Consommons local: Joël Aïvo en mode dégustation ‘‘kluiklui’’

Joël Aïvo prouve son amour pour le consommons local.  Alors qu’il rendait visite à  la  coopérative de femmes  ‘‘Itche Doun’’ à Egbessi dans la commune de Glazoué,  le dimanche dernier, l’ancien Doyen de la Fadesp  a pris plaisir à déguster  du  kluiklui.

Face à ces femmes qui s’investissent dans la transformation de l’arachide en Kluiklui, l’ancien Doyen de la Faculté des droits et sciences politiques (Fadesp) n’a eu aucun complexe alimentaire.

 Joël Aïvo qui mange avec plaisir du kluiklui, c’est sans doute la preuve, d’un ancien étudiant qui a fait l’Uac, un lieu où gari et kluiklui sont de bons partenaires.

Manassé AGBOSSAGA

Joël Aïvo: «Le peuple béninois est déterminé à faire renaître le Bénin »

Joël Aïvo est convaincu de la détermination du peuple béninois « à faire renaître le Bénin ». Le Constitutionnaliste l’a fait savoir via un post, conclusion de ses nombreux échanges avec les différentes couches du pays de l’intérieur comme de la diaspora. Détails…

« Face aux Béninois de la diaspora

Ce jeudi 13 août 2020, j’ai eu l’honneur d’échanger, lors d’une visioconférence, avec nos compatriotes établis à l’étranger, sur la situation de notre pays.

Cet échange, la première d’une série avant la prochaine élection présidentielle, m’a permis de confirmer deux (2) choses :

1- où qu’ils soient établis et quelle que soit la durée de leur séjour, nos compatriotes de l’étranger conservent un amour viscéral pour le Bénin dont ils suivent les battements du cœur avec une attention particulière.

2- nos compatriotes de la diaspora sont jaloux de leur droit de prendre part à l’effort commun en vue de l’avènement d’une société juste, démocratique et prospère.

C’est pour ces raisons qu’ils m’ont confié leurs inquiétudes sur l’état de notre pays depuis le début du quinquennat en cours. Nous avons ensemble analysé l’état clinique de notre démocratie, la situation macroéconomique du Bénin mais aussi, et c’est ce qui compte le plus, la dégradation préoccupante de la qualité de vie des Béninois. L’école de nos enfants, l’hôpital public, les services publics, les institutions de la République, nos communes, le sort de la justice, l’isolement diplomatique de notre pays etc. ont évidemment été au rendez-vous de ces échanges fraternels, directs et fructueux.

Je suis sorti de cette visioconférence avec la même satisfaction que celle que me transmettent nos compatriotes de l’intérieur avec lesquels j’échange depuis de longs mois, celle de me rendre compte que le peuple béninois est déterminé à ne pas abandonner son pays, mais plutôt à faire renaître le Bénin que nous aimons tous.

Je redis un grand merci à tous nos compatriotes de la diaspora qui ont pris sur eux, le temps de participer à ce dialogue citoyen.

Que Dieu et les mânes de nos Ancêtres protègent notre pays.

Bon weekend à tous.

Frédéric Joël AÏVO

Portrait-robot de Joël Aïvo: Une enfance dans le respect des adultes et de la parole donnée, un militantisme, une réussite professionnelle, une maîtrise de plusieurs thématiques

Joël Aïvo, candidat à la présidentielle de 2021 ? Toujours pas de déclaration officielle de l’homme dans ce sens à la date du dimanche 02 juillet.

Joël Aïvo, candidat à la présidentielle de 2021 ? Toujours pas de déclaration officielle de l’homme dans ce sens à la date du dimanche 02 juillet.

En attendant, ses partisans et confrères ont  décidé de mettre en lumière l’homme. A cet exercice,  le Professeur  Adéwalé Jijoho Padonou  présente avec beaucoup d’admiration son collègue.

D’une enfance passée dans le respect des adultes et de la parole donnée, d’un  militantisme dès le bas âge, d’une réussite professionnelle, d’une maitrise des questions de  Sécurité Humaine et la Paix, … le Professeur  Adéwalé Jijoho Padonou dresse le portrait robot de Joël Aïvo.

Somme toute, il met en avant les qualités intellectuelles, professionnelles,  humaines, …de l’homme.

Des qualités qui selon lui peuvent faire de ‘‘AYEKOBINU’’  un excellent locataire de la marina. Même si pour ses détracteurs et autres utopiques, cela ressemble à un « rêve ».

Manassé AGBOSSAGA

_PROF FREDERIC JOËL  AÏVO, PRESENTE PAR PROF ADÉWALÉ JIJOHO PADONOU_

( Né dans une modeste famille, d’un père –initialement chauffeur de véhicule de transport des jeunes filles du Lycée Tofa 1er puis converti et reconnu comme grand humoriste- et d’une mère vendeuse de poisson fumé au marché ahouangbo AYEKOBINU a passé son enfance dans le respect des adultes et de la parole donnée.

Ce père se prénomme NUGBOYIKO TO LALO SI ( la vérité a triomphé du mensonge ) Déhoumon ADJAGNON alias BABAYABO et cette mère appelée Aimée ZANNOU.

Les aïeux paternels de AYEKOBINU seraient venus de houèto dans Calavi pour s’installer à Porto-Novo depuis des lustres. Les louanges et panégyriques de cette famille se résument à :

LOKUE-GBODJA AHOLOU-FOFOVI.

Fils ainé de sa mère, AYEKOBINU fit ses études primaires à l’école primaire catholique saint François Xavier et des études secondaires au Lycée BEHANZIN.

Déjà au second cycle de cet établissement, AYEKOBINU se fait élire comme l’un des responsables des élèves et avait l’habitude de prendre la parole les lundis matins au drapeau

Ses études supérieures se déroulent dans:

📖 l’ Université d’Abomey-Calavi

📖 l’ Université Jean Moulin de Lyon3

 📖 l’ Université de Grenoble

📖 l’ Université catholique de Lyon

La somme de ce parcours universitaire lui fait endosser les titres ci-après :

🎓Maîtrise en Sciences juridiques.

 🎓Docteur en Droit.

🎓DESS de Politique et Stratégies d’Action publique

Internationale.

🎓 Diplôme d’Etudes approfondies en Droit public et fondements des Droits de l’Homme.

Son parcours de militant le retrouve en tant qu’étudiant dans l’organisation des Jeunes du parti NCC du Professeur Albert dans les années 90 de façon brève mais une fois ses études terminées AYEKOBINU rejoint le parti arc-en-ciel où il occupe le poste de Directeur de cabinet du président de cette formation. Mais il se retire des activités politiques partisanes pour se consacrer à une carrière professionnelle qui le conduit à être Agrégé en Droit Public de l’université d’Abomey-Calavi puis Professeur Titulaire.

Dès lors sa carrière suivra une courbe ascendante avec des grades de Directeur des centres du Droit constitutionnel

Directeur de Master- recherche en Droit International.

Elu Doyen de la faculté de droit et sciences politiques en 2016, ses pairs le créditent d’une gestion pédagogique, administrative et programmatique peu critiquable.

Il est resté Enseignant et donne des conférences dans plusieurs universités de la sous-région sur le Droit constitutionnel et les Droits de l’Homme.

Ainsi fortement imprégné des notions sur la Sécurité Humaine et la Paix, AYEKOBINU est souvent invité par les Nations Unies et/ou l’Union Africaine pour des missions d’Expertise constitutionnelle pré, per et post conflits dans bien de pays.

Le voilà qui lève le doigt -tel un Porteur de Cierges- pour éclairer et faire assimiler à notre Peuple son Pouvoir Souverain d’un Libre Arbitrage qui honore la Dignité Humaine.

Tel un aigle royal abandonné dans une basse -cour avec d’autres oiseaux qui bat des ailes, se rend compte de son envergure et décolle, AYEKOBINU scrute le sommet. Rêve t’il je ne le crois guère car il lui faut répéter comme Nelson MADIBA MANDELA : « un gagnant est un rêveur qui n’abandonne jamais »

Citons dès lors un illustre inconnu qui écrit :

« Le besoin se fait sentir de Rêveurs qui pensent et de Penseurs qui rêvent pour retrouver non pas un projet de Développement invariablement ficelé, mais une manière de voir permettant à court terme de casser cette idéologie prédatrice, affairiste et militaro-bureaucratique qui nous étouffe »

Aussi face aux révisions nocturnes et clandestines de notre Loi fondamentale il a écrit ceci : « Il faut des Mains Sages, de la Transparence, une Large Communication et Diffusion pour toucher à la CONSTITUTION »)

Joël Aïvo dénonce un Bénin en « périls » et prend un « engagement »

Joël Aïvo a adressé un message à l’occasion de la célébration du 60e anniversaire de l’accession du Bénin à la souveraineté internationale. L’ancien Doyen de la Faculté des droits et sciences politiques (Fadesp) s’est notamment montré critique, mais porteur d’espoir.

Joël Aïvo a adressé un message à l’occasion de la célébration du 60e anniversaire de l’accession du Bénin à la souveraineté internationale. L’ancien Doyen de la Faculté des droits et sciences politiques (Fadesp) s’est notamment montré critique, mais porteur d’espoir.

Il dit constater un Bénin en  « périls », après 60 ans d’indépendance sans toutefois accuser directement l’actuel régime.

«  60 ans après l’indépendance, nous voici de nouveau face à l’histoire. L’état moral du Bénin, le délitement de sa cohésion nationale, la décomposition de son socle social, la mise à mal de sa vie démocratique, l’effondrement de sa réputation internationale : tels sont les nouveaux périls qui nous placent individuellement et collectivement devant nos responsabilités », fait-il remarquer.

Face à cela, Joël Aïvo  appelle le peuple béninois à un sursaut patriotique.

« La force symbolique de cette commémoration doit être, pour reprendre les mots d’Aimé Césaire, un appel à ‘‘ faire revivre l’éclaboussement d’or des instants favorisés’’.  C’est cet appel que je veux humblement vous passer. Pour sauver notre pays, il nous faut un sursaut collectif », lance t-il.

En outre, Joël Aïvo prend un engagement.

« Pour ma part, j’ai la conviction que le 1er août 2021, nous serons tous, de nouveau rassemblés sous le drapeau. « Tous », c’est-à-dire qu’aucun Béninois ne devra manquer à l’appel. J’en prends l’engagement et j’en fais un défi, celui de la nouvelle génération. Le défi de préserver l’unité de notre peuple, d’apaiser les tensions et de rétablir la démocratie. C’est forts de ces exigences qu’unis et conquérants, nous pourrons reprendre le chemin du progrès », s’engage t-il.

Assurance d’un probable candidat à la présidentielle de 2021  certain de sa victoire ?

Manassé AGBOSSAGA

MESSAGE DU PROFESSEUR FREDERIC JOËL AÏVO A L’OCCASION DE LA CELEBRATION DU 60E ANNIVERSAIRE DE L’ACCESSION DU BENIN A LA SOUVERAINETE INTERNATIONALE.

À un peuple uni, rien ne résiste

Cher-e-s compatriotes,

Il y a eu l’horreur de l’esclavage. Il y a eu le crime du colonialisme. Et puis, il y a eu les indépendances. Celle du Bénin est advenue le 1er août 1960. Ce jour, le Bénin a recouvré sa dignité d’État souverain.

L’indépendance de notre pays, la liberté et la dignité de notre peuple, nous les devons aux sacrifices de tant de nos compatriotes. Nous leur devons aussi notre sens de l’unité, de la fraternité et de l’humanité, resté intact malgré les soubresauts de l’histoire. Au prix de l’avilissement, de l’emprisonnement, de l’exil, de la déportation qu’ils ont subis, ils nous ont permis de rayonner comme nation libre et fière. Je rends hommage à leurs combats et salue leur abnégation.

Qu’avons-nous fait de cet héritage ?

Qu’avons-nous fait du Soleil des indépendances ? La fin du colonialisme n’a pas éliminé la menace de la désintégration de la Nation. 60 ans après l’indépendance, nous voici de nouveau face à l’histoire. L’état moral du Bénin, le délitement de sa cohésion nationale, la décomposition de son socle social, la mise à mal de sa vie démocratique, l’effondrement de sa réputation internationale : tels sont les nouveaux périls qui nous placent individuellement et collectivement devant nos responsabilités.

Oui, chers compatriotes, nous revoici face à l’histoire. Mais malgré ses tragiques manifestations, l’histoire est aussi toujours porteuse d’espérance. La force symbolique de cette commémoration doit être, pour reprendre les mots d’Aimé Césaire, un appel à « faire revivre l’éclaboussement d’or des instants favorisés. » C’est cet appel que je veux humblement vous passer. Pour sauver notre pays, il nous faut un sursaut collectif. Pour ma part, j’ai la conviction que le 1er août 2021, nous serons tous, de nouveau rassemblés sous le drapeau. « Tous », c’est-à-dire qu’aucun Béninois ne devra manquer à l’appel. J’en prends l’engagement et j’en fais un défi, celui de la nouvelle génération. Le défi de préserver l’unité de notre peuple, d’apaiser les tensions et de rétablir la démocratie. C’est forts de ces exigences qu’unis et conquérants, nous pourrons reprendre le chemin du progrès.

Heureuse fête et que Dieu veille sur le Bénin.

Frédéric Joël AÏVO

 

Présidentielles de 2021: Le CANP jette son dévolu sur Joël Aïvo

Officiellement, Joël Aïvo n’a pas exprimé son ambition de briguer la magistrature suprême. Mais déjà, des mouvements se mobilisent pour susciter la candidature du Constitutionnaliste à la présidentielle de 2021. C’est le cas du …

Officiellement, Joël Aïvo n’a  pas exprimé son ambition de briguer la magistrature suprême. Mais déjà, des mouvements se mobilisent pour susciter la candidature du Constitutionnaliste à la présidentielle de 2021. C’est le cas du  Café Africain des Néo Philosophes (CANP).

Association citoyenne, le CANP a, sans ambages, jeté  son dévolu sur l’ancien Doyen de la Faculté des droits et sciences politiques (Fadesp).

« Le CANP soutient fermement la candidature du Professeur Frédéric Joël AÏVO pour l’élection présidentielle de mars 2021… Le CANP a choisi Frédéric Joël Aïvo et le Bénin l’a choisi.  », fait savoir le CANP à travers  une déclaration publiée ce 20 juillet 2020 et qui porte la marque de son premier responsable, Simon Narcisse Tomèty.

« C’est le candidat qui est prêt pour une gouvernance participative en rassemblant les Béninoises et les Béninois de l’intérieur et de l’extérieur autour de l’unité nationale et faisant de la devise de notre pays, la source intarissable de nos responsabilités et de nos fiertés », avance le CANP pour justifier son choix, avant d’ajouter « Ensemble pour le Bénin de l’espérance avec Frédéric Joël AÏVO comme le salut de la jeunesse béninoise pour SERVIR LE PEUPLE ET NON POUR SE SERVIR ».

Frédéric Joël Aïvo (FJA) répondra t-il favorablement à cet appel ?

Les jours prochains nous édifieront !

Manassé AGBOSSAGA

‘‘Kpakpato Sans Payer’’: Un internaute à Joël Aïvo: «Vous fonctionnez sur fond de jalousie»

Un internaute règle ses comptes avec l’ancien Doyen de la Faculté des droits et sciences politiques (Fadesp). Et ce, via une tribune du Professeur Joël Aïvo.

Un internaute règle ses comptes avec l’ancien Doyen de la Faculté des droits et sciences politiques (Fadesp). Et ce,  via une tribune du Professeur Joël Aïvo. Réagissant à un post de l’ancien doyen de la Fadesp publié sur sa page facebook, intitulé, « Ce Bénin que j’aime »,  un internaute du nom de « Manou Le Roi » a ouvertement critiqué Joël Aivo.

Dans son commentaire, il fait d’abord savoir que le président de l’Association béninoise de droit constitutionnel (ABDC) n’est pas un exemple à suivre.  « Professeur Aïvo, vous n’êtes pas un modèle ni un exemple à suivre », a commenté « Manou Le Roi ».

Et comme s’il avait fait passer l’ancien doyen de la Fadesp au scanner ou qu’il avait longtemps étudié pour tirer cette conclusion, il avance : « Vous (Ndlr : Joël Aïvo) fonctionnez sur fond de jalousie »,

Aïvo qui dit aimer les critiques appréciera.

En attendant « Kpakpato Sans Payer » s’en va mettre sa bouche dans une autre affaire qui ‘est pas son affaire.

Manassé AGBOSSAGA

‘‘Clinique électorale’’ : Orden Alladatin s’interroge sur son opportunité à moins de trois mois des législatives

L’Association béninoise de droit constitutionnel (ABDC) a organisé ce jeudi 14 février 2019 une rencontre politique dénommée ‘‘Clinique électorale’’ autour du thème « Le Nouveau code électoral ». A l’occasion, l’honorable Orden Alladatin a émis quelques doutes sur l’opportunité de ce rendez-vous politique à moins de trois mois des législatives…

L’Association béninoise de droit constitutionnel (ABDC) a organisé ce jeudi 14 février 2019 une rencontre politique dénommée ‘‘Clinique électorale’’ autour du thème « Le Nouveau code électoral ». A l’occasion, l’honorable Orden Alladatin a émis quelques doutes sur l’opportunité de ce rendez-vous politique à moins de trois mois des législatives.

Manassé AGBOSSAGA

Presque toujours présent aux différents rendez-vous de l’Association béninoise de droit constitutionnel, le député Orden Alladatin a émis des réserves sur le dernier en date. Pour cause, le porte-parole de la Commission des lois s’est interrogé sur l’opportunité de la ‘‘Clinique électorale’’ autour du thème « Le Nouveau code électoral », organisée par l’ABDC ce jeudi 14 février.

« En venant ici,  je me suis posé la question, quelle est l’issue de cette clinique-là  qui a lieu a trois mois du scrutin. Qu’est-ce que nous recherchons ? », s’est interrogé le député de la 16è circonscription électorale.

Toutefois, il dit espérer que ce rendez-vous est organisé pour éclairer la lanterne des uns et des autres.

« Si c’est la lumière que nous recherchons, bien bravo. J’espère que c’est la lumière que nous recherchons », lance-t-il.

Joël Aïvo, président de l’ABDC était donc interpelé.

Polémique autour de l’article 242 du code électoral: Joël Aïvo accuse Joseph Djogbénou

Le désormais ex doyen de la Faculté de droit et sciences politique est intervenu, ce jeudi 14 février 2019, sur la polémique relative à l’interprétation de l’article 242 du code électoral. Et à l’occasion, Joël Aïvo n’a pas été tendre avec les sages de la Cour constitutionnelle….

Le désormais ex doyen de la Faculté de droit et sciences politique est intervenu, ce jeudi 14 février 2019, sur la polémique relative à l’interprétation de l’article 242 du code électoral. Et à l’occasion, Joël Aïvo n’a pas été tendre avec les sages de la Cour constitutionnelle.

Le président de l’Association béninoise de droit constitutionnel a laissé entendre que cette disposition controversée aurait dû être invalidée par le juge constitutionnel.

« L’article 242 du code électoral n’aurait jamais dû être validé par  le juge constitutionnel », déplore le Constitutionnaliste.

Rappelant que tout ce qui est dans la loi n’est pas juste ou acceptable, il met en avant deux raisons pour appuyer sa thèse.

Premièrement, il souligne que cet « article défie toutes les lois de la démocratie ». A ce niveau, le Constitutionnaliste fustige les dispositions relatives au seuil de 10% et à l’éligibilité des listes. Joël Aïvo indique qu’aucune loi ne proclame éligible celui qui a perdu une élection.

Ensuite, il fait savoir que « l’article 242 remet en cause le principe cardinal de la représentativité ».

Joseph Djogbénou, président de la Cour constitutionnelle appréciera cette critique amicale de son cher et tendre collègue.  

Manassé AGBOSSAGA