Boni Yayi à Manigri, la raison

Nouvelle sortie politique du président d’honneur du parti Les Démocrates. Après sa participation aux côtés des femmes LD de la 15è circonscription électorale dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la Femme,  Boni  Yayi est en en déplacement à Manigri, ce samedi 29 avril 2023. Il y est avec d’autres responsables du parti d’opposition , dont le député Nourénou Atchadé.

Nouvelle sortie politique du président d’honneur du parti Les Démocrates. Après sa participation aux côtés des femmes LD de la 15è circonscription électorale dans le cadre de la célébration de la Journée internationale de la Femme,  Boni  Yayi est en en déplacement à Manigri, ce samedi 29 avril 2023. Il y est avec d’autres responsables du parti d’opposition , dont le député Nourénou Atchadé.

Boni Yayi devrait participer à un meeting de remerciement du parti Les Démocrates à l’endroit des militants de la 14ème circonscription électorale après le sacre des législatives du 08 janvier dernier.

L’ancien président pourrait également prendre part à une prière à l’intention de feu Ahamed Akobi, son 1er Directeur de cabinet civil, après son arrivée au pouvoir en 2006. Natif de Manigri, l’ancien ministre des travaux publics et des transports a trouvé la mort dans un tragique accident de la route le 29 avril 2006.

Une pensée pour sa famille biologique et ses proches.

M.A

Les députés du parti Les Démocrates chez Soglo ce mercredi

Les députés du parti Les Démocrates rendent visite à Nicéphore Soglo, ce mercredi 26 avril. Ils sont  au domicile de l’ancien président de la République, depuis quelques minutes.

Les députés du parti Les Démocrates rendent visite à Nicéphore Soglo, ce mercredi 26 avril. Ils sont  au domicile de l’ancien président de la République, depuis quelques minutes.

Selon les indiscrétions, la loi d’amnistie initiée par les élus LD  pour faciliter la libération des détenus politiques et le retour des exilés politiques sera au menu des échanges entre Nicéphore Soglo et ses hôtes.

Nous y reviendrons !!!

M.A  

8è circonscription électorale : Faridath Assouma fait un reproche aux députés du parti Les Démocrates

Faridath Naro Assouma attaque les élus du parti d’opposition Les Démocrates dans la 8è circonscription électorale. De passage sur la télévision en ligne BL TV, la militante du Bloc républicain s’est plainte de l’absence des députés LD aux côtés des populations.

Faridath Naro Assouma attaque les élus du parti d’opposition Les Démocrates dans la 8è circonscription électorale. De passage sur la télévision en ligne BL TV, la militante du Bloc républicain s’est plainte de l’absence des députés LD aux côtés des populations.

Après l’euphorie des législatives de janvier et la victoire du parti d’opposition qui a obtenu 04 sièges sur 06, Faridath Naro Assouma se désole de voir que les députés LD  ne fassent pas de la défense des intérêts de leurs mandants,  une priorité.

«  (…) Nous ne les voyons pas. Nous ne savons pas où sont Les Démocrates. Ceux qui ont été élus, Les députes Les Démocrates, nous ne les voyons pas sur le terrain. On ne les voit pas sur le terrain », constate tristement la native de Parakou.

Pour elle, « quand on est élu,   la moindre des choses c’est de faire des tournées », ou d’initier des actions qui prouvent que vous vous préoccupez des conditions de vie des populations.

Un mal pour un bien, puisque Faridath Naro Assouma soutient que cela a ouvert les yeux aux populations qui ont compris leur erreur.

« Les populations se rendent comptent qu’elles ont fait un fait un mauvais choix…Ceux qui ont voté contre nous, ont compris aujourd’hui que c’est avec nous, qu’ils doivent travailler », a-t-elle conclu.

Les 4 députés LD apprécieront !

M.A

Léansou Do-Régo et Denise Hounmènou célèbrent la JIF en différé avec les femmes démocrates de la 15è CE, Boni Yayi rehausse l’évènement

Les femmes Démocrates de la 15ème circonscription électorale ne sont pas restées en marge de la célébration de l’édition 2023 de la journée internationale de la femme. Ce samedi 11 mars sur le terrain de Midomba, elles ont célébré l’évènement en différé avec à la manette, le duo Léansou Do-Régo- Denise Hounmènou. La cérémonie a été rehaussée par la présence de l’ancien président Boni Yayi, du président du parti Eric Houndété, de plusieurs députés et autres.

Les femmes Démocrates de la 15ème circonscription électorale ne sont pas restées en marge de la célébration de l’édition 2023 de la journée internationale de la femme. Ce samedi 11 mars sur le terrain de Midomba, elles ont célébré l’évènement en différé avec à la manette, le duo Léansou Do-Régo- Denise Hounmènou. La cérémonie a été rehaussée par la présence de l’ancien président Boni Yayi, du président du parti Eric Houndété, de plusieurs députés et autres.

La JIF a eu lieu chez les femmes Démocrates de la 15ème circonscription électorale. Les députés Léansou Do-Régo et Denise Hounmènou ont, main dans la main, célébré en différé l’évènement avec leurs militantes, sœurs, mères,… Ceci sous l’onction divine.

L’honorable Denise Hounmènou et des femmes démocrates offrant des offrandes

Dans un élan de gratitude et de remerciement au tout puissant, c’est par une messe d’action de grâce que la célébration de l’édition 2023 de la JIF  par les femmes Démocrates de la 15ème circonscription électorale et leurs représentants à l’hémicycle s’est ouverte.

Après les prières, bénédictions et conseils du curé, le président du parti Les Démocrates a salué l’initiative et félicité les initiateurs.

« Nous célébrons les femmes de la 15è circonscription électorale  et leurs députés. Nous célébrons la JIF. Nous sommes venus ici pour rendre grâce à Dieu. Il était important de rendre grâce à Dieu pour tout le bien qu’il a fait au parti Les Démocrates », a déclaré Eric Houndété.

Et tout en reconnaissant le précieux rôle des femmes dans la construction de notre pays, il a exhorté ces dernières à poursuivre le combat.

Eric Houndété n’a pas manqué de rendre hommage à Boni Yayi, qui dira-t-il, confirme son amour éternel aux femmes à travers sa présence à la cérémonie.

Prenant la parole, Boni Yayi n’a pas dérobé à la tradition. Face à des militantes toutes bien vêtues dans un pagne confectionné pour la cérémonie, l’ancien président a sorti sa phrase fétiche : « vous êtes belle », ajoutant « qu’elles sont les plus belles du monde ».

Le président d’honneur du parti Les Démocrates a ensuite plaidé pour la promotion de la femme pour un développement harmonieux.

S’adressant aux organisateurs, Boni Yayi a dit toute sa satisfaction, référence au culte d’action de grâce. Il a exhorté les uns et les autres à aller au-delà en initiant des prières dans toute le Bénin pour solliciter le soutien du tout puissant.

Et c’est sur cette doléance spirituelle du président d’honneur du parti, que les députés Léansou Do-Régo et Denise Hounmènou  vont convier les femmes et leurs hôtes à l’autre partie intéressante de la célébration de la JIF dans la 15è circonscription électorale.

De l’utile à l’agréable …

Manassé AGBOSSAGA

Recours des Démocrates sur la constitution des commissions permanentes : la Cour constitutionnelle garde le suspense

Le dossier des députés du parti Les Démocrates était à la barre à la Cour constitutionnelle ce jeudi 2 mars 2023. Après audition des différentes parties, la cour constitutionnelle n’a pas livré son verdict, renvoyant l’audience au 9 mars prochain.

Le dossier des députés du parti Les Démocrates était à la barre à la Cour constitutionnelle ce jeudi 2 mars 2023. Après audition des différentes parties, la cour constitutionnelle n’a pas livré son verdict, renvoyant l’audience au 9 mars prochain.

La Cour constitutionnelle joue les prolongations au sujet du recours du parti Les Démocrates relatif à la répartition des postes de Présidents des cinq Commissions permanentes de l’Assemblée nationale. Si les conseillers de la haute juridiction ont dans un premier temps, auditionné Nourénou Atchadé, président du groupe parlementaire LD, Eric Houndété, le député Wassangari, puis les présidents des groupes parlementaires BR et UP-R, les présidents des commissions permanentes,  ils ont toutefois retardé le délibéré.

Sans donner le verdict, la Cour constitutionnelle a renvoyé l’audience au jeudi 09 mars prochain pour le rapport

Dans les deux recours introduits par Nourénou Atcahadé le 22 février puis Eric Houndété le 27 février, les requérants demandent notamment la recomposition des commissions parlementaires et la reprise des élections des bureaux desdites commissions.

A la barre ce jeudi 02 mars, ils ont dénoncé la violation de la loi. Ils ont accusé les députés de la majorité parlementaire de ne pas respecter la configuration de l’assemblée nationale conformément aux dispositions de l’article 5  du règlement intérieur de l’institution.

Réagissant à cette accusation Aké Natondé, Orden Alladatin et les autres ont fait savoir que le camp de la minorité a refusé le poste de secrétaire des commissions qui leur ont été proposé. Ils ont soutenu que les députés LD sont les responsables de cette situation.

Après plus de 2 heures de débats et après avoir écouté les plaidoiries des avocats des différentes parties, la Cour constitutionnelle a décidé de garder le suspense en renvoyant l’audience dans une semaine.

M.A

 

« Les 28 députés LD ne pourront rien faire » : Mitokpè répond aux mauvaises langues et lance, « que les gens arrêtent de décourager le peuple »

Le parti Les Démocrates a obtenu 28 députés à l’issue des législatives du 08 janvier 2023, selon les résultats publiés par la Cour constitutionnelle. Très tôt, certains leaders de l’opposition ont déclaré que Houndété et les siens ne pourront rien faire au parlement. A ces derniers, Guy Dossou Mitokpè a demandé   « d’arrêter de décourager le peuple ».

Le parti Les Démocrates a obtenu 28 députés à l’issue des législatives du 08 janvier 2023, selon les résultats publiés par la Cour constitutionnelle. Très tôt, certains leaders de l’opposition ont déclaré que Houndété et les siens ne pourront rien faire au parlement. A ces derniers, Guy Dossou Mitokpè a demandé  « d’arrêter de décourager le peuple ».

L’ancien député a adressé ce message aux détracteurs du parti en marge d’une conférence de presse organisée, le mercredi dernier. Pour Guy Dossou Mitokpè, le schéma actuel n’est pas différent de 2019.

« Lorsque les détracteurs ont commencé à chanter sur tous les toits que nous ne sommes que 28 et que nous ne ferons rien durant les 3 ans,  j’ai eu à répondre à un certain nombre de personnes en disant, mais écoutez, nous on était 21, et curieusement celui qui était le président du groupe parlementaire des 21 est le président du groupe parlementaire des 28.  », a-t-il rappelé.

Il a poursuivi et a fait remarquer que malgré les 21 députés sur 83 à la 7ème législature, ils ont réussi à être portés  en triomphe par le peuple. Pour lui, si 21 députés minoritaires ont été applaudis en 2019, les 28 députés LD de la 9ème législature peuvent rééditer l’exploit.

« Si les 21 ont été applaudis, ont été appréciés du peuple, les 28 seront naturellement appréciés parce que ce sont les mêmes personnes, ce sont les mêmes personnes qui n’ont pas changé malgré la traversée du désert. Donc, n’ayons aucune crainte », a-t-il soutenu, avant de lancer,  « que les gens arrêtent de décourager le peuple ».

Guy Dossou Mitokpè a ajouté que le discours des détracteurs du parti LD ne cesse de varier. Il rappelle que ces derniers avaient juré que « LD est un parti mort-né », que le « parti n’aura pas les 10% », «  28,  ce n’est rien », et désormais c’est pour le matériel que le parti a été aux législatives.

Loin de ces critiques, Guy Dossou Mitokpè a assuré que les 28 députés et tous les membres du parti vont se battre pour l’intérêt du peuple.

M.A

« Dans un élan de cupidité, les députés de la majorité parlementaire se sont arrogés tous les postes »

Au cours d’une conférence de presse mercredi 22 février 2023, les députés de la minorité parlementaire ont justifié leur retrait de l’hémicycle le jeudi 16 février dernier. Les élus du parti les Démocrates accusent notamment leurs collègues de « cupidité » qui se « sont arrogés tous les postes des bureaux des commissions techniques ».

Au cours d’une conférence de presse mercredi 22 février 2023, les députés de la minorité parlementaire ont justifié leur retrait de l’hémicycle le jeudi 16 février dernier. Les élus du parti les Démocrates accusent notamment leurs collègues de « cupidité » qui se « sont arrogés tous les postes des bureaux des commissions techniques ». Lire la déclaration lue l’honorable Habibou Wouroucoubou

–  Monsieur le Président du Parti Les Démocrates

–  Mesdames et Messieurs les Responsables à divers niveaux du parti Les Démocrates,

–  Mesdames et Messieurs les Députés à l’Assemblée nationale,

–  Mesdames et Messieurs les journalistes et professionnels des Médias,

–  Mesdames et Messieurs,

En vous conviant ce jour mercredi 22 février 2023, à la présente conférence de presse, nous voudrions porter à votre connaissance certaines informations et par la même occasion clarifier certaines situations.

Comme vous vous en doutez, la présente conférence de presse tablera essentiellement sur l’actualité de la première semaine consacrant l’entrée en fonction des députés de la 9ème législature. A ce propos, qu’il vous souvienne qu’après l’installation du Parlement le 12 février 2023, les députés du parti Les Démocrates, à travers une déclaration politique à la tribune, se sont constitués en groupe parlementaire portant le nom du Parti Les Démocrates.

A l’issue de l’élection des membres du Bureau de l’Assemblée nationale, le même jour la séance a été suspendue. Le Président de l’Assemblée nationale a alors convoqué les députés les mardi 14 février et jeudi 16 février 2023. Cette dernière séance était consacrée, entre autres, à l’élection des membres des bureaux des commissions techniques de l’Assemblée nationale. Au cours de cette séance plénière, les députés du Groupe Parlementaire Les Démocrates se sont retirés de l’hémicycle afin de protester contre la violation des textes par les membres de la majorité parlementaire dans le mode d’élection des membres des Bureaux des commissions techniques.

Que s’est-il réellement passé ?

L’Assemblée nationale du Bénin est composée de cinq commissions techniques dirigées par des bureaux. Après le vote et l’installation des membres du bureau de l’Assemblée nationale, les députés devraient également procéder à la mise sur pied des bureaux des commissions techniques. Conformément au principe à valeur constitutionnelle exigée dans la mise sur pied du bureau de l’Assemblée nationale, l’élection des membres des bureaux des commissions techniques doit également tenir compte de la configuration majorité/minorité.

Ainsi, la prise en compte de ce principe devrait permettre aux députés du groupe parlementaire Les Démocrates, non seulement de présider le bureau d’une commission technique, mais aussi d’avoir certains de ses députés élus parmi les membres des bureaux des autres commissions techniques.

Malgré cette exigence des textes, et dans un élan de cupidité, les députés de la majorité parlementaire se sont arrogés tous les postes des bureaux des commissions techniques.

Chers amis de la presse, voici en résumé, ce qui justifie le retrait des députés du groupe parlementaire Les Démocrates des travaux devant consacrer la mise en place des bureaux des commissions techniques le 16 février 2023.

Je vous remercie

Drame de Dassa : Les députés du parti Les Démocrates veulent voir clair et adressent 12 questions au gouvernement

Le dimanche 29 janvier 2023 notre pays, le Bénin a été endeuillé par un accident de circulation causé par une collision entre un camion et un des bus de transport en commun de la société « baobab Express ». Ce drame a coûté la vie à plus d’une vingtaine de nos compatriotes sur place et a été marqué par l’intervention tardive des sapeurs-pompiers chargés d’éteindre le feu qui a consumé le bus malgré l’existence d’une base des sapeurs-pompiers située à quelques encablures des lieux de l’accident. Dans un communiqué en date du 30 janvier 2023 le Secrétaire Général de la Confédération Syndicale des Travailleurs du Bénin (CSTB), Monsieur KASSA MAMPO a dit en substance « il est heureux d’apprendre

Le dimanche 29 janvier 2023 notre pays, le Bénin a été endeuillé par un accident de circulation causé par une collision entre un camion et un des bus de transport en commun de la société « baobab Express ». Ce drame a coûté la vie à plus d’une vingtaine de nos compatriotes sur place et a été marqué par l’intervention tardive des sapeurs-pompiers chargés d’éteindre le feu qui a consumé le bus malgré l’existence d’une base des sapeurs-pompiers située à quelques encablures des lieux de l’accident. Dans un communiqué en date du 30 janvier 2023 le Secrétaire Général de la Confédération Syndicale des Travailleurs du Bénin (CSTB), Monsieur KASSA MAMPO a dit en substance « il est heureux d’apprendre que le gouvernement a pris des dispositions pour assister et aider à sauver les victimes en détresse. Mais lorsqu’on apprend que l’accident a eu lieu à peine à cinq cent mètres (500 m) du service des sapeurs-pompiers de DASSA-ZOUME, ville capitale des collines, dont le réservoir d’eau et le véhicule de secours sont hors d’usage depuis plus d’un an et qu’il a fallu solliciter le véhicule de secours des sapeurs-pompiers de SAVALOU qui est à plus de trente kilomètres (30 km) des lieux de l’accident, on peut se demander ce qui peut justifier une telle défection d’une structure étatique aussi vitale et sensible que celle-là ».

Mieux, il ressort de nos informations que la plupart des rescapés de cet accident qui ont été conduits au Centre National Hospitalier Universitaire Hubert Koutougou MAGA de Cotonou (CNHU-HKM) sont morts dans l’intervalle d’une semaine.

En vertu des dispositions du règlement intérieur de l’Assemblée Nationale en son article 110 et ses différents alinéas, le gouvernement est invité à répondre à la représentation nationale sur les préoccupations qui suivent :

Quel est le bilan humain de ce drame à la date d’aujourd’hui ?

Quel est le point des matériels fonctionnels dont disposait la base des sapeurs-pompiers de Dassa-Zoumé le jour du drame ?

Pourquoi les sapeurs-pompiers ont-ils mis près d’une heure de temps après l’accident avant d’intervenir alors même qu’une prompte intervention aurait certainement permis de réduire le bilan humain de ce drame ?

Quel groupement des sapeurs-pompiers est intervenu pour éteindre les flammes ?

La base des sapeurs-pompiers située à Dassa-Zoumé avait-t-elle les moyens fonctionnels pour maîtriser promptement le feu ? Quels sont les moyens matériels et humains dont disposent le Groupement National des Sapeurs-Pompiers en général et chacune des bases situées sur toute l’étendue du territoire en particulier ?

Quelles sont les diligences qui ont été mises en œuvre pour la prise en charge des rescapés de ce drame ?

Pourquoi la plupart des rescapés de ce drame sont décédés au CNHU-HKM ?

Pourquoi le gouvernement n’a pas fait l’option d’une évacuation sanitaire ?

Le plateau technique adéquat existe-il au Bénin pour prendre en charge les brûlés à ce degré ?

Pourquoi malgré les réformes annoncées dans le secteur de la santé, il n’est mise en service nulle part ailleurs sur le territoire qu’au CNHU, une unité fonctionnelle de prise en charge des grands brûlés ?

Quelles sont déjà les différentes mesures prises par le gouvernement dans le cadre de la sécurité routière en général et dans le secteur des transports en commun de notre pays en particulier ?

Quelles sont les dispositions prises dans le cadre de la prévention des catastrophes plausibles sur les routes inter-Etats, au regard des passages réguliers de camions chargés de produits inflammables ou d’uranium ?

9è législature : L’UP-R et le BR laissent le poste de 2è VP de l’Assemblée nationale au parti d’opposition LD

Le parti d’opposition Les Démocrates sera bien représenté dans le bureau de l’Assemblée nationale, 9è législature. Les deux blocs présidentiels à savoir l’Union progressiste le Renouveau et le Bloc républicain ont décidé de laisser le poste du 2è vice-président au parti minoritaire pour ne pas provoquer l’ire de la Cour constitutionnelle.

Le parti d’opposition Les Démocrates sera bien représenté dans le bureau de l’Assemblée nationale, 9è législature. Les deux blocs présidentiels à savoir l’Union progressiste le Renouveau et le Bloc républicain ont décidé de laisser le poste du 2è vice-président au parti minoritaire pour ne pas provoquer l’ire de la Cour constitutionnelle.

Seul candidat, Léon Basile Ahosso a donc été élu comme une lettre à la poste. 109 inscrits, 107 votants, 3 absentions, 0 nul, et 104 voix à l’issue du scrutin.

Les députés procèdent à présent à l’élection du 1er Questeur.

Manassé AGBOSSAGA

9è législature : Léon Basile Ahossi seul candidat au poste de 2è VP de l’Assemblée nationale

L’élection des membres du bureau de l’Assemblée nationale se poursuit au palais des gouverneurs. Après le président, le 1er vice-président, les députés procèdent à présent au vote du 2è vice-président du parlement.

L’élection des membres du bureau de l’Assemblée nationale se poursuit au palais des gouverneurs. Après le président, le 1er vice-président, les députés procèdent à présent au vote du 2è vice-président du parlement.

Et fait majeur à retenir. Une seule candidature a été enregistrée à ce poste : celle du député du parti de l’opposition Les Démocrates Léon Basile Comlan Ahossi.

Vers donc une formalité.

 Manassé AGBOSSAGA