Notice: Function _load_textdomain_just_in_time was called incorrectly. Translation loading for the updraftplus domain was triggered too early. This is usually an indicator for some code in the plugin or theme running too early. Translations should be loaded at the init action or later. Please see Debugging in WordPress for more information. (This message was added in version 6.7.0.) in /var/www/clients/client4/web4/web/wp-includes/functions.php on line 6085 Général Célestin Guidimè – Kpakpato Medias
Le Général Célestin Guidimè n’a pas de réserve sur la nouvelle équipe gouvernementale. Interrogé en marge des travaux de la 1ère édition des journées de l’Union progressiste, les 07 et 08 septembre à Abomey-Calavi, il a approuvé la composition du nouveau gouvernement du président Patrice Talon.
Le Général Célestin Guidimey n’a pas de réserve sur la nouvelle équipe gouvernementale. Interrogé en marge des travaux de la 1ère édition des journées de l’Union progressiste, les 07 et 08 septembre à Abomey-Calavi, il a approuvé la composition du nouveau gouvernement du président Patrice Talon.
Dans un premier temps, il a fait savoir que le chef de l’Etat bénéficie des prérogatives constitutionnelles pour modifier ou réorganiser son gouvernement au moment voulu. Sur cette base, le général Célestin Guidimey estime que le président Talon a, sans doute, jugé opportun d’opérer ce deuxième remaniement après les législatives du 28 avril dernier.
Et
selon lui, la nouvelle équipe est composée de technocrates et de politiciens
capables de poursuivre les reformes entamées depuis avril 2016.
Le Général Célestin Guidimey a saisi l’occasion pour souhaiter une bonne chance aux nouveaux venus et adresser ses sincères et chaleureuses félicitations aux membres ou responsables de l’Union progressiste, nommés dans le gouvernement.
Kpakpato Medias se joint au général Guidimey pour souhaiter également bonne chance au nouveau staff du chantre du Nouveau départ !
Le Général Célestin Guidimè lève un coin de voile sur les objectifs de la 1ère édition des journées de l’Union progressiste. Présent aux assises qui ont eu lieu les 07 et 08 septembre 2019 au palais de la Gratitude, sis à Abomey-Calavi, il a fait savoir que ce grand rassemblement vise à outiller les militants sur les valeurs du parti.
Le Général Célestin Guidimey lève un coin de voile sur les objectifs de la 1ère édition des journées de l’Union progressiste. Présent aux assises qui ont eu lieu les 07 et 08 septembre 2019 au palais de la Gratitude, sis à Abomey-Calavi, il a fait savoir que ce grand rassemblement vise à outiller les militants sur les valeurs du parti.
Manassé AGBOSSAGA
Interrogé en marge des travaux de la 1ère édition des journées de l’Union progressiste, le Général Célestin Guidimey a fait savoir que cet événement n’est pas anodin. Selon lui, ce grand rassemblement qui se tient sous le thème « le militant progressiste » a pour but de remobiliser la troupe sur les idéaux et valeurs du parti.
Pour le Général Célestin Guidimey, ces journées permettront donc d’outiller les militants progressistes, d’éclairer les uns et les autres sur le progressiste, le militant progressiste.
Selon
ses propos, cet évènement de taille qui intervient après les législatives du 28
avril, mais aussi et surtout, après le
congrès constitutif du parti est une première étape qui permettra de
construire des militants de types
nouveaux capables de voler au secours des populations et de mettre en
application les valeurs du parti. « Nous souhaitons à la fin de ces
journées, avoir des militants engagés,
des militants qui connaissent les valeurs du parti (patriotisme, solidarité,
travail). Nous souhaitons avoir des militants qui sont aux côtés des
populations, qui partagent leurs peines, leurs joies et leurs difficultés »,
a-t-il expliqué
Guidimey, un rôle primordial dans la machine
Dans l’entretien qu’il nous a accordé, le Général Célestin Guidimey est revenu sur sa participation à la 1ère édition des journées de l’UP. Dans ce sens, il a brièvement abordé sa communication.
Président du Groupe de travail sur le fichier central et les élections internes, le Général Célestin Guidimey a rappelé à l’assistance les enjeux, les techniques pour l’inscription en ligne des militants. Et à en croire ses propos, la campagne d’inscription en ligne des militants enregistre des résultats satisfaisants. Toutefois, le très lucide président du groupe de travail sur le fichier central et les élections internes a reconnu que cette campagne rencontre quelques difficultés.
Il a alors rassuré les uns et les autres que les échanges ont permis d’identifier des solutions pour faciliter la tache aux militants et ainsi permettre de disposer d’une base solide pour l’installation des structures de base de l’Union progressiste.
C’est dire que le Général Célestin Guidimey joue un rôle primordial au sein de la machine UP.
Depuis 2018, policiers et gendarmes béninois sont réunis dans un seul corps appelé, Police républicaine. Cette fusion s’appuie notamment sur la loi 2017-41, portant création de la Police républicaine en Républicaine du Bénin (RB). A l’occasion d’une conférence publique, le samedi 01 juin dernier à l’Université d’Abomey-Calavi, le Général Célestin Guidimè a dévoilé le dernier pas à franchir pour une parfaite collaboration entre les deux ex-corps.
Manassé AGBOSSAGA
L’ancien directeur adjoint de la police nationale possède la recette pour une parfaite collaboration entre ex-policiers et ex-gendarmes, tous réunis désormais au sein de la Police républicaine. Et ce samedi 1er juin dernier, le Général Célestin Guidimè a, à l’occasion d’une conférence publique sur le thème: «Sécurité et participation citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens», initiative du Groupe de réflexions alternatives et perspectives (GRAP), dévoilé ladite recette.
Dans un langage de vérité, il a d’abord salué la naissance de la Police républicaine. L’expert Consultant en matière de sécurité et de sureté a souligné que la fusion de la Gendarmerie et de la Police permet de regrouper les forces.
Toutefois, le Général Célestin Guidimè a indiqué que cette fusion doit encore franchir un dernier cap pour une parfaite collaboration entre les deux ex-corps. Selon lui, la fusion organique est faite, les méthodes et les procédures ont été harmonisées, mais reste désormais aux agents et aux responsables de se l’approprier mentalement.
« Il n’y aura pas de fusion, si cette fusion n’est pas venue des mentalités », souligne le Général Guidimè.
Ex-policiers et ex-gendarmes, vous êtes donc interpellés…
Depuis 2018, policiers et
gendarmes béninois sont réunis dans un seul corps appelé, Police républicaine. Cette
fusion s’appuie notamment sur la loi 2017-41, portant création de la Police
républicaine en Républicaine du Bénin (RB). A l’occasion d’une conférence
publique, le samedi 01 juin dernier à l’Université d’Abomey-Calavi, le Général
Célestin Guidimè a dévoilé le dernier pas à franchir pour une parfaite
collaboration entre les deux ex-corps.
Manassé AGBOSSAGA
L’ancien
directeur adjoint de la police nationale possède la recette pour une parfaite collaboration
entre ex-policiers et ex-gendarmes, tous réunis désormais au sein de la Police
républicaine. Et ce samedi 1er juin dernier, le Général Célestin Guidimè a, à l’occasion
d’une conférence publique sur le thème: «Sécurité et participation
citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens», initiative
du Groupe de réflexions alternatives et
perspectives (GRAP), dévoilé ladite recette.
Dans un langage de vérité, il a d’abord
salué la naissance de la Police républicaine. L’expert
Consultant en matière de sécurité et de sureté a souligné que la
fusion de la Gendarmerie et de la Police permet de regrouper les forces.
Toutefois, le Général Célestin Guidimè
a indiqué que cette fusion doit encore franchir un dernier cap pour une
parfaite collaboration entre les deux ex-corps. Selon lui, la fusion organique
est faite, les méthodes et les procédures ont été harmonisées, mais reste
désormais aux agents et aux responsables de se l’approprier mentalement.
« Il n’y aura pas de fusion, si cette fusion n’est pas venue des mentalités », souligne le Général Guidimè.
Ex-policiers et ex-gendarmes, vous êtes donc interpellés.
A l’initiative du Groupe de réflexions alternatives et perspectives (GRAP), le Général Célestin Guidimè a entretenu jeunes, hommes et femmes de diverses couches sur une question d’actualité. Pour cause, l’ancien directeur adjoint de la Police nationale a, face à des interlocuteurs qui ont bravé la pluie ce 1 er juin, développé le thème « Sécurité et participation citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens ».
En collaboration avec la Chaire Unesco, le Groupe de réflexions alternatives et perspectives (GRAP) a organisé le samedi 1er juin dernier à l’Université d’Abomey-Calavi, une conférence publique sur le thème «Sécurité et participation citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens ». Le Grap présidé par le Doyen Roch David Gnahoui entend ainsi mettre l’accent sur la participation citoyenne collective à l’œuvre de protection des personnes et des biens.
Manassé AGBOSSAGA
A
l’initiative du Groupe
de réflexions alternatives et perspectives
(GRAP), le Général Célestin Guidimè a entretenu jeunes, hommes et femmes de diverses
couches sur une question d’actualité. Pour cause, l’ancien directeur adjoint de
la Police nationale a, face à des interlocuteurs qui ont bravé la pluie ce 1 er juin,
développé le thème « Sécurité et participation
citoyenne à l’œuvre collective de protection des personnes et des biens ».
De
la définition des concepts, à la politique sécuritaire en passant par les dispositions
légales, le Général Célestin Guidimè a martelé que la sécurité reste une
question préoccupante pour les Etats modernes. Si l’Etat se doit d’assurer la
sécurité des personnes et des biens, le conférencier a toutefois insisté sur la
participation individuelle et collective.
Et
là-dessus, l’expert Consultant en matière de sécurité et de sureté a fait
savoir qu’il existe un cadre légal qui permet aux citoyens de participer à
l’œuvre collective de sécurité. Il a mis en avant les Comités locaux de sécurité,
qui constituent un cadre formel de coproduction de sécurité.
Aussi
a-t-il cité, les populations, les élus locaux, les médias, les chasseurs, les
leaders religieux, les brigades civiles de sécurité, qui constituent des
acteurs civils. D’ailleurs pour le conférencier, l’Etat ne peut pas se passer de ces différents acteurs.
« La
sécurité de nos populations et de leurs biens ne peut pas se faire sans la participation des populations… C’est
une donnée fondamentale de toute stratégie de sécurité. Notre système de
sécurité ne peut pas se passer de cette
grande armée civile de 10 millions d’habitants.
C’est essentiel », a-t-il soutenu.
Le
Général Guidimè recommande alors à l’Etat de mettre en place un système de
sécurité qui s’appuie sur la participation active des populations.
« Il
faut que notre stratégie de sécurité s’appuie sur la coproduction de la
sécurité de services régaliens, ensemble
dans des modalités bien étudiées où les services régaliens s’appuient sur les
populations et vice-versa…Certes, l’Etat
est conservateur, l’Etat ne veut pas se départir de ses attributions en
matière de sécurité, mais il faut qu’on évolue, sinon ça ne peut pas
marcher », souligne t-il.
En
attendant, le président du Grap confie que le choix de cette thématique n’est
pas anodin. Roch David Gnahoui a mis en avant les enlèvements de touristes
français à Cotonou et autres. Pour lui, la sécurité est donc une préoccupation
majeure qui touche notre modèle démocratique.
Tout
comme le conférencier, le doyen de la Fadesp a insisté sur la participation
collective à l’œuvre de sécurité des personnes et des biens.
«La sécurité, c’est une question de droit de participation collective. Il ne faut pas que les gens restent en retrait de cette sécurité… chacun doit pouvoir participer à la sécurité du pays. C’est vrai, que c’est la mission principale de l’Etat, mais il ne faut pas attendre l’Etat pour que la sécurité soit un élément », a-t-il soutenu.
Un
message visiblement compris par les personnes présentes à la conférence
publique, au vue des questions et
réponses.