Etats-Unis : Joe Biden se retire de la présidentielle et fait une grande annonce

Joe Biden cède aux pressions de ses partisans et grands soutiens des Démocrates. Le président américain, a annoncé dimanche 21 juillet, qu’il se retirait de l’élection présidentielle, prévue en novembre prochain après plusieurs messages l’invitant à passer le témoin à un autre.

Joe Biden cède aux pressions de ses partisans et grands soutiens des Démocrates. Le président américain, a annoncé dimanche 21 juillet, qu’il se retirait de l’élection présidentielle, prévue en novembre prochain après plusieurs messages l’invitant à passer le témoin à un autre.

Pas de deuxième mandat pour Joe Biden à la Maison Blanche ! Confiant sur sa candidature, le président américain a finalement annoncé, dimanche dernier, qu’il n’allait pas se présenter à l’élection présidentielle.

« Je crois qu’il est dans l’intérêt de mon parti et dans mon intérêt de me retirer et de me concentrer uniquement sur l’exercice de mes fonctions de président jusqu’à la fin de mon mandat », a-t-il écrit dans un communiqué publié sur le réseau social X, ex Twitter.

Joe Biden a également fait savoir qu’il va prendre la parole « cette semaine » pour apporter des « détails sur sa décision ».

Soutien à Kamala Harris

Joe Biden n’a pas entretenu le flou sur son préféré après son retrait à l’élection présidentielle. Dans un deuxième message, le président américain a ouvertement apporté son soutien à sa vice-présidente Kamala Harris.

https://x.com/JoeBiden/status/1815080881981190320

Si cette dernière écartait toute idée de se présenter à l’élection, réitérant son soutien à Joe Biden, elle a toutefois rassuré qu’elle comptait « remporter l’investiture » démocrate et « battre Trump ».

Âgé de 81 ans, le président américain est apparu fragile ces dernières semaines. Il a multiplié les lapsus et bourdes comme lors du débat télévisé qui l’opposait à Joe Biden.

Manassé AGBOSSAGA

Joe Biden : « La Chine est une bombe à retardement »

Déclaration forte du président américain  lors  d’un déplacement dans l’Utah, dans l’ouest du pays, jeudi 10 août 2023. Joe Biden a lancé que la Chine, l’autre grande rivale des États-Unis, était «une bombe à retardement».

Déclaration forte du président américain  lors  d’un déplacement dans l’Utah, dans l’ouest du pays, jeudi 10 août 2023. Joe Biden a lancé que la Chine, l’autre grande rivale des États-Unis, était «une bombe à retardement».

« La Chine est une bombe à retardement par de nombreux aspects», a-t-il déclaré, selon des propos rapportés par l’AFP.

Le président américain a mis en avant les  problèmes économiques et le vieillissement de la main d’œuvre du pays dirigé par Xi Jinping.  Pour Joe Biden, le pays connait un fort taux de chômage, avec un vieillissement de sa main d’œuvre, source des « des difficultés »  de la Chine.

Petite pique à Pékin !

M.A

Joe Biden appelle à la « libération immédiate » de Mohamed Bazoum et à la « préservation de la démocratie »

Le président américain a lancé cet appel au Conseil national de sauvegarde de la patrie (CNSP) à l’occasion de la célébration de la fête de l’indépendance du Niger, ce jeudi 03 août 2023. Dans un message, Joe Biden a appelé  à la « libération immédiate » de Mohamed Bazoum, retenu au palais présidentiel  depuis le 26 juillet dernier par des militaires de la garde présidentielle.

Le président américain a lancé cet appel au Conseil national de sauvegarde de la patrie (CNSP) à l’occasion de la célébration de la fête de l’indépendance du Niger, ce jeudi 03 août 2023. Dans un message, Joe Biden a appelé  à la « libération immédiate » de Mohamed Bazoum, retenu au palais présidentiel  depuis le 26 juillet dernier par des militaires de la garde présidentielle.

Le président des Etats-Unis a également appelé à la « préservation de la démocratie ».

« J’appelle à la libération immédiate du président Bazoum et sa famille, et à la préservation de la démocratie conquise de haute lutte au Niger », peut-on lire dans le communiqué.

Le Général Tchiani, nouveau chef d’Etat autoproclamé appréciera.

M.A

Déclaration du président  Biden à l’occasion de  la fête de l’indépendance du Niger

« Cette année, alors que le Niger célèbre le 63e anniversaire de son indépendance, il fait face à un grave défi à sa démocratie. En ce moment critique, les États-Unis se tiennent aux côtés du peuple nigérien pour honorer notre partenariat de plusieurs décennies ancré dans des valeurs démocratiques partagées et le soutien à une gouvernance dirigée par des civils. Le peuple nigérien a le droit de choisir ses dirigeants. Ils ont exprimé leur volonté par le biais d’élections libres et équitables, et cela doit être respecté.

La défense des valeurs démocratiques fondamentales et la défense de l’ordre constitutionnel, de la justice et du droit de réunion pacifique sont essentielles au partenariat entre le Niger et les États-Unis. J’appelle à la libération immédiate du président Bazoum et de sa famille et à la préservation de la démocratie durement gagnée au Niger ».

Etats-Unis : Joe Biden, 80 ans, candidat à sa propre succession à la présidentielle de 2024

C’est officiel ! Joe Biden, 80 ans, est candidat à sa propre succession à la présidentielle de 2024. Il en a fait l’annonce ce mardi 25 avril 2023.

C’est officiel ! Joe Biden, 80 ans, est candidat à sa propre succession à la présidentielle de 2024. Il en a fait l’annonce ce mardi 25 avril 2023.

Fin du faux suspense ! Le président américain ira à l’assaut d’un nouveau mandat présidentiel. A 80 ans, Joe Biden,  a annoncé sa candidature à la présidentielle de 2024.

 « Je suis candidat à ma réélection », a déclaré le président américain dans une vidéo publiée ce mardi sur twitter où il apparait aux côtés de l’actuelle vice-présidente Kamala Harris.

Le président démocrate veut solliciter un nouveau mandat de 04 ans pour dit-il achever le travail entamé depuis son arrivée à la maison blanche.

« Finissons le travail ! », a lancé Joe Biden comme mot d’ordre.

M.A

 

Fusillade aux Etats-Unis: Un adolescent de 18 ans tue 19 écoliers dans une école

Encore, un affaire de fusillade aux Etats-Unis. Un adolescent de 18 ans a ouvert, ce mardi,   le feu dans une école primaire de la ville d’Uvalde et a tué 19 écoliers, avant d’être abattu par la Police.

Encore, un affaire de fusillade aux Etats-Unis. Un adolescent de 18 ans a ouvert, ce mardi,   le feu dans une école primaire de la ville d’Uvalde et a tué 19 écoliers, avant d’être abattu par la Police.

 Nouveau drame lié aux armes à feu au pays de ‘‘l’oncle Sam’’. Un garçon de 18 ans a pénétré dans  l’école primaire Robb, à Uvalde, une ville située entre San Antonio et la frontière mexicaine.

Il a tiré et tué 19 jeunes élèves et deux adultes, précise le New York Times.

Le tireur a tué ses victimes « d’une façon atroce et insensée » dans la ville d’Uvalde, a déclaré le gouverneur républicain du Texas, Greg Abbott, repris par l’AFP.

L’adolescent est un citoyen américain. Il s’est rendu dans l’école en voiture pour y perpétrer son massacre après avoir visé « sa grand-mère, dont l’état de santé restait à préciser », explique franceinfo.

Toutefois, les mobiles de son crime sont pour l’heure inconnus, même si le New York Times indique que  90% des élèves de l’école attaquée sont d’origine latino-américaine et 87% sont « économiquement désavantagés ».

Salvador Ramos abattu par la Police

Selon les premières informations, le tireur a été identifié comme Salvador Ramos, de nationalité américaine.

Les responsables du département texan de la sécurité publique ont confirmé qu’il a été abattu par la police.

Ils ont ajouté que deux adultes sont également morts dans l’attaque, dont un enseignant.

Réagissant à cet énième drame dans une allocution solennelle à la Maison Blanche, le président américain Joe Biden s’est dit  « écœuré et fatigué » face à la litanie des fusillades en milieu scolaire.

Et de lancer «Quand, pour l’amour de Dieu, allons-nous affronter le lobby des armes ? ».

Manassé AGBOSSAGA

Joe Biden va offrir des drones et des systèmes anti-aériens à l’Ukraine pour lutter contre l’invasion russe

Joe Biden accentue la pression sur la Russie et vole à nouveau au secours de l’Ukraine. Ce  mercredi 16 mars 2022,  le président américain a annoncé le déblocage de 800 millions de dollars supplémentaires pour fournir une aide militaire à l’Ukraine.

Joe Biden accentue la pression sur la Russie et vole à nouveau au secours de l’Ukraine. Ce  mercredi 16 mars 2022,  le président américain a annoncé le déblocage de 800 millions de dollars supplémentaires pour fournir une aide militaire à l’Ukraine.

Cette aide militaire comporte notamment des drones et des systèmes de défense anti-aériens pour lutter contre l’invasion russe.

« Cela inclut 800 systèmes anti-aériens pour permettre à l’armée ukrainienne de continuer à arrêter les avions et les hélicoptères qui attaquent (l’Ukraine) », a  déclaré Joe Biden  pendant une allocution à la Maison blanche, d’après des propos rapportés par Reuters.

Joe Biden a précisé que ces systèmes de défense anti-aériens comporteraient des missiles à plus longue portée que ceux dont dispose actuellement l’armée ukrainienne.

Sur CNN,  Gregory Meeks, président de la commission des Affaires étrangères de la Chambre des représentants, a indiqué qu’il s’agit des « S-300 », des systèmes de missiles sol-air russes, qui pourraient être envoyés à l’Ukraine par d’autres pays membres de l’Otan..

Lors de son allocution à la maison Blanche, Joe Biden a,  à nouveau,  écarté la piste d’une fermeture de l’espace aérien ukrainien, comme le réclame  Volodymyr Zelensky.

Manassé AGBOSSAGA

Guerre en Ukraine : La Russie sanctionne Joe Biden et plusieurs hauts responsables américains

Réponse du berger à la bergère ! Après les  mesures punitives prises par Washington contre Moscou suite à l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes,  Vladimir Poutine réplique à son tour.

Réponse du berger à la bergère ! Après les  mesures punitives prises par Washington contre Moscou suite à l’invasion de l’Ukraine par les troupes russes,  Vladimir Poutine réplique à son tour.

Ce mardi 15 mars 2022, la Russie a annoncé des sanctions contre Joe Biden  ainsi que plusieurs hauts responsables américains.

De façon précise, ces sanctions ciblent 13 citoyens américains qui seront interdits d’accès au territoire russe.

Joe Biden, son secrétaire d’État Antony Blinken,  le secrétaire à la Défense, le directeur de la CIA, le conseiller à la sécurité nationale, l’ancienne secrétaire d’ÉtatHillary Clinton, … figurent, entre autres,  sur la liste noire russe.

C’est « la conséquence inévitable du cap extrêmement russophobe que poursuit l’actuelle administration américaine », a déclaré le  ministère russe des des Affaires étrangères dans un communiqué, insistant sur le principe de « réciprocité ».

Dans sa réplique, la Russie ne compte pas s’en arrêter là. Des sanctions supplémentaires contre des responsables militaires, des élus, des hommes d’affaires et des personnalités des médias aux États-Unis sont annoncées pour bientôt.

Toutefois, la diplomatie russe ne rompt pas les liens avec les USA. Elle a assuré qu’elle maintient « des relations officielles (avec les États-Unis), lorsque cela coïncide avec notre intérêt national ».

.Pour rappel, les États-Unis ont notamment interdit l’entrée sur leur territoire au président russe Vladimir Poutine et à son chef de la diplomatie, Sergueï Lavrov, et annoncé une multitude de sanctions économiques, en réaction à l’intervention militaire russe en Ukraine.

Manassé AGBOSSAGA

TikTok et WeChat : Joe Biden annule les mesures prises par Donald Trump

Le président américain a annoncé mercredi avoir révoqué et remplacé les décrets pris par son prédécesseur pour interdire les plateformes TikTok, WeChat et huit autres applications.

Le président américain a annoncé mercredi avoir révoqué et remplacé les décrets pris par son prédécesseur pour interdire les plateformes TikTok, WeChat et huit autres applications.

Joe Biden a annoncé avoir révoqué et remplacé les décrets pris par Donald Trump pour interdire les plateformes TikTok et WeChat.
© afp.com/NICOLAS ASFOURI Joe Biden a annoncé avoir révoqué et remplacé les décrets pris par Donald Trump pour interdire les plateformes TikTok et WeChat.

Joe Biden temporise dans le dossier TikTok et WeChat. Mercredi, le président américain a annoncé la révocation des décrets pris par son prédécesseur Donald Trump pour interdire ces plateformes à succès appartenant à des Chinois, et huit autres applications. WeChat est omniprésente dans la vie des Chinois via ses services de messagerie, de paiements à distance ou de réservations, quand l’application de courtes vidéos TikTok est particulièrement populaire chez les jeunes.

Joe Biden a toutefois signé mercredi un nouveau décret demandant à son administration de lancer une enquête pour déterminer les risques réels posés par les applications Internet détenues par certaines puissances étrangères. Il lui laisse quatre mois pour lui fournir un rapport détaillé et formuler des recommandations.

https://www.google.com/url?q=https%3A%2F%2Fsysteme.io%2Ftr%2F2%2F161%2F638029769%2F5250123%2F22364251c9ae4981c34d5a25512156931375fa59&sa=D&sntz=1&usg=AFQjCNEgumRk0lPXgQ8yOPJwU8tlIOonUg

« L’indépendance financière pour tous », cliquez sur ce lien pour vous offrir le livre

Le nouveau décret vise à identifier toutes les « applications logicielles connectées qui peuvent présenter un risque inacceptable pour la sécurité nationale des Etats-Unis et le peuple américain », y compris « les applications détenues, contrôlées ou gérées par des personnes qui soutiennent les activités militaires ou de renseignement d’un autre pays, ou sont impliquées dans des cyberactivités malveillantes, ou impliquent des applications qui collectent des données personnelles sensibles », explique un communiqué de la Maison-Blanche.

Le département du commerce et d’autres agences fédérales devront élaborer des directives « pour protéger les données personnelles sensibles… y compris les informations personnellement identifiables et les informations génétiques » contre les abus.

« Un geste positif dans la bonne direction » pour Pékin

Rare exemple de détente entre les deux géants, Pékin a salué « un geste positif dans la bonne direction », par la voix du porte-parole du ministère du Commerce, Gao Feng. Ce dernier a toutefois souligné que la décision de l’administration Biden s’accompagnait de l’ouverture d’une enquête. « Nous espérons que les Etats-Unis traiteront les entreprises chinoises de manière équitable et s’abstiendront de mélanger politique et questions commerciales », a-t-il plaidé. Sollicitées par l’AFP, TikTok et WeChat n’ont pas encore réagi.

Donald Trump affirmait que les applications appartenant à des Chinois posaient des risques pour la sécurité nationale des Etats-Unis. Il avait cherché à forcer la vente de TikTok à des investisseurs américains. Il accusait WeChat et TikTok de récolter des données confidentielles et de les partager avec Pékin. Ces sociétés ont toujours réfuté ces accusations d’espionnage.

Il s’en était suivi une bataille judiciaire après le premier décret pris en août 2020. Fin décembre, l’administration Trump avait fait appel d’une décision de justice empêchant le ministère du Commerce d’imposer à TikTok des restrictions, qui auraient abouti à l’interdiction du réseau social aux Etats-Unis. Mais en février, l’administration Biden avait demandé à la Cour d’appel de lui donner 60 jours pour étudier le dossier et se prononcer sur le maintien ou non de la requête formulée par le gouvernement Trump. La Maison-Blanche n’a pas précisé si ce décret éteignait tous les recours.

Biden n’a pas l’intention de relâcher la pression

Selon un responsable de l’administration Biden, TikTok continue néanmoins de faire l’objet d’un examen séparé « par le biais du CFIUS », l’agence dépendant du Trésor chargée de s’assurer que les investissements étrangers ne présentent pas de risque pour la sécurité nationale.

Ces décisions montrent que Joe Biden n’a pas l’intention de relâcher la pression vis-à-vis de la Chine. « Il serait prématuré de se réjouir », a ainsi souligné dans un blog Bobby Chesney, professeur de droit de l’Université du Texas, qui suit les questions de sécurité nationale. Il a aussi souligné que l’administration Biden n’avait pas complètement fermé la porte à la réimposition d’une nouvelle version de ces sanctions.

La semaine dernière, Joe Biden avait allongé la liste des entités chinoises dans lesquelles il est interdit aux Américains d’investir. Pour cela, il a amendé un décret de Donald Trump pour y inclure des entreprises impliquées dans des technologies de surveillance susceptibles d’être utilisées non seulement en Chine contre la minorité musulmane des Ouïghours et les dissidents, mais encore dans le monde entier.

Joe Biden est arrivé mercredi en Europe pour son premier voyage à l’étranger en tant que président. Il doit rencontrer les dirigeants européens et de l’OTAN ainsi que le président russe Vladimir Poutine. Depuis son arrivée à la Maison-Blanche, il a clairement dit qu’il souhaitait obtenir le soutien des alliés des Etats-Unis contre Pékin, accusé de concurrence déloyale dans ses relations commerciales.

lexpress.fr

La reine Elizabeth II recevra Joe Biden le 13 juin à Windsor

La reine Elizabeth II d’Angleterre recevra le 13 juin le président américain Joe Biden et sa femme Jill Biden au château de Windsor à l’issue du sommet du G7, a déclaré jeudi un porte-parole du palais de Buckingham.

La reine Elizabeth II d’Angleterre recevra le 13 juin le président américain Joe Biden et sa femme Jill Biden au château de Windsor à l’issue du sommet du G7, a déclaré jeudi un porte-parole du palais de Buckingham.

Joe Biden sera le 13e président des Etats-Unis que la monarque âgée de 95 ans rencontrera depuis le début de son règne en 1952.

Il s’agira pour la reine du premier événement majeur à son agenda depuis le décès de son mari, le prince Philip, en avril.

La reine Elizabeth II d’Angleterre recevra le 13 juin le président américain Joe Biden et sa femme Jill Biden au château de Windsor à l’issue du sommet du G7, a déclaré jeudi un porte-parole du palais de Buckingham.

LA REINE ELIZABETH II RECEVRA JOE BIDEN LE 13 JUIN À WINDSOR
© Reuters/KEN CEDENO LA REINE ELIZABETH II RECEVRA JOE BIDEN LE 13 JUIN À WINDSOR

Joe Biden sera le 13e président des Etats-Unis que la monarque âgée de 95 ans rencontrera depuis le début de son règne en 1952.

Il s’agira pour la reine du premier événement majeur à son agenda depuis le décès de son mari, le prince Philip, en avril.

La Grande-Bretagne accueille du 11 au 13 juin les chefs d’État et de gouvernement du G7 à Carbis Bay, un village de Cornouailles, l’un des premiers grands rendez-vous diplomatiques en « présentiel » depuis la pandémie de coronavirus.

Joe Biden effectuera à l’occasion de ce sommet son premier voyage à l’étranger depuis son entrée en fonction en janvier.

Il se rendra également le 14 juin à Bruxelles pour une réunion de l’Otan puis un sommet UE-USA le lendemain.

La Grande-Bretagne accueille du 11 au 13 juin les chefs d’État et de gouvernement du G7 à Carbis Bay, un village de Cornouailles, l’un des premiers grands rendez-vous diplomatiques en « présentiel » depuis la pandémie de coronavirus.

Joe Biden effectuera à l’occasion de ce sommet son premier voyage à l’étranger depuis son entrée en fonction en janvier.

Il se rendra également le 14 juin à Bruxelles pour une réunion de l’Otan puis un sommet UE-USA le lendemain.

REUTERS

Joe Biden se dit prêt à rencontrer Kim Jong-un sous condition

Le président américain Joe Biden et son homologue sud-coréen Moon Jae-in ont prôné vendredi le dialogue avec la Corée du Nord tout en affirmant leur volonté d’oeuvrer ensemble à la dénucléarisation complète de la péninsule coréenne.

Le président américain Joe Biden et son homologue sud-coréen Moon Jae-in ont prôné vendredi le dialogue avec la Corée du Nord tout en affirmant leur volonté d’oeuvrer ensemble à la dénucléarisation complète de la péninsule coréenne.

Joe Biden, qui recevait son homologue sud-coréen à la Maison blanche, s’est déclaré prêt à rencontrer le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un à la condition que ce dernier accepte de discuter de son programme nucléaire et que des responsables américains et nord-coréens préparent le terrain.

JOE BIDEN SE DIT PRÊT À RENCONTRER KIM JONG-UN SOUS CONDITION
© Reuters/JONATHAN ERNST JOE BIDEN SE DIT PRÊT À RENCONTRER KIM JONG-UN SOUS CONDITION

« Je ne ferai pas ce qui a été fait dans un passé récent, je ne lui donnerai pas tout ce qu’il cherche, notamment la reconnaissance de sa légitimité sur le plan international, et je ne le laisserai pas donner à tort l’impression qu’il devient plus sérieux sur certains sujets alors que telle n’est pas son intention », a déclaré Joe Biden.

Le président américain marque ainsi sa différence avec son prédécesseur, Donald Trump, qui avait tenu trois sommets avec Kim Kong-un, dont il avait dit avoir reçu des lettres « magnifiques ».

Joe Biden n’en a pas moins dessiné une évolution dans les relations entre Washington et Pyongyang après une déclaration de la Maison blanche affirmant en mars que le président américain n’avait pas l’intention de rencontrer son homologue nord-coréen.

REUTERS