipages de la Brigade de Recherches et d’Intervention(BRI), le nommé SA, 42ans, sans domicile fixe, a été interpellé au niveau de l’échangeur en face du supermarché Playce à Marcory, dans la nuit du 22 au 23 janvier 2021, aux environs de 02h30, d’après des sources policières.
Ce dernier serait passé aux aveux et aurait « reconnu sans difficultés les faits de meurtres qui lui sont reprochés ».
Alex Rodda, from Knutsford, was battered to death with a wrench in woodland by Matthew Mason, who then went for a pint with friends to give himself an alibi
Alex Rodda’s family slammed his ‘cold and calculating’ killer (Image: STEVE ALLEN)
The family of Alex Rodda have paid tribute to their ‘wonderful’ boy and slammed the « selfish, cold and calculating » killer convicted of murder.
Jurors found Matthew Mason, 19, who had denied the charge, guilty or murdering 15-year-old Alex after over nine hours of deliberations.
The trial heard Mason, of Knutsford, Cheshire, had been having underage sex with Alex in the months leading up to his death, and then killed him to prevent their relationship being exposed.
Mason had paid Alex, who lived in Pickmere, near Knutsford, more than £2,000 over a three week period in an attempt to stop his secret coming out.
Then, on December 12, 2019, Mason picked up Alex from outside his house and drove him to a secluded woodland area outside Ashley, near Altrincham, prosecutor Ian Unsworth QC previously told jurors.
He then beat the popular schoolboy to death with a large metal wrench in what was described to the court as a ‘violent, repetitive assault with a blunt weapon’.
Following the attack, Mason stayed with Alex’s body for around an hour before leaving the wooded area and meeting up with friends for a pint – to form a basis of his alibi.
Reading from a statement he said: “Our son Alex was a wonderful, gentle, loving, kind, caring, respectful boy who loved life and lived life to the full. His precious life was cut short all too soon at the hands of Matthew Mason.
“Mason admitted killing Alex from the outset of this trial but still felt the need to put us through the trauma of this trial in an attempt to minimise his sentence. He never once considered the pain it would put our family through or indeed his own family.
“We have never come across a more selfish, cold and calculating person.
“Mason has attempted to blame Alex and discredit his name throughout this trial and thankfully the jury were able to see through his web of deceit.
“We would like to take this opportunity to thank the jury for coming to the right decision.
“We would also like to thank Detective Inspector Nigel Reid and his team of officers from Cheshire Constabulary for all their hard work over the last 12 months and in particular the family liaison officers, David Edon and Lucy Kennedy, who have supported us through this particularly difficult time.”
After being asked how the family found the trial process, he said: “It was extremely difficult, especially as we as a family knew that a lot of what was being said would not have come from Alex so it was very difficult, but, at the end of the day, it was a process we had to go through and hopefully – it won’t bring Alex back – but now we’re in a position where we can start to think positively about moving forward in our lives.”
When asked how the family felt following the conviction, he said: “You would not believe how relieved we are (to have a guilty verdict).
“We wouldn’t have accepted anything else, we would have been distraught if any other verdict had been given. We prayed and we are obviously delighted that justice has been done.”
Mason will be sentenced on January 25.
Speaking to him in the dock, Judge Everett told him: “You were convicted on overwhelming evidence.
“You ran this trial as long as you possibly in the hope you could to sneak away from the conviction of murder.
“The time has come and you will be sentenced on January 25. »
