Lutte contre la Cybercriminalité au Bénin : 09 individus interpellés à Porto-Novo.

Dans le cadre de la lutte contre la cybercriminalité, neuf (09) individus ont été interpellés à Porto-Novo, le lundi 1er juillet 2024 par le commissariat du 2e arrondissement.

Dans le cadre de la lutte contre la cybercriminalité, neuf (09) individus ont été interpellés à Porto-Novo, le lundi 1er juillet 2024 par le commissariat du 2e arrondissement.

En effet, sur renseignements les forces de l’ordre ont effectués une descente surprise dans un domicile squatté par des individus au quartier Djègan-Daho qui s’adonnent aux activités de cybercriminalité.

Au cours de cette opération ayant conduit à leur arrestation, vingt-sept (25) téléphones portables Android dont deux (02) à touche, huit (08) ordinateurs portatifs, trois (03) disques durs contenant des informations compromettantes ont été saisis, ainsi que cent trente-sept (137) cartes SIM, trente-neuf (39) plaquettes de carte SIM, trois (03) modems wifi, quatre (04) cartes bancaires, trois (03) passeports, cinq (05) cartes d’identification personnelle et beaucoup d’autres accessoires informatiques.

Ils sont mis à la disposition de la structure compétente pour la poursuite des investigations.

CCOM/DGPR

CRIET : plusieurs présumés cybercriminels déposés en prison

Encore de nouveaux clients pour la prison civile d’Akpro-Missérété. 24 présumés cybercriminels y ont été déposés après présentation au procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET),

Encore de nouveaux clients pour la prison civile d’Akpro-Missérété. 24 présumés cybercriminels y ont été déposés après présentation au procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET), rapporte le quotidien Le Matinal.

En réalité, ils étaient au total 31 personnes à passer devant Mario Mètonou, mardi 04 juillet dernier, après leur interpellation par l’Office central de la cybercriminalité (Ocrc). Après audition, 24 ont finalement été placés sous mandat de dépôt à la prison civile de Missérété, en attendant leur procès.

La traque des cybercriminels au Bénin se poursuit donc.

M.A

Lutte contre la cybercriminalité : Missérété accueille encore de nouveaux clients

La prison civile d’Akpro-Missérété reçoit encore de nouveaux clients. Pour cause, 27 personnes y ont été déposés, mercredi 21 juin pour des faits de cybercriminalité.

La prison civile d’Akpro-Missérété reçoit encore de nouveaux clients. Pour cause, 27 personnes y ont été déposés, mercredi 21 juin pour des faits de cybercriminalité.

Interpellés par l’Office central de répression de la cybercriminalité (Ocrc), ils sont au total 35 présumés cybercriminels à passer devant le Procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).

Après audition, 27 ont été conduits à la prison civile d’Akpro-Missérété en attendant leur procès.

M.A

Bénin : 06 policiers déposés en prison

06 gardiens pénitentiaires placés en détention provisoire. Ils ont été déposés en prison, jeudi 01er juin 2023 après leur présentation au procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).

06 gardiens pénitentiaires placés en détention provisoire. Ils ont été déposés en prison, jeudi 01er juin 2023 après leur présentation au procureur spécial de la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (Criet).

En réalité, ils sont plusieurs gardiens pénitentiaires  en poste à la prison civile de Missérété à passer devant le procureur spécial de la Criet, jeudi dernier. Mais après audition, le procureur a décidé de placer 06 d’entre eux en prison pour appartenance présumée à un réseau de cybercriminels, confie Frissons radio. 03 autres gardiens pénitentiaires sont également poursuivis sans mandat dans la même affaire.

Ces derniers sont poursuivis dans une affaire d’escroquerie menée par des cybercriminels détenus à Missérété. Avec la complicité d’autres membres, ils vident les comptes des promoteurs d’établissement de paiement et d’envoi d’argent.

8 civils avaient été déposés en prison le vendredi 26 mai dernier.

Poursuivis pour escroquerie, blanchiment et abus de fonction, leur procès est prévu pour le 26 juin.

M.A

Cybercriminalité : 8 personnes déposées en prison, plusieurs gardiens pénitentiaires en garde à vue

Encore une grosse opération de l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC).  Après plusieurs mois d’enquête avec la complicité de la Brigade économique et financière (BEF), l’OCRC a réussi à mettre la main sur un vaste réseau de présumés cybercriminels. Il s’agit de huit personnes déposées en prison, vendredi 26 mai, 2 poursuites sans mandat et une dizaine de gardiens pénitentiaires, qui sont en garde à vue.

Encore une grosse opération de l’Office central de répression de la cybercriminalité (OCRC).  Après plusieurs mois d’enquête avec la complicité de la Brigade économique et financière (BEF), l’OCRC a réussi à mettre la main sur un vaste réseau de présumés cybercriminels. Il s’agit de huit personnes, déposées en prison,  2 autres poursuivies sans mandat et une dizaine de gardiens pénitentiaires, qui sont en garde à vue.

8 présumés cybercriminels déposés en prison vendredi 26 mai par la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). Selon les informations de Bip radio, ils sont  poursuivis pour « escroquerie, blanchiment et abus de fonction ». Dans la même affaire, deux autres personnes sont également poursuivies, mais sans mandat.

La même source renseigne qu’une dizaine de gardiens pénitentiaires sont en garde à vue et pourraient être présentés au Procureur spécial de la CRIET dans les jours à venir dans cette même affaire  « d‘escroquerie, de blanchiment et d’abus de fonction ».

De quoi s’agit-il ?

En effet, deux cybercriminels depuis la prison continueraient  d’animer ce réseau. Ainsi, ils auraient réussi à tromper la vigilance de plusieurs personnes.

La justice aurait notamment recensé près de 70 victimes, tous des promoteurs d’établissement de paiement et d’envoi d’argent appelés Mobile money, précise Bip Radio.

Leur mode opératoire. Les présumés cybercriminels se présentent comme des responsables de zone d’un opérateur GSM. Ils  communiquent ensuite un code aux gérants et leur demandent d’actualiser leurs données. Seulement voilà, après l’opération, les promoteurs d’établissement de paiement et d’envoi d’argent tombent dans le guet apens. Ils constatent que leurs comptes ont été totalement vidés.

La CRIET veut désormais savoir s’il y a eu complicité au niveau de la dizaine de gardes pénitentiaires en garde à vue.

M.A

Affaire extorsion présumée de fonds : Le commissaire adjoint de Calavi donne sa version des faits

Les 4 policiers arrêtés en mars dernier et poursuivis pour « abus de fonction et extorsion de fonds » ont comparu, jeudi 25 mai dernier à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). A l’occasion, le commissaire adjoint de Calavi, qui fait partie des mis en cause, a donné sa version des faits.

Les  policiers arrêtés en mars dernier et poursuivis pour « abus de fonction et extorsion de fonds » ont comparu, jeudi 25 mai dernier à la Cour de répression des infractions économiques et du terrorisme (CRIET). A l’occasion, le commissaire adjoint de Calavi, qui fait partie des mis en cause, a donné sa version des faits.

Selon ses explications, rapportées par Bip Radio, un collègue lui a signalé la présence d’un cybercriminel qui réside à Abomey-Calavi. Il décide donc de s’y rendre à son domicile avec deux agents.

Sur place,  ils perquisitionnent  le domicile du présumé cybercriminel. Toutefois, il confie que la perquisition n’a pas permis de trouver des preuves matérielles qui attestent que ce dernier est un cybercriminel. Il décide alors de le relâcher.

Mais une fois libéré, le présumé cybercriminel porte, à son tour, plainte contre les 02 agents et le commissaire adjoint. Il accuse ces derniers de lui avoir soutiré 17 millions de FcFa contre sa liberté. Entre temps, le plaignant disparaît dans la nature.

Lors des débats, le conseil d’avocat des policiers  a plaidé pour une liberté provisoire de leurs clients.

Une demande rejetée par le ministère  public qui leur reproche d’avoir laissé partir un présumé cybercriminel sans aucune procédure formelle après une perquisition.

L’audience a ensuite été renvoyée en juillet pour statuer sur la demande de liberté provisoire. En attendant, les mis en cause retournent en prison.

M.A

Lutte contre la cybercriminalité : Les réserves du président du MPL Expérience Tèbè

Le gouvernement a, depuis quelques mois, engagé une lutte sans merci contre la cybercriminalité. Des milliers de jeunes sont ainsi jetés en prison. Mais de passage sur l’émission ‘‘De vous à nous’’ de la radio Peace Fm, dimanche dernier,  le président du Mouvement populaire de libération (MPL), Expérience Tèbè a soulevé les limites de cette lutte, tout en condamnant le phénomène.

Le gouvernement a, depuis quelques mois, engagé une lutte sans merci contre la cybercriminalité. Des milliers de jeunes sont ainsi jetés en prison. Mais de passage sur l’émission ‘‘De vous à nous’’ de la radio Peace Fm, dimanche dernier,  le président du Mouvement populaire de libération (MPL), Expérience Tèbè a soulevé les limites de cette lutte, tout en condamnant le phénomène.

Un point fâche le Mouvement populaire de libération (MPL) dans la lutte contre la cybercriminalité enclenchée par le régime de la Rupture. Invité de l’émission ‘‘De vous à nous’’ de la radio Peace Fm, dimanche dernier, le président du parti d’opposition a dénoncé l’accroissement de la population carcérale, sans toutefois, prendre parti pour le phénomène.

Si Expérience Tèbè soutient que la « lutte » contre ce  « phénomène indigne est une bonne chose », il se désole, toutefois de l’arrestation excessive des jeunes.

« … de l’autre côté,  quand on voit la masse de jeune qui rejoint la prison, ça pose un problème. Ces jeunes qui écopent aujourd’hui de 7 ans, 5 ans de prison, c’est une perte pour la société. On est en train de grossir la population carcérale.  Ces jeunes arrêtés sont à la charge de l’Etat et des parents », fait-il remarquer.

Pour lui, il urge de « penser autrement la question » au-delà des condamnations.

« Il y a une urgence à procéder à la réflexion pour réorienter la question », lance-t-il.

Le président du MPL propose, à titre d’exemple, de faire participer les jeunes arrêtés dans le cadre de la lutte contre la cybercriminalité à la production nationale. Expérience Tèbè plaide pour  leur occupation sur les terres agricoles.

L’invité de l’émission ‘‘De vous à nous’’ invite également le gouvernement à mettre sur pied une politique qui favorise l’emploi des jeunes pour ne pas qu’ils tombent facilement dans le piège du gain facile.

« Les jeunes qui n’ont rien à faire sont facilement exposés à la cybercriminalité. Si les jeunes sont occupés à faire des choses, ils n’auront pas le temps ou la possibilité de découvrir ces choses », a-t-il déclaré.

Comme pour inviter le gouvernement à attaquer le problème à la racine.

M.A

Suspension des dépôts ou des transferts d’argent sur 1xbet via MoMo: les clarifications de la Police républicaine

Depuis quelques semaines, les amateurs des paris sportifs ont été confrontés à l’incapacité de transférer ou de recharger leur compte 1xbet via les réseaux de téléphonie mobile, notamment MTN Momo et Moov Money. De passage sur une radio de la place, le porte-parole de la Police républicaine, le Commissaire Eric Orou Yérima a révélé les raisons de la suspension desdites opérations.

Pendant quelques semaines, les amateurs des paris sportifs ont été confrontés à l’incapacité de transférer ou de recharger leur compte 1xbet via les réseaux de téléphonie mobile, notamment MTN Momo et Moov Money. De passage sur une radio de la place, le porte-parole de la Police républicaine, le Commissaire Eric Orou Yérima a révélé les raisons de la suspension desdites opérations.

Il a confié que la mesure visait les cybercriminels, car révèle-il, les dépôts ou des transferts d’argent sur 1xbet via les réseaux de téléphonie mobile sont utilisés comme appât pour arnaquer les citoyens béninois.

« Je voudrais rappeler que certains jeunes cybercriminels, dans un élan d’ingéniosité vont voir les bonnes dames qui font les transferts d’agent et demandent à faire un dépôt, je ne sais, par quelle alchimie, ils donnent le numéro de leur compte 1xbet et l’argent part du compte de l’opérateur, mais se retrouve dans leur compte 1xbet. Mais quand, on vérifie leur solde mobile money, l’argent n’est pas venu… Donc, ils se font déposer l’argent sur leurs  comptes 1xbet devant vous, vous vérifiez ensemble son compte mobile money, en réalité, c’est aller vers 1xbet  », a expliqué le porte-parole de la Police républicaine, d’après des propos rapportés par Le Matinal.

Et pour mettre fin aux supputations, le porte parole de la Police républicaine a assuré  que  c’est pour mettre définitivement fin à cette nouvelle méthode d’arnaque que depuis deux semaines, les réseaux de téléphonie mobile ont suspendu cette possibilité d’envoyer de l’argent partant de leurs comptes mobile money vers les comptes 1xbet.

M.A

Bénin-Revanche amoureuse : Après une rupture, elle dénonce son ancien copain pour cybercriminalité

Quand une affaire de goumin-goumin conduit l’ex copain en détention préventive. Une jeune femme aurait  dénoncé son ex conjoint pour cybercriminalité après leur rupture amoureuse.

Quand une affaire de goumin-goumin conduit l’ex copain en détention préventive. Une jeune femme aurait  dénoncé son ex conjoint pour cybercriminalité après leur rupture amoureuse.

Selon les faits rapportés par Bip Radio, la dame a, dans un premier temps, convoqué son ex  pour une affaire coups et blessures.

Mais au commissariat, l’affaire prend une autre tournure. Son  portable avec des preuves compromettantes sont tombées dans les mains de la police et rapidement, elle aurait soufflé aux policiers que ce dernier serait un cybercriminel.

L’homme est alors déposé en prison pour cybercriminalité.

Après quelques jours en prison, il a été jugé ce lundi 24 avril 2023. A la barre, l’homme s’est défendu.

Il a juré que le portable ne lui appartient pas. Il dit être victime de calomnie. Selon ses propos, son ex copine n’a pas supporté leur rupture et pour se venger, elle  a décidé de le présenter comme un cybercriminel.

Visiblement satisfait de sa plaidoirie, le ministère public a requis la relaxe du jeune au bénéfice du doute.

Verdict attendu le 16 juin prochain à la CRIET, précise la même source.

M.A