Ça sent mauvais à la mairie de Bantè : La PRMP rend le tablier et accuse la SE Marie Mèhinto

Un vent de désaccord souffle à la marie de Bantè. Pour cause, la Personne responsable des marchés publics (PRMP) également Responsable des affaires administratives et financières (RAAF), après le départ inattendu de l’ex PRMP, vient de rendre le tablier. A travers un courrier adressé à la Secrétaire exécutive (SE), Marie Roméo Mèhinto, Richard Wancoutin  a remis sa démission, accusant cette dernière de tous les péchés.

Un vent de désaccord souffle à la marie de Bantè. Pour cause, la Personne responsable des marchés publics (PRMP) également Responsable des affaires administratives et financières (RAAF), après le départ inattendu de l’ex PRMP, vient de rendre le tablier. A travers un courrier adressé à la Secrétaire exécutive (SE), Marie Roméo Mèhinto, le 22 mars dernier, Richard Wancoutin  a remis sa démission, accusant cette dernière de tous les péchés.

La mairie de Bantè est sans Personne responsable des marchés publics (PRMP).  Nommé par décision N°SA/006//CB/SE//RAAF/SA  en date du 31 août cumulativement avec sa fonction de Responsable des affaires administratives et financières (RAAF), après le limogeage incompris de l’ex PRMP, Richard Wancoutin vient, à son tour, de rendre le tablier.

A travers un courrier adressé à la secrétaire exécutive  en date du 22 mars 2023, le désormais ex PRMP  de la mairie de Bantè met en avant  « des faits qui ne sont pas de nature à rendre efficace l’administration et permettre un réel développement de la commune ».

Sans être exhaustif,  Richard Wancoutin  accuse la SE Marie Roméo Mèhinto de plusieurs péchés. Extrait : «  une ingérence de votre part dans les procédures de passation de marchés publics alors que vous êtes autorité approbatrice. Cependant la loi prévoit une séparation stricte des fonctions » ; « une prise en compte de certains actes par le  SPRMP sans mon consentement notamment l’avis général des marchés publics gestion 2023 qui a été élaboré et publié sans que je ne sois informé. Pour preuve, cet acte n’a pas porté ma signature avant sa publication sur le SIGMAP », «  un acharnement sans raison valable de votre part contre ma personne à travers des faits et gestes qui pourraient détériorer ce climat de confiance qui existe entre nous sur le plan professionnel ».

Et de déposer sa démission de son poste de PRMP, insistant qu’il n’a jamais été partant pour occuper ce poste : «  au regard des faits sus cités et des nombreuses irrégularités qui pourraient jalonner les procédures de passation des marchés publics à la longue et pour lesquelles ma responsabilité pourrait être engagée, je viens par la présente pour déposer officiellement ma démission de ce poste de PRMP, poste pour lequel je signale au passage que je n’étais pas d’accord depuis ma nomination et qui m’a été imposé par vous ».

Voilà qui vient remettre en cause la pertinence de la décision de la SE Marie Roméo Mèhinto de congédier l’ex PRMP, dont les compétences professionnelles étaient avérées et saluées par tous.

M.A

Nicaise Fagnon laisse la mairie de Dassa pour le Parlement

« Le mandat de député est incompatible avec l’exercice de tout autre mandat électif qui ne procède pas du mandat parlementaire ». Conformément à cette disposition de l’article 156 de la loi n°2019-43  du 15 novembre 2019 portant code électoral, Nicaise Fagnon a démissionné du conseil communal de Dassa-Zoumè. Il a officiellement  rendu le tablier le vendredi 10 mars dernier.

« Le mandat de député est incompatible avec l’exercice de tout autre mandat électif qui ne procède pas du mandat parlementaire ». Conformément à cette disposition de l’article 156 de la loi n°2019-43  du 15 novembre 2019 portant code électoral, Nicaise Fagnon a démissionné du conseil communal de Dassa-Zoumè. Il a officiellement  rendu le tablier le vendredi 10 mars dernier.

Elu député pour le compte de la 9è circonscription électorale à l’issue des législatives du 08 janvier dernier, le désormais ex maire opte ainsi pour le Parlement.

L’honorable Nicaise Fagnon cède son fauteuil de conseiller communal à Léon Akpo, enseignant à la retraite  et ancien chef d’arrondissement central de Dassa.

Qui succédera à l’ancien ministre à la tête de la mairie de Dassa-Zoumè ?

Manassé AGBOSSAGA

Conseil Municipal d’Abomey-Calavi : L’honorable Brice Denis Fagbemi démissionne au profit du parlement

Élu député de la 9ème Législature, Brice Denis Fagbemi n’est plus membre du Conseil Municipal d’Abomey-Calavi. Il a officiellement, rendu sa démission à travers une lettre adressée ce vendredi 10 mars au maire Angelo Ahouandjinou.

Élu député de la 9ème Législature, Brice Denis Fagbemi n’est plus membre du Conseil Municipal d’Abomey-Calavi. Il a officiellement, rendu sa démission à travers une lettre adressée ce vendredi 10 mars au maire Angelo Ahouandjinou.

 Entre le Conseil Municipal d’Abomey-Calavi et l’Assemblée Nationale 9ème Législature, Brice Denis Fagbemi a fait son choix. Élu député à l’issue des élections législatives du 8 janvier 2023 dans la 6ème Circonscription Electorale, le jeune leader du parti Union Progressiste Le Renouveau a décidé de représenter le peuple Béninois à l’Assemblée Nationale 9ème Législature.

Cette décision était très attendue de la grande famille des militants du parti Union Progressiste Le Renouveau de la 6ème Circonscription Electorale. Elle vient d’être rendue officielle ce vendredi 10 mars 2023 par l’intéressé à travers un courrier adressé au maire de la municipalité d’Abomey-Calavi Angelo Ahouandjinou.


Le cumul des mandats étant interdit par les dispositions juridiques en matière électorale au Bénin, Brice Denis Fagbemi va donc poursuivre son combat pour le développement de la Nation Béninoise au sein de l’Assemblée Nationale. Pendant ce temps, c’est son suppléant Maxime Guidjime qui va le remplacer au sein du Conseil Municipal d’Abomey-Calavi comme l’exige les textes.

Sur le terrain politique, une nouvelle ère s’ouvre véritablement pour Brice Denis Fagbemi, lui qui tient à écrire son nom dans le livre d’or de l’Assemblée Nationale du Bénin.

 Par Christophe KPOSSINOU

Eternel démissionnaire, Joseph Djogbénou vient encore de démissionner… Orden Alladatin siègera à sa place

Entre Joseph Djogbénou et la démission, c’est une belle histoire d’amour. Et l’homme est en passe de le confirmer

Entre Joseph Djogbénou et la démission, c’est une belle histoire d’amour. Et l’homme est en passe de le confirmer

En effet, Joseph Djogbénou ne siègera pas au parlement pour le compte de la 9ème législature.  S’adonnant à son sport favori, l’avocat a adressé sa démission à l’administration parlementaire après son élection à l’issue des législatives du 08 janvier dernier, confie Peace Fm. Ainsi, Joseph Djogbénou a fait l’option de laisser son siège à son suppléant, Orden Alladatin.

Djogbénou éternel démissionnaire

Ce n’est pas la première fois que Joseph Djogbénou ne va pas au bout d’un mandat électif et rend le tablier. Elu député en 2015 sur la liste de l’Union fait la Nation, il a, plus tard, démissionné à l’arrivée de Patrice Talon au palais de la marina, en 2016. Il sera nommé ministre de la justice par ce dernier. Mais là encore, çà n’a pas duré.

Joseph Djogbénou quitte le gouvernement pour la Cour constitutionnelle, en 2018. Ici encore, il réédite l’exploite. En juillet 2022, il démissionne de la haute juridiction et est parachuté en l’espace de quelques jours, président du parti Union progressiste, qui deviendra Union progressiste le Renouveau.

Candidat à l’élection législative du 8 janvier dernier, le président démissionnaire de la Cour constitutionnelle, sera le seul élu sur la liste qu’il conduit dans la 16è circonscription électorale. A la veille de l’installation de la 9è législature, Kpakpato Medias apprend encore la nouvelle de sa nouvelle démission.

Si cette démission ne surprend personne, elle vient juste révéler les raisons de son entente parfaite avec Adrien Houngbédji. …

Manassé AGBOSSAGA  

Démission de la première ministre du Royaume-Uni : Liz Truss craque et claque la porte

Limogeage de son ministre des finances et ami proche, Kwasi Kwarteng ;  démission de sa ministre de l’intérieur Suella Braverman ; abandon de son programme économique ; rejet de son mini-budget ; en difficulté dans sa propre famille politique…tout ça en moins de deux mois depuis l’arrivée de Liz Truss.

Limogeage de son ministre des finances et ami proche, Kwasi Kwarteng ;  démission de sa ministre de lintérieur Suella Braverman ; abandon de son programme économique ; rejet de son mini-budget ; en difficulté dans sa propre famille politique…tout ça en moins de deux mois depuis larrivée de Liz Truss.

Face à cet enchaînement d’évènements douloureux, Liz Truss a craqué et a claqué la porte. La première ministre du  Royaume-Uni a annoncé sa démission ce jeudi 20 octobre 2022, et donc son départ à la tête du parti conservateur.

« Vu la situation, je ne peux pas remplir le mandat sur lequel j’ai été élue par le Parti conservateur », a-t-elle déclaré depuis le 10, Downing Street.

Avec 44 jours au pouvoir, Liz Truss qui avait succédé à Boris Johnson, entre dans les annales en devenant la première ministre la plus éphémère du Royaume-Uni.

Et pour tourner la page Liz Truss, Rishi Sunak, Jeremy Hunt, Penny Mordaunt – la ministre chargée des relations avec le Parlement, sont les noms qui reviennent avec insistance.

Manassé AGBOSSAGA

 

Bénin-Politique : Nouvelle démission au Bloc républicain

Le Bloc Républicain (BR) n’a toujours pas fini avec les démissions. A moins de trois semaines du dépôt des dossiers pour l’enregistrement des candidatures à la Commission électorale nationale autonome (Céna) dans le cadre des législatives du 08 janvier 2023, le parti présidé par le ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané vient d’enregistrer de nouvelles défections.

 

Le Bloc Républicain (BR) n’a toujours pas fini avec les démissions. A moins de trois semaines du dépôt des dossiers pour l’enregistrement des candidatures à la Commission électorale nationale autonome (Céna) dans le cadre des législatives du 08 janvier 2023, le parti présidé par le ministre d’Etat Abdoulaye Bio Tchané vient d’enregistrer de nouvelles défections.

 

Pour cause, Michel Missikpodé a démissionné du Bloc républicain ce mardi 11 octobre 2022.

L’ancien député de l’ex Parti du Renouveau démocratique (PRD) est descendu du cheval cabré avec plusieurs de ses lieutenants.

Et ce à travers une démission collective notifiée ce mardi par exploit d’huissier aux responsables du Bloc républicain, au ministère de l’intérieur et à la Commission Électorale Nationale Autonome.

Comme à l’accoutumée,   les démissionnaires se sont contentés de sortir la formule magique pour justifier leur départ : « pour raison de convenance personnelle ».

 

Avec les départs de Michel Abimbola, Karamatou Fagbohoun et à présent de Michel Missikpodé et de ses partisans, ça risque de sentir mauvais pour le parti au cheval cabré dans les départements de l’Ouéme et du Plateau.

 

Manassé AGBOSSAGA

UDBN : Claudine Prudencio traite les démissionnaires de « déchets » et justifie le divorce avec le BR, « on n’est pas obligé de se marier avec un allié fantaisiste »

L’Union démocratique pour un Bénin nouveau (UDBN) a mis fin à son accord avec le Bloc Républicain, le 17 août dernier. Et si jusque-là, Claudine Prudencio avait laissé ses proches se prononcer sur le sujet, la présidente d’honneur a décidé de rompre le silence. Ce week-end, elle s’est prononcée sur le divorce avec le parti présidé par Abdoulaye Bio Tchané, réagissant aux démissions enregistrées dans la foulée.

L’Union démocratique pour un Bénin nouveau (UDBN) a mis fin à son accord avec le Bloc Républicain, le 17 août dernier. Et si jusque-là, Claudine Prudencio avait laissé ses proches se prononcer sur le sujet, la présidente d’honneur a décidé de rompre le silence. Ce week-end, elle s’est prononcée sur le divorce avec le parti présidé par Abdoulaye Bio Tchané, réagissant aux démissions enregistrées dans la foulée.

Ce Week-end, Claudine Prudencio a décidé d’enlever sa tunique de présidente de l’Institut national de la femme pour endosser celle de présidente d’honneur de l’UDBN. Au cours d’une rencontre avec les femmes de son parti, elle s’est, pour la première fois, prononcée sur la suspension de l’accord avec le Bloc Républicain.

Entre ironie et dénigrement, Claudine Prudencio a laissé entendre que l’UDBN a fini par dire non à un « mariage forcé » avec un « allié fantaisiste ».

« Comme le savez, le mariage forcé est interdit au Bénin. On n’est pas obligé de se marier avec un allié fantaisiste. L’UDBN a dit non », a-t-elle lancé avec ironie.

Et face à des responsables du BR qui se considéraient en « territoire conquis » avec fantaisie, elle soutient que l’UDBN a préféré prendre ses distances.

« On a amorcé une mise ensemble et ils n’ont pas voulu. Ils se sont considérés en territoire conquis. Ils n’ont pas voulu des membres de l’UDBN. Les membres de l’UDBN ont dit terminé. On préfère rebrousser chemin », a-t-elle justifié.

Claudine Prudencion « il faut que tous les déchets partent de l’UDBN »

Au cours de cette sortie, Claudine Prudencio n’a pas manqué de réagir aux démissions enregistrées à l’UDBN depuis la suspension de l’accord avec le BR.

Et loin d’être attristée, la présidente de l’UDBN jure s’en réjouir, qualifiant les démissionnaires de « déchets ».

« A la veille de toutes élections, tout parti politique doit faire sa purge et se débarrasser de ses déchets, c’est ce que nous observons. Il faut que tous les déchets partent de l’UDBN, personnellement, j’ai prié pour et cela s’est réalisé ».

Les démissionnaires apprécieront !!!

Manassé AGBOSSAGA

Bloc républicain : Rachidi Gbadamassi dénonce des « démissions fantaisistes montées de toutes pièces » et lance « le bruit de la mer n’empêche pas le poisson de dormir »

Le Bloc républicain (BR) fait face à des démissions en cascade. Et lors d’un meeting politique, dimanche 21 août dernier, Rachidi Gbadamassi est revenu sur cette actualité qui secoue son parti.

Le Bloc républicain (BR) fait face à des démissions en cascade. Et lors d’un meeting politique, dimanche 21 août dernier, Rachidi Gbadamassi est revenu sur cette actualité qui secoue son parti.

Le député de la 8ème circonscription électoralea qualifié ces «  démissions » de  « fantaisistes » et  « montées de toutes pièces ».

Rachidi Gbadamassi dit observer avec beaucoup d’attention ces « agitations politiques stériles ».

Il promet dans les prochains jours apporter la réponse adéquate, fort de son « expérience politique ».

« Je ne dis rien, mais dans les jours à venir, vous allez comprendre que l’expérience fait la différence. Je l’ai souvent dit, lorsque l’équation politique est difficile à résoudre, il faut faire appel à votre humble serviteur Rachidi Gbadamassi… nous n’avons pas encore dit notre dernier mot. Les autres s’agitent parce qu’ils sont inexpérimentés », a lancé le député dans un style dont lui seul a le secret.

En attendant, le député invite les militants du Bloc républicain à la sérénité et au calme avec à la clé un proverbe.

« Je profite de l’occasion pour demander aux militants du Bloc républicain d’être à l’aise», a t-il lancé, ajoutant …  « le bruit de la mer n’empêche pas le poisson de dormir ».

Manassé AGBOSSAGA

Politique – Départs touts azimuts : L’UP se dédouane et jure ne pas être « complice d’une instabilité et d’un démantèlement des partis politiques »

Au Bénin, les partis politiques de l’opposition et de la mouvance font face à des démissions dans leurs rangs. A l’exception de l’Union progressiste, le Bloc républicain, le Moele-Bénin, et autres enregistrent des départs de leurs militants à chaque levée du soleil, pour le plus souvent, une adhésion au parti au baobab.

Au Bénin, les partis politiques de l’opposition et de la mouvance font face à des démissions dans leurs rangs. A l’exception de l’Union progressiste, le Bloc républicain, le Moele-Bénin, et autres enregistrent des départs de leurs militants à chaque levée du soleil, pour le plus souvent, une adhésion au parti au baobab.

Cette transhumance politique s’est aggravée depuis l’arrivée de Joseph Djogbénou à la tête de l’Union progressiste, le 16 juillet dernier.

Face à cette situation et objet de toutes les critiques, le parti a tenté de se dédouaner par le biais de sa cellule de communication. Dans un communiqué en date du 18 août 2022,   l’Union progressiste dit qu’il « ne saurait ni encourager ni admettre la tentative opportuniste et fantaisiste de tout démissionnaire d’un parti issu de la réforme du système partisan à intégrer ses rangs », mettant en avant sa « fidélité à ses valeurs et à ses principes ».

L’Union progressiste refuse donc de « se rendre complice d’une instabilité et d’un démantèlement des partis politiques constitués dans l’esprit de la réforme du système partisan », rappelant qu’il « n’a engagé aucune discussion de l’ordre et de la nature que celles initiées avec le PRD avec aucun autre parti politique ».

Le Bloc républicain, son frère jumeau, de la mouvance présidentielle et les démissionnaires apprécieront !!!

 

Manassé AGBOSSAGA

Communiqué de la cellule de communication de l’UP

L’Union Progressiste informe les militantes et les militants du Parti ainsi que l’opinion publique que les discussions qu’elle a engagées avec le Parti du Renouveau Démocratique (PRD) sont marquées par des avancées significatives et des résultats probants qui augurent la fusion des deux formations politiques dont l’annonce sera faite le dimanche 21 août 2022.

Cette démarche salutaire pour le renforcement du système partisan et la recherche des solutions politiques audacieuses pour le développement économique et social complet et durable de notre pays dans un contexte régional et international difficile exclut toute initiative de déconstruction de forces politiques constituées selon le même idéal et poursuivant les mêmes objectifs.

L’Union Progressiste n’a engagé aucune discussion de l’ordre et de la nature que celles initiées avec le PRD avec aucun autre parti politique et ne saurait se rendre complice d’une instabilité et d’un démantèlement des partis politiques constitués dans l’esprit de la réforme du système partisan.

Par conséquent et par fidélité à ses valeurs et à ses principes, l’Union Progressiste ne saurait ni encourager ni admettre la tentative opportuniste et fantaisiste de tout démissionnaire d’un parti issu de la réforme du système partisan à intégrer ses rangs.

Moele-Bénin : Plus de démission acceptable, la raison

Avis aux potentiels démissionnaires ! Les départs ne sont plus tolérés au parti Mouvement des élites engagés pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin). Du moins, en cette veille des législatives de janvier 2023.

Avis aux potentiels démissionnaires ! Les départs ne sont plus tolérés au parti Mouvement des élites engagés pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin). Du moins, en cette veille des législatives de janvier 2023.

En effet, à travers un communiqué en date du 20 juillet et signé de son président Jacques Ayadji, le parti a fait une importante mise au point sur les conditions de démission.

Il a rappelé qu’aucun membre ne peut démissionner du parti à six mois d’une élection. En outre, il a ajouté qu’aucune démission n’est acceptée un an après l’adhésion à Moele-Bénin.

« Le bureau politique national saisit l’occasion pour rappeler aux militants et militantes du parti Moele-Bénin, que conformément à nos statuts et règlement intérieur, aucune démission du parti n’est recevable à moins de six mois avant une quelconque échéance électorale constitutionnelle et  à moins d’un an après son adhésion au parti », a précisé le communiqué, évoquant les démissions annoncées de Ildevert Gnikpo, Léopold Ahouandjinou, Soulémane Yacoubou Thierry Faki Adjé, Souleymane Bandélé et Abdel Kawli Yola-Kpara.

C’est dire que le parti n’acceptera pas les démissions à moins de six mois des législatives de janvier 2023.

Manassé AGBOSSAGA