Ebomaf : le  PDG Mahamadou Bonkoungou évoque les succès et la contribution du Groupe au progrès de l’Afrique après trois décennies d’existence

Plutôt homme d’action  que de discours, Mahamadou Bonkoungou prend, pour une fois,  la parole. Et ce, à l’occasion d’une sortie médiatique tenue ce samedi 02 octobre 2021 à Ouagadougou en présence de journalistes venus du Bénin, du Burkina-Faso, de la Guinée-Conakry et du Togo. Moment pour le Fondateur et Président directeur général de l’« Entreprise Bonkoungou Mahamadou & Fils » (EBOMAF)  de mettre les points sur les ‘‘i’’, mais aussi et surtout de revenir sur la contribution de son groupe au développement de l’Afrique notamment dans les secteurs du Bâtiment et les Travaux publics, la Grande distribution,  les Assurances, la Banque,… à l’aune de ses 32 années d’existence.

Mahamadou Bonkoungou lors de la conférence de presse

C’est un homme serein et confiant qui est apparu face aux hommes des médias venus de divers pays du continent noir dans un exercice auquel il se livre rarement.    Les succès enregistrés après trois décennies d’existence,  en sont,   sans doute,  pour beaucoup.

Mais c’est avec beaucoup de modestie et d’humilité, que  Mahamadou Bonkoungou a  mis en exergue les efforts du groupe EBOMAF pour « participer activement au développement de l’Afrique », depuis sa création le 6 septembre 1989.

Il fera d’ailleurs remarquer le groupe, beaucoup reconnu dans les pays d’Afrique de l’ouest et du centre , dans le  domaine du Bâtiment et des travaux publics (BTP),   n’a cessé d’élargir son champ d’actions et intervient désormais dans plusieurs secteurs dont  la Grande distribution,  les Assurances, la Banque, l’aviation d’affaires, l’industrie, les mines, la pêche, …

Mahamadou Bonkoungou  ajoutera à cet effet qu’EBOMAF est « actuellement un groupe économique et financier éponyme comprenant plusieurs entreprises dont LIZA transport international, une compagnie d’affaires créée en 2007, qui exploite une dizaine d’aéronefs »…

Il a également insisté sur les facilités offertes aux pays africains pour le financement de leurs programmes de développement à travers l’exécution de projets de type Partenariat- public –privé.

Des idées novatrices, un professionnalisme, un personnel qualifié , des matériels et équipements de dernières générations qui ont permis à EBOMAF de ne pas disparaître dans un environnement concurrentiel  et de « rester une entreprise en pleine expansion et en pleine croissance, faisant montre d’une résilience à toute épreuve et continuant d’accompagner les Etats africains dans leur élan de progrès ».

« Le groupe emploie environ 5000 personnes et génère un chiffre d’affaires annuel estimé à des centaines de milliards FcFa », se réjouira t-il.

Fortement présent dans le social

Face aux hommes des médias,  Mahamadou Bonkoungou n’a pas manqué de rappeler que le groupe est aussi présent dans le social. Outre les milliers d’emplois créés, il a indiqué que le groupe à travers « la Fondation Ebomaf, les entreprises membres assument pleinement leur responsabilité sociale d’entreprise (RSE)  en soutenant par an le progrès social à hauteur de plus de deux 2 milliards de Fcfa ».

  Les ‘‘i’’ en Guinée

Cette sortie qui s’est voulue être la tribune du bilan des trois décennies d’existence du Groupe EBOMAF,  a également été l’occasion pour Mahamadou Bonkoungou d’évoquer les sujets qui fâchent. Dans cette catégorie, les allégations « mensongères » d’un avocat sur une télévision  guinéenne.

« Dans une émission intitulée ‘‘LES GRANDES GUEULES’’ diffusée sur ESPACE TV, des allégations reposant à la fois sur le mensonge  et la mauvaise foi  visant à semer le doute dans l’opinion publique guinéenne et au-delà sur une éventuelle collusion entre le régime déchu de Alpha Condé et EBOMAF sur la création de la compagnie d’affaires LTI », a-t-il fait observer,  avant de dénoncer «  cette sortie médiatique, indigne d’un homme de la loi car venant d’un avocat, requiert une mise au point appropriée de ma part afin de restituer la vérité et d’éclairer la lanterne des uns et des autres sur les péripéties de l’entrée d’EBOMAF et de ses activités en Guinée-Conakry. Il s’agit donc pour moi de saisir aussi cette opportunité que m’offre ce jour pour revenir sur la création de LTI d’une part  et sur le rendez-vous manqué avec l’Etat guinéen dans la mise en œuvre du projet routier Kankan-Kissidougou d’autre part ».

Manassé AGBOSSAGA

Monde des affaires: Cabale du Fmi et des médias occidentaux contre Liza Transport International

Avec ses instruments de destruction, les puissances étrangères s’apprêtent à donner un coup fatal au grand chef entreprise et panafricain Mahamadou Bonkoungou. Tristement célèbre institution, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers mijote la disparition des entreprises de ce digne fils du continent noir…

Il se trame un complot occidental contre le panafricain Mahamadou Bonkoungou. Sous de faux prétexte, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers peaufine « l’assassinat » des entreprises de ce grand panafricain dont Ebomaf et  Liza transport international.

Manassé AGBOSSAGA

Avec ses instruments  de destruction,  les puissances étrangères s’apprêtent à donner un coup fatal au grand chef entreprise et panafricain Mahamadou Bonkoungou. Tristement célèbre institution, le Fonds monétaire international (Fmi) aidé par des médias étrangers mijote la disparition des entreprises de ce  digne fils du continent noir.

Sous un fallacieux prétexte de traque des dettes cachées, le Fmi a lancé un assaut voilé contre  Ebomaf et Liza transport International (LTI).

Dans sa parution du 04 décembre, le magazine « La Lettre du Continent » a indirectement dévoilé  le complot en cours contre ses deux entreprises panafricaines.

Le magazine qui semble donner un coup de pouce à cette machination a annoncé qu’à  l’occasion d’une conférence de haut niveau organisée les 02 et 03 décembre derniers à Dakar,  les pourparlers entre les responsables du Fmi et les chefs d’Etat africains présents tendent à la limitation ou la suspension du recours aux garanties souveraines.

Chose curieuse, La Lettre du Continent s’empresse de citer Ebomaf alors que le même Magazine révèle qu’aucune entreprise n’a été nommée à l’occasion de ce rendez-vous. En outre, le Magazine qui indique que les garanties souveraines sont largement utilisées  dans les contrats d’énergie ou du BTP s’empresse de citer une autre entreprise de  Mahamadou Bonkoungou, qui pourtant  n’intervient même pas dans ce secteur.

En effet dans sa parution ‘‘La Lettre du Continent’’ cite la compagnie aérienne Liza transport international qui appartient à l’homme d’affaires. Le média se plaît même d’accuser la Compagnie aérienne Liza Transport International d’affréter gracieusement ses avions à certains chefs d’Etat pour leurs voyages.

Des questions qui confirment la machination

Alors surviennent à l’esprit certaines questions au sujet de cette publication. Pourquoi citer spécifiquement Ebomaf alors qu’à la rencontre de Dakar aucune  entreprise n’a été nommée ? Pourquoi de toutes les entreprises qui existent dans le secteur des BTP au niveau africain ou international, c’est seulement le cas d’Ebomaf qui intéresse le magazine ? Pourquoi ne pas avoir  fait mention d’une entreprise qui intervient dans le secteur de l’énergie ?

Que vient faire la compagnie aérienne Liza transport international dans ce débat ? Comment  une entreprise arriverait elle à survivre si elle fonctionnait en mode gratuit ?

En réalité, les réponses à ces questions confirment le complot qui se trame contre le Président directeur général d’Ebomaf. A titre d’exemple, sur le cas  de la filiale Liza transport international, au cas où La Lettre du Continent ferait semblant de l’ignorer, il s’agit d’une structure   spécialisée dans la  location des jets privés essentiellement destiné au transport des personnalités. Cette filiale n’est donc pas dans le bénévolat.

Visiblement jaloux des performances et prouesses d’Ebomaf et de Liza transport international, le Fmi aidé par la ‘‘Lettre du Contient’’ veut faire disparaitre l’une des rares  structures africaines qui arrivent à concurrencer les multinationales étrangères.

S’achemine t- on vers une élimination programmée  d’une entreprise panafricaine après Air Afrique?