Emploi des jeunes : Priorité absolue du MPL, assure Expérience Tébé

Au Mouvement populaire de libération (MPL), le débat n’est plus à la participation ou non, aux législatives 2023. Convaincus que le parti sera bel et bien présent sur la ligne de départ, les membres de cette formation politique de l’opposition s’attardent désormais sur leur projet de société pour séduire les électeurs le 08 janvier. Expérience Tébé a, dans ce sens, indiqué que les problèmes liés à la jeunesse constituent l’une des priorités du MPL.

Au Mouvement populaire de libération (MPL), le débat n’est plus à la participation ou non, aux législatives 2023. Convaincus que le parti sera bel et bien présent sur la ligne de départ, les membres de cette formation politique de l’opposition s’attardent désormais sur leur projet de société pour séduire les électeurs le 08 janvier. Expérience Tébé a, dans ce sens, indiqué que les problèmes liés à la jeunesse constituent l’une des priorités du MPL.

A travers un message laconique, sur son compte méta, le président du MPL a levé un coin de voile sur les priorités du parti, une fois, au Parlement. Pour Expérience Tébé, « les préoccupations qui sont les plus urgentes, « tournent autour des problèmes liés à la jeunesse », notamment la question de l’emploi.

Le MPL prévoit alors une batterie de mesures pour sortir les jeunes du chômage.

«  Nous allons, avec les autres collègues initier des lois pour p𝐫𝐨𝐭𝐞́𝐠𝐞𝐫 𝐚̀ 𝐭𝐫𝐚𝐯𝐞𝐫𝐬 𝐮𝐧 𝐝𝐢𝐬𝐩𝐨𝐬𝐢𝐭𝐢𝐟 𝐛𝐢𝐞𝐧 𝐩𝐫𝐞́𝐜𝐢𝐬 𝐭𝐨𝐮𝐬 𝐜𝐞𝐬 𝐣𝐞𝐮𝐧𝐞𝐬 𝐝𝐢𝐩𝐥𝐨̂𝐦𝐞́𝐬 𝐬𝐨𝐫𝐭𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐧𝐨𝐬 𝐞́𝐜𝐨𝐥𝐞𝐬 𝐞𝐭 𝐮𝐧𝐢𝐯𝐞𝐫𝐬𝐢𝐭𝐞́𝐬 𝐞𝐭 𝐪𝐮𝐢 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐞𝐧 𝐪𝐮𝐞̂𝐭𝐞 𝐝’𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐨𝐜𝐜𝐮𝐩𝐞𝐫 𝐭𝐨𝐮𝐬 𝐜𝐞𝐬 𝐣𝐞𝐮𝐧𝐞𝐬 𝐩𝐞𝐧𝐝𝐚𝐧𝐭 𝐮𝐧 𝐦𝐨𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐯𝐢𝐚 𝐥𝐞 𝐦𝐞́𝐜𝐚𝐧𝐢𝐬𝐦𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐩𝐞𝐧𝐬𝐨𝐧𝐬 », promet le président du Parti.

𝐈𝐥 𝐬’𝐚𝐠𝐢𝐫𝐚 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝐜𝐡𝐚𝐫𝐠𝐞 𝐩𝐞𝐧𝐝𝐚𝐧𝐭 𝐬𝐢𝐱 𝐨𝐮 𝐡𝐮𝐢𝐭 𝐦𝐨𝐢𝐬,  𝐩𝐚𝐫 𝐞𝐱𝐞𝐦𝐩𝐥𝐞, et de les obliger plus tard, à « 𝐭𝐫𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫 𝐮𝐧 𝐞𝐦𝐩𝐥𝐨𝐢 𝐝𝐞 𝐪𝐮𝐞𝐥𝐪𝐮𝐞 𝐧𝐚𝐭𝐮𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐜𝐞 𝐬𝐨𝐢𝐭 », explique Expérience Tébé.

Le MPL attend la campagne électorale pour mieux détailler ce volet de son ambitieux programme.

 Manassé AGBOSSAGA

Message

Organisation des Législatives de 2023: Expérience Tébé revient sur les craintes du MPL à l’endroit de la Céna et met en garde

Le 14 juin 2022, le président de la Commission Electorale Nationale Autonome Céna a rencontré les partis politiques dans le cadre des préparatifs des législatives de janvier 2023. En sa qualité de président du Mouvement Populaire de Libération, Expérience Tébé a pris part aux échanges. De ses propos à la fin face aux hommes de

Le 14 juin 2022, le président de la Commission Electorale Nationale Autonome Céna a rencontré les partis politiques dans le cadre des préparatifs des législatives de janvier 2023. En sa qualité de président du Mouvement Populaire de Libération, Expérience Tébé a pris part aux échanges. De ses propos à la fin face aux hommes des médias, il est à retenir que le leader de l’opposition a toujours des craintes envers l’unique organe en charge des élections au Bénin.

Christophe KPOSSINOU

Malgré l’installation d’une nouvelle équipe dirigeante à la tête et sa restructuration, la Commission Electorale Nationale Autonome (Céna) continue de susciter des craintes dans le rang des partis politique à la veille des législatives de 2023. C’est le cas du parti Mouvement Populaire de Libération (MPL) dont le président Expérience Tébé ne cache pas ses émotions. Face aux hommes des médias le 14 juin 2022 à la sortie d’une rencontre d’échange initiée par l’institution avec les partis politiques dans le cadre des ces élections, le leader politique de l’opposition réaffirme que des craintes demeurent toujours. «… Nous avons des préoccupations que nous avons toujours exprimées en d’autres lieux. Même si ici avec eux, nous n’avons pas le sentiment que nous allons trouver solutions à ces préoccupations. Nous, nous continuons toujours de les répéter », laisse-t-il entendre dans un premier temps.

Des précisions

Connu pour son discours direct, Expérience Tébé va donner des précisions sur les aspects objets des craintes du MPL. Il s’agit entre autres a-t-il cité : les questions concernant la liste électorales, les bureaux de votes électoraux, le recrutement des agents, le poste de vote, la liste des pièces à fournir, les formulaires de déclaration de candidature. Mais également estime-t-il, l’institution aujourd’hui doit faire beaucoup d’efforts pour redorer sa crédibilité. Ceci afin de permettre aux acteurs politiques de ramener la confiance en elle pour pouvoir aborder ses législatives qui sont très capitales en ce moment.

Pas comme les autres fois …

Les craintes énumérées vont-elles amener le MPL a abandonné la course ? Pas question. Le président Mouvement populaire a toujours réaffirmé la volonté effective de sa formation politique de prendre part aux élections législatives de janvier 2023. L’énumération de ses craintes ne constitue donc pas un bouc émissaire pour se mettre hors course. Au contraire le parti politique à travers ces dénonciations entend mettre en garde puisque le MPL ne se laissera pas faire comme il en a été le cas lors des Communales 2020. Au micro des hommes des médias, Expérience Tébé l’a réaffirmé : « Il ne nous convaincra pas (…) Ils nous ont déjà par le passé suffisamment montré qu’il ne faut pas dormir sur nos lauriers. Et donc nous sommes vigilants. Nous attendons. Nous les suivons au pas. Mais qu’ils sachent que cette fois-ci, ça ne passera pas comme les autres fois. »

Il faut rappeler que fasse au médiateur de la République, le MPL a également fait part de ses craintes. Depuis lors la formation reste toujours dans l’attente de la prise des décisions qu’il faut. Ce qui peine toujours.

Bénin: Eugène Azatassou répond à Georges Otchéré

Je viens de lire sur les réseaux sociaux, une opinion de Monsieur Georges OTCHERE rapportée par KPAKPATOMEDIAS du 17 juin 2022, dans un article intitulé : « législatives 2023 : Georges OTCHERE interpelle la jeunesse et accuse les « compatriotes de la diaspora » ».

AU SUJET DE NOTRE MODELE DEMOCRATIQUE

Je viens de lire sur les réseaux sociaux, une opinion de Monsieur Georges OTCHERE rapportée par KPAKPATOMEDIAS du 17 juin 2022, dans un article intitulé : « législatives 2023 : Georges OTCHERE interpelle la jeunesse et accuse les « compatriotes de la diaspora » ».

Dans le texte, Monsieur OTCHERE mène un débat de sourd avec un jeune qui est blasé par rapport à la question électorale dans notre pays et l’exclusion qui est le propre du pouvoir de la rupture. Il dit en effet : « depuis l’historique conférence nationale des forces vives de 1990 que reste-t-il de notre modèle démocratique ? Où est passé le consensus qui faisait notre force ? » Et il poursuit : «je n’irai pas aux urnes car mon vote n’y changera rien ». L’insistance de Monsieur OTCHERE n’a pu convaincre le jeune qui dit : « je préfère rester dans mon coin et vivre ma souffrance en paix ». Alors Monsieur OCTHERE constate : « faire le choix de se soustraire à la vie politique est une forme de déni qui peut impacter négativement la participation électorale et la légitimité des élus ». Mais il relie au fait que notre modèle démocratique est calqué sur celui de la France. Il fait observer le faible taux de participation aux dernières élections en France et montre que c’est un indicateur sur « les limites de ce modèle ». Il finit par : « j’accuse nos compatriotes de la diaspora qui ont pris les rênes du pouvoir dans notre pays au lendemain de la conférence nationale et plagié le modèle français sans jamais cherché à l’extirper de toutes les tendances incomptables avec nos valeurs propres».

Le problème posé par le jeune est claire. Il part de la gouvernance électorale du pouvoir de la rupture et conclut qu’il vaut mieux rester dans son coin. Mais Monsieur OTCHERE embrouille la question comme d’autres partisans de la rupture en y mêlant les questions de modèle démocratique. Je vais aborder le problème en deux temps : le problème posé par le modèle démocratique et pourquoi les combattants doivent prendre part aux élections législatives de 2023.

I- LA QUESTION DU MODELE DEMOCRATIQUE

De plus en plus, les partisans de la rupture ont ramené les problèmes de notre pays au plan démocratique à la question du modèle qui serait inadapté à nos valeurs. Certains thuriféraires prétendent que la démocratie devrait être propre à chaque région du monde et que personne d’autres ne devraient donner des leçons parce que nous autres n’en donnons pas lorsque TRUMP a fait des siennes aux Etats-Unis. Même la vice-présidente de la République Madame TALATA l’a évoqué dans un récent discours où elle faisait état du choix de modèle effectué en 1960 et en 1990 sans tenir compte de nos valeurs propres. C’est dans ce sens que va Monsieur OTCHERE. Mais ce raisonnement fait croire qu’un bon modèle démocratique devrait nous permettre de massacrer nos populations, enfermer massivement nos opposants ou les contraindre à l’exil sans que personne ne trouve à redire parce que c’est conforme à nos valeurs. C’est inadmissible car les droits de l’homme ont un caractère universel.

Une chose est certaine. La bourgeoisie Africaine en constitution à l’époque coloniale n’était pas apparue dans le même contexte que son homologue d’Europe. Elle n’est pas née dans le feu de la production encore moins dans un contexte de capitalisme émergent. Elle ne sait pas comment développer la production capitaliste en tenant compte de la situation concrète sur le continent. Au contraire, il lui a été inculqué que ses peuples sont barbares et impropres à la production et que sa culture est hors de l’histoire et donc inexistante. Elle a été entretenue dans une position de supériorité par rapport à l’indigène non scolarisé et d’absolue infériorité par rapport au colon. Il faut ajouter à ceci, le fait que le colonisateur était d’une brutalité inouïe vis-à-vis de toute remise en cause profonde. Tout ceci a produit une partie de la bourgeoisie africaine peu sûre d’elle, incapable de s’émanciper du colonisateur et d’organiser la production dans le sens du développement capitaliste des Etats africains. C’est à cette frange de la bourgeoisie africaine que le colonisateur a remis le pouvoir aux indépendances 1960 pour garantir ses intérêts. Cette fraction de la bourgeoisie africaine s’est reproduite jusqu’à nos jours et détient les rênes du pouvoir dans nos Etats.

Nous ne sommes pas confrontés  aux mêmes problèmes que les Etats capitalistes développés d’Europe et les USA. En Europe par exemple, les peuples ont des problèmes liés aux contradictions internes au capitalisme développé. C’est pour cela que d’une élection à l’autre, ils balancent entre diverses conceptions de développement (gauche, droite, extrême droite, gauche etc.). Dans nos Etats africains, nous sommes confrontés à l’insuffisance de développement du capitalisme. Pour accélérer ledit développement, nous avons besoin d’une démocratie bourgeoise complète quand bien même elle apparaît comme factice. Nous avons aussi besoin de renouer avec nos réalités et nos valeurs propres. Il faudra pour cela renverser les vues extraverties de la bourgeoisie africaine.

II- LES ENJEUX DES ELECTIONS LEGISLATIVES DE 2023

Depuis Avril 2016, le Bénin est dirigé par un pouvoir dictatorial qui s’est accaparé de toutes les institutions de la République et qui empêche la compétition électorale aux moyens des lois et des actes d’exclusion. Cela s’est traduit en 2019 par un parlement où tous les députés sont de la mouvance présidentielle. Pour les élections qui ont suivi celle de 2019, le pouvoir a décidé de se faire accompagner par de prétendus opposants qui ont aidé plutôt la dictature à mieux s’installer. C’est ce qui crée la confusion dans les esprits au sujet de la participation de combattants aux élections législatives de 2023. Mais le pouvoir lui-même sait que toutes les tentatives de participation aux élections qu’il organise ne sont pas de la même nature. C’est pour cela qu’il emprisonne certains qui décident de participer et dresse des couronnes à d’autres. Pour autant que toutes les formes légales de lutte soient nécessaires pour régler le problème de la dictature dans notre pays, la bonne participation aux élections législatives de 2023 devient impérieuse et le peuple béninois doit se mobiliser pour en exiger le caractère inclusif, transparent et équitable. Le pouvoir lui-même redoute cela car à chaque fois que ce genre de participation doit intervenir, il est obligé de sortir de ses réserves pour exposer sa nature à la face du monde. Il en a toujours résulté une élévation du niveau de la conscience du peuple. La non-participation de l’opposition véritable le laisserait dans sa zone de confort. Le risque de se faire doubler par des traitres éventuels, n’est pas nul. Mais comment vaincre une dictature sans aucun risque ?

Cotonou, le 17 juin 2022

Eugène AZATASSOU

Richard Boni Ouorou: « Aujourd’hui, 82% des Béninois sont de l’opposition »

Richard Boni Ouorou signe et persiste. Pour le Politologue, l’actuel locataire de la marina n’a plus la confiance de ses compatriotes. Chiffre à l’appui, il soutient que « 82% des Béninois sont de l’opposition » plus  de six  ans après l’avènement du  régime de la Rupture.

Richard Boni Ouorou signe et persiste. Pour le Politologue, l’actuel locataire de la marina n’a plus la confiance de ses compatriotes. Chiffre à l’appui, il soutient que « 82% des Béninois sont de l’opposition » plus  de six  ans après l’avènement du  régime de la Rupture.

Le politologue a fait cette forte déclaration dans un entretien accordé à la Web TV ‘‘ Le Béninois’’ Libéré. Avec assurance et fermeté, Richard Boni Ouorou   martèle que le régime de la Rupture n’enchante plus les Béninois.

Et selon lui, « aujourd’hui, 82% des Béninois sont de l’opposition ».

Mais à la question du journaliste Aboubakar Takou de  savoir d’où il tient ce chiffre, Richard Boni Ouorou met en avant la dernière présidentielle.

Pour lui « le taux de participation de la présidentielle de 2021 est révélateur (Ndlr: 50,17 %) » du désamour entre Patrice Talon et son peuple.

Richard Boni Ouorou, « si on maîtrise le processus électoral Patrice Talon n’aura même pas deux députés »

Dans un tel contexte, le Politologue ne voit pas les partis de la mouvance présidentielle  remporter les législatives de 2023, si par miracle, elles étaient inclusives. Richard Boni Ouorou a doutes sur un une élection inclusive, car dira-t-il, il serait « prétentieux de dire qu’on peut prendre Patrice Talon Talon aux mots ».

Toutefois, poursuit-il, « s’il n’y a pas de pression sur l’opposition, si on met les pressions de côté, si on maîtrise le processus électoral, Patrice Talon n’aura même pas deux députés ».

Une position tranchée qui risque de provoquer l’ire des partisans de la Rupture.

Manassé AGBOSSAGA

Législatives 2023: Léopold Zinsou dévoile ses ambitions

L’appel des jeunes de la 6ème Circonscription Electorale à l’endroit de Léopold Zinsou pour le compte des prochaines élections législatives a désormais une réponse. Une réponse favorable bien-sûr. Celle du oui. Oui, Léopold Zinsou entend

Membre fondateur du parti Union Progressiste, Léopold Zinsou leader politique de la 6ème Circonscription Electorale a situé ses militants sur ses ambitions pour le compte des prochaines élections législatives. Ce qu’il y a lieu de retenir, l’effectivité de sa volonté d’être dans le starting-block.

L’appel des jeunes de la 6ème Circonscription Electorale à l’endroit de Léopold Zinsou pour le compte des prochaines élections législatives a désormais une réponse. Une réponse favorable bien-sûr. Celle du oui. Oui, Léopold Zinsou entend bien être candidat sur la liste du parti Union Progressiste son parti pour le compte des prochaines élections législatives. C’est son ambition. Une ambition qu’il ne cache plus et dont la concrétisation dépend bien selon lui des responsables de la formation politique au logo Baobab.

En effet, au cours d’une rencontre d’échanges avec un groupe de jeunes de la 6ème Circonscription Electorale. Rencontre qui s’est déroulée cette semaine à Abomey-Calavi et rapportée par nos confrères du journal Écho des Communes, Léopold Zinsou a répondu à la principale interrogation de ces jeunes militants. Il s’agit de la question selon laquelle : Qu’elles sont vos ambitions pour le compte des prochaines élections législatives ? À l’opérateur économique et acteur politique de faire savoir qu’il compte bien être sur la liste du parti Union Progressiste son parti pour prendre part aux prochaines élections législatives.

L’ancien Conseiller Communal voudrait bien mériter son positionnement. Il souhaite à cet effet que son parti organise des primaires auxquels il prendra part comme tous les potentiels candidats.

Une nouvelle qui réjouit déjà assez dans le rang des militants de l’arrondissement de Godomey son fief. Ces derniers qui ont rassuré de leur détermination à œuvrer pour une nouvelle victoire du parti UP au soir du 8 janvier prochain.

Christophe KPOSSINOU