Sélection des familles d’accueil pour les enfants en situation difficile : voici les conditions à remplir et pièces à fournir (Communiqué)

Dans le cadre de la mise en œuvre des mesures relatives à la protection de remplacement pour les enfants en situation difficile, le Ministère des Affaires Sociales et de la Microfinance (MASM) met en œuvre en partenariat avec SOS Villages d’Enfants Bénin, le programme de prise en charge des enfants en famille d’accueil. A ce titre, il lance la sélection des familles d’accueil en vue d’une collaboration dans la prise en charge et la protection des enfants en situation difficile.

Dans le cadre de la mise en œuvre des mesures relatives à la protection de remplacement pour les enfants en situation difficile, le Ministère des Affaires Sociales et de la Microfinance (MASM) met en œuvre en partenariat avec SOS Villages d’Enfants Bénin, le programme de prise en charge des enfants en famille d’accueil. A ce titre, il lance la sélection des familles d’accueil en vue d’une collaboration dans la prise en charge et la protection des enfants en situation difficile (Téléchargez le fichier : communique_selection_des_familles_daccueil.pdf.)

CONDITIONS À REMPLIR

– être béninois et résider sur le territoire depuis au moins deux (2) ans ;

– être de bonne moralité ;

– être dans les liens de mariage civil ou être en union stable depuis au moins 5 ans ;

– avoir une affection et un intérêt particulier pour les enfants à besoins spécifiques ;

– être âgé d’au moins 30 ans et d’au plus 70 ans ;

– accepter de faire un bilan médical pour une cohabitation sécurisée sur le plan sanitaire aussi bien pour l’enfant accueilli que pour soi-même ;

– disposer d’un espace de vie convenable pour éviter la promiscuité (au moins deux (2) mètres carrés par personne) ;

– avoir des chambres séparées pour les enfants filles et garçons ;

– être chef de ménage ou avoir reçu mandat de son conjoint pour être le référent ;

– avoir un casier judiciaire vierge et ne pas faire objet d’une poursuite judiciaire ;

– être capable de subvenir aux besoins primaires de sa propre famille à travers une activité génératrice de revenu (petit commerce, agriculture, artisanat, petits métiers, fonction publique ou privée, etc…) ;

– ne pas conditionner l’accueil et la prise en charge des enfants à une aide financière de la part des structures promotrices ;

– être disponible (présence personnelle à la maison ou présence d’une personne adulte à la maison pour s’occuper des enfants);

– vivre dans une localité et dans une habitation faciles d’accès ;

– avoir l’expérience de garde d’enfant (enfant biologique ou enfant adopté) ;

– être favorable aux supervisions et visites à domiciles programmées et inopinées des structures de protection, notamment du Ministère des Affaires Sociales ;

– accepter de faire l’objet d’enquête sociale en vue de la vérification et de la collecte de certaines informations ;

– être conscient de la nature temporaire de l’accueil qui vise à terme la réunification de l’enfant avec sa famille d’origine ;

– avoir l’adhésion de tous les membres de la famille sur le projet de devenir « famille d’accueil » ;

– résider dans les communes d’Abomey-Calavi, de Dassa-Zoumè, de Parakou et de Natitingou.

PIÈCES À FOURNIR

 

  1. La fiche de candidature remplie et dûment signée par le couple (à retirer dans les lieux de dépôt de dossier) ;

 

  1. La lettre de motivation signée par le parent postulant ;

 

  1. La photocopie légalisée d’une pièce d’identité en cours de validité du parent postulant ;

 

  1. L’attestation de résidence du parent postulant ;

 

  1. Le certificat de nationalité du parent postulant ;

 

  1. Le casier judiciaire datant de moins de trois (03) mois des deux conjoints ;

 

  1. Les actes de naissance légalisés ou sécurisés des deux conjoints ;

 

  1. Le certificat de vie et de charge du parent postulant ;

 

  1. Une photo complète de la famille.

 

Au besoin, d’autres pièces ou documents et examens peuvent être exigés.

 

DATE LIMITE DE DÉPOT DE DOSSIERS

 

Les dossiers seront déposés au plus tard le 17 mars 2023 :

 

– dans les Centres de Promotion Sociale d’Abomey-Calavi, de Dassa-Zoumè de Parakou et de Natitingou ;

 

– dans les Directions Départementales des Affaires Sociales et de la Microfinance de l’Atlantique, des Collines, du Borgou et de l’Atacora ;

 

– dans les Mairies des communes d’Abomey-Calavi, de Dassa-Zoumè, de Parakou et de Natitingou ;

 

– aux sièges des Villages d’Enfants SOS d’Abomey-Calavi, de Dassa-Zoumè, de Parakou et de Natitingou ;

 

Pour toutes informations complémentaires, se rapprocher du Centre de Promotion Sociale le plus proche ou contacter les numéros suivants :

 

  • 63 33 04 50 / 95 02 97 03 / 97 01 88 99 pour ceux qui sont dans la commune de Dassa-Zoumè et environs ;

 

  • 94 94 82 83 / 97 26 50 91 pour ceux qui sont dans la commune de Parakou et environs ;

 

  • 95 44 46 46 / 97 47 65 69 pour ceux qui sont dans la commune de Natitingou et environs ;

 

  • 67 06 14 60 / 95 45 41 29/ 95 86 34 64 pour ceux qui sont dans la commune d’Abomey- Calavi et environs ;

 

  • 97 29 74 68 / 95 34 34 99 pour le niveau national.

 

Le Directeur de Cabinet

 

Bénin : Liste des enfants retenus pour la Bourse de ‘‘L’Académie des minis’’

En prélude à la 1ère édition de l’ ‘‘L’Académie des minis’’, Richard Boni Ouorou a dévoilé la liste des enfants retenus pour prendre part à ce rendez-vous qui vient confirmer l’engagement social du Promoteur.  

En prélude à la 1ère édition de l’ ‘‘L’Académie des minis’’, Richard Boni Ouorou a dévoilé la liste des enfants retenus pour prendre part à ce rendez-vous qui vient confirmer l’engagement social du Promoteur.

Il s’agit de 30 filles et garçons dont la tranche d’âge varie entre 08 ans et 15 ans.

Les parents sont invités à confirmer l’inscription de leurs enfants en appelant le 97542504 ou via mail en suivant les instructions.

Peut être une image de texte

‘‘L’Académie des minis’’, c’est une initiative de Richard Boni Ouorou de l’association ‘‘Les Terrien,nes’’ en partenariat avec Axia Academy.

Elle aura lieu du 25 au 30 juillet 2022 avec au programme des notions sur la prise de parole, les bonnes manières, la politesse, les valeurs humaines, …

 Manassé AGBOSSAGA

Drame: un enfant de 13 ans meurt par noyade à Ouèssè

Drame ! Un enfant de 13 ans a perdu la vie au cours d’une partie de baignade.
Le drame s’est produit dans la commune de Ouèssè, département des Collines en République du Bénin.
D’après Frissons Radio, la victime est âgée de 13 ans et est un élève en classe de cm2 à l’école primaire publique du village d’Atata, arrondissement de Ouèssè.
Le jeune garçon a invité deux autres amis à se baigner dans le cours d’eau. Mais une fois dans l’eau, les deux camarades ne retrouvent plus leur ami.
Ils courent alertés les parents du jeune élève. Trop tard, puisqu’entre temps, le jeune garçon est mort noyé.
Son corps sans vie sera repêché du cours d’eau après 4 heures environ de fouille.
Manassé AGBOSSAGA

Drame ! Un enfant de 13 ans a perdu la vie au cours d’une partie de baignade.

Le drame s’est produit dans la commune de Ouèssè, département des Collines en République du Bénin.

D’après Frissons Radio, la victime est âgée  de 13 ans et est un élève en classe de cm2 à l’école primaire publique  du village d’Atata, arrondissement de Ouèssè.

Le jeune garçon a invité deux autres amis à se baigner dans le cours d’eau. Mais une fois dans l’eau, les deux camarades ne retrouvent plus leur ami.

Ils courent alertés les parents du jeune élève. Trop tard, puisqu’entre temps, le jeune garçon est mort noyé.

Son corps sans vie sera repêché du cours d’eau après 4 heures environ de fouille.

Manassé AGBOSSAGA

Un enfant de 11 ans décède après avoir ingurgité de la drogue

Samedi matin, un enfant âgé de 11 ans est décédé d’une overdose. En effet, le jeune garçon a ingurgité des drogues dures dans un squat. Malgré l’intervention rapide des secours, l’adolescent n’a pas pu être sauvé. Voici ce que l’on sait de ce drame.

Samedi matin, un enfant âgé de 11 ans est décédé d’une overdose. En effet, le jeune garçon a ingurgité des drogues dures dans un squat. Malgré l’intervention rapide des secours, l’adolescent n’a pas pu être sauvé. Voici ce que l’on sait de ce drame.

Un enfant victime d’une overdose

Vendredi 4 juin, un enfant de 11 ans est pris en charge par les secours à 10h30 et se trouve alors dans un état critique. Le garçon était dans un squat situé dans le quartier de la Feyssine à Villeurbanne dans le Rhône. D’après Le Progrès, ce lieu abrite des ressortissants d’Europe de l’Est.

Il s’avère que le garçonnet a avalé des drogues dures qui se trouvaient justement dans le squat. Comment a-t-il eu accès à ces stupéfiants ? A-t-il été forcé à ingurgiter ces drogues ? Malgré l’intervention rapide des secours, l’état du petit garçon empire rapidement jusqu’à causer sa mort samedi matin. 

Enfant de 11 ans a avalé des drogues dures
Un enfant de 11 ans décède après avoir ingurgité de la drogue

Les parents placés en garde à vue

Une enquête est ouverte suite à ce drame et les parents de l’enfant ont été placés en garde à vue. En charge de l’affaire, les policiers de la sûreté départementale cherchent « des chefs de trafic de stupéfiants et d’administration de substances nuisibles ayant entraîné la mort sans intention de la donner » .

Le site actu.fr rappelle que donner des stupéfiants à un mineur est passible de 10 ans de prison. Si une personne encourage la consommation, elle risque 7 ans de prison et 150 000 euros d’amende. Désormais, c’est aux forces de l’ordre de faire la lumière sur ce drame.

letribunaldunet.fr

La Chine change la limite des naissances à trois enfants par couple

Ce changement de politique a été approuvé lors d’une réunion du Politburo lundi, sous l’égide du président Xi Jinping, a rapporté l’agence de presse officielle Chine nouvelle, sans préciser la date d’entrée en vigueur du dispositif.

La Chine a annoncé lundi que chaque couple serait autorisé à avoir jusqu’à trois enfants, contre la limite actuelle de deux, dans un changement de politique important après que les données du recensement ont montré une baisse drastique des naissances.

Ce changement de politique a été approuvé lors d’une réunion du Politburo lundi, sous l’égide du président Xi Jinping, a rapporté l’agence de presse officielle Chine nouvelle, sans préciser la date d’entrée en vigueur du dispositif.

REUTERS

Il n’y a jamais eu autant de naissances de jumeaux dans le monde

Ce pic des naissances de jumeaux dans le monde s’explique par l’extension de la PMA et l’âge plus tardif des grossesses, selon une étude publiée par des chercheurs vendredi.

Depuis les années 1980, le taux mondial d’accouchements de jumeaux a augmenté d’un tiers. (Photo d'illustration)

Boom sans précédent de jumeaux dans le monde« Plus de 1,6 million de paires de jumeaux naissent chaque année dans le monde », soit « près d’un bébé sur 40 », selon leur étude parue dans la revue spécialisée Human Reproduction, ce vendredi.

Depuis les années 1980, le taux mondial d’accouchements de jumeaux a augmenté d’un tiers, passant de 9,1 à 12,0 pour 1.000 accouchements, en seulement trois décennies, indique Gilles Pison, professeur au Museum national d’histoire naturelle et chercheur associé à l’Institut national d’études démographiques (Ined).

Ce boom des jumeaux est préoccupant car ils sont plus souvent de petit poids, prématurés, avec plus de complications lors de l’accouchement et une mortalité plus élevée que les autres, sans oublier les difficultés pour les parents de s’occuper de deux bébés en même temps.

Plus de « faux jumeaux »

L’augmentation de la fréquence mondiale des jumeaux est due uniquement à la hausse sans précédent des grossesses de ce qu’on appelle les « faux jumeaux » (provenant de deux ovules différents), qui varie d’un continent et d’une période à l’autre.

Les vrais jumeaux, dits monozygotes, naissent partout dans les mêmes proportions, avec « un taux constant – de quatre accouchements de vrais jumeaux pour mille accouchements – ne variant pas avec l’âge de la femme, ni d’une région à l’autre », relève le Pr Pison.

La procréation médicalement assistée (PMA), qui a commencé dans les pays riches dans les années 1970, a contribué à cette augmentation des naissances multiples, de même que les grossesses plus tardives.

Le taux sanguin d’une hormone qui intervient sur la maturation de l’ovule et l’ovulation, la FSH, augmente avec l’âge et explique que la probabilité d’une grossesse gémellaire augmente jusqu’à atteindre un maximum à 37 ans. Au-delà, avant l’arrivée de la PMA, le taux de faux jumeaux diminue rapidement en raison de défaillance de la fonction ovarienne et d’un accroissement de la mortalité embryonnaire, explique le chercheur.

L’Afrique rattrapée par l’Europe et l’Amérique

Les progrès techniques de la PMA permettent depuis plusieurs années d’avoir une grossesse avec autant de succès en n’implantant qu’un seul embryon et en congelant ceux en surnombre. Une précaution qui fait que « nous avons peut-être atteint un sommet en matière de taux de gémellité, en particulier dans les pays riches où la PMA s’est le plus diffusée jusqu’ici », notent les auteurs.

Les rédacteurs de l’étude, Gilles Pison, Christiaan Monden de l’Université d’Oxford et Jeroen Smits de l’Université Radboud aux Pays-Bas, ont exploité toutes les données disponibles pour estimer le taux de gémellité dans les différents pays du monde et décrire les changements survenus en trois décennies, en comparant les périodes 1980-1985 et 2010-2015.

Sur les 3,2 millions de jumeaux naissant chaque année, 1,3 million voit le jour en Afrique (soit 650 000 paires) et autant en Asie. Le reste, environ 600 000 enfants, sur les autres continents.

Si l’Asie abrite autant de naissances de jumeaux, c’est d’abord parce qu’elle rassemble 60 % de l’humanité. Le grand nombre de jumeaux en Afrique (17 % des humains) s’explique notamment par un taux de natalité bien supérieur qu’ailleurs, qui se situe entre le double et le triple de celui des autres continents ainsi que par un taux de gémellité au départ le plus élevé du monde.

Le taux de gémellité en Europe et en Amérique du Nord, il y a 30 ans était près de moitié moindre qu’en Afrique, mais il a beaucoup augmenté depuis (atteignant respectivement 14,4 et 16,9 accouchements de jumeaux sur mille) et a presque rejoint celui de l’Afrique, qui lui, n’a pas pratiquement pas changé (17,1). La diffusion de la PMA et les maternités à un âge plus avancé ont donc entraîné « un mouvement de convergence » vers le taux élevé de l’Afrique.

Ouest France avec AFP

Mort de Diego Maradona : qui sont ses huit enfants ?

Diego Maradona s’est éteint à l’âge de 60 ans. Le très célèbre joueur de football laisse derrière lui des supporters en larmes mais surtout une famille nombreuse composée de huit enfants.

Décès de Diego Maradona

Le monde du sport est encore en deuil. Après le décès tragique de l’ancien joueur de rugby Christophe Dominici, c’est à présent le monde du foot qui pleure son plus grand joueur. La presse argentine annonce que Diego Maradona est mort à l’âge de 60 ans. La légende du ballon rond a succombé à un arrêt cardio-respiratoire comme l’ont révélé les médias argentins TyC Sports et La Nacion. Une information confirmée par son agent à l’AFP alors que Diego Maradona avait récemment été hospitalisé pour une opération d’un œdème cérébral. Une intervention qui s’était cependant bien passée. C’est donc le choc pour tous ses proches et tous ses enfants qu’il laisse derrière lui. La star du foot était en effet un père comblé à la tête d’une famille nombreuse puisqu’elle est composée de cinq enfants.

Des enfants non reconnus

Marié à Claudia Villafane de 1984 à 2003, Diego Maradona a accueilli deux enfants, Dalma (33 ans) et Giannina (31 ans). Mais le célèbre sportif ne s’est pas arrêté là puisqu’il est aussi l’heureux papa de Diego Junior (34 ans), né de sa relation avec l’Italienne Cristiana Sinagra, de Jana (24 ans), dont la mère est l’Argentine Valeria Sabalain, et du petit dernier Diego Fernando (7 ans). Un petit garçon qu’il a eu avec Veronica Ojeda alors qu’ils étaient séparés.

Mais ce n’est pas tout puisque Diego Maradona a également trois autres enfants qu’il n’avait pas reconnus ! En 2019, comme l’a révélé BFMTV, son avocat Matias Morla avait dévoilé dans une émission que son client avait trois enfants, adolescents, à Cuba. L’ex-joueur avait alors promis de se rendre à La Havane pour passer des tests ADN et faire les démarches devant les tribunaux pour les reconnaître officiellement. Issus de deux mères différentes, les enfants portent donc la tribu de Diego Maradona au nombre de 8. Reste à savoir si Diego Maradona a eu le temps d’achever ces reconnaissances de paternité.

Voici.fr