Abomey-Calavi- Le Pasteur accusé d’avoir tué sa fille déposé en prison

Le Pasteur, accusé d’avoir tué sa fille de 23 ans,  à coup de machette, dans la nuit du lundi 16 mai 2022 à Glo-Djigbé,  était face au Procureur  près le  tribunal d’Abomey-Calavi, ce mardi 25 mai 22. Après audition, le mis en cause a été placé sous mandat de dépôt.

Le Pasteur, accusé d’avoir tué sa fille de 23 ans,  à coup de machette, dans la nuit du lundi 16 mai 2022 à Glo-Djigbé,  était face au Procureur  près le  tribunal d’Abomey-Calavi, ce mardi 25 mai 22. Après audition, le mis en cause a été placé sous mandat de dépôt.

Le Pasteur soupçonné d’infanticide  passera ses jours en prison en attendant son procès. Accusé  d’avoir tué sa fille, dans la nuit du lundi 16 mai, le mis en cause a été placé en détention provisoire après sa présentation au Procureur  près le  tribunal d’Abomey-Calavi, ce 25 mai.

Selon le point fait par Frissons Radio après l’audience, l’homme de Dieu est poursuivi pour assassinat.  Et c’est  le juge d’instruction du 2ème cabinet qui se chargera de la suite de l’affaire.

 Rappel des faits

Le drame s’est produit dans la nuit du lundi 16 mai dans l’arrondissement de Glo- Djigbé, commune d’Abomey-Calavi. Le mis en cause, pasteur et fondateur de l’Eglise Missionnaire Évangélique des Croyants (EMEC)  aurait,  selon les témoignages, tué à coup de machette, sa fille, âgée de 23 ans et mère de 2 enfants,

L’homme de Dieu qui aurait des ennuis de santé, aurait sollicité l’aide de sa fille. Cette dernière  demande la permission à son mari et rejoint son père pour l’assister dans sa maladie.

Seulement voilà, dans la nuit de ce  lundi, alors qu’elle   apporte  à manger à son père malade, ce dernier lui aurait donné des coups de machette.

Sa fille n’a pas survécu aux coups, et le père a pris la fuite, avant d’être, plus tard, rattrapé.

Manassé AGBOSSAGA

Bénin: Une mère tue de sang-froid son bébé

Avant elles abandonnaient leurs bébés après l’accouchement, mais maintenant elles sont passées à la vitesse supérieure dans leur méchanceté. Cet acte odieux rapporté par Frissons Radio, dans son édition du vendredi 15 avril 2022 en dit long.

Avant elles abandonnaient leurs bébés après l’accouchement, mais maintenant elles sont passées à la vitesse supérieure dans leur méchanceté. Cet acte odieux rapporté par Frissons Radio, dans son édition du vendredi 15 avril 2022 en dit long.

Dans la commune d’Abomey-Calavi, précisément  dans l’arrondissement de Zinvié, une jeune mère de 32 ans est accusée d’avoir mis fin aux jours de son nourrisson, le mercredi dernier.

Selon les explications, la présumée meurtrière aurait, à huit mois de sa grossesse,  avalé un produit pour un accouchement précoce.

Après l’accouchement, elle l’étrangle et  tue, de sang-froid,   son propre bébé à coups de brique.

Une atrocité qui suscite une interrogation ? Qu’est ce qui peut amener une femme, de surcroît une génitrice à agir méchamment ?

Manassé AGBOSSAGA

Bénin : Un homme condamné à 20 ans de prison pour avoir tué ses enfants jumeaux, fruit d’une relation extraconjugale bien pimentée

A. D. a écopé de 20 ans de prison pour avoir tué ses enfants jumeaux. A la barre ce mardi 01er mars 2022 au tribunal de Cotonou, il a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle plus une amende financière pour infanticide.

A. D. a écopé de 20 ans de prison pour avoir tué ses enfants jumeaux. A la barre ce mardi 01er mars 2022 au tribunal de Cotonou, il a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle plus une amende financière pour infanticide.

Les faits remontent au 08 juin 2019. L’accusé devenu  père de jumeaux, fruit d’une relation extraconjugale bien pimentée, comme le dit les camerounais.

Après avoir engrossé sa maitresse, âgée de 24 ans, il demande à cette dernière  d’avorter. Celle-ci,  refuse et accouche finalement des jumeaux.

Déjà marié et père d’un enfant, l’homme ne supporte pas cette situation. Il dit avoir peur des critiques d’un enfant né hors mariage.

Alors il décide de mettre fin aux jours des jumeaux. Un jour, il débarque au domicile de sa maitresse et l’envoie faire des courses en ville.

Il en profite pour  injecter dans les fesses des jumeaux du poison, à l’aide de seringues.

Du retour de la mère, les jumeaux sont conduits dans une clinique. Leur décès est prononcé.

L’autopsie réalisée indique que les enfants sont morts à la suite d’injection de produit chimique cytotoxique.

A la barre, ce mardi 01 er mars, J.  . D. a reconnu les faits et a demandé pardon.

Un pardon qui ne l’a pas empêché d’écoper de 20 ans de prison.

 

Manassé AGBOSSAGA