Bopa : qui pour sauver l’UP le Renouveau de la honte ?

La commune de Bopa aura été l’une des communes politiquement fortes du Bénin au cours de ces dernières années. Pour mémoire, elle aura été honoré du poste de Président de l’assemblée nationale pour deux mandats consécutifs, du poste de ministre de la Culture, des Sports et Loisirs, Ministre des enseignements secondaires, de la formation professionnelle et technique, du poste de chef de file de l’opposition…. c’est dans cette entité géographique que le plus grand parti du Bénin bat désormais de l’aile. 

La commune de Bopa aura été l’une des communes politiquement fortes du Bénin au cours de ces dernières années. Pour mémoire, elle aura été honoré du poste de Président de l’assemblée nationale pour deux mandats consécutifs, du poste de ministre de la Culture, des Sports et Loisirs, Ministre des enseignements secondaires, de la formation professionnelle et technique, du poste de chef de file de l’opposition…. c’est dans cette entité géographique que le plus grand parti du Bénin bat désormais de l’aile.

Si rien n’est fait, l’Union Progressiste le Renouveau pourrait perdre toutes traces dans la commune de Bopa. La réalité est que Mathurin NAGO admis à la retraite politique, Mahougnon KAKPO en disgrâce vis-à-vis du pouvoir ont laissé le terrain à un certain Léon ADEN-HOUESSOU qui durant un mandat parlementaire n’a pas pu rassembler les électeurs de la commune, ni celui de son arrondissement autour du projet Progressiste. Des observateurs de la scène politique du Bénin le disent impopulaire, à peine capable de remplir une salle de classe. Cette faiblesse du député laisse le champ libre à l’opposition tenue de mains de fer par Paul HOUNKPÈ qui partage l’arrondissement de Lobogo avec ce dernier.

Il est évident que l’honorable Léon ADEN-HOUESSOU ne constitue donc pas la solution. Seulement, l’on se demande si le parti est capable de positionner d’autres leaders de la zone afin de sauver la face. Pauvre Bopa !

D.T

Aïvo en prison : Et comme si de rien n’était, Houdé saute les deux pieds joints à l’UP le Renouveau

« C’est dans le malheur que l’on reconnaît ses vrais amis ». Depuis sa cellule, Joël Aïvo découvre sans doute la profondeur de cet adage.

« C’est dans le malheur que l’on reconnaît ses vrais amis ». Depuis sa cellule, Joël Aïvo découvre sans doute la profondeur de cet adage.

Janvier 2021, la Dynamique unitaire pour le développement (DUD), le parti Les Démocrates, le parti Grande solidarité républicaine, la Dynamique du Professeur Frédéric Joël Aïvo  et le Mouvement ensemble construisons notre avenir, s’unissent pour donner naissance au Front pour la restauration de la démocratie (FRD), un collectif de l’opposition.

Valentin Aditi Houdé, président de la DUD est porté à la tête de front. Le FRD initie dans la foulée plusieurs rencontres et sorties pour appeler au respect de la constitution de 1990 et à un scrutin présidentiel ouvert et transparent.

Entre temps, les différents partis de l’opposition composant le FRD ne manquent pas d’affûter leurs armes pour la bataille électorale. C’est le cas du parti Les Démocrates.

Le parti présidé par Eric Houndété désigne alors Réckya Madougou et Patrick Djivo.

Mais dans la foulée, Valentin Aditi Houdé publie  dans la nuit du 03 février un autre communiqué  pour signaler que Joël Aïvo, titulaire et Réckya Madougou, vice-président sont les candidats du FRD à la présidentielle.

A cet instant, s’ouvre une guéguerre entre le FRD et le parti Les Démocrates.

Le collectif de l’opposition est divisé et se présente à la Céna avec deux listes différentes : d’un côté, Joël Aïvo et Moïse Kérékou et de l’autre côté Réckya Madougou et Patrick Djivo.

Valentin Aditi Houdé encourage presque le constitutionaliste à maintenir sa candidature. Joël Aïvo multiplie les allers-retours au domicile de Valentin Aditi Houdé.

Mais à l’arrive ni la candidature de Joël Aïvo, ni la candidature de Réckya Madougou ne sera acceptée à la fin du processus d’étude des dossiers, pour défaut de parrainage.

Mais le 15 avril 2021 alors qu’il revenait du campus, le Constitutionaliste est interpellé à Togoudo par la Police comme un vulgaire délinquant.

La suite on la connaît, sa condamnation à dix ans de prison pour blanchiment de capitaux et complot contre l’autorité de l’Etat, le 7 décembre 2021.

Et c’est pendant qu’il purge sa peine en prison que Valentin Aditi Houdé choisit cette période pour confirmer son infidélité et son inconstance en politique.

Parce que trop dur pour lui d’être éloigné du gâteau, il décide de faire son come-back dans la mouvance présidentielle en adhérant à l’Union progressiste le Renouveau, ce jeudi 29 septembre 2022.

Seulement avec quelle conviction politique ? Avec quel  engagement.

 Manassé AGBOSSAGA

 

Législatives 2023 : « Je me battrai pour que l’UDBN aille aux élections et gagne », assure Claudine Prudencio

Après la fin de son accord avec le Bloc républicain, beaucoup envoyaient l’Union démocratique pour un Bénin nouveau (UDBN) dans l’Union progressiste le Renouveau. Et bien, ce ne sera pas le cas dans l’immédiat.

Après la fin de son accord avec le Bloc républicain, beaucoup envoyaient l’Union démocratique pour un Bénin nouveau (UDBN) dans l’Union progressiste le Renouveau. Et bien, ce ne sera pas le cas dans l’immédiat.

Au cours d’une sortie politique, ce week-end, la présidente d’honneur du parti a laissé entendre que l’UDBN « respectera la charte des partis et ira aux élections législatives de 2023 ».

« Le parti UDBN ne donnera pas de consigne de vote. L’UDBN sera au rendez vous de janvier 2023 », a annoncé Claudine Prudencio, assurant « je me battrai pour que le parti aille aux élections et gagne ».

Et à ceux qui prédisent un échec de l’UDBN, dans ce cas de figure, la présidente d’honneur de l’UDBN lance « Ceux qui vont à l’Assemblée nationale n’ont pas deux têtes. Tout ce monde là a une seule tête comme vous.

Nous ne sommes pas des partisans de moindres efforts. Nous sommes des hommes et femmes de terrain. Il y a certaines personnes qui restent dans leurs fauteuils les bras croisés qui diront, ils n’auront pas les  10%.  Ça  fait leur problème. Ne les écoutez pas. Je suis avec vous. Restez mobilisés ! L’avenir est prometteur ».

Aux communales de 2020, l’UDBN avait obtenu 2,17%, loin des 10% de suffrages exigés au plan national pour être éligibles à l’attribution des sièges.

Manassé AGBOSSAGA

Législatives 2023 : Joseph Djogbénou invite ses militants « à chercher la victoire » pour se « mettre en position pour 2026 »

Joseph Djogbénou a dévoilé les ambitions de l’Union Progressiste le Renouveau de succéder à Patrice Talon, au terme de son deuxième et dernier mandat constitutionnel en 2026. Et à Ouassa-Péhunco, ce 21 septembre, il a indiqué à ses militants que cela passe par une bonne performance du parti dès le 08 janvier 2023.

Joseph Djogbénou a dévoilé les ambitions de l’Union Progressiste le Renouveau de succéder à Patrice Talon, au terme de son deuxième et dernier mandat constitutionnel en 2026. Et à Ouassa-Péhunco, ce 21 septembre, il a indiqué à ses militants que cela passe par une bonne performance du parti dès le 08 janvier 2023.

Joseph Djogbénou a insisté sur la nécessité de remporter la bataille des législatives pour mieux se positionner pour la présidentielle de 2026.

«… Nous devrons chercher la Victoire auprès de notre peuple, auprès de nos compatriotes pour espérer avoir leur confiance pour inspirer l’action politique à partir de 2023 et nous mettre en position pour 2026 » a-t-il lancé.

Joseph Djogbénou, président de l’UP le Renouveau : « Nous n’avons rien gagné »

Face à cela, il a invité les uns et les autres à ne pas dormir sur leurs lauriers, en s’appuyant sur les nombreuses adhésions.

« Ne considérez pas que nous avons déjà tout gagné. Nous n’avons rien gagné. Ne considérez pas que nous sommes majoritaire. Nous ne sommes majoritaire en rien», a prévenu le Président de l’Union Progressiste le Renouveau.

A l’UP le Renouveau, confiance, mais vigilance, prime donc, avant tout.

Manassé AGBOSSAGA

Législatives 2023 au Bénin : C’est fini pour les adversaires de l’UP le Renouveau ! Depuis Kouandé, Joseph Djogbénou a activé le bouton de la victoire

Pour la bataille des législatives de 2023, on connaît le cri ou le slogan de guerre de l’UnIon progressiste le Renouveau. A Kouandé dans le cadre de sa tournée septentrionale, Joseph Djogbénou a lancé, en présence des militants, comme mot d’ordre : ‘‘Le Mouvement V23’’

Pour la bataille des législatives de 2023, on connaît le cri ou le slogan de guerre de l’UnIon progressiste le Renouveau. A Kouandé dans le cadre de sa tournée septentrionale, Joseph Djogbénou a lancé, en présence des militants, comme mot d’ordre : ‘‘Le Mouvement V23’’

Le président de l’Union progressiste le Renouveau a insisté sur l’objectif de remporter la bataille des législatives, expliquant que «Le Mouvement V23, c’est V pour la Victoire. 23 ! » .

« Les enjeux sont grands et les ambitions sont de taille. Sur les 24 circonscriptions électorales nous devrons avoir 23. Sur les 24 femmes, nous devrons avoir 23. La Victoire pour 2023 !» a-t-il précisé.

En présence de  la Première Vice-présidente Mariam Chabi Talata Zimé, du Deuxième Vice-président Gérard Gbénonchi, du Président de l’Assemblée nationale Louis Vlavonou, et de plusieurs personnalités du parti, Joseph Djogbénou a justifié le lancement du  Mouvement V23 depuis Kouandé, dans le département de l’Atacora parce « L’Union Progressiste le Renouveau a confiance en Kouandé » et vice-versa .

Joseph Djogbénou vient ainsi d’activer le bouton de la victoire. C’est donc fini pour les adversaires de l’UP le Renouveau.

Manassé AGBOSSAGA

« L’UP le Renouveau est un parti respectueux de la législation. Le plus important, c’est d’être en harmonie avec notre conscience »

Cette assertion porte la signature de l’Honorable Sèdami M. Fagla. De passage sur Radio Tokpa, le dimanche dernier, la députée de la 15ème circonscription électorale a juré que l’Union progressiste le Renouveau est un parti respectueux des textes de la République.   

Cette assertion porte la signature de l’Honorable Sèdami M. Fagla. De passage sur Radio Tokpa, le dimanche dernier, la députée de la 15ème circonscription électorale a juré que l’Union progressiste le Renouveau est un parti respectueux des textes de la République.

« L’Union progressiste le Renouveau est un parti respectueux de la législation en vigueur que ce soit avec la charte des partis, ou le code électoral. Nous sommes les pionniers de ces textes. Donc, nous sommes très respectueux de ces textes », a-t-elle lancé à la question de savoir si la tournée du présidium du parti n’était pas une campagne précoce des législatives de janvier 2023.

L’Honorable Sèdami M. Fagla poursuit et souligne que l’ex Union progressiste et l’ex Parti du renouveau démocratique ont toujours organisé des tournées, ajoutant que la charte des partis « oblige » et donne « la liberté d’animer la vie politique de façon continue », même si le « code électoral a prévu de façon très rigoureuse, la date de début et le délai d’une campagne ».

Pour elle, « toutes les déclarations fantaisistes font partie de la démocratie » et  «  participent au jeu politique ».

Toutefois, soutient l’honorable, « le plus important, c’est d’être en harmonie avec notre conscience politique, avec notre conscience citoyenne et d’être tout le temps aux côtés de nos militants où qu’il soit sur le terrain ».

Les détracteurs de l’UP le Renouveau apprécieront.

Manassé AGBOSSAGA

 

Législatives 2023 : Moele-Bénin « n’envisage pas d’aller aux élections » avec d’autres partis

Le parti Mouvement des élites engagés pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin) ira en mode ‘‘solo’’ pour la bataille des législatives du 08 janvier 2023. Contrairement à d’autres forces politiques qui fusionnent, le parti présidé par Jacques Ayadji ne prévoit pas d’alliance.

Le parti Mouvement des élites engagés pour l’émancipation du Bénin (Moele-Bénin) ira en mode ‘‘solo’’ pour la bataille des législatives du 08 janvier 2023. Contrairement à d’autres forces politiques qui fusionnent, le parti présidé par Jacques Ayadji ne prévoit pas d’alliance.

Au cours d’une émission spéciale baptisée ‘‘Focus’’, co-animée par les journalistes Donklam Aballo d’Eden Tv et Osias Sounouvou de l’ORTB, le premier responsable du parti a confirmé que «  Moele-Bénin n’envisage pas d’aller aux élections en groupe ».

« Moele-Bénin ne fera pas une manifestation pour dire qu’il est en train de fusionner » et « ira seul », a-t-il laissé entendre.

Et à la question de savoir si cette option ne réduisait pas les chances du parti d’obtenir des sièges, Jacques Ayadji a avancé qu’il n’a « pas une obsession d’aller à l’Assemblée nationale ».

Pour lui, ce qui prime, c’est de « «partager l’idéal » et « l’offre politique » de Moele-Bénin avec les Béninois (ses).

Discours diplomatique d’un président de parti qui anticipe déjà sur l’échec ?

Manassé  AGBOSSAGA

Législatives 2023 au Bénin : « Partout où je suis positionné, je gagnerai », assure Bertin Koovi

Avis aux potentiels adversaires de Bertin Koovi ! Le président de l’Alliance Iroko et membre du Bloc Républicain jure de sa victoire aux législatives du 08 janvier 2023, peu importe la circonscription électorale.

Avis aux potentiels adversaires de Bertin Koovi ! Le président de l’Alliance Iroko et membre du Bloc Républicain jure de sa victoire aux législatives du 08 janvier 2023, peu importe la circonscription électorale.

Sur le plateau de l’émission ‘’Cartes sur table’’ de la radio Océan Fm, dimanche 11 septembre 2022, Bertin Koovi s’est montré rassurant sur sa victoire aux législatives de janvier 2023, en cas de candidature. Il a juré battre ses adversaires dans n’importe quelle circonscription électorale si le Bloc républicain le positionnait.

«… Quelque soit là où je suis candidat, je gagne… moi partout où je suis positionné, je gagnerai. Ça, j’en ai la certitude mathématique », a-t-il lancé avec assurance.

Bertin Koovi met en avant son passé de candidat malheureux à la présidentielle de 2016 et son séjour carcéral en Guinée équatoriale quand le journaliste lui balance qu’il n’a « jamais eu un mandat électif ».

« En 2016, j’ai été candidat. Sur 33 candidats, j’ai été 13ᵉ. J’ai battu la plupart des ministres et députés de Yayi Boni qui avaient déjà un nom. Moi qui suis venu comme un cheveu dans la soupe. Je les ai battus et j’ai une dispersion… La Cour constitutionnelle m’a envoyé une lettre de félicitation pour dire monsieur Koovi, vous êtes l’un des rares candidats à dimension nationale … J’avais au moins 1 votant sur 95% des circonscriptions sur le plan national… donc, je suis un candidat d’envergure nationale. Les populations me connaissent », a-t-il justifié, ajoutant « … En me mettant en prison, le président Talon, que je remercie au passage, a fait de la publicité pour moi. En 2016, la dimension que j’avais est totalement autre qu’aujourd’hui ».

Quand un candidat qui avait juré de sa victoire à la présidentielle de 2016, vient 5 ans après se réjouir de sa 13ᵉ place sur 33 candidats, il y a de quoi à se demander si le président de l’Alliance Iroko n’est pas dans une autre incantation.

Manassé AGBOSSAGA

Législatives 2023 : Objectif « 55 députés » pour Iréné Agossa qui s’engage à réunir tous les partis de l’opposition

Les partis Restaurer la confiance (RLC) et Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) comptent aller ensemble pour affronter la bataille des législatives de janvier 2023. L’objectif est de se donner toutes les chances pour décrocher au moins 55 députés, a confié Iréné Agossa, promettant de tout mettre en œuvre pour convaincre les autres partis de l’opposition à rejoindre le mouvement.

Les partis Restaurer la confiance (RLC) et Force cauris pour un Bénin émergent (FcBe) comptent aller ensemble pour affronter la bataille des législatives de janvier 2023. L’objectif est de se donner toutes les chances pour décrocher au moins 55 députés, a confié Iréné Agossa, promettant de tout mettre en œuvre, pour convaincre les autres partis de l’opposition à rejoindre le mouvement.

Interrogé par Radio Bénin, le président du parti Restaurer la confiance a levé un coin de voile sur les coulisses du rapprochement avec le parti FcBe.

Il a laissé entendre que le parti a entrepris « des contacts » et des « démarches » avec les autres formations politiques de l’opposition.

Seulement voilà, seul le parti FcBe de Paul Hounkpè  a donné suite au courrier du RLC, a-t-il révélé.

« Nous avons envoyé un courrier avec un projet d’accord rédigé dans un document à tous les partis politiques. Le premier parti politique de l’opposition qui a réagi positivement, c’est le parti FcBe qui s’est rendu à notre siège pour nous signifier sa volonté de pouvoir faire chemin avec nous dans le principe que nous avons rédigé dans le document », a indiqué Iréné Agossa.

Le colistier de Corentin Kohoué à la présidentielle de 2021 a ajouté qu’il a été convenu que « les points de désaccord soient rapidement traités par un comité qui a été mis sur pied ».

Iréné Agossa reste confiant qu’un accord sera trouvé dans les prochains jours pour une fusion des deux partis.

« Nous allons nous donner dans cette démarche et faire en sorte que nous puissions aboutir à l’objectif que nous nous  sommes fixés, c’est-à-dire, être ensemble pour les élections législatives. Dans très peu de temps, cette fumée va pouvoir sortir », a-t-il assuré.

Iréné Agossa veut contrôler le prochain parlement

Le président du parti RLC a promis ne pas s’arrêter aux ‘‘Cauris’’. Malgré les désaccords et ses nombreux critiques à l’endroit du parti Les Démocrates,  il a pris l’engament d’aller au contact des autres forces de l’opposition.

« Nous n’allons rien lâcher. Nous allons continuer à contacter les autres partis, aller les voir, discuter avec eux, expliquer le bien fondé de notre démarche » a-t-il promis.

Et là-dessus, le président du RLC a affiché clairement ses ambitions pour les législatives de 2023.

Pour lui, l’objectif est de contrôler le prochain parlement.

« Il ne s’agit plus d’avoir quelques députés. Il s’agit de contrôler le Parlement. Et pour contrôler le Parlement, il faut que nous ayons 55 députés ».

Iréné  Agossa reste persuadé qu’aucun « aucun parti de l’opposition ne peut à lui seul réaliser cette performance ».

Et de lancer un appel à l’union : «  Il va falloir que nous nous mettons ensemble et que nous soyons dans une stratégie commune ».

Conformément au code électoral retouché, le nombre de députés à l’Assemblée nationale est de 109 sièges dont 24 sièges exclusivement réservés aux femmes.

Manassé AGBOSSAGA

Législatives 2023 au Bénin : Rachidi Gbadamassi fait une promesse

C’est un pari que prend Rachidi Gbadamassi. Dans la commune de Pèrèrè, le mercredi 25 août dernier, le député de la 8è circonscription électorale a juré de la victoire du Bloc républicain (BR) lors des législatives de janvier 2023.  

C’est un pari que prend Rachidi Gbadamassi. Dans la commune de Pèrèrè, le mercredi 25 août dernier, le député de la 8è circonscription électorale a juré de la victoire du Bloc républicain (BR) lors des législatives de janvier 2023.

« La victoire sera du côté du Bloc républicain », a assuré Rachidi Gbadamassi.

Convaincu du sacre du parti au cheval blanc, il a invité les populations de Pèrèrè à la sérénité face à ce qu’il appelle « la manipulation et  l’intoxication politique », allusion aux démissions enregistrées au Boc républicain.

2023 n’étant pas loin, le temps dira si le ‘‘Professeur en science politique’’ autoproclamé a  dit vrai.

 Manassé AGBOSSAGA