Mort de Hamed Bakayoko : Des artistes pleurent, lire les hommages de Koffi Olomidé, Gims, Molare, Kérozen, A’Salfo,…

Homme politique, Hamed Bakayoko était aussi un homme de culture. C’est fort de cela que plusieurs artistes ivoiriens et étrangers n’ont pas tardé à réagir après l’annonce de sa mort, ce mercredi 10 mars. Kpakpato Medias vous propose les réactions de Koffi Olomidé, Gims, Kérozen, A’Salfo, Débordo, recueillies sur leurs pages facebook.

Koffi Olomidé

« Mon ami et frère s’en est allé

Mes condoléances à sa famille biologique et à toute la Côte d’Ivoire…Merci pour tout Mr Le Premier Ministre @hamedbakayokoofficiel 🙏💔…Mr Le Ministre Hamed Bakayoko,

va en paix mon frère

va en paix mon ami

elle est immense, cette douleur.

 

Molare

« Merci pour tous tes efforts et pour toutes tes actions 🙏🏾❤️!!! Que le tout puissant t’accueille » 🙏🏾

Kérozen

« OH SEIGNEUR LES MOTS ME MANQUENT ALLEZ EN PAIX GRAND HOMME , MERCI POUR TOUT »

A’Salfo

« L’icône d’une génération s’est couchée à jamais. Un baobab est tombé ce soir. La Côte d’Ivoire perd un digne fils. Que ton âme repose en paix, PARRAIN ».

Débordo leekunfa

« LA VIE

EST UNE RIGOLADE .

LA MORT

EN EST LA RÉALITÉ .

TOUT SOUFFLE DE VIE Y SERA CONFRONTÉ !!!

VA EN PAIX !!!

MR LE MINISTRE !!!

A DIEU !!! NOTRE HAMBAK MERCI 🙏POUR TOUT

METTEZ DIEU DS TOUT CE QUE VOUS FAITES !

CAR MOI SEUL DIEU ME GÈRE !!! »

GIMS

« Les grands hommes ne naissent pas dans la grandeur, ils grandissent.

Tonton tu as laissé une trace indélébile et bénéfique pour la jeunesse ivoirienne ton sourire et ta bonne humeur imperturbable ne laissait personne indifférent tu était le tonton le papa le grand frère que tout le monde aurait aimé avoir, mes condoléances les plus sincères a la magnifique famille que tu as laissé, merci d’avoir montré le chemin, nous appartenons a Allah et c’est vers lui que nous retournerons. ⚔️🇮🇪

Gims a été membre d’une secte islamiste : son témoignage édifiant

Pour ceux qui s’attendaient à un documentaire convenu, le film sur Gims, diffusé par Netflix, promet des révélations complètement inattendues sur l’artiste. Notamment qu’il a été membre d’une secte islamiste, il y a quinze ans.

Pour ceux qui s’attendaient à un documentaire convenu, le film sur Gims, diffusé par Netflix, promet des révélations complètement inattendues sur l’artiste. Notamment qu’il a été membre d’une secte islamiste, il y a quinze ans.

Jeudi 17 septembre, tous les fans de Gims vont se ruer sur Netflix, où un documentaire sur l’artiste est en ligne sur la plateforme de vidéo à la demande. Le but, évidemment, est de retracer l’ascension l’un des artistes les plus accomplis de notre époque moderne, multi-nominé aux Victoires de la musique quasiment chaque année. Mais Gandhi Djuna, son véritable nom, évoque aussi des passages plus intimes de sa viecomme sa conversion à l’Islam, en 2004. Alors, un peu perdu, notamment « fumeur de shit », comme il le dit lui-même, Gims trouve dans la religion des réponses« Quand je me suis converti, je n’avais plus envie de boire, de fumer, souligne-t-il. C’était un cadre ». Un cadre qu’il a fallu mettre en place, cependant, et Gims aurait pu tomber entre de mauvaises mains.

« Ça m’a fait flipper »

En 2005, Gims est déjà membre de la Sexion d’Assaut mais le collectif ne connaît pas encore le succès. Gandhi Djuna, quant à lui, « rejoint les « Frères du Tabligh », une secte islamiste », précise le documentaire Netflix. « Quand je suis rentré dans cette religion, j’étais à la portée de n’importe quel gourou, j’étais un cœur pur et quelqu’un de mal intentionné peut te prendre sous son aile et faire de toi une arme », explique le rappeur. A l’intérieur du groupe, Gims rencontre des gens, dont certains finiront en Irak. « Des gens qui étaient là à côté de moi, ils se sont suicidés en Irak », confirme l’artiste, sans se cacher (hormis derrière ses célèbres lunettes noires). « Ça, ça m’a fait flipper », ajoute-t-il. Gims parvient alors à quitter le mouvement, et reprend sa carrière dans la musique, qu’il avait mise entre parenthèses jusque-là. Pour le succès que l’on connaît.

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